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âmes vagabondes (madzan)

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23h30. Touristes ont désertés le sable et les côtés pour revenir dans les bars, mouiller cette fois leur corps de l’intérieur. Et toi tu es là. Orteils qui s’ouvrent dans le sable, face à cette mer. Calme, tout est calme. Pas une seule vague, sinistre. Tu as cette chemise ouverte, ce short de bain pleins de sable, ce cul posé au sol. Tu l’attends, elle. Madelyn et ses dates ailleurs. Tu l’entends arriver, un regard par-dessus ton épaule pour discerner sa silhouette dans la pénombre éclairée d’une lune blanche. T’es venue seule j’espère ? Y’a pas ton super date ennuyant ? Tu ricanes, le ton de la taquinerie, comme si rien ne te touchait. Pourtant il a cette jalousie au fond, un cœur qui travail sous cette couche de cynisme parfait. C’est pas une mer ça. C’est un lac. Y’a pas de vague, c’est minuscule. C’est nul. Tu te relèves pour arriver à sa hauteur. Phalanges qui dépoussièrent ton derrière. Deux gamins de Los Angeles qui se retrouve ensemble en Egypte devant la mer rouge. C’est presque romantique hm ? Ton poing qui se heurte à son bras, taquin, encore.

@Madelyn Mayfield
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t’es pas sereine. un truc étrange s’est produit. schwartzy a nagé avec l’ambiguïté. votre échange transpirait les allusions. t’es pas bien du tout, parce qu’avec lui, c’est impossible d’se défiler. il te connaît par coeur. et puis il a touché l’point sensible. il a heurté ce que tu évites. il y a un truc d’inexplicable entre vous. une tension persistante malgré les années. vous avez parlé d’vous en utilisant d’autres personnages, mais ça vous concernait. vous vous êtes mis en scène comme des idiots, vous avouant vos craintes. si la terre pouvait trembler, ça t’éviterait de lui faire face. dommage, aucun séisme n’est prédit pour les prochaines heures. robe estivale glissée sur tes courbes, tu quittes le navire d’croisière pour aller chercher sa carcasse avachie sur le sable. tongs dans les mains, tes orteils cuisent sur le sol encore bouillant. devant toi, la mer rouge plutôt paisible. zigzagant sur la longue plage, tes yeux attrapent sa silhouette. le cap mis sur lui, il t’entend arriver et dégaine la pique assassine. « personne d’autre » que tu vérifies en détournant ton regard à droite et puis à gauche. encore quelques pas et sa face s’éclaircit sous la majestueuse dame lune. et comme tu le connais si bien, il soulève les défauts de cet endroit si paradisiaque. jamais rien ne va chez zane. c’est l’enfant déçu par défaut. « je ne connais pas la définition du romantisme, il va falloir que tu m’apprennes ça » ses phalanges cognent ton bras en guise de salutations. « aïe, t’es pas tendre comme type » tu masses la zone creusée d’son poing et là, y a une vague monstre qui s’élève devant toi. t’aimerais l’enlacer, sentir d’plus près son parfum d’mec et pourquoi pas pourchasser sa peau de tes lippes. sauf que tout ça, c’est un secret cadenassé dans ton coffre fort. il doit pas savoir. il peut pas savoir, ça renverserait toute votre relation. « comment tu envisages ton été ? tu vas l’passer à râler dans ton coin ou tu as commencé à t’ouvrir au commun des mortels ? » son poignet accroché, tu t’avances vers l’eau qui s’échoue sur le rivage. un vent léger caresse ton épiderme en surchauffe. et puis tes pieds sont rongés par les flots. « j’me fais du souci pour toi, surtout si t’es toujours aussi négatif »  

