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Julian Wyatt Andrews ft. Daniel Radcliffe

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Julian Wyatt Andrews
fiche;terminée


C'est le 19 Février 1992 à New-York, que la famille Andrews m'a accueilli dans ses bras, ils m'ont prénommé(e) Julian Wyatt. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en arts plastiques et en musique depuis maintenant 2 ans. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House.

Études
Julian a toujours été fasciné par le dessin. La musique l'inspirait pour ses dessins mais peu à peu, les morceaux de ses groupes favoris et des artistes émergents n'arrivaient plus plus à le satisfaire suffisamment donc il se lança dans la composition de ses propres morceaux, armés seulement d'une guitare et d'un harmonica qui ne quitte jamais la poche de son jean.
Il s'est lancé dans des études d'arts plastiques pour améliorer son coup de crayon. Voulant devenir tatoueur, le jeune brun préfère avoir le trait sûr avant d'encrer la peau de quelqu'un, surtout la sienne.


Caractère
Ayant vécu dans la rue, Julian s'est forgé un caractère de roublard et de tête de con. Il n'est pas facile de le rouler et ceux qui ont essayé se sont retrouvé avec la tête dans les toilettes. Il en a vu des vertes et des pas mûres, c'est un peu le genre de mauvais garçon qu'aucune mère ne veut que sa fille fréquente parce qu'il sait ce qu'il veut, qu'il est un voyou jusqu'au bout des ongles et qu'il est évident qu'il aura une mauvaise influence sur la petite princesse mais il a des principes et ses parents lui ont donné une éducation de riche qu'il retrouve petit à petit.


Everyone Has Their Own Story

Vous savez, la plupart des petites gens pensent que les familles riches n’ont aucun souci à se faire. Tant qu’elles ont de l’argent, rien ne les atteint à part les ragots et les commérages. Les secrets de familles qu’elles s’efforcent de cacher dans les catacombes des maisons que les bruits de courses et les rires d’enfants emplissent, même les petites gens en ont.
Pourtant, vous savez, ces secrets sont les même pour tous : un meurtre, un viol, un hériter qui a mal tourné, une fille qui a épousé un homme ayant une situation moins aisée ou vice-versa, des combines pas très nettes… on retrouve tout ça dans les quartiers mal famés mais c’est juste que chez les riches ça pète plus parce que, justement, ils tombent de leur piédestal avec ces talons d’Achille.

Pour ma part, ma famille n’avait rien à avoir avec les autres rapaces, avares du moindre centime gagné sur le dos de leurs esclaves. Mon père avait bâti son empire de ses propres mains, comme les autres, mais il n’avait pas renié ses origines. Fils de mineurs anglais, Christopher Andrews avait décidé de tenter sa chance aux USA comme tous les jeunes de son âge. Il avait ce petit plus qui le différenciait de ses camarades : son écoute. Il était intelligent, autant que les autres mais il se mettait à la hauteur de ses pairs qu’il emploierait plus tard une fois qu’il serait patron. D’abord coursier pour un journal, il gravit les échelons en ayant les oreilles qui traînaient partout. C’est en tant que chroniqueur qu’il rencontra ma mère. Un accident banal : une tasse de café renversée sur le chemisier et plusieurs tentatives d’excuses maladroites mais qui firent leur effet. Et hop, quelques années plus tard, pendant un mois d’hiver, je sortais le bout de mon nez hors de mon premier nid.
Entre-temps, mon paternel avait réussi à se hisser jusqu’à la place de reporter puis de rédacteur en chef.
Plus tard, après que j’ai appris à marcher et à bafouiller quelques sons incompréhensibles et absolument dégoulinants de bave, mes parents avaient le monde de l’information à leurs pieds. L’un dirigeait son journal comme s’il s’agissait de la Cour des Miracles et l’autre faisait main basse sur le domaine télévisé.
Pour mes 12 ans, tout bascula. On avait pris l’habitude d’aller dans un petit théâtre de quartier, habillés normalement malgré notre niveau de vie, sans la sécurité habituelle. Pour avoir un jour normal, sans nourrice, vêtement griffés et bonnes manières mais la normalité ce n’est pas seulement être comme les autres un jour par an c’est aussi prendre des risques en voulant vivre une vie comme telle. Et ce soir-là, je découvris que toute médaille a un revers.
Je me souviens avoir entendu un homme exiger l’argent de mon père quand nous nous engagions dans une ruelle mal éclairée. Ce dernier le lui avait donné sans broncher, essayant même de négocier le fait qu’il baisse son arme, en vain.
Je me souviens de plusieurs coups de feu, d’avoir eu la vue coupée par la carrure de mon père qui s’effondra sous mes yeux, tout comme ma mère qui s’affaissa comme une poupée de chiffon à mes pieds. Et je restais là, pantois, tandis que leur meurtrier s’enfuyait à toutes jambes. Alors, déconnecté de la réalité, je rentrais à pieds, restais silencieux quant aux questions que l’on me posait et ce pendant plusieurs jours.

