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WE'RE NOT THE SAME
feat. @Orphéa Wertheimer Destination loin du quotidien. J'aurais aimé te dire que je vais mieux grâce à ma thérapie, grâce à ma nouvelle médication mais ce serait dire la vérité en rajoutant un zeste de mensonge. La vérité est que je perds contrôle de mon corps, de mes désirs, de ma vie. Et, à la dérive, je change pour le pire comme l'horreur. Au détour de cette soirée, je t'ai croisé. Mon visage impénétrable, mon regard sombre, je n'ai plus l'attitude ni les expressions du garçon au regard vide et aux gestes mollassons. J'ai l'air d'être confiant, simplement insatisfait du monde qui m'entoure. J'ai l'air bien trop confiant, peut-être un peu trop mauvais. Et je te vois, et je te désire, plus que la dernière fois. ❝ La plus belle des blondes est dans la place. ❞ Un sourire en coin ? Que m'arrive-t-il ? Et je t'aborde sans une once de gêne ? Vas-tu ne serait-ce que me reconnaître ? Mon esprit, ma gestuelle, et même ma façon de me présenter physiquement au monde ? Cette personne en laquelle je me transforme veut vivre jusqu'au bout et est avide de connaître réellement qui est cette Orphéa qui me faisait tant rougir. Le sablier est retourné, l'horloge tourne.
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with @Edward J.F. Kennedy
Problèmes qui torturent les pensées depuis le début des vacances, chaleur difficile à assumer, malaises qui ne cessent de l'accabler. Ces vacances ne représentent pas le séjour idéal, les envies de demi-tour de plus en plus forte. Pourtant plus courageuse que ce qu'elle parait, elle devait tenir pour son équipe et l'engagement qu'elle avait prit. Journée passée au lit, douceur de la climatisation à laquelle elle était devenue accroc, envies d'aventures misent de côté pour le moment. Nuit levée, air plus apaisant qui reprend sa place. Les pensées qui ont besoin de s'enfuir, l'esprit qui a besoin d'oublier. Fête qu'elle décide de retrouver, les verres qui s'avalent, les conversations vaseuses qui s'enchainent. Puis tu t'approches, sous un air différent, comme si t'étais quelqu'un d'autre. Regard presque méfiant, mais sourire amusée face à ton approche. La plus belle ? C'est gentil. Dit-elle d'un air amusée, petite révérence pour honorer la poupée qu'elle est sensée représenter. Qu'est c'qui t'arrives ? T'as l'air de bonne humeur ce soir. Sourire intriguée, mèche blonde qu'elle place derrière son oreille, la main masculine qu'elle attrape pour le diriger jusqu'au bar. Aller, j'te paye un verre ! Je t'en dois un depuis bien trop longtemps. Sourire de malice, geste qu'elle fait au barman. Peut-être qu'il était arrivé au bon moment, ce moment où justement, elle avait besoin de lui.
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feat. @Orphéa Wertheimer La surprise semble avoir pris la place à ta candeur naturelle. ❝ Gentil ? C'est sincère, plutôt ❞ rétorque-je en haussant un sourcil. Je tourne légèrement le visage, une mèche tombant sur mon front alors que déjà un sourire narquois s'étale en écartant mes joues de toute part. ❝ Disons que j'ai des raisons d'être heureux ce soir. ❞ Et lorsque je retourne à tes yeux, dans lesquels je plante les miens, je réalise que plus rien ne me fait peur. Ni mon état de santé psychologique, ni mes états d'âme, ni mes peurs irrationnelles. Je suis un nouvel homme, pour le meilleur comme pour le pire. Nulle hésitation de ta part à passer outre et me prendre la main pour m'amener au bar. Je ne dis mot, te laissant commander pour nous deux et alors que le barman demande le paiement, je te dépasse et sors ma carte que je dépose sur le terminal de paiement électronique. ❝ Navré mais ce soir, c'est moi qui prends soin de toi. ❞ Je pourrais réaliser que quelque chose est différent, que mon assurance en est presque criminelle tant je ne cherche pas à aller au delà de comment je me sens. Je suis, j'agis, et c'est tout. ❝ Alors, dis moi... ❞ commence-je en me tournant vers toi, posant mon coude contre le comptoir de bar pour m'appuyer et capturer ton regard sans le lâcher. ❝ Les vacances se passent bien ? On dirait que tu es légèrement... Lessivée ? ❞ Petit air d'amusement non dissimulé. Je ne peux plus rien cacher et en vérité, je ne le désire pas. Dorénavant, je suis à prendre ou à laisser.
