Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywe need to talk. (edie)
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


we need to talk. (edie)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu as demandé à Edie de te laisser une chance. Tu sais que c'est vague comme proposition. C'était surtout pour gagner du temps parce que tu ne savais pas quoi faire. En temps normal, quand un fille aborde un sujet trop sérieux, ce que tu fais, c'est que tu l'embrasses. Tu mets un terme à la conversation pour agir. Ton charme, le sexe pour meilleures armes. Sauf qu'il est question d'Edie donc, tu ne peux pas agir de cette façon. Déjà, parce que tu as beaucoup trop de respect pour elle. Ensuite, parce qu'elle connait déjà toutes tes tactiques étant donné que tu les as déjà utilisé sur elle à l'époque. Edie, c'est pas seulement la mère de ta fille ou une ex lambda qui disparait progressivement dans le tableau. Elle est beaucoup plus que ça à tes yeux et, si tu le savais déjà avant l'accident, ça s'est amplifié par la suite. Elle est ta meilleure amie, ta confidente, celle qui te sort toujours de la galère. Elle est ta bouée de secours et la personne qui te guide malgré elle dans la vie. T'as pas franchement réfléchi. T'as juste fait en sorte qu'elle parte en vacances avec toi, comme tous les ans. C'est une tradition à laquelle tu tiens réellement et tu n'es pas prêt à tirer un trait dessus. Tu sais qu'avant de partir, il faut que tu clarifies certaines choses et tu ne peux pas le faire quand vous vous voyez pour Louise. Du coup, t'en profites que la petite est encore à l'école pour intercepter la belle à la sortie du boulot. T'es sur le parking du zoo, attendant avec impatience et appréhension qu'elle pointe le bout de son nez. @Edie Reuben
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

La dernière discussion que tu as eue avec Elias est tendance devenue presque quotidienne. Il faut dire que cela fait plusieurs jours que vous ne vous êtes pas vus en chair et en os et ce soit sa semaine avec Louise tombait à point nommé. Des jours que tu jongles entre la rééducation de ton bras gauche et la reprise douce mais certaine de ton travail au sein du complexe aquatique. Cela t'avait manqué, d'une part parce cela t'occupe l'esprit mais surtout parce c'est une passion vivifiante de prendre soin de tes petites loutres. Elles ont été particulièrement heureuse de te retrouver à ton retour. La soigneuse ayant repris le relais pendant le temps de ta convalescence avait fait du bon boulot même si elle t'avait avoué qu'elle était heureuse de te revoir. C'est vrai que d'occuper des petits reptiles était bien différents que les loutres. C'est sur cette pensée que se finit ta journée, un rire étirant franchement tes lippes. Les traits de ton visage portent encore des signes de fatigue tout comme les cernes qui finiront par disparaître avec un eu de chance. Tu salues d'un petit geste de la main tes collègues avant de franchir les portes d'entrée du centre aquatique. Ton cellulaire vibre tel un bourdon dans ton sac de sport et te te mets à le chercher activement. Un message de Jill qui te demande si tu peux lui ramener des macarons avant de rentrer. Ton sourire demeure encore à la commissure de tes lèvres tandis que tu commences à lui répondre puis envoie le message. Tu ranges ton téléphone portant ton regard vers le ciel bleu de Boston. Quelques nuages d'un blanc cotonneux, agréable et chaud qui caresse ton visage. Tu commences à marcher afin d'emprunter le chemin du retour car depuis ton accident tu peines à user des transports en commun ou encore de la voiture. C'est alors que tu remarques un véhicule que tu ne connais que trop bien … Et ce n'est plus une simple coïncidence lorsque tu croises le regard du jeune Wertheimer. Tu fronces les sourcils, un brin hésitante à l'idée de savoir pourquoi il est présent à la sortie de ton boulot. Tu t'avances vers lui, l'expression faciale calme avant de l’interroger. « Elias … pourquoi tu es là ? Il y a un problème avec Louise ?! ».