C’est le jour où le notaire pénétra dans ma chambre, que la bulle dans laquelle je m’étais enfermé s’effrita au fur et à mesure qu’il m’annonçait que j’allais être placé dans une famille d’accueil et que l’argent de mon héritage serait à la portée de mes tuteurs jusqu’à mes 18 ans si je leur en donnais l’autorisation.
Sans broncher, j’attendis que ces derniers fassent leur apparition quelques jours plus tard. Ils avaient été mal choisis. Derrière leurs allures avenantes se cachaient le pire des vices et je sentais à leurs paroles que ma fortune serait dilapidée en quelques mois…
La nuit même, je m’échappais, avec les codes qui permettaient d’accéder à mon compte.
S’ensuivirent 2 années de galères, de conneries en tout genre et d’apprentissage à la dure de ce qu’était la vraie vie. Pour subvenir à mes besoins, au début je fouillais dans les poubelles et parfois, quelques dames me prenaient en pitié et m’hébergeaient quelques temps mais je ne restais pas bien longtemps, je ne voulais pas être retrouvé par les services sociaux.
Finalement, mon mentor apparut au détour d’une ruelle, en plein milieu d’une course-poursuite avec un boulanger à qui j’avais volé une brioche et quelques viennoiseries. C’était mon anniversaire quand même, j’avais droit à un gâteau de fortune.
Ce gamin, à peine plus âgé que moi m’extirpa du merdier dans lequel je m’étais fourré et s’évertua à me faire découvrir les joies de la Poudre Blanche comme il l’appelait. Je me refusais à y toucher les premiers temps mais bien vite, le fait de la vendre me tentait de plus en plus et j’avais toujours ce vide au fond de moi que je n’arrivais pas à oublier. Alors, de simple dealer de bas-quartier, ma zone s’agrandit et bien vite, je « gouvernais » toute une dizaine de patés de maisons.
A 15 ans, je connaissais toutes les putes et toutes les strip-teaseuses de mon ghetto, j’étais le fournisseur officiel de mes voisins et les nouveaux clients m’étaient directement envoyés pour voir s’ils causeraient des problèmes ou non à mon marché.
C’est comme ça, dans une boîte de nuit, que je rencontrais celle qui deviendrait ma moitié. Malgré mon statut, je continuais à vivre dans la rue. Enfin, plutôt dans un appart miteux mais c’était mieux que de prendre le risque de se faire choper en se pavanant comme un paon.
Au départ, je la considérais comme une de ses ados qui cherche à essayer pour se donner une raison de se détruire. Après tout c’était sa vie, pas la mienne. Mais au fil des semaines et des jours, elle demandait toujours plus et j’augmentais le prix, pensant la décourager, rien n’y faisait. Jusqu’au jour où j’ai refusé de lui vendre sa dose, estimant que ça suffisait. Seulement, allez savoir pourquoi, tandis qu’elle repartait furieuse, un sentiment de culpabilité s’emparait de moi et je me lançais à sa recherche quelques heures plus tard. Je n’ai pas eu de mal à la retrouver mais j’aurais peut-être dû m’y prendre plus tôt pour ne pas la retrouver en pleine overdose. Rapidement, je compris que la came qu’elle avait sifflée n’était pas celle que mes dealers vendaient habituellement mais une merde d’un de mes concurrents. J’aurais pu la laisser crever là, dans sa chambre d’hôtel de fille de riche, et repartir mais elle avait mon âge, son histoire et la vie devant elle. Après avoir réussis par je ne sais quel miracle à la faire revenir sur terre, j'appelais le room-service et m'échappais de la chambre au moment où un employé débarquait. La sauver est l’une des meilleures décisions que j’ai prise et aujourd’hui encore, quand je la vois sortir de sa chambre avec son sourire espiègle, je me réjouis. C’est comme ça, avec une bonne dose d’adrénaline que l’histoire de Billie et Julian démarrait.
Désormais, en attendant que je puisse enfin toucher mon héritage, je continue à dealer pour ne pas me faire entretenir par l’adolescente qui a pris une place énorme dans ma vie. Mais, je me suis lancé dans le dessin, délaissant de plus en plus la vente au point de me tourner totalement vers les tatouages. Seulement ce n’était pas du goût de mon mentor. Après une énième dispute quant à ma retraite, il se retrouva pris dans un règlement de compte et mourut sur le macadam, seul et comme un chien. Il était naît de la même façon, sa mère ne l’avait jamais voulu et il était ce que l’on qualifiait un roublard depuis le temps qu’il vivait dans la rue.
C’est sa mort qui me décida à arrêter totalement mes activités en rapport avec la drogue mais quitter ce milieu n’est pas aisé et je continue à vivre sur le fil du rasoir.
Les années ont passé et c’est armé d’un dermographe que je me suis fait un nouveau nom pour laver celui que la drogue avait sali sans pour autant dévoiler ma véritable identité.

