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Les origines Ecossaise et américaine puis plus loin dans l'arme généalogique anglaises, danoises , écossaises et allemandes.
feat. Cole Sprouse
8 mars 1999 à Glasgow
Ecossaises
En couple avec Antoine St-Laurent, pansexuel
Septième année d’études de musicologies, il créer des musiques pour les films de son père et se produits dans les événements qui le demandent
Il vient d’un milieu nouvellement aisé
Le caractère
Une douceur à faire pâlir un saint. Arlo est fondamentalement gentil, prêt à aider les autres, rendre service, faire un cadeau pour offrir un sourire. Il est facile à aborder, une oreille attentive et une conversation sans jugement. Il est toujours assez réfléchi , prend le temps d'analyser les dires, les tenants et aboutissants de chaque phrase et penser ses réponses pour ne pas froisser autrui.
Arlo estpassif , il ne prend pas part dans les conflits et les batailles d'ego, il a même tendance à les ignorer distrait par ses propres pensées. Il va souvent rester planter là si on hausse le ton sur lui, le regard blasé, un peu dissipé. Il cogite et ne le partage qu'à ceux qui veulent l'entendre, se sentant vite renfermé par des cœurs irrités, il dérive.
Personne ne sait vraiment si sapassion lui serait venue sans le cadre dans lequel il a grandi. Une chose est sûre, aujourd'hui, il adore le piano, le son de l'instrument, ses possibilités et son prestige qu'il peut ruiner en quelques accords. Il sait jouer de tout, peut transformer un grand classique en un Rickroll et depuis, il s'amuse vraiment. Il compose comme peu de personnes de son âge, avec une maturité et une nouvelle approche, certain le qualifie d'un nouveau souffle. Il aime frotter le papier et griffonner des partitions. Innover le fera toujours rêver, cerveau créatif et mains agiles lui servent dans bien d'autres domaines.
Depuis quelques années, la nicotine et le café ont pris place dans une douce routine, il ne veut pas toujours le confesser, mais il estaddict , incapable de renoncer à ses cigarettes. Les dents grinçantes et le regard froid si aucune fumée ne noircit ses poumons. Il est irritable quand il est en manque, il pourra répondre froidement, levé les yeux au ciel, adopter un comportement qu'il méprise. Avec le recule et la satiété, il réalise ses actions et devient rapidement honteux d'avoir agi comme un sal gamin.
Amical aux premiers abords, on découvre rapidement qu'Arlo est un garçon calme qui n'hésite jamais à filer un coup de main à la maison et rend toujours la pareille, non pas par peur de la dette, mais plus par une joie d'aider. Généreux , il donne toujours, un de ses plus grands moyens de montrer son affection, que ce soient des cadeaux pour une fête ou simplement parce que quelqu'un a émis une envie ou un besoin.
Il est facile de comprendre qu'il offre autant, ayant grandi en ayant tout, il prend le pli d'aimer les choses. Comme rien n'était dur à acquérir, il possédait à outrance. Il ne réalisait pas qu'on comblait sa solitude par l'achat compulsif de ses désirs. Il est malgré luimatérialiste , posséder le réconforte. Alors, il veut offrir son réconfort aux autres, n'ayant aucune échelle des valeurs , cela provoque auprès des moins fortunés quelques malaises et confusions.
Dans son recul, se ressent soncharisme , son aisance face au monde et aux autres. Il est si confiant dans ses dires qu'il est rare qu'on le conteste sans se sentir bête. Si confiant dans ses actions que ça en est inspirant. Sans même avoir eu une conversation avec lui, on ressens beaucoup de choses tout en sachant que très peu. Ses pensées passant avant sa personne, il est mystérieux , bord du gobelet entre les lèvres occupant l'espace sans même avoir à ouvrir la bouche.