@Elias Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il fallait que tu aies une conversation. Une conversation avec Maeve, qui t'avait avoué que sa rupture était, en partie, ta faute puisqu'elle avait pris conscience des sentiments qu'elle avait à ton égard. Mais, il fallait aussi que tu aies une conversation avec Edie qui, de son côté, t'avait récemment expliqué qu'elle avait pris ses distances quelques mois auparavant pour une bonne raison. En effet, la jeune femme avait voulu s'effacer du tableau alors que tu sortais depuis peu avec la jolie Poppy. Poppy t'avait finalement largué parce que tu t'étais montré un peu trop proche de Maeve et que le sort d'Edie, à l'hôpital, te préoccupait plus que sa grossesse. Soit, dans ta tête, c'était encore plus compliqué ce jour. T'aurais pu et surement du, les éviter toutes les deux. Prendre du temps pour toi et réfléchir à ce que tu souhaitais faire. Il ne pouvait pas les laisser miroiter indéfiniment, pas elles. Pas Edie qui, mignonne comme elle est, avait décidé de se préoccuper une fois de plus du sort des autres plus que son propre avenir. Tu sais qu'elle masquerait facilement ses sentiments pour laisser la place à une autre si tu lui expliquais ce qu'il se passait de ton côté. C'est bien pour cette raison que tu ne disais rien. Mais tu lui devais la vérité malgré tout. Ce soir, peu avant la sortie d'école, tu rejoignais la belle devait le zoo. Tu savais pertinemment qu'elle quittait plus tôt parce qu'elle reprenait doucement le chemin du travail. Surprise de te voir, tu te détachais de la voiture pour aller à sa rencontre. Elle qui semblait rayonner quelques minutes plus tôt, s'éteint doucement lorsqu'elle t'aperçut. C'est à cet instant que tu as commencé à douter. Est-ce que c'était une bonne idée d'être venue ? Pouvait-elle réellement être heureuse à tes côtés ? Tu ne laissais rien paraitre. Ton sourire charmeur toujours collé sur les lèvres, peu importe les circonstances. Non t'en fais pas, Louise va bien. Enfin, elle est encore à l'école. Du coup, tu n'en sais trop rien. Mais si aucun de vous n'a reçu de coup de téléphone, c'est que tout va bien. Je suis venue te chercher. J'espère que ça ne te dérange pas. Tu sais à quel point j'aime bouleverser tes plans ! Phrase qui s'accompagne d'un clin d'oeil. Edie a toujours aimé tout contrôler et le fait est que tu apparais comme une tâche dans le tableau que représentait cette journée. Ça a été le boulot ? Mains qui se collent automatiquement dans les poches comme pour ne pas te montrer trop proche de la demoiselle, par réflexe encore une fois. @Edie Reuben
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aucun doute que l’aîné des Wertheimer n'a jamais cessé de te surprendre et il n'a pas fini – une pensée dont tu es certaine. Quelque peu prise de cours par sa présence sur le parking de ton boulot, il semblait t'attendre depuis plusieurs minutes et il avait finit par te trouver. Tu te souviens qu'il t'avait dit que vous aviez besoin de discuter … mais tu ne pensais pas qu'il oserait te coincer à la sortie du complexe aquatique où tu avais repris le boulot. Tout de suite, tu songes à Louise peut être qu'il s'est passé quelque chose et c'est pourquoi lorsqu'il vient à ta rencontre tu lui poses directement la question. Sa réponse te permets de respirer plus sereinement et le soupire qui s’échappe discrètement d'entre tes lèvres en est témoin. Tu passes une main dans tes mèches ondulées encore quelque peu humide par la douche que tu venais de prendre. Sa réplique arrête instinctivement ton geste et tu laisses retomber ta main tout en fronçant légèrement les sourcils. Ce n'est pas vraiment une interrogation mais plutot une assertion et la dernière partie de sa tirade t'arrache un petit rictus amusé, naturel. Ouais, c'est certain que le jeune homme avait un don pour bouleverser tes plans et ton myocarde par la même occasion. « Me chercher ? ». Une interrogation que tu accompagnes d'une petit geste à savoir celui de te pencher légèrement sur le coté pour regarder sa voiture. Depuis ton accident tu as un problème avec les véhicules en tout genre, tu ne prends même plus les transports en commun c'est pour dire … Il t'avise d'un clin d’œil dont il a le secret. Tu prends une petite inspiration tout te dirigeant vers la voiture, sachant que tu allais devoir faire face à tes peurs et aussi à cette discussion que tu redoutais intérieurement … Elias te demande alors comment cela se passe au boulot et tu remarques qu'il glisse les mains tout de suite dans ses poches comme pour maîtriser ses gestes. « Bien, même très bien … je suis contente … ça me permet de retrouver certains repaires, de penser à autre chose on va dire ... ». Bien évidement, tu devais y aller tout doucement , au rythme de ta rééducation pour ne pas gâcher tes chances de retrouver l'entière motricité de ton bras gauche … ce qui pourrait remettre tes perspectives professionnelles en question. Une fois devant la voiture, tu en ouvres la portière coté passager prenant sur toi, ne laissant rien paraître de ton anxiété intérieure … « C'est gentil à toi d'être passé me chercher pour me ramener … mais tu n'étais pas obligé tu sais ... ».