@Zane Schwartz
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Gamins sous les tables des diners mondains. La paire qui espionnait de loin ces adultes aux montres plus riches que votre imagination d’enfant. Ces promesses envoyées en l’air dans les lèvres minuscules de vos âges ridicules. Vous vouliez vivre comme eux, dame qui arrive au bras de son homme. Robe trop élégante, colorimétrie parfaitement adaptée à une peau bourrée d’uv. Chemise parfaitement taillée pour laisser entrevoir le torse sculpté par des heures de coach privé. Stupide peut être. Penser encore à ces paroles d’enfants, mais c’est resté pour toi, gravé. Comme la promesse de quelque chose qui n’arrivera jamais. Vos chemins se sont séparés, retrouvés. Vous avez grandi, sans vraiment changer. Mais vous êtes là, sur un autre continent, vos pas qui s’emboitent pour avancer vers la mer rouge aussi ridicule qu’elle puisse être, antipode de l’océan face à los angeles. T’es pas romantique. Tu t’estimes gentleman. Suffisamment pour plaire au sexe opposé. Tu t’es redressé face à elle, son visage en face du sien. Douceur de cette lune contre sa peau veloutée. Elle l’a toujours Madelyn, sublime. Ton poignet agrippé, orteils qui flirtent avec l’eau salée. Je ne râle pas, je ne fais que constater les faits. Cette mer n’est pas l’océan de la côte ouest et on peut pas surfer dessus. Fact. Tu n’es pas quelqu’un de très optimiste, ni réellement pessimiste. Plutôt terre-à-terre. Tu constates, tu fais avec. Les gens sont tous des connards. L’ambition c’est le plus important. Ca dépend ce que t’appelles s’ouvrir au commun des mortels. De temps en temps je me rapproche des gens pour sympathiser et au passage faire bonne impression. Même cons, les gens sont toujours utiles, hm ? Tu ricanes. Manipulateur toxique qui sait bien trop utiliser son carnet de contact. Mais j’avoue que je vais rejoindre le commun des mortels féminins plus souvent que le reste. Pique étroitement visée pour toucher la cible ? Surement. Ton corps se penche en avant pour ramasser ce coquillage découvert par les petites vagues. Tu prends sa main du bout des doigts, coquillage posé dans le creux de la sienne. Referment ses doigts délicatement quand tes prunelles se sont redressées dans les siennes. T’inquiètes pas pour moi, j’suis bien assez fort pour survivre. Mais toi tu devrais faire attention, ta robe est mouillée. Torse qui se plie une nouvelle fois rapidement, le pas en arrière pour jeter de l’eau sur le bas de sa robe trempée. Tu t’es reculé, tu le sais les représailles pourraient être agressives. Les bras aux ciel, l’air innovant. J’ai pas touché les cheveux.. !

@Madelyn Mayfield
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Les promesses d’une enfance dorée remontent. Châteaux d’sable au bord de l’océan, tu remontes le temps en direction de cette période joyeuse, juste avant que la leucémie attaque et te pousse vers l’hôpital. Là-bas, il s’incrustait de longues après-midi, te contant des histoires ou te serrant la main lorsque les traitements attaquaient tes cellules rebelles. Jamais tu n’oublieras. Zane demeurera ton héros. Tu ne t’es pas battue pour ta vie, mais pour faire partie de la sienne. Partir pour Paris, c’était un choix douloureux. Tu ne l’as pas fait de gaieté de coeur, c’était un plan pour le futur. Tu voulais avoir la preuve que tu pouvais te débrouiller seule. Le coeur a morflé, mais il a résisté, se gavant des entrevues que vous aviez aux vacances. Schwartz c’est ta boussole. Un élément indissociable de ton existence. Le pitre qui réchauffe ton coeur enveloppé de glace. « T’as raison, les gens sont des pions, il ne faut pas les sous-estimer » Tu glousses, habituée à cette supériorité dont vous faites preuve. Il y a vous, tout en haut et les autres, tout en bas. Et il te foudroie en mobilisant la gent féminine. La rage se distingue sous tes pommettes rougissantes. Le rythme cardiaque s’accélère. Murée dans le silence amer, tu déploies tes doigts pour apercevoir une coquille nacrée dans le creux de ta main. Souvenir béni, tu le ranges dans ton sac en bandoulière et guettes l’bas de ta robe léchée par la mer. « Espèce de gamin ! » T’en veux pas d’la place de la grande soeur ou celle d’la mère. Aucun lien d’famille, sauf celle a créé. L’désir se mêle au courroux. Le pied trempé dans l’eau, tu élances ta jambe en sa direction pour le fouetter d’une pluie agressive. Et il s’éloigne. S’enfuit. Le coupable adoré. Tu le poursuis et parviens à te hisser sur ton dos. Ton poids le déstabilise. Tes paumes masquent son regard alors que tes jambes s’enroulent à son bassin. « Esclave Swartz, conduis moi à mon palais, huuuu » Tu tapes sur sa hanche, comme pour entraîner ta monture vers le galop. Son corps vacille alors que tu pointes l'horizon. « J’te laisse que si tu me fais don de ta vie, en es-tu capable serviteur de ta reine ? »  

