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a silent truth.— elias

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L'angoisse est une racine qui ne demande à éclore mais tu parviens encore à la tempérer. Tu désires l'apprivoiser pour mieux cerner sa provenance, son sens alors que tu es complètement perdue. L'accident n'a fait qu'accentué certaines choses et tu en subis actuellement les conséquences. Comme toujours, tu t'appliques à donner le change pour ne pas impliquer ton entourage surtout ta famille. Tu leur as assez causé de soucis pour mille ans, encore plus pour ta fille qui fêtera bientôt ses cinq ans. Elle te donne la motivation d'aller de l'avant, elle est une lumière face à nombreux cauchemars qui t'empêchent de dormir, des heures de sommeils que tu peines à rattraper d'ailleurs. Néanmoins, ton quotidien a repris ses droits et cela t'aide énormément au quotidien sans occulter la présence de ton frère et ta sœur ainsi que tes amis. D'ici peu – soit la semaine prochaine -  tu enlèveras ce fichu plâtre qui immobilise ton bras gauche et tu pourras commencer ta rééducation. Ton regard se pose sur la vitre de l'ascenseur où tu aperçois ton propre reflet. Un reflet dont le regard autrefois pétillant se pare aujourd'hui d'un voile de fatigue et de cernes sous les yeux. Ce matin tu étais partie au parc avec Louise et deux compagnons canins pour une promenade histoire de vous changer tous les idées. Tu en avais besoin surtout que tu allais devoir mener une discussion difficile avec Elias et que tu lui devais bien la vérité après tout ce qu'il avait pour toi. Le blesser était bel et bien la dernière que tu souhaitais, tout comme ne tu voulais pas souffrir mais vous deviez discuter. Tu lui avais assuré que tu prendrais le bus pour le rejoindre chez lui mais c'était sans compté que ténacité du père de ta fille. Les portes de l'engin mécanique s'ouvrent et tu sors en saluant le vigile pour attendre le jeune Wertheimer qui devrait plus tarder désormais.
@Elias Wertheimer
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Est-ce que tu étais nerveux à l'idée d'aller chercher Edie dans quelques heures ? A vrai dire, oui, énormément. River avait essayé de te rassurer en te disant que ça pouvait également être une demande positive mais toi, tu connaissais bien ton ex et tu te doutais que si elle te convoquait de façon aussi officielle, c'était mauvais signe. A tes yeux, ça ne présageait rien de bon. Peut-être avait-elle retrouvé la mémoire et donc, la raison pour laquelle elle t'ignorait à l'époque. Peut-être qu'elle souhaitait de nouveau couper ls ponts avec toi, préférant te croiser juste pour Louise et encore... Sans doute qu'elle enverrait à nouveau Jill pour les échanges de gardes. Bref, t'es nerveux mais, tu essayes de prendre sur toi. Tu prends une douche afin de te rafraichir les idées, de te détendre par la même occasion. Ça ne fonctionne pas vraiment. Tu te dis qu'elle veut peut-être décliner ta proposition concernant la rééducation ? Allez savoir ! L'horloge tourne et tu arrives dedans l'immeuble de la demoiselle qui t'attend sagement devant. Tu jettes un coup d'oeil à ta montre pour t'assurer que ce n'est pas toi qui es en retard. Evidemment, c'est juste Edie qui a un peu d'avance, comme toujours. Tu sors de ton bolide, décapoté pour profiter du beau temps. Tu viens lui ouvrir la portière, lui adressant une révérence grotesque comme pour faire taire tes angoisses. Votre carrosse est arrivée mademoiselle Reuben. Clin d'oeil qui se perd avant de reprendre ton sérieux. Tu vas bien ? Évidemment, tu t'inquiètes aussi pour sa santé depuis l'accident ! @Edie Reuben
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Ton regard clair se perd dans le trafic dont l'ensemble des bruits régit l'artère principale. Une sonorité à laquelle tu te raccroches que cela soit les bavardages des passants ou les rires des gamins qui joue dans le petit square juste à coté du ton immeuble. Soudain, un klaxon retentit et tu mets à paniquer intérieurement mais tu es rapidement ramené à la réalité par le claquement d'une portière de voiture qui s'ouvre. C'est juste Elias qui s'est garé juste devant toi et qui est descendu de son véhicule. Souriant, il t'ouvre la portière coté passager tout en exécutant une révérence amusé. Tu secoues la tête tout aussi amusé, avant de le considérer d'un sourire sincère. « Et quel carrosse ! Mais tu sais tu n'étais pas obligé de venir me chercher, j'aurais pris le bus tu sais ... ». Depuis ton accident tu peines à reprendre le volant et même à monter dans une voiture tout court. Ton attention reste évasive un petit moment alors que tu restes bloqué comme un piquet devant la portière toujours ouverte. L'interrogation calme du jeune homme te sors de ta réflexion et tu le regardes un peu perdue avant de reprendre. « Quoi ? Ah oui ça va … c'est mieux depuis qu''ils m'ont retiré mon plâtre ... ». dis-tu tout désignant d'un petit geste ton bras gauche. Tu prends une inspiration douce et mesurée puis monte à l'intérieur de la voiture. Le temps que Elias monte à bord, tu fermes les yeux et reprend contenance une fois qu'il est derrière le volant. Tu attaches ta ceinture avant de reporter ton attention sur lui et lui demandes à ton tour. « Et toi comment ça va ? ».
