TW | Star collision | Manex

Tu te joues de lui, demoiselle provocante qui ne caresse pas toujours son égo. Tu t'en amuses, trouvant des petites failles pour le provoquer et le forcer à penser à toi et surtout à te désirer. Tu ne lui as pas encore cédée, mais alors qu'il te réponds, tu te doutes bien qu'aujourd'hui, il n'y aura pas de retour arrière. Il veut te faire comprendre qu'il sait y faire avec les femmes, qu'il peut les charmer et les satisfaires. Mais toi, tu ne te considères pas comme les autres, t'aimes pas ce principe de comparaison, bien qu'il pourrait te reprocher la même chose. Certains te nommes filles facile parce que t'aimes le plaisir charnel, que tu ne cherches pas des histoires d'amours, juste du plaisirs dans tes relations. T'es bien loin de te soucier de blesser un coeur qui pourrait battre pour toi, parce que le tien, il ne bat pas pour une quelconque personne. T'as cru, un bref instant ressentir un petit quelque chose en plus pour Asmodée, mais les gestes et les mots t'ont bien fait comprendre que ce n'était rien. Tu n'es pas de ses filles naìves qui succombent si facilement à des beaux yeux, qui s'amourachent aux premiers regard et qui deviennent dépendante en un rien de temps. Tu tiens à ta liberté fraichement retrouvée après des mois de contrôles par ton paternel, ce n'est pas pour t'affubler d'histoire d'amour et c'est cela qui te plait avec Manny, parce que tu sais que rien n'est possible, que tu n'as rien a espéré et que lui, il n'espérera rien de toi. C'est juste un jeu. Un jeu dans lequel tu prends réellement du plaisir alors que tu regarde l'heure sur ton téléphone. Quinze minutes. Tu le sais déjà s'il a une seule seconde de retard, tu le laissera se heurter à une porte close. Parce qu'il faut bien le provoquer, lui faire assumer ses délais et t'avoue que ça te ferait bien rire qu'il se pointe juste quelque seconde trop tard.

Mais non.

La sonnette retentit. Tu sais déjà que c'est lui. Elio est en Italie, Arès dans un vol et Braden... T'en sais rien en fait, mais il doit être pas mal occupé parce que vous avez pas trop parlé dernièrement. Mais ça serait une drôle de coïncidence que quelqu'un rapplique pour lui maintenant. Tu passes ta main dans tes mèches bleues pour donnée une petit côté sauvage à ta coiffure et tu viens lui ouvrir la porte. Un sourire sur les lèvres, tu le détailles du regard, amusée, le laissant également prendre connaissance de ta tenue... Qui se résume au final à un mini short noir et un débardeur blanc laissant voir une bonne partie de ton ventre. "Oui ? C'est pour quoi ?" Lances-tu alors l'air de rien, t'appuyant un peu contre le chambrole de la porte d'entrée. "Si c'est pour démarchages, je ne suis pas intéressée." Tu gardes ton sourire sur les lèvres, te délectant réellement de la situation tout en le détaillant. Faut dire qu'il est vraiment bien foutu et il le sait.

Il ne pipe pas un mot malgré ta petite provocation alors même que tu viens seulement d'ouvrir la porte sans l'invité à entrer dans la villa. Tu l'observes, le détail, ressent cette attirance entre vous, cette envie de le toucher, de l'avoir contre toi. Pourtant tu te fais violences, jouant les naïves alors qu'il s'approche de toi, sans rien dire, te soulevant comme si tu ne pesais rien. Musculature que tu sens se tendre à ton contact. Tu ne l'as pas encore vu en détail, son torse, mais tu le sens maintenant, sa force, ses muscles. Tu t'agrippes à lui et dans un mouvement soudaine, tu arrives à claquer la porte derrière vous alors même que tes pieds ne touchent plus le sol. Agrippée à lui, tes bras et jambes autour de lui t'esquisses un sourire en entendant son ordre. Ce besoin qu'il a de toi, cette envie que vous partager tout les deux. Alors taquine, tu poses tes lèvres sur la peau de sa gorge, baiser volatile qui se transforme en légère morsure pour le faire réagir, pour rougir un peu sa peau sans pour autant laisser les marques de tes canines. "Première à droite en haut des escaliers." murmure-tu alors, tes doigts glissant déjà dans ses cheveux. T'as envie de lui, alors tu ne te fais pas prier, alors même qu'il te porte jusqu'à ta chambre pour déjà laisser tes lèvres gouter à sa peau. Baiser qui s'enchaine sur son cou remontant vers son visage, remontant le long de sa mâchoire vers son oreille.

Tu te délectes de sa peau. Saveur enivrante alors qu'il te pose sur ton lit. Porte close derrière vous pour éviter tout œil curieux de s'aventurer entre vous. Pour une fois que c'est toi la fille qui va crier de plaisir entre les murs de cette villa. Tes doigts malmènes ses mèches ébènes tandis que déjà il te retire un vêtement. Appétit sexuel dévorant. Il te mord à son tour, te forçant à réagir d'un gémissement suave. Tu te redresses sur tes coudes quand il te délaisse un instant pour retirer son haut. Regard avide de sa musculature, tu te mords la lèvre inférieure pour retenir un compliment à son égard. T'as décidé de le provoquer, pas de l'amadouer alors tu taire ce genre de mot qui pourrait franchir tes lèvres.

Il tente alors de se jeter des fleurs, te laissant entendre sa provocation, qui t'arrache un petit sourire. Tu le sais déjà, mais tu ne vas pas le reconnaître. Oh non, tu ne vas pas lui faire ce plaisir, pas tout de suite. Tu te bouges alors un peu, pour passer tes jambes une nouvelles fois autour de lui et l'attirer sur toi, collant ainsi ton bassin contre le sien. "Tu parles trop." Balances tu alors avant de cueillir ses lèvres pour un baiser passionner tandis que tes doigts découvrent alors enfin pour de vrai son torse. Touché avide en de sensuelle caresse alors que tu viens chatouiller le bouton de son pantalon pour le faire sauter rapidement et pouvoir, un peu le libérer. Tes mains se glisse alors sous son pantalon, mais également sous son boxer pour venir caresser ses demi-lunes, appréciant la fermeté de celle-ci.