@Elias Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Edie semble on ne peut plus surprise de te voir ici et, tu l'es tout autant. Tu te demandes si c'est une bonne idée. Peut-être que tu aurais du écouter Zhenya et t'éloigner des filles pendant quelque temps voire, jusqu'à la fin de tes jours parce que tu n'es pas un mec bien contrairement à ce qu'elles pourraient croire. Sauf que tu la vois arriver au loin, avec ses cheveux humides et son regard qui se tourne instinctivement vers le sol, comme gênée de te voir. Cette image te fait sourire et tu te dis finalement que tu as fait le bon choix parce que quoiqu'il arrive, il faut que vous aillez une discussion à un moment donné. Comme toujours, tu t'es tu face à ses dires, essayant de trouver un échappatoire mais tu ne peux pas agir comme ça éternellement. Vous avez une fille ensemble, vous serez amenés à vous fréquenter pendant des années encore. Elle semble étonnée de te voir ici, chercher même à savoir s'il ne s'agit pas d'une supercherie comme Louise va bien. Bah oui. Qu'est-ce que tu veux que je sois venu faire ici autrement ? Kidnapper une girafe ? Un bébé phoque ? Tu hausses les épaules et esquives un sourire pour tenter de faire retomber la pression et la mettre un peu plus à l'aise. Mains dans les poches, tu marches vers la voiture en lui demandant comment se passe la reprise, comme pour éviter un sujet qui fâche. Tu n'as pas envie de rentrer dans le vif du sujet, tu veux savoir comment elle va d'abord. Je vois... Je suis vraiment content si ça se passe bien pour toi. Et puis, quand vous arrivez près de la voiture, tu la sens nerveuse et tu te sens complètement con de ne pas y avoir pensé plus tôt. Tu grimaces, juges intérieurement avant de t'éclaircir la voix pour la ramener à la réalité et lui proposer une alternative : Tu sais quoi ? J'ai une meilleure idée ! On va marcher. J'ai envie d'un glace, pas toi ? Tu claques la portière que tu avais ouvert auparavant avant de contourner la voiture pour la retrouver, ignorant totalement ses dernières paroles que tu trouves stupides. En plus, ça va nous donner l'occasion de discuter un peu, rien que tous les deux. Parce que les petites oreilles de Louise trainent souvent ces derniers temps. @Edie Reuben
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Déconcertée, tu l'es par sa présence à laquelle tu ne t'attendais pas. Tout de suite, tu songes quelque chose est arrivée à ta petite puce et instinctivement que tu lui poses la question. Ses propos t'apaisent dans la foulée et le soulagement libère le nœud d'anxiété qui a commencé à se former dans le creux de ton ventre. La dernière partie de sa phrase t'arrache un ricanement amusé et tu secoues la tête tout en commençant à avancer en direction de sa voiture garé à quelques mètres seulement. Il en profite pour prendre des nouvelles de ta reprise au travail et tu te montres honnête avec lui. Reprendre le boulot te permet de ne pas songer au quotidien, reprendre également un semblant de vie normale même si tout à changé pour toi depuis ton accident. La preuve lorsqu'une crise d'angoisse commence à pointer le bout de son nez alors que tu t'apprêtes à monter à l'intérieur du véhicule. Tu tentes d'apprivoiser les battements de cœur que tu peines à coordonnées, de tempérer l'agitation d'angoisse qui s'éveille doucement mais certainement. La voix d’Élias  te rappelle alors à l'ordre tandis qu'il lance l'idée de marcher un peu et pourquoi pas d'aller manger une glace. Ta mémoire se remémore alors ces nombreux instants au début de votre relation. Au tout début, tu étais réticente à lui laisser le libre accès à ton myocarde que tu as toujours protégé d'une poigne de fer dans un gant de velours. Il ne cessait de se montrer tenace au possible et tout tu disais toujours non. Il avait appris par l'une de tes amies que tu mangeais