♗L.S.D ▬ Motorsex

Une soirée entre potes, enfin ! Tout ce dont il avait besoin pour oublier un moment ces magouilles avec les filles, presque aussi complexes que les débats politiques auxquels il prenait régulièrement part. Vêtu plus sobrement que d'habitude, jean, basket et chemise noir sous un blouson en cuir, pack de bière à la main, il ne lui faut pas longtemps pour arriver chez William. Au programme, match de foot et picole, une soirée normale entre amis, et pour une fois pas besoin de surveiller tout ce qu'il allait dire. Il frappe à la porte, se passant une main dans les cheveux par réflexe avant de sourire à son ami et de lui serrer la main avec engouement. "Salut vieux. J'ai ramené de la bière." Il lui tend le pack, avant d'entrer dans l'appartement qu'il connaissait plutôt bien pour y être venu plusieurs fois dans le cadre de ce genre de soirée. "Prêt à prendre les paris ?" Bah oui, sinon la soirée rsiquait d'être plate, entre bière et cris masculins contre l'écran plat.

Spoiler:

William E.K. Slader a écrit:

Love Sex Drugs

William entendit Humberto frapper à la porte, il se leva habillé d 'un jeans et d'un marcel blanc on peut dire que se soir il était habillé décontracté. en ouvrant la porte il vit Humberto habiller assez sobrement c'est que n plus ca lui allait bien. Il me tenda la main je la serra comme a mon habitude en me disant: "Salut vieux. J'ai ramené de la bière." Il me tendit le pack que je prit en disant: " Molto Bene... C'est ce qui manquait..." Je le laissa rentrer dans l'appartement après tout il était comme chez lui le nombre de fois où il est venu à l'appartement: "Prêt à prendre les paris ?" Je me suis mis à rire je savais bien qu'il etait toujours à l'appat du gain. Mais le pauvre il perdait a chaque fois. Être face à) un génie pouvait être contraignant. Je lui dit alors: " Tu vas encore prendre une raclé Hum' t'es foutu, mais je prend le paris. Ewan a besoin de fringue. " Je lui tira la langue avant de m'asseoir sur le canapé posant les bieres sur la tables mettant sur la chaines sport. Se soir c'était basket. Les Chicago Bulls contre les Lakers. Ca risqiait d'être sportif. "Alors prêt a perdre? Sinon comment tu vas?"

© Lion-garou from ILH

Le brésilien rit sincèrement. Il faut dire qu'au moins entre homme, il pouvait se permettre de ne pas se cacher derrière son masque froid ou de parfait gentleman, en fonction de la personne se trouvant face à lui. a peine dans l'appartement, il retire son blouson et attrape une bière, en buvant une longue gorgée. C'est vrai qu'il n'était pas trop doué pour les paris sportifs, surtout que comparé au génie de william, il ne pouvait pas retenir toutes les variables de telles suppositions. "A ta place, je crierais pas victoire si vite !" qui sait, peut-être que la chance lui sourirait cette fois. Il ne réagit pas trop à l'évocation de l'enfant de son ami. C'était son choix et contrairement à ce qu'il pouvait faire croire au grand public, il n'avait aucune envie de le juger pour ça. S'installant dans le canapé, il soupire longuement. "Toujours la même routine. J'crois franchement que les filles perdent la tête. Y a pas un jour où j'ai pas droit à un scandale ..." C'est vrai qu'il les enchaînait en ce moment, sans pour autant chercher à les éviter, préférant foncer dans le tas quand on l'attaque que de se faire petit. "Et toi, quoi de neuf ?" Ils n'avaient pas beaucoup eu le temps de se fréquenter en ce moment, la question valait donc le coup d'être posé.

Humberto ne peut s'empêcher de rire à la remarque de son pote avant de prendre une nouvelle gorgée de bière. "Ben écoute j'y peux rien si je suis irrésistible" Et pusi d'un côté, c'est souvent elles qui cherchent les problèmes. Et on sait bien qu'à force de se frotter au feu, on finit par se brûler et parfois assez violemment. Mais il laisse la parole à son ami, souriant à l'évocation de Evannah, une Eliot qu'il avait déjà croisé et qu'il connaissait de ce que Will lui en racontait. "Perso ça me dérangerait pas de la protéger aussi. Y a plein de place chez moi." Il rigole un peu, fidèle à lui-même sur ce point-là même si ce n'est pas au goût de tout le monde. Puis il hoche de la tête quand le sujet devient plus sérieux, ne pouvant pas s'empêcher de laisser filer une petite remarque sur la maison qu'il appréciait le moins sur le campus. "Tu sais, tu pourrais trouver des gens compétents ailleurs que chez les toxicos." Mais bon, son ami connaissait son point de vue sur les Mather et humberto n'était pas prêt de changer. Heureusement, le match commence. Il se redresse, les coudes sur les genoux, pour mieux suivre l'action qui se joue rapidement. Mais assez vite, l'équipe sur laquelle il a misé se fait doubler par l'autre, lui laissant échapper quelques jurons en portugais avant de soupirer. "Sérieux, tu lis dans l'avenir ou quelque chose du genre ?" Pas qu'il était mauvais perdant, mais en fait si.

Humberto lève les yeux au ciel en riant un peu, sa bière à la main. "Non mais je parlais pas de la protéger dans ce sens-là." Autrement dit, il l'aurait bien dans son lit et le ferait sûrement si l'occasion se présentait. Amoureux des femmes, c'était un fait, il n'allait pas dire non à une aussi jolie fille si d'aventure, ils se retrouvaient en tête à tête. Le match suit son cours, sous les injures en portugais du brésilien à chaque fois que son équipe se retrouvait devancer. Il se contente de soupirer sur la courte discussion concernant les mather. Il n'était pas venu celui qui lui ferait changer d'avis sur ses a priori, même si il avait couché avec quelques filles de cette confrérie. Rien d'autre que des jouets pour passer le temps, ni plus ni moins. Mais le match s'achève et en bon mauvais perdant, la pilule est difficile à avaler pour le brésilien. Il boit une gorgée de bière, regardant toujours la télé les sourcils froncés, peu attentif à la réussite de son ami. C'est qu'à la longue, perdre commençait à vraiment l'agacer, surtout que son orgueil gigantesque en prenait un gros coup à chaque fois. "C'est bien qu'est-ce que tu veux que je te dise. Y en a qui ont pas besoin de gagner des paris pour avoir de la thune." Sa fortune était uniquement due à sa famille influente peut-être, il n'en était pas moins fier et une personne blessée est parfois capable de raconter n'importe quoi.

Pas question de réagir à sa remarque. Mauvais joueur, il l'était mais plutôt mourir que de le reconnaître. Surtout devant Willy qui finissait toujours par l'emporter quand il se décidait à faire des paris sportifs avec lui. Mais il ne peut s'empêcher de ricaner un peu, avec son sourire en coin qui lui donnait un air si arrogant. "Perso, j'vois pas pourquoi je m'en passerais. Tant que ça me sert ..." Et la fortune de son brésilien de père l'arrangeait plus que tout dans sa vie remplie d'excès et de dépenses abusives, bien qu'il ait pleinement conscience que seul, il aurait depuis longtemps croulé sous les dettes. D'un trait, il finit sa bière avant de se relever, donnant un petit coup sur l'épaule de Will. "T'en veux une autre ?" Un humberto prêt à rendre service, fallait en profiter.