Arlo est
Personne ne sait vraiment si sa
Depuis quelques années, la nicotine et le café ont pris place dans une douce routine, il ne veut pas toujours le confesser, mais il est
Il est facile de comprendre qu'il offre autant, ayant grandi en ayant tout, il prend le pli d'aimer les choses. Comme rien n'était dur à acquérir, il possédait à outrance. Il ne réalisait pas qu'on comblait sa solitude par l'achat compulsif de ses désirs. Il est malgré lui
Dans son recul, se ressent son
Les anecdotes
Arlo et la nourrice Quand il était enfant, il passait la plupart de ses nuits à sangloter dans son lit, la douce voix de sa nourrice qui lui dit : « Il ne le pensait pas, Monsieur Woods s’emporte facilement, mais il vous aime ». Il savait que ses parents l’aiment mais il était aussi conscient qu’il n’était pas aussi parfait qu’ils n’espéraient, pour un fils, un héritier, il n’était pas assez. Lent, maladroit, distrait, confus, vu comme un enfant bête et naïf. Son père lui hurlait ou répétait le ton désemparé les objectifs qu’il avait et comment Arlo n’y arriverait jamais.Arlo et le regard des autres Enfant, on le prenait souvent de haut, ce n’était pas le plus populaire, le plus charismatique ou le plus brillant. Il y croyait, comment pouvait-il savoir qu’il pensait simplement un peu différemment ? Quand il a réussi malgré ce qu’on disait de lui, il s’est senti si fier et si sûr de lui. Il avait cloué le bec à quelques camarades et avait fait sourire son père et ça lui suffisait. Depuis, il a appris que ce qu’on dit de lui ne reflète rien. Il grandira sans trop prêter attention à ce qu’on dit et si des rumeurs frôlent ses oreilles sa mine blasée esquissera un sourire poli.Arlo et la passion Bercé par les compositions oniriques de sa mère, le piano l’a séduit au point que le bambin voulait faire comme maman. Il a appris à jouer avec une grande facilité, composé a été plus compliqué mais plus il s’y exerçait plus ses créations débordaient de vie. Maintenant il compose à ses amis des morceau, d’une âme à une autre, et joue pour les insomniaques demandant de la douceur. De par un ami, il a appris à cuisiner, Arlo n’ayant mis les pieds dans une cuisine que pour demande ce qu’on lui sert découvre, un peu tard, que le plus intéressant est derrière les fourneaux.Arlo et la vie nocturne Il préfère généralement les soirées chez quelqu’un, celles où presque tout le monde se connait et discute, partage des pensées et des verres. Celles où l’on offre les shots parce qu’on ne sait pas à qui appartient la bouteille. Celle où ceux qui se tournent autour s’ éclipsent derrière les serrures. Cependant parfois ses pulsions le trainent dans des clubs, enchaînant les verres, dansant collé contre des charmes qui le tentent.Arlo et la revanche Il a toujours été calme, à prendre du recul essayant de comprendre et de se persuader qu’autrui n’expie sa colère sur les autres que pas ignorance. Mais un jour, il l’a ressenti cette colère immense qui brûlait ses veines et serrait son coeur. Les insultes avaient volé et il avait été touché de plein fouet par les mots de quelqu’un qu’il estimait. La mâchoire pressée, il se redressa devant le porteur de cet affront et lui offrir un glorieux coup de poing au visage. Il s’est dégoûté quand il sentit le nez craquer sous son poing et qu’il vit le sang posé sur ses phalanges. Il se recula se promettant de ne jamais reproduire ça. Ce n’est pour l’instant arrivé qu’une fois que ses nerfs l’abandonne, il refuse de frapper préférant encaisser les coups s’ils doivent en arriver à ce point.Arlo et l'amour Il a eu la chance de connaître l’amour, le vrai, si beau et si intense que ce souvenir est encore précieux. Ils étaient beaux ensemble à échanger des sourires niais et des rêves d’avenir. Ils espéraient grandir ensemble, s’installer sous le même toit pour leurs études et peut-être une famille après ça. Il pensait vraiment que cette