souvent une glace pas loin du campus et il te retrouvait là, toujours aussi insistant. En y repensant cela te fait sourire et tu secoues une énième fois la tête pour balayer ses souvenirs de ton esprit. Tu serres fortement la poignet de la portière de la voiture car tu appréhendes un peu – pour ne pas dire beaucoup – votre prochaine discussion. Il te rejoint en quelques minutes et renforce son idée de marcher un peu par le prétexte véridique que vous n'avez discutés, rien que tous les deux depuis un moment. Tu finis par lâcher la portière et t'éloigne de quelques pas, passant une main dans tes mèches brunes encore humides. « D'accord ... » ; Ton timbre de voix est calme et sincère même s'il subsiste l'idée d'une assurance qui manque à l'appel. Vous marchez depuis quelques minutes sur le trottoir menant au centre du quartier et tu décides de faire rebondir la conversation. « Alors … de quoi tu voulais que l'on discute ? ». Ton regard est perdue sur le bord du rivage où les vagues dansent à l'unisson sur le sable. Tu prends soin d'éviter l'azur de tes iris, un atout de charme chez le Wertheimer et cela il ne le sait que trop bien.
@Elias Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'as toujours été un mec plein de surprises. Dans le bon comme dans le mauvais terme d'ailleurs. Ouais, t'étais le genre de petit-ami qui tombait à l'époque et on pouvait t'apercevoir avec une autre fille et tu pouvais être amené à mentir aussi, même si t'étais pas doué dans le domaine la plupart du temps. Mais, tu savais aussi mettre le paquet quand il le fallait. A de nombreuses reprises, t'as fait des surprises à Louise qui avait des paillettes dans les yeux. Quand on t'attendait le moins, tu apparaissais tel un super-héros et tu faisais toujours en sorte qu'il se passe un truc auquel on ne s'attendait pas. Tu l'as souvent montré à Poppy et aujourd'hui, c'est Edie que tu surprend en venant la chercher sur son lieu de travail pour passer un moment avec elle et pouvoir discuter. Non, il ne s'agissait en rien de votre fille, tu lui aurais surement passé un coup de fil avant s'il s'était produit quelque chose de grave sinon, t'aurais attendu qu'elle soit chez elle pour ne pas l'inquiéter. En et parlant d'inquiétude, tu peux la lire sur son visage quand vous vous approchez de la voiture. Tu vois qu'elle n'est pas encore tout à fait à l'aise avec ce moyen de locomotion alors, tu décides de faire diversion. Tu lui proposes de se balader, d'aller chercher une glace, rien de plus banal, surtout pour vous. Tu espérais que ça lui rappelle quelques souvenirs par la même occasion, qu'elle se remémore à quel point tu pouvais être casse couille, c'est vrai. T'étais plus déterminé que jamais à l'époque, tu savais exactement ce que tu voulais. C'était elle. Et t'avais fini par l'avoir, avant de lui briser le coeur, comme les autres avant et après ! Bah... de nous. De ce que t'as pu me dire la dernière fois, de ce que je t'ai dit. Des vacances. De Louise. De tout quoi... Parce que vous ne discutez plus beaucoup tous les deux et tu n'arrives plus à savoir ce qu'on attend de toi. Faut que je te dise un truc... Je suis peut-être un bon papa mais, je crois que je serais jamais un bon copain... Tu baisses la tête et observes tes pieds un instant avant de prendre une grande inspiration et de poursuivre. J'ai fini par détester le caractère de Poppy. Je détestais ses crises de jalousie... Je détestais le fait qu'elle demande de l'attention alors que t'étais à l'hôpital et que je ne pensais qu'à toi... Je voulais me concentrer sur Louise mais, elle voyais bien à quel point j'étais stressé et il m'est arrivé de lui crier dessus parce qu'elle me faisait des colères pour que tu te réveilles... Tous ces souvenirs, tu préférerais les oublier. Tu passes une main derrière ta nuque, cherchant le courage de poursuivre. Je l'ai trompé... C'est arrivé qu'une fois. Je sais même pas si j'en avais envie en fait. Ça faisait des mois qu'on avait rien fait avec Pop's et la tension... bref, je l'ai fait. Et j'ai plus envie d'être ce mec. Ce connard que tu étais autrefois, qui avait disparu et qui semble réapparaitre petit à petit, comme si tu essayais de te protéger par la même occasion. @Edie Reuben