@Elias Wertheimer
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A peine arrivé que tu la vois là, attendant sagement sur le palier, le regard perdu dans le vide, l'esprit surement loin de la réalité. Elle semble si fragile, si petite et toi tu n'as qu'une envie, c'est de la protéger. Tu t'en rends davantage compte depuis l'accident. A croire que cet événement t'a fait ouvrir les yeux. Alors forcément, quand elle demande à te voir pour te parler, tu as peur qu'une fois de plus, elle ne te repousse. Tu sais que tu n'es pas capable de rester loin d'elle, autant par rapport à Louise que par votre passé. Il y a cette certaine attraction que tu ne saurais expliquée et il est tout bonnement impossible d'aller contre cette dernière. Klaxon pour la faire reconnecter, tu sors de la voiture pour ouvrir la portière côté passager. Tu en fais des tonnes en ajoutant à tes paroles une légère révérence qui se veut grossière et mal interprétée. A ses paroles, tu colles un baiser sur le sommet de son front, bien décidé à ne pas changer d'avis et à lui faire comprendre que tu seras toujours présent pour elle, quoiqu'il arrive. Arrêtes un peu. Je sais que je ne suis obligé à rien mais, c'est comme ça. J'en avais envie. Tu l'invites à prendre place dans la voiture, lui demandant des nouvelles par la même occasion mais, voilà qu'elle se fige et tu prends le temps de détailler son regard inquiet, son visage encore perdu et ses appréhensions. Tu la connais un minimum Edie, tu sais la cernais quand quelque chose ne va pas et qu'elle fait semblant d'avoir le contrôle. Tu acquiesces d'un geste de la tête, contournant à nouveau la voiture pour prendre place derrière le volant. Tu pivotes dans sa direction pour capter ton attention et la rassurer du mieux que tu peux. Je vais faire attention sur la route, d'accord ?! T'as pas à avoir peur avec moi. Sourire qui se veut , tu l'espères, rassurant, tu tournes la clé pour faire vrombir le moteur. Ça va. Simple réponse à laquelle tu hausses les épaules avant de t'engager sur la route principale. On va chez moi ou tu préfères qu'on se pose ailleurs ? D'ailleurs, de quoi elle a donc envie de te parler hein ??! Tu tentes de te concentrer sur la route pour ne pas y penser. @Edie Reuben
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L'anxiété n'a jamais réellement pris le contrôle de ton être – du moins tu ne lui en as jamais donné l'occasion. Seulement, depuis ton accident et ton coma tu as l'impression que maintes choses t'échappent alors que les ressentis intérieurs se décuplent. Des mouvements tels des vagues qui sont des murs et contre lesquels tu ne peux strictement rien. Tu n'es pas du genre à lâcher l'affaire à moins que tu ne puisses faire autrement – et c'est sans doute pourquoi l'esquisse d'une certaine volonté vibre encore au fond de toi, même si elle demeure infime. L'angoisse semble t'entourer, que cela soit dans ton esprit, dans tes veines ou encore sur tes mains qui tremblent. Une fois à l'intérieur de la voiture, tu presses fortement tes paupières et les rouvrent à nouveau lorsque Elias s'installe derrière le volant. Tu esquisses un timide sourire lorsqu'il te dit que venir te chercher te fait plaisir et tu te sens encore plus mal lorsqu'il a déposé un baiser sur ton front. Tu sens son attention fixé sur toi, sans nul doute a-t-il remarqué ta peur lorsque tu as hésité et mis un certain temps à monter en voiture. À l'entente de ses mots, tu réponds par la positive d'un petit signe de tête. Il a toujours été un bon conducteur, encore plus depuis qu'il s'occupe de Louise, il n'y a pas de raison que cela change. Néanmoins, tu ne peux t'empêcher d'avoir peur, c'est ainsi et même si tu tentes de faire bonne figure, à l’intérieur, c'est loin d'être le cas. Alors que le Wertheimer s'élance dans le flux du trafic, il te demande si tu préfères aller chez lui ou plutôt dans un endroit neutre. Tu imagines qu'il doit être mal à l'aise de rester dans l'ignorance et cela ne fait qu'accentué le sentiment de culpabilité qui ne t'a pas quitté depuis ton réveil. Tu te doutais de quelque chose depuis que tu es sortie du coma mais sans pour autant mettre les mots dessus jusqu'à ce que tes doutes deviennent des morceaux de puzzle. Et ces derniers se sont tous rassemblés lors de ta discussion avec Céleste. « On pourrait aller se poser au coffee shop pas loin de la faculté ? Si tu es d'accord bien entendu … ». Un lieu neutre serait une meilleure option car si jamais tu devais rentrer à pied au moins il y avait les transports en commun à proximité.