@Zane Schwartz
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T’as pas touché les cheveux. Promesse tenue. Simple bout de tissus tâché d’eau salée et te voilà toi aussi arrosé. Gamin qui s’enfuit, jambes à son cou pour fuir sa destinée. Tu entends ses gros pieds s’enfoncer dans le sable, traces de pas qui se dessinent dans le sable, noyé dans les vagues qui s’échouent quelques centimètres plus loin. Un gamin qui se fait rattraper quand son poids s’écraser sur ton dos, jambes aux muscles serrés pour tenir droit. Il parait qu’il faut choquer le muscle, Madelyn serait une coach idéale. Tes doigts s’enroulent machinalement autour de ses poignets pour l’aider à remonter, au passage, dégager ton cou de tout attentat à ta vie par étranglement. Ses mains finissent par cacher tes yeux, quand l’araignée qui lui sert de corps se faufile autour du tiens. Et c’est moi le gamin après ? Tu ricanes quand ses pieds s’assomment contre tes hanches pour t’avancer comme une vulgaire mule à la génétique douteuse. Tes pas s’avancent le long de l’eau, dangereusement attirés par les profondeurs. Liquide amer qui remonte le long de tes tibias, tes genoux. Tes poignets ont fini par bloquer ses chevilles dans la poigne de ta main. Force pour maitrisée la cavalière effrontée. Les vraies reines sont en carrosse non ? J’ai peur de me faire arnaquer par une fausse identité. L’eau remonte quasiment aux pieds de Madelyn que tu ne lâches toujours pas. Une vraie reine aurait des gardes du corps pour m’empêcher de la noyer. Ton corps menace de partir en arrière et elle avec. Mais tu restes sur tes deux pieds, mouvements en arrière comme simple menace. C’était bien avec ton date ennuyant ? Questions pièges ? Absolument. Il te plait ?

@Madelyn Mayfield
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C’est un pan du passé qui refait surface. Tu joues la lady sur son dos, comme à l’époque où tu étais sa princesse emmerdante et lui le brave chevalier. L’eau te menace et imbibe ta jolie robe longuement choisie. Le décolleté pressé contre son dos, il franchit des mètres vers le large si terrifiant. Les peaux se tamponnent et fusionnent. Y a pas d’autres endroits où tu voudrais être. Cet endroit est le meilleur, pas grâce au décor, non, grâce à lui. La brise se lève et glisse sur ta peau comme un voile de coton. Les flots jouent une douce mélodie. « Un gamin qui a bien grandit » Tu glousses de plus belle, t’attachant à lui, bras qui barrent sa gorge sans s’y enfoncer. Monture précieuse, tu le ménages autant que possible, parce qu’il est pas si costaud qu’ça le Schwartz. Ces derniers mois, t’as bien vu qu’un truc clochait. Il est .. abîmé. Un cristal fêlé. Et face à cette situation, bah t’es complètement démunie. La Mayfield n’sait pas réparer les gens. Elle sait les détecter, mais le reste, c’est une énigme indéchiffrable. Les mains qui se cramponnent à ses épaules musclées, tu souffles derrière lui. « Ne remets pas en question mon règne ! C’est que je t’ai pas tout avoué, le peuple veut me couper la tête » Son corps n’est plus tellement perpendiculaire au sol. L’effort est plus soutenu au fur et à mesure que l’eau monte. Centimètre après centimètre, l’inondation totale approche. Qu’est-ce qu’il parle de ton date ? « Tais-toi, ça te regarde pas » Les dents tranchantes sont découvertes. T’as été méchante blondie. Il voulait peut-être simplement savoir si ta vie amoureuse se portait bien, rien d’plus. Mais tu comprends pas pourquoi t’as réagis ainsi. C’est comme si ce sujet était tabou. Comme si tu voulais éviter de le .. blesser. « Il était cool, mais il cherche rien de plus qu’un trou » T’es sale à dire des choses sales, mais c’est la vérité. Ce monde n’est pas l’conte d’fée que l’on t’a vendu plus jeune. Tous les êtres adultes sont bousillés. Chacun bricole comme il peut pour s’en sortir. Ce Ryan, il a été trompé et ne peut plus accorder sa confiance. Il se nourrit d’corps sans s’intéresser à l’âme. T’es pas contre, mais tu veux plus, toujours plus. « Et toi ? T’as pu trouver quelque chose d’plus extraordinaire que moi ? »  