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with @Edward J.F. Kennedy T'es aussi très beau, particulièrement ce soir. Sourire qui s'affiche sur les lèvres de poupée, air rosée qui atteint ses joues par les compliments qui s'échappe. Peut-être que ce n'était pas la première fois qu'on lui disait qu'elle était jolie, mais ça lui faisait toujours plaisir, comme si c'était la première fois, à chaque fois. Un sourire amusée et incrédule qui l'observe, questionnement qui se laisser observer dans ses mimiques. Il y avait comme quelque chose de différent chez toi, comme si l'inquiétude avait décidé de s'échapper pour faire place à l'assurance. C'est étrange, mais elle adore ce qu'elle regarde. Cette énergie qui s'échappe et dont elle a besoin de s'enivrer. Laisse moi deviner.. T'es heureux parce que c'est une belle soirée ? Ou parce que t'es tombé sur la bonne personne ? Rire cristallin qui s'échappe, les gamins innocents qui s'approchent du bar pour continuer cette nuit qui risque de se noyer dans cet enivrance dont ils avaient besoin. Les verres aussi vite payés que commander, les lèvres entre ouverte face à cette rapidité. Une femme n'a pas besoin qu'on lui paye son verre pour qu'on prenne soin d'elle. Dit-elle amusée, clin d'oeil qui s'affiche, peut-être que voir son assurance, ça l'aide aussi à retrouver la sienne. Ouais.. J'ai des petits problèmes familiaux que j'sais pas trop comment gérer.. Je suis tout le temps fatiguée, j'ai pas envie de faire grand chose.. J'crois que c'est les premières vacances où j'passe autant de temps dans ma chambre. Grimace qui s'affiche, mèche blonde qu'elle passe derrière son oreille. La fin d'année a pas été super facile, à pars ma couronne, c'était que du négatif. Les épaules qui se haussent, son verre qu'elle attrape. Mais ce soir, j'oublie tout ça et j'suis rien qu'à toi. Dit-elle alors qu'elle relevait son verre pour trinquer avec lui, sourire ensoleillée qu'elle retrouve, parce que t'es là et que c'est grâce à toi.
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feat. @Orphéa Wertheimer Il y a ce rictus faussement gêné qui penche le visage en avant pour ensuite le relever, faisant de même avec les yeux. Je ne réalise pas que je passe ma langue sur mes lèvres. Serait-ce le démon en moi qui se fraye un chemin pour sortir ? ❝ Merci. Tu es observatrice. ❞ Drôle d'égo émanant de mes pores, parfum nouveau qui n'a jamais couvert ma peau auparavant. Je l'entends en partie que je ne suis plus le même homme. Et toi également à en juger à la façon que tu as de me dévisager, les iris brillants. Nos rapports cordiaux emprunts de maladresse ont laissé place à un jeu de séduction que nous n'aurions jamais imaginé. Les pupilles ne peuvent se quitter comme si nous cherchions à analyser l'autre, et chaque phrase se veut plus charmeuse que la précédente. ❝ Bonne soirée, oui, bonne personne, plus que de raison. Comment ne pas être ravi en la présence d'une si... Charmante compagnie. ❞ Brave prince qui se dresse devant toi, fier, confiant. Nul doute pour une fois, nul soupir dans ma voix. ❝ Une femme apprécie toujours qu'on lui rappelle qu'elle a de la valeur, n'est-ce pas ? ❞ Les mots légers quittent la scène, et entrent en scène une conversation de coeur où le sérieux de mon visage pourrait presque faire peur. ❝ Je suis ravi que tu vois les choses de manière positive tout de même ❞ déclare-je en trinquant, esquissant un sourire que j'éteins aussitôt, ❝ mais tu as été couronnée reine car énormément de personnes t'apprécient. Tu es chaleureuse, solaire et le coeur sur la main. Ce sont des qualités que les requins de ce monde qualifieront de faible mais ceci fait ta force. N'importe qui a envie de suivre une personne où le coeur est à la bonne place et qui se dresse devant l'adversité. Quant à ta famille, je ne peux que te souhaiter le meilleur. Je serai mal placé pour donner des conseils... ❞ J'en ricanerai presque, rapprochant mon verre de mes lèvres en réfléchissant à ma fratrie. Une soeur excentrique à qui je finis par ressembler davantage et une grande soeur qui ne cesse d'être aussi insupportable que froide. Ce n'est pas que je n'aime pas ma famille, c'est que je ne la reconnais pas en tant que telle. ❝ En parlant de rien qu'à moi... ❞ Verre déposé sur le bar. ❝ Vous pouvez garder ça pour nous ? ❞ Je prends le tien et le donne au barman. ❝ Merci. ❞ Corps qui se meut vers toi en te prenant par la main. ❝ Madame, m'accorderiez-vous cette danse endiablée ? ❞ La musique ne se prête pas au slow mais rien ne peut nous empêcher de profiter d'une bulle sur un rythme déchainé. Je ressert l'emprise de mes doigts sur ta paume, reculant pour nous frayer un chemin avant de te laisser reprendre contrôle de tes gestes. Impossible de te quitter du regard, douce beauté qui me charme sans effort. Le sourire est fin, grand, franc. Et alors que mes membres se calquent sur le rythme, je réalise que la seule constante de ma vie se tient devant moi.
