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Need to let go 
with @Astrid Appleby and @Evie Sharpe 
warning : aucun pour le moment 
the 27.06.2022 
Summer camp, Caire Cette fois-ci, c'est la bonne. Cette été, tu comptes reprendre le dessus, laisser la routine de coté et faire ce que t'as toujours aimé faire; découvrir, apprendre davantage. Alors, tu ne perds pas une seule seconde pour te lancer dans les différentes activités qui vous sont proposées. T'as quand même pris le temps de dormir après la soirée d'accueil de la veille mais tu finis par ouvrir les yeux et dès le repas du matin terminé, tu fonces vers l'activité: une visite de la tour de Caire. Tu te tiens devant celle-ci, pensant à être prête à y entrer. Mais au final, en regardant tout en haut, tu te dis que c'est bien haut ce truc. Et t'es plus trop certaine de vouloir y aller. Pourtant, y'a quelques années, tu aurais foncé tête baissée. Qu'est-ce qui t'arrives pour que tu te mettes des limites comme celle-là?
(Invité)
Depuis le temps qu'elle attend des vacances, elle est enfin heureuse de pouvoir profiter du summer camp. Les problèmes familiaux se sont accumulés ces derniers temps donc elle a besoin de souffler un peu, de profiter du soleil et des activités organisées par l'université. Elle a passé pas mal de temps auprès de ses ami.e.s mais elle a aussi besoin de se retrouver seule pour faire de nouvelles rencontres. Aujourd'hui elle compte visiter la tour du Caire, elle a fait ses choix dans le programme donné par l'université : tellement d'activités et peu de temps pour les faire alors elle est bien forcée de faire son choix. Devant la tour elle tombe nez à nez avec une jeune femme qu'elle est persuadée avoir déjà rencontré quelques fois sur le campus sans jamais lui adresser la parole. — Peur du vide ? qu'elle l'aborde avec un grand sourire, parce que la tour s'élève particulièrement haut et ça doit être assez déstabilisant de se retrouver au sommet. — On y va ensemble si tu veux. Enfin ... sauf si tu attends quelqu'un.
Elle a l'habitude de toujours foncer tête baissée, astrid. Dépourvue de timidité elle aborde la jeune femme comme si elles étaient amies de longue date alors qu'elle n'a aucune idée de son identité. Mais elle est venue visiter la tour toute seule, ce qui semble être le cas de son interlocutrice donc autant faire connaissance. Ça sera plus amusant de visiter toutes les deux tout en papotant pour apprendre à se connaître. — Normalement ? ça veut dire qu'actuellement, face à cette tour, elle avait le vertige ? Astrid fronce les sourcils puis hausse les épaules avec désinvolture. Elle décide surtout de ne retenir que la réponse négative de la jeune femme : non, elle n'a pas le vertige. Tant pis pour le normalement. — Oh mais tu ne m'embêtes pas ! Une jolie fille ne m'embête jamais ! un petit clin d'oeil pour appuyer ses propos et la voilà qu'elle glisse son bras autour de celui de la jeune femme pour l'entraîner vers la tour. — Moi, c'est Astrid ! T'es à Harvard toi aussi ? moulin à paroles.