idylle perdurerais mais il a été forcé de revoir ses priorités ; relation non approuvée, épreuves à passer. Le temps lui a manqué, l’amour s’est senti délaissé et a choisi d’abandonner. C’est l’un de ses plus grands regrets.Arlo et la dépendance Quand il a été forcé de renoncer à la douceur d’une étreinte passionnée Arlo s’est réfugié dans ce qui semblait combler les autres. Elevé dans un monde où tous ont une cigarette entre les lèvres répétant ses méfaits sans tenter ni même vouloir se défaire de cette succulente addiction rend le risque futile, presque monté de toute pièce. Alors il n’est pas surprenant de voir des adolescents fièrement sortir leurs industrielles et un briquet qui exprime leur personnalité.Arlo et la réussite Il avait déjà détaché le sexe des sentiments avant d’échanger son corps contre l’assurance de ne pas entacher le nom de son père. Celui même qui lui avait mis dans les bras une performance de plusieurs heures pour le banquet d’un grand PDG ne se doutait pas que le musicien allait intéresser plus l’homme mur que le fabuleux morceau de Chopin qui attendris la salle. Une main frappée glissée à la taille avant même les premiers mots échangés. Demande formulée cruellement, comme un ultimatum, Arlo resta passif sous ce corps qui l’étouffa.Arlo et la douceur Elle était juste assise là, cette pauvre fille, la tête entre les mains, reniflant ses sentiments brisés. Il avait vite compris que ce n’était pas son choix d’être seule ici, alors lui aussi, il s’assit. Sans un mot dans un premier temps, il doutait, laissant l’atmosphère se réchauffer par la présence bienveillante qu’il représentait. Un mouchoir tendu, puis une cigarette, toujours pas un mot, aucune question, sûrement pas de jugements. Puis une étreinte, un remerciement soufflé en essuyant les larmes de ses joues, il avait peut-être fait le bon choix en restant là.Arlo et l'amitié Il s’installe sur un canapé n’étant pas le sien, les pieds sur la table basse, bière à la main et rédige un exposé sous le regard blasé de son ami le plus proche. Cette habitude de travailler sans se fouler dans un petit cadre d’avant-soirée n’est pas si répandue à Harvard. Quelques échanges et l’ordinateur se ferme, smash se lance, il s’ouvre encore une heure après. Un plaid lui est jeté au visage, encore une fois il restera dormir dans un confort plus précaire pour profiter d’une relation admirée. Soirée typique, toujours appréciable.
Il les a déçus, pas assez vif ni assez intelligent étant enfant, il n'était pas parti pour réussir les SATs au plus grand désespoir de son paternel. Sa logique n'était pas celle de tous, les concepts semblaient flous mais plus le temps passait plus il progressait, avec quelques tuteurs payés prix d'or sur l'épaule il comprenait de mieux en mieux, si bien qu'arrivé en Freshman Year on le laissa apprendre seul et jamais ses notes n'avaient été aussi haute.
Arlo a donc pu postuler à Harvard, avec beaucoup de sacrifices, ses parents étaient fiers. Ils l'avaient déjà présenté à des professeurs avec qui il a partagé des brunch. Il a même eu l'opportunité de jouer dans des soirées mondaines s'accordant les recommandations de PDG, personnes hautement placées et professeurs. Il savait réfléchir, ça lui prenait la tête parfois, mais il rendit un essai considéré comme intéressant et judicieux sur la manière de concevoir la musique et notre environnement par ce prisme.
Le calme du jeune homme avait même marqué durant son entretiens, si sage et apaisé débattant comme un grand homme de lettre qui ne craignait pas de refus. Il avait enfin trouvé l'appréciation de ses réflexions.
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<div class="card-user-bottin-adams"><adams class="text-s-bebas text-upper">Cole Sprouse</adams><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Arlo Woods"</span></div>
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