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with @Edward J.F. Kennedy
Ce n'était pas la première fois qu'ils passaient une soirée ensemble, mais c'était bien la première fois que cette osmose s'installe entre eux. Comme si tout était plus simple et que les maladresses étaient mise de côté. Il y a peu, nos yeux vitreux se croisaient, remplie de culpabilité par la faute qui nous a consumés. Mais cette fois, ça semble différent. Comme si cette culpabilité était déjà bien loin et que les limites sont à présent mise de côté. Parce qu'on est jeunes et cons, c'est souvent c'qu'on dit n'est c'pas ? Sourire débordant les lèvres, teint lumineux qui reprend sa place grâce à ta présence. J'suppose que t'as décidé de me flatter ce soir ? Sourire de candeur qui se transforme en malice. Parce que ce soir, t'es bien trop doué pour me dire ce que j'ai envie d'entendre, comme si tu lisais en moi et que tu savais exactement quoi dire pour que ça palpite. Bonne réponse. Clin d'oeil qui s'échappe, les difficultés qui finissent par s'annoncer, parce que tu me connais bien et tu vois bien que j'ai pas la forme de d'habitude. Puis j'écoute tes paroles et j'crois que je craque une nouvelle fois. Peut-être parce qu'une nouvelle fois, tu sais quoi me dire, tu fais ça si facilement, c'est presque insupportable. Les mots qui manquent face à cette jolie déclaration, les pieds qui retrouvent leurs pointes pour embrasser sa joue, le coin de ses lèvres. Peut-être qu'il était facile de dériver jusque ta langue, mais elle voulait que ça se torture, que ça se retienne, jusqu'à exploser. Je crois que je pourrai t'écouter parler pendant des heures. Murmure qui s'écrase contre sa joue, sourire qui se retrouve lorsqu'il dépose les verres afin de retrouver la piste de danse. Parce que tu étais entreprenant comme tu ne l'avais jamais été encore et ça lui plait à la Wertheimer, peut-être même beaucoup trop. J'ai bien dis que j'étais tout à vous. Révérence de princesse, rôle rapidement mis de côté pour faire place à la diablesse. Celle qui se réveille lorsqu'on aiguise ses sens et qu'on réveille son battant. Le corps qui se colle contre le sien, son dos appuyé contre son torse, corps qui se dandine au rythme de la musique. Elle allait peut-être trop loin ? Mais il avait l'air de vouloir jouer, alors elle aussi.
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feat. @Orphéa Wertheimer Haussement d'épaules, petit échange visuel taquin tout en feignant l'innocence. ❝ Pourquoi ne pas flatter quand on le peut ? ❞ Te voir apprécier l'attention est délicieux, comme goûter à une sucrerie qui manquait au corps comme au coeur. Les attentions minimes se succèdent jusqu'à ce baiser que tu déposes sur ma joue. J'en ai ce sourire idiot mais mature qui s'éclate sur mon visage. Je suis touché. Sur ce, je ne dis mot, et laisse la danse nous appelant faire son travail. ❝ M'écouter pendant des heures ? Pourquoi ? Parce que je parle avec respect et éloquence ? ❞ Il est vrai que je ne parle pas et n'agis pas comme les autres. Même il y a encore quelques mois, lorsque mon état mental était au plus bas, j'étais également différent des autres hommes. Je n'ai jamais cherché la conquête, simplement de vivre heureux du mieux possible sans blesser personne, moi y compris. Et pour une fois que je joue avec moi-même, je me sens plus libre que je ne l'ai jamais été. Je ne peux détacher mon regard de toi, élégante flamme qui brûle devant moi, amusée et taquine, prête à tout pour analyser les recoins diaboliques qui me forment. J'ai envie de commenter, d'oser un mot mais je ne le fais point. Hypnotisé par ton charme, je ne peux que me laisser faire lorsque ton corps se colle au mien, mes bras venant encercler tes hanches, les doigts se déposant dans ton dos. Les mouvements brusques de danse nous font parfois décoller mais ta poitrine rebondit toujours contre mon torse. Impossible de cacher ce sourire un peu trop enjoué à t'avoir aussi proche. ❝ Tu es irrésistible, tu le sais ça ? ❞ Direct, les yeux dans les yeux. Je ne peux attendre une seconde de plus. Un de mes bras dépasse ton épaule, te couvrant la nuque délicatement et, t'attirant vers moi tout en me penchant, je dépose mes lèvres sur les tiennes, te serrant davantage contre moi. Plus jamais tu n'as à avoir peur, plus jamais tu n'as à céder pour nous deux. La passion enflamme ma peau, raidit mes membres, mais ma morale m'empêche de dépasser l'indécence dans mes gestes. Ma bouche ne peut quitter la tienne, remuant dessus pour en voler tout le goût, m'accaparant ta parole comme ultime vol d'un bandit au grand coeur.