@Elias Wertheimer
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Tu vois bien qu'elle n'est pas à l'aise et que les traumatismes du passé sont bien et bien présents. Edie reste pétrifier un moment et lorsqu'elle reprend conscience, c'est pour entrer dans la voiture toute tremblante. Tu tentes de la rassurer comme tu peux. Tu ne sais pas si le fait que ce soit toi peut la soulager mais, une chose est sure, tu seras toujours présent pour la protéger et l'épauler. Tu feras de ton mieux pour que plus rien ne lui arrive. Tu tentes le sourire rassurant avant de reporter ton attention sur la route. Tu essaies de ne pas quitter celle-ci du regard pour qu'elle ne panique pas mais, c'est difficile de ne pas porter ton attention sur la jeune femme. Tu lui demandes où elle préfère se rendre, essayant de ne pas lui communiquer ton stress quand à cette entrevue. Elle te propose un Coffee shop et tu acquiesces avant de t'éclaircir la voix. Ouais, on peut faire ça. Et puis finalement, tu reprends très vite. Tu ne vas vraiment pas me dire ce qui te tracasse avant qu'on arrive mh ?! Tu tournes la tête vers elle lorsque le feu passe au rouge. Tu la questionnes du regard avant que tes prunelles ne viennent à nouveau croiser le passage piéton. Je né vais pas insister promis. C'est juste que ça fait très... Officiel. Tu inspires profondément. En espérant que ça ne concerne pas Louise. @Edie Reuben
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Les prunelles figées sur le paysage qui défile par de là la fenêtre, tu observes avec attention tout un tas de personnes. Ces dernières ont chacune une histoire qui leur est propre et tu t'imagines également que nombreuses sont celles partageant ton vécu, tes ressentis intérieurs. Elias te demande alors où tu veux aller, te laissant une porte d'ouverture et bien évidemment tu optes pour un lieu public, bien plus simple pour ce qui s'apprête à suivre. Tu sais qu'il tente de dissimuler son angoisse vis à vis de votre discussion à venir. Ces dernières années, il a appris à mieux te cerner, à mieux te deviner également, bien plus que tu ne l'aurais pensé. A croire que la naissance de Louise l'a rendu beaucoup trop attentif au monde qui l'entoure. Il rebondit en te laissant la possibilité de commencer cette discussion maintenant. La voiture s'arrête et tu redresses la tête pour découvrir que le feu est passé au rouge. Tu prends soin de ne pas croiser son regard et le silence s'éternise quelques secondes avant qu'il ne poursuive en te confiant qu'il ne va pas insister. Elias a raison, le caractère de tout cela sonne très réaliste, très officiel … soudain, un flash traverse ta mémoire et tu fermes les yeux en vous revoyant tous les deux en pleine conversation mais tu ne te souviens pas de votre échange, c'est trop bref pour que tu comprennes. « Arrête la voiture ... ». Un murmure, un infime murmure mais tu réitères un peu plus fort cette fois. « Arrête la voiture, s'il te plaît. ». Tu peux sentir son regard te scruter mais tu ne le rencontres pas, sous peine de ne pas avoir le courage de le faire. Tu sens la vitesse du véhicule ralentir puis le son du moteur s'éteindre. Tu reconnais alors le parking à mis chemin entre le campus et l'école maternelle de ta petite puce. Au loin, la place où tu t'es fait renversé. Tu fermes les paupières tout en passant une main dans ta chevelure ondulé puis prend tu inspires doucement. « Je te dois des excuses. Mais avant d'aller plus loin … je veux que tu me promettes de ne pas m'interrompre, de me laisser aller jusqu'au bout. ». Car sinon, tu ne pourras faire ce que tu avais promis de faire.
