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Les originesécossaises, irlandaises, anglaises, latines (espagnoles), américaines et allemandes
feat. ben barnes
le 19 septembre 1988 à New York (Queens)
américaine
en couple (fiancé) à Zane Wolford officieusement, célibataire officiellement. bisexuel non assumé
assistant dans une galerie d'arts, un domaine loin de mes compétences
de moins en moins pauvre
Le caractère
(fidèle & loyal) quand on a une famille comme la mienne, pas le choix que de se serrer les coudes. un père qui se barre, la mère qui s'occupe pas de nous. j'ai du prendre la charge des deux petits assez rapidement, ne laissant que peu d'occasion de profiter d'une adolescence idéale. › (secret & mystérieux) pas grand bavard quand il s'agit de parler de moi. disons que j'aime plutôt relancer une discussion en lançant la balle à l'autre. pas tellement envie de raconter l'histoire désastreuse de ma vie, entre la famille loin d'être parfaite et l'absence d'aventure, rendant ma vie presque ennuyante. › (sérieux & irréprochable) je sais les engagements que j'ai et je fais tout pour garder les jobs dans lesquels je suis embauché. n'importe qui peut dire que si on tente de me m'embarquer dans des délires, je refuse à 99,9% du temps. › (sentimental & attachant) le mec gentil dans une certaine mesure. Toujours en train de tenter de contenter tout le monde, il m'est assez difficile de résister parfois. L'attachement arrive rapidement auprès des filles que j'ai pu fréquenter, faisant de moi un cœur d'artichaut. Seulement, dans une relation, il faut se livrer un minimum, chose que j'ai encore du mal à faire... difficile donc de construire quoi que ce soit, et ça finit bien trop souvent avec deux cœurs brisés.
Les anecdotes
- ( 01 ) dix ans de solitude, c'est la vie que j'ai mené, avant que mes parents ne décident d'avoir d'autres enfants. Disons que c'est le temps qu'il a fallu surtout à ma mère pour comprendre que sa carrière ne décollerait jamais. Nicola est arrivée puis Kobe. La prunelle de mes yeux, et je les aime plus que tout au monde. Leur bonheur est passé bien longtemps avant le mien... et encore aujourd'hui.
- ( 02 ) j'ai quinze ans quand la porte d'entrée claque. Des cris de colère, tristesse, désespoir qui remplissaient l'appartement new yorkais dans lequel on vivait à l'époque. Mon père venait de lâcher l'affaire. Une femme alcoolique, droguée qui ne ferait rien d'autre de sa vie, c'était pas pour lui. Alors il s'est barré, nous laissant tous les trois et notre ivrogne de mère. Je lui en ai voulu de m'avoir balancé ce fardeau, encore aujourd'hui d'ailleurs. Parce que c'était pas elle qui allait s'occuper des petits, de Nico et Kobe. C'était moi. J'avais quinze ans et je venais de devenir le chef de famille
- ( 03 ) Difficile de ramener de l'argent à quinze ans, surtout dans la légalité. Alors je commence à chercher dans l'illégal. Premier job, celui de guetteur. Je m'assurais que le groupe qui m'avait pris sous son aile ne se fasse pas choper. C'est à peu près un an après que j'ai commencé à dealer. L'argent rentrait plus facilement et on pouvait manger un peu mieux, et même faire quelques sorties de famille. S'il fallait payer des cours de soutien, alors je faisais en sorte de travailler plus, histoire que les petits aient une chance de grandir dans les meilleures conditions.
- ( 04 ) avoir un grand frère c'est bien, mais le traumatisme d'une mère qui n'est que l'ombre d'elle-même, il reste. On vit avec, aussi bien les deux plus petits que moi-même. Honteux de la baraque dans laquelle on vivait, personne ne venait y foutre les pieds. Pas même la première copine, comme la bande de potes. Les révisions pour le diplôme de fin de lycée étaient pas vraiment mes priorités non plus. Alors impossible de le décrocher. Cette vie était loin d'être celle que je souhaitais. Mais quand je les ai tous vu se barrer aux quatre coins du pays, je me suis résigné. Tant que les petits auront pas leur vie de rêve, je me plierai en quatre pour eux, quitte à me sacrifier.
- ( 05 ) la guitare, c'était mon échappatoire. Posé dans le canapé lors de mes quelques heures de repos, je grattais les cordes en poussant la chansonnette. J'avais peut-être un don, qui sait, mais aucunement l'opportunité de l'exploiter. Alors je me contente de transmettre ça à Kobe, qui devient un artiste à part entière. J'étais fier, évidemment. Je voulais qu'il reste épanoui dans ce qu'il faisait et il semble bien parti
- ( 06 ) énième coma éthylique, alors on fout la mère dehors, et on appelle anonymement les secours pour la laisser se démerder avec ses conneries. Mais on le savait pertinemment qu'elle allait nous reprocher de pas l'aider pour les factures. Après tout, c'était de notre faute tout ça, si elle n'avait pas réussi, si elle n'était qu'une ratée. Si on avait pas été là, elle aurait pu être la grande star de Broadway qu'elle avait toujours rêvé d'être.
- ( 07 ) quatre, c'est le nombre de boulot que j'ai pu avoir en même temps, quand on est arrivés à Boston. Nico a été acceptée à Harvard et c'était à trois qu'on avait décidé de bouger. Comme la promesse de ne jamais se laisser tomber. Les marques ont pas été facile à prendre mais finalement, au bout de quelques mois, on a réussi à gérer. C'était le début d'une nouvelle vie.
- ( 08 ) c'est en bougeant à Boston que j'ai pu me défaire des jobs illégaux que je pouvais faire occasionnellement, étant resté plusieurs années à la botte d'un gang, sans trop m'y mêler. Celui qui savait mais sans savoir réellement à qui il avait à faire. Ça m'arrangeait pas mal, finalement, de ne pas être monté en grade, de ne pas me faire tuer en quittant la ville. Enfin c'était ce que je pensais, puisqu'ils m'avaient retrouvé. Un petit message laissé dans la boite aux lettres, indiquant que je devais rester à dispo si jamais. Feuille roulée en boule avant d'être jetée par la colère qui m'animait sur le moment. Quelle connerie j'ai pu faire. Quelle naïveté que croire que je pouvais m'en échapper.
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<div class="card-user-bottin-idwbya"><idwbya class="text-s-bebas text-upper">ben barnes</idwbya><span class="c-uno text-upper text-bold">@"ryogan rockefeller"</span></div>
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