Aujourd’hui, j’ai enfin pu retrouver ce qui me revient de droit et la première chose que j’ai faite c’est de nous acheter, à Billie et moi, un appart à la hauteur de nos moyens tout en restant raisonnables. On a aussi fait une folie, on a adopté notre fidèle Junkee qui nous complète parfaitement. Ce berger allemand suisse est notre bébé, notre confident, notre compagnon de connerie et un peu notre papa à tous les deux. Avec ces dernières années, on a appris que la vie est plus précieuse qu’un ordinateur dernier cri. J’ai aussi décidé de refaire surface dans mon ancien monde : celui des strass et paillettes. Le retour n’est pas facile et avec ce que j’ai gagné pendant mon adolescence, ce que m’avaient laissé mes parents pèse un peu plus dans le compte. Revenir dans un monde qu’on n’aurait pas dû quitter n’est pas facile, même pour quelqu’un de débrouillard comme moi et nos premiers pas à Billie et moi dans cet univers sont toujours aussi maladroits. Elle ne supporte pas ces pimbêches qui me tournent autour tout autant que je me ferais un plaisir d’envoyer à la déchetterie ces princes charmants que je fournissais.
Aujourd'hui, après notre plus monstrueuse dispute, j'ai décidé de mettre ma fierté et mon ego de côté pour la retrouver.



the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Nighty
↬ ÂGE - 22 ans
↬ PAYS/RÉGIONS - Bordeaux
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM Y'a une modératrice qui est de mèche avec une certaine Billie qui se sont liguées contre moi pour que je m'inscrive :P
↬ TES IMPRESSIONS Un peu dur de s'y retrouver pour poster la présentation ^^'
↬ CRÉDIT(S) Citylove, Tumblr et Bazzart
↬ AVATAR - Daniel Radcliffe
↬ SCÉNA' OU PI ? - PI
↬ LE MOT DE LA FIN Je suis faible.

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Félicitations !

Nightyyyyyyyyyyyyyyyy :44: Enfin, te voilà, je commençais à désespérer ! Bref bref, à force de t'avoir parlé du forum, tu as très bien compris et ta fiche est nikel, je te valide donc ! Ahahah ça va être fun de t'avoir parmi nous :D En revanche, n'étant que modératrice, il faudra attendre qu'un admin t'ajoute ta couleur, ça devrait être fait rapidement ! Une fois cela fait, n'oublie pas de recenser ton avatar comme bel et bien pris, d'aller dans le coin bizutage pour recevoir ton parrain et ton défi pour intégrer ta maison, notre belle maison Eliot Julian Wyatt Andrews ft. Daniel Radcliffe 3400909363 Et surtout, AMUSE TOI ENCORE ET TOUJOURS PLUS!



Bravo ! Tu viens de gagner 10 points.

Pour bien t’aider à débuter sur notre forum, nous t’avons préparé une petite liste de lien utile et rapide ! Ceux en rose seront obligatoires, alors que ceux en bleu, ne le sont pas mais tout de même pratique. Quoi qu’il en soit, de la part de toute l’équipe et de tous nos membres, nous te souhaitons la bienvenue et de bien t’amuser !

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BIENVENUUUUUUUE TOI hanwii Julian Wyatt Andrews ft. Daniel Radcliffe 3400909363 :44:
Superbe fiche mon Nighty Julian Wyatt Andrews ft. Daniel Radcliffe 1001568715
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bienvenue parmi nous
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ANH DANIELLLLLLLLLLLLLLLLL *-* (a)
je t'aime déjà !
Bienvenue :D
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Rox: J'aime me faire désirer... tu devrais le savoir :P

Mickael: Thanks dude!

Billie: N'Amouuuuuuuuuuuuur Julian Wyatt Andrews ft. Daniel Radcliffe 3850463188

Azur: Merci beaucoup =)

Phila: Déjà, grâce à mon avatar, wow xD Merci ^.^
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