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le jeune Wertheimer te prend totalement au dépourvu lorsque tu le vois appuyé contre le devant de sa voiture, les mains dans les poches, l'air totalement à l'aise dans son environnement. Une attitude qui lui colle à la peau depuis que tu le connais mais surtout une aisance avec la communication. Il a toujours été ton parfait opposé. Une aisance avec autrui, une assurance qu'il gère en toutes situations même si parfois il doute de lui, de ses capacités. Dans ces moments là, tu ne te prives aucunement pour le lui rappeler mais si parfois tu dois te montrer un brin cavalière. Alors oui, sa venue imprévue te surprend et l'effet escompté semble le ravir alors que vous vous avancez l'un vers l'autre. Tout de suite, tu penses que cela concerne votre fille mais Elias t'assure que ce n'est pas le cas. Il est honnête et te confie qu'il avait besoin de passer un moment avec le temps – histoire de discuter un peu. Ta crise d'angoisse pointe le bout de son nez alors que tu t'apprêtes à ouvrir la portière de la voiture mais là encore, il use d'une diversion en te proposant d'aller manger une glace, comme autrefois. Un souvenir vecteur de positivité lorsque tu y songes. Tu acquiesces et vous vous mettez en marche d'un pas tranquille en direction du centre ville. Quelques minutes plus tard, tu oses finalement prendre les devants tout en lui demandant de quoi il désirait te parler. Bien évidement, tu évites de croiser le bleu si rare de ses iris alors qu'il mentionne le besoin de parler de vous. Intérieurement, tu t'y attendais autant que tu pouvais le redouter mais cela tu en était pleinement consciente, peu importe la tournure que prendrait votre discussion. Tu hoches la tête lentement tout l'écoutant avec attention. Tu n'es guère étonné de la première tonalité de son discours, il ne cesse de le répéter. Sa seconde tirade est en revanche teinté de véracité qu'il semble émettre à haute voix pour la première fois. Tu entends chacune de ses paroles où la lutte de la dualité le fatigue entre réalité et espérance.  Au fur et à mesure de ses paroles, votre rythme de marche ralenti et tu finis par t'arrêter pour l'observer enfin dans les yeux même s'il a le regard figé sur le macadam où subsistent quelques granulés de sable fin. « Elias … jamais je ne pourrais te demander d'être une autre personne que celle que tu es actuellement …Tu penses peut être que je ne vois que le meilleur de toi mais tu te trompes. J'y vois le bon comme le mauvais car on a tous un bon et un mauvais coté, moi y compris. ». En effet, ta tolérance était d'une humanité rare, certes mais tu n'étais naïve pour autant. Et cela, tu voulais qu'il l'entende également. « Je suis désolé pour l'accident, vraiment. Je ne voulais et en veux pas te causer du tord, te blesser, tu ne le mérites pas du tout. Lorsque j'étais dans le coma, nombre de choses ont défilés, des voix entendus, des sons perçus et des flashbacks qui ne cessent de revenir en trombe … je ne voulais pas me réveiller mais je le devais pour Louise, ma famille, mes proches mais aussi pour te dire ce que je t'ai dit l'autre jour ... ». Ton souffle est court après cette longue phrase et tu passes une main dans tes mèches brunes qui ont séchés depuis le temps. « J'ai des sentiments pour toi … j'y peux rien mais tu ne me dois rien ... ». Tu savais qu'il ne répondrais pas à tes sentiments et tu ne lui en veux pas le moins du monde. Tu comprends tout simplement.