@Zane Schwartz
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Ça ne te regarde pas et tu es du genre à diablement t’en foutre. Toi ? Les relations amicales, sentimentales ? Tu écrases. Petites miettes que tu balayes de ta vie sans même réfléchir. Brisé aux expériences passées, une vie qui n’a fait qu’amplifier cette amertume salée pour les émotions et l’empathie. Pourtant elle, Madelyn, une des rares faisant partie de cette élite si infime. Système de recrutement plus sélectif que la légion étrangère. Elle en fait partie depuis toujours sans jamais en être partie. Fragilisé sans jamais céder. Incapable d’apprécier ce que tu ne comprends pas. Tu ne supportes pas évoquer ce qu’il y a entre vous. Le déni, tu ne sais pas. Plus fort que simplement une étiquette salement collée sur votre relation. L’eau salée qui vient s’imprégner dans le tissu de vos vêtements quand tu t’arrêtes, piquet dans le sable des fonds marins. Ses chevilles que tu tiens fermement pour stopper ses mouvements. Question qui tâche. Surement le soleil qui tape sur ton crâne depuis trop de jours. Tu ricanes, insolent. Parce que t’es qu’un trou toi ? Depuis quand la reine Madelyn Mayfield n’est qu’un putain de trou ? Le ton presque agressif, sans savoir coordonner ton intonation. Tu l’attaques elle, ou lui ? Toi ? Enervé d’être énervé. C’est compliqué dans ce cervelet. T’as beau être une reine déchue tu restes quand même ma reine. Presque poétique, presque romantique. J’ai qu’une parole, et même celles de quand j’avais douze ans ne changent pas. Tu marques une pause, inerte. Sauf si tu décides toi aussi de me foutre des couteaux dans le dos. Est-ce que c’est menaçant pou nostalgique cette fois ? Aucune idée. T’as déjà Paris à te faire pardonner, tu comptes t’y prendre comment ? Ton visage se tourne sur le côté, de façons à entrevoir son visage d’un œil. Sourie farouche en coin de lèvre.

@Madelyn Mayfield
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L’enfance n’est plus Madelyn. Vous êtes adultes. Tout est plus sérieux. Il y a ce jeu du chat et la souris qui persiste. Ici, dans ce pays si lointain, rien n’a changé. Tout est à l’identique. La conversation sur meets l’a prouvé. Il parlait d’vous, t’es pas si blonde que ça. Paris a fusillé votre avenir commun. T’as fui, peureuse. T’as jamais trouvé l’prince que tu imaginais. Pendant tout ce temps, t’as comblé l’vide avec des connards. Eux, ils ne voyaient que ton argent, ils ne voyaient pas le peu d’beauté qui s’cache derrière ton sale caractère. Y a que Schwartz qui sait lire entre les lignes. Y a que lui qui peut décrypter ton code. Il est probablement l’élu, celui que les étoiles ont choisi pour toi. T’as deux choix. Soit tu ignores le destin, soit tu l’embrasses. Tu peux pas rester en équilibre précaire. Tu vas t’casser la gueule, arrêtes de résister inutilement. L’aveu qui s’évade, tu te sens comme d’la merde avec sa réaction. C’est sévère. Blessant. Vrai … « Depuis toujours » Peu d’estime de toi, ou pas le cran de viser le bg qui t’respectes. Tu fonces droit vers les ratés, ceux qui n’risquent pas de t’anéantir en partant. Ses mots percent la membrane de ton coeur. Il remonte les pendules vers un temps où tout était plus facile. Le sang s’enflamme dans tes veines. Les idées se combinent en un fouillis incompréhensible. T’es bloquée tout contre lui. Un oeil te vise. Il a resserré son piège autour d’toi. Il est malin Zane, très malin « Euh .. » L’hésitation s’élève. « Et si .. » La suspension s’étale de longues secondes. Le cou s’étire. Tes lèvres se couchent sur sa commissure. « Je ne serais pas celle qui te détruira, je suis celle qui fera d’toi mon roi » L’nez s’aplatit dans sa nuque et ta bouche se retrousse contre les os de ses cervicales. « T’en dis quoi ? Tu la veux la couronne ou pas ? » Tes doigts qui remontent dans sa chevelure, tu tâtes la circonférence de son crâne « Il va en falloir de l’or » Tu ris et l’enlaces plus fort contre ta poitrine, vos palpitants se répondant au travers de vos corps.   