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with @Edward J.F. Kennedy Les pupilles qui s'illuminent, les complexes et les problèmes échappés de ses pensées. Parce que parfois, il suffisait d'un verre d'alcool pour s'envoler, mais ce soir, ça n'a pas été nécéssaire. T'es arrivé et t'as tout changé, des beaux sourires, quelques mots qui font du bien et voilà cette lumière retrouvée. Y'a vraiment quelque chose de particulier ce soir, on se découvre et on se redécouvre sous une nouvelle couleur. Beaucoup plus rouge, beaucoup plus passionné. Comme si l'inquiétude d'un simple baiser était devenu bénin et que ce soir, nous étions prêt à aller beaucoup plus loin. Parce que la sincérité et la gentillesse manquent de nos jours. Sourire qui reste accroché, les mots qui réchauffent le coeur, le corps apaisé grâce à eux. Peut-être parce que tu me dis exactement ce que j'ai besoin d'entendre ? Et que tu deviens beaucoup trop doué pour ça ? Dis moi comment tu fais, moi aussi j'aimerai réussir à combler les gens de cette façon, rien qu'avec des mots. La piste enflammée qui se retrouvent, la proximité qui disparait, les corps élancés qui dansent l'un conte l'autre dans cette dande endiablée, celle qui brûle les membres et fait frissonner l'échine. Elle se libère, tel un oiseau sortie de sa cage dorée, prenant cet instant comme le dernier, son corps avide de se délecter de cette alchimie naissante. Y'a les regards qui se croisent, y'a un sourire remplie de sincérité qui s'affiche à tes mots, y'a le temps qui passe trop vite pour prendre le temps de répondre. Y'a les silhouettes qui se rapprochent et les lèvres qui fondent l'une contre l'autre. Coeur qui palpite à ce contact, baiser qu'elle prolonge avec cette profondeur qu'elle est incapable d'abandonner. Premier baiser timide, deuxième baiser enflammé. Les doigts féminins glissent contre torse jusqu'à remonter sur sa nuque qu'elle caressait du bout de ses doigts. Le ventre qui papillonne, les sens éveillés, presque trop surprise de l'effet qu'il pouvait lui procurer. Les yeux illuminés qui se dirigent vers les siens à l'écoute de ses paroles, les souffles qui se croisent tant la proximité était difficile à effacer. Et toi, tu sais comme tu es attirant ce soir ? Mots qui s'échappent contre sa peau, sa main qu'elle descend doucement vers la sienne pour le tirer hors de la piste, en recherche d'un coin tranquille, là où ils pourraient se retrouver seulement tous les deux. Loin des yeux et du monde.