@Elias Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu te dois d'être honnête avec Edie, c'est donc pour cette raison que tu la rejoins aujourd'hui, après son travail, que tu lui annonces qu'il faut que vous parliez. C'est vrai que c'est rare que vous vous retrouviez rien que tous les deux dernièrement alors que vous ayez une conversation, n'en parlons même pas. A croire qu'elle t'évitait et maintenant, tu savais exactement pourquoi. Ses sentiments à ton égard la bousillaient de l'intérieur ou en tout cas, l'éloignaient de toi puisqu'elle avait peur que tu la rejettes, que tu le prennes pas, que tu t'éloignes à ton tour. En fait, tu ne savais pas ce qu'elle s'imaginait tout ce que tu savais, c'était que vous ne pouviez pas rester comme ça. C'était ni bon pour vous, ni pour Louise et votre priorité à tous les deux, c'était bien votre fille. Tu lui proposes donc de marcher un peu, d'aller manger une glace, conscient qu'elle avait encore du mal à prendre la voiture. Tu n'avais pas envie de lui rajouter plus de stress qu'elle n'en avait déjà en ta présence. Après avoir longuement hésité, t'as fini par te lancer. Il fallait que tu lui parles du fait que t'étais un petit-ami médiocre parce que tu n'étais pas certain de pouvoir changé et, elle avait le droit de connaître la vérité. Elle ne pouvait pas continuer à t'idéaliser de la sorte alors que tu pouvais détruire n'importe qui à l'aide de quelques mots, même sans le vouloir. Tu lui expliques donc ta relation avec Poppy. Celle-ci était loin d'être parfaite après réflexion. Tu ne voulais pas d'autres enfants du moins, pas pour le moment. Avec l'accident d'Edie, t'avais fini par découvrir une facette de la personnalité de ta petite-amie que tu ne connaissais pas et que tu détestais. Au final, tu l'avais trompé. Edie avait le droit de savoir que tu étais toujours le même mec qu'avant. Elle prend la parole à son tour. Elle t'explique qu'elle ne voit pas que le bon, qu'elle a conscience de quel connard tu peux être parfois. Elle t'explique aussi qu'elle n'avait pas forcément eu envie de se réveiller de son coma et ça, ça te brise le coeur même si tu essaies de ne pas le montrer. Et finalement, elle parle à nouveau de sentiments tout en plongeant son regard dans le tien. Tu sais que c'est dur pour elle de soutenir ton regard dans un moment comme celui-ci alors, tu gardes tes yeux posés sur elle. Même après tout ce que je viens de te dire, tu ne regrettes pas ? Je veux dire, tu mérites tellement mieux qu'un mec comme ça... C'est pitoyable, vraiment. @Edie Reuben
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nier la vérité de tes sentiments à son égard avait conduit à le faire souffrir parce que tu t'étais éloigné pour ne pas t'imposer. Aujourd'hui, tu avais fait un pas de plus parce que tu lui avais dit la vérité la plus simple certes mais surtout la plus sincère. Le myocarde se heurte en solitaire à la douleur parce que tu a pleinement conscience que c'est un amour qui ne concerne que toi, qu'il ne te rendra pas mais tu continues à attendre. Tu es une idiote où le plus ridicule c'est que tu en as conscience. Tu lui dis ce tu avais besoin de lui dire tout en réitérant le fait qu'il ne te devait rien, strictement rien. En lui avouant tout cela, tu l'as regardé droit dans les yeux mais désormais tu n'en as plus autant la force, et encore moins l'audace. Tu retiens les larmes salées aux coins de tes yeux car tu ne veux pas lui imposer ce qui t'incombe à toi-même. Il n'a pas besoin de le savoir, il souffre assez comme cela et à cause de toi en plus. Tu te contentes secouer la tête, tout en relâchant la main que tu lui tenais un peu plus tôt. « Non … je ne peux pas aller contre ce que je ressens pour toi et je suis pas du genre à regretter mais plutôt à aller de l'avant ... ». Ton timbre de voix est honnête, encré dans la réalité de la philosophie que te colle à la peau depuis que tu es en âge de raisonner. « Tu te vois d'une manière péjorative, Elias … tu es bien plus que ça même si tu ne le vois pas. J'ai des mauvais coté aussi même si tu ne sembles pas les voir. ». Lui dis-tu tout en souriant timidement et reportant ton regard sur le centre ville qui est déjà bien fréquenté à cette heure ci … « Tu sais … la glace tu ferais peut être mieux de la partager avec Lou, elle sera contente de te voir. Ne t'en fais pas … je ferai de mon mieux pour masquer mes sentiments et t'éviter le moindre malaise. ». Encore une fois, tu respectais sa décision et tu en voulais lui causer aucun ennuis à l'avenir.
@Elias Wertheimer
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)