@Zane Schwartz
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Tu n’as aucune idée de comment elle se perçoit, elle. Ses mots qui percutent ton ego comme si tu avais échoué. Mission ratée de ne pas réussie à lui avoir donné cette force qu’elle mérite d’exhiber. Aucune idée de qui n'a bien pu souiller la reine au point où elle ne se considère plus. Paroles que tu ne vas pas oublier, précieusement rangées dans un coin de tes pensées. Tu le sais, t’as quelque chose à rattraper, ou simplement les erreurs de connards égocentriques à réparer. Paradoxal, toi qui es ce même type avec tant d’autres. Ton regard qui passe au-dessus de ton épaule quand le poids mort est toujours sur ton dos, bloqué par tes mains. Son visage qui se rapproche du tiens, ses lèvres qui se déposent timidement sur quelques millimètres des tiennes, ses paroles qui tranchent l’air. Couteaux aiguisés qui découpent ce calme platonique entre vous. Rare fois où tu ne pas quoi faire. Corps figé dans ce sable qui t’aspire au grès des vaguelettes qui s’écrasent quelques mètres plus loin sur la plage. Un frisson qui parcourt ton épiderme, poils qui se redressent quand elle embrasse ta nuque, quand ses phalanges se glissent dans tes cheveux. Hé merde. Ha parce que je suis pas déjà ton roi ? Tu choisis le déni, t’esquives ses sous-entendus à peine dissimuler. Les mains qui relâchent ses chevilles pour rapidement attraper le reste de son corps, prise par surprise, secondes fractionnées pour qu’elle finisse dans l’eau. Ton corps suit le sien dans sa chute. Une main qui passe sur ton visage pour retirer quelques gouttes d’eau salée. J’suis pas sûr de comprendre ce que j’ai en échange d’autant d’or ? L’air insolent, victorieux d’avoir tenté de noyer sa Majesté.


@Madelyn Mayfield
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Le rivage s’éloigne dans ton dos. Tes mains se cramponnent sur son torse galbé. Sa force te traîne toujours plus loin dans les flots. La proximité est déroutante. T’as son odeur qui se transfère sur ta peau. Une fusion qui déverse un peu plus d’incompréhension dans ta cervelle. La tentation murmure à ton oreille. L’amour que tu lui portes jaillit. Il fracasse les murs érigés contre tes sentiments. La déclaration se fait. Les gestes s’ajoutent aux mots. Le passé enlace le présent. Tu t’accroches toujours plus fort, imprimant tes lèvres sur son épiderme salé. Les poumons se gorgent d’air. Tu lui vends ton futur, mais il se dérobe. Il n’accepte rien de tes luxueux projets. Il te relâche au moment où tu avais le plus besoin de lui. Le corps coule, la tête reste hors de l’eau. Les cheveux se détachent tout autour de toi, baguettes blondes qui ondulent. La frustration mugit. Ta face se décompose. Tu te sens mal, atrocement mal. Des confidences balayées. Un coeur troué. Il te cherche pour mieux te chasser. La reine Mayfield souffre. La honte l’enveloppe. La respiration est courte. Affligée, tes épaules s’affaissent. « Si tu ne sais pas lire entre les lignes, c’est ton problème, j’aurais fait ma part. » La gaieté s’évanouit. Ta douceur s’efface. Les bras poussent la flotte. Le demi-tour est enclenché. Les pieds quittent le sol sablonneux et la brasse est amorcée. « J’sais pas ce que tu cherchais, m’humilier ?? T’as réussi » Tu te sauves, repoussant l’émotion qui encercle ta gorge. La cadence augmente. Un genou s’arrache contre le sable. Tu te relèves, aspirée par la lourdeur de ta robe. Les pas sont lents. Tu tires le tissu et pestes contre lui. Ta cheville se tord et la chute est inévitable. À quatre pattes, tu bascules sur le dos et lances des fuck au ciel. « Gros foutage de gueule »

@Zane Schwartz
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