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feat. @Orphéa Wertheimer Tu sais exposer les faits tels qu'ils sont tout en amenant ton espièglerie dans l'équation. Le sourire est toukours de côté, entre le narquois et l'amusé, celui qui prouve que ton charme a opéré avec succès. ❝ J'ai acquis bien des talents avec le temps. Et pourtant, aucun ne sait me préparer à retrouver ta silhouette. Il n'y a aucune préparation pour ça. ❞ Les yeux dans les tiens, le sérieux du moment s'est ancré dans le sol, nous a ramené sur la terre pendant que mes mots cognaient contre tes tympans dans la plus naturelle des confessions. Sur la piste, tout s'emballe. Les préliminaires versaillais des mots qui charment avant les corps s'effondrent et se muent, deviennent un tout autre palais, celui d'une passion rouge. La flamme d'une bougie devient celle d'un dragon, quand les lèvres se perdent l'une sur l'autre à en perdre raison. Puis l'effort s'arrête et les corps s'émiettent, ta main cherche la mienne, la prend et la possède. ❝ Peut-être devrions-échapper au monde autour pour s'avouer à quel point l'autre est à notre goût. ❞ Je me fais lutin tracassin, perfide dans son charme alors que déjà tu me tires là où la foule ne fuit pas. La cacophonie n'est que bruit de fond à mesure que l'architecture passe du chaud au froid, passe de lumière à ombre, passe d'immense à étroite. Je peux entendre ton sourire retenant quelques rires, tandis que le mien est toujours délicat, fraichement peint d'un coup de pinceau comme un trait assassin sur une toile victime. ❝ Orphéa ❞ lance-je avant de m'arrêter, mes doigts toujours dans les tiens, te retenant d'avancer. Je te laisse me faire volte face sans même le quémander. ❝ J'ai conscience que je me fais prince mais je ne suis pas que louanges et douceurs, tu te doutes bien ? ❞ Je m'avance à mon tour, te regardant fixement, la main entourant ton menton et bloquant tout ton visage dedans. ❝ Tu es radieuse et délicate et je m'en voudrais de te faire quelconque mal. Mais la simple vision de toi me condamne à te désirer là où je prie te voir transpirer. ❞ Les paroles s'atténuent, se font murmure, et tirant de mes doigts ce masque fragile, je prends en otage cette bouche et la pétris de mes lunes. Ma langue ne tarde pas à se joindre à la danse, venant chercher la tienne pour une ultime remontrance. De ma main libre j'attrape ta hanche et te fait tourner avant de te plaquer contre une paroi si reculée que l'on n'aurait l'idée de venir nous y chercher - tout ceci sans rompre cet ardent baiser. Ma main passe de ton menton, descend jusqu'à ton décolleté, le contourne et sous ton bras, glisse en serpent. Le bras s'étend contre ton dos, la main s'écroulant sur ta nuque, la prend et fait de toi la poupée de mes dunes.
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with @Edward J.F. Kennedy Les joues débordant de rouge, les mots qui s'échappent d'entre les lèvres masculines qui ne cessent de faire palpiter son battant. Débordée de compliments, elle avait du mal à agir face à eux. Chacune des paroles qu'elle entendait l'éloignait petit à petit de cette fille solitaire, un peu trop naïve et qui n'intéresse pas vraiment les garçons. Elle avait l'impression d'être celle qu'elle a toujours voulu être, celle qui attire le prince charment, vous savez, celui dont il suffira d'un sourire pour obtenir le monde. T'es entrain d'abuser Kennedy. Sourire qui reste accroché, rire de poupée qui s'échappe, ce n'était pas de la fausse modestie, elle était sérieuse, elle ne pensait clairement pas en mériter autant. Des filles il y en avait plein et des mieux qu'elle, il y en avait sûrement des tonnes. Les frissons qui parcourent le corps, les sens qui s'aiguisent face à cette danse endiablée, les pensées qui se perdent dans les sensations qu'il était capable de lui faire ressentir. Peut-être que tout sera différent après ce soir et peut-être même qu'on sera pas capable d'en parler, mais c'était peut-être aussi trop intense pour abandonner. Nos lèvres se touchent et se noie dans cette folle passion. Celle qui prend aux tripes, cette passion qui stagne depuis trop longtemps et qui décide d'exploser tel un feu d'artifice. Les silhouettes de gamins s'échappent, main dans la main alors que la musique s'atténue mais les cris d'enfants résonnent. Un coin immaculé du monde qui se retrouve, le palpitant incapable de reprendre un rythme régulier, l'impatience et l'innocence qui résonnent dans cette aura qui l'encercle. Les ambres qui se plongent dans les siennes lorsqu'il remonte son visage, un léger rire qui s'échappe à la suite de ses mots. C'est une jolie manière de dire que t'as envie de moi ? L'air aussi moqueur que charmée, il lui prouvait de jour en jour qu'il n'était pas comme les autres et qu'il avait cette jolie façon de tout embellir. Les lèvres qui retrouvent leur place, l'une contre l'autre, pour retrouver cette proximité à laquelle ils pourraient vite devenir accroc. Poupée de chiffon qui se laisser aller, le dos qui se retrouve contre la paroie d'un mur, l'échine qui se courbe face au parcours de la main masculine contre sa silhouette. Les phalanges qui se glissent contre les cheveux d'ébène qu'elle serrait entre ses doigts, danse endiablée qui ne cesse entre leurs lèvres, la température qui s'échauffe. Moi aussi j'en ai envie, peut-être qu'on regrettera ou peut-être pas, mais pour le moment, j'veux juste qu'on se laisse aller. Mots qui s'échappent comme un souffle contre ses lèvres. Peut-être qu'il était facile de jouer l'ange, mais certain soir, comme celui-ci, la diablesse se réveille.
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