@Elias Wertheimer
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A l'époque, tu évitais comme la peste ce genre de conversation sérieuse. En fait, encore aujourd'hui, tu le fais. T'as tendance à user de tes charmes pour éviter qu'on se lance dans de grands discours. Poppy a eu droit à des ruses les milliers de fois avant de prendre la fuite, consciente que tu ne pouvais pas complètement changer pour elle. Peut-être que ce n'était pas la bonne. Si tu l'avais cru au début, une fois les problèmes arrivés et le contexte on ne peut plus sérieux, t'as fini par te lasser, par t'éloigner doucement jusqu'à ce qu'elle mette fin à votre histoire. Avec Edie, c'est différent. D'abord parce qu'elle ne te laisse pas le choix. Si elle a envie de parler alors, vous parlerez pendant des heures s'il le faut. Face à ton ex petite-amie, tu es comme un enfant devant ses parents, tu baisses la tête et tu écoutes ce qu'elle a à te dire. Tu détestes les non-dits, surement parce que vous suivez les mêmes intérêts : Louise. C'est bien la seule qui arrive à te dompter un minimum. Au feu rouge, tu l'entends murmurer mais, tu n'y prêtes pas vraiment attention. Finalement, elle réitère sa demande et tu t'exécutes. Ok, ok, je m'arrête ! Tu t'empresses d'immobiliser la voiture, de couper le contact. Tu tentes de capter son regard quand tu remarques le lieu dans lequel vous vous trouvez. T'aurais peut-être du te taire et continuer en silence jusqu'au café. T'es sûre que tu veux qu'on s'arrête là ? Mais elle fuit ton regard. Tu détaches ta ceinture pour lui faire face. T'as le coeur qui se serre quand tu te rends compte qu'elle n'est pas bien. Tu aimerais pouvoir retirer toutes ses craintes et ses malheurs. Malheureusement, t'es impuissant face à la situation et la seule chose que tu puisses faire, c'est aller dans son sens. Ok mais, je ne vois pas pourquoi tu t'excuses... Je te laisse parler. Tu respectes son choix. Tu hoches la tête et approuves ses paroles, lui apportant toute ton attention. @Edie Reuben
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Ce n'était qu'un murmure. Un murmure que tu as fini par réitérer afin qu'il arrête la voiture. L'angoisse te taraude depuis un petit moment, pour ne pas dire depuis tu es sortie du coma. Déjà là, un sentiment de culpabilité a nourrit l'ensemble de tes pensées même si tu donnais le change. Tu as toujours donné le change, c'est comme gravé dans ton ADN. Tes envies, tes émotions peu importe la nature ect … ne peuvent  entrer en collision avec ce que l'on peut nommer le bien commun. En d'autres termes, tu fais passer tes proches avant toi-même. Cela ne te dérange pas, c'est naturel pour toi. Seulement, cette fois tu te dois de dire la vérité au jeune Wertheimer, tu lui dois bien ça après tout ce qu'il a fait pour toi. Lorsque la voiture s'arrête, que le bruit du moteur s'essouffle, ton attention se fixe le parking où vous êtes. À mi chemin entre l'école de Louise, et la place piétonne où tu as été renversé. De nouveaux flashs viennent embrumés ton esprit tandis que tu entends Elias te dire qu'il ne comprends pas pourquoi tu t'excuses. Ses derniers mots te sortent de ta réflexion personnelle et tu prends doucement une inspiration pour focaliser ton regard sur celui du brun. « Certains souvenirs me reviennent de manière éparse, même si c'est encore flou parfois. ». Ton timbre de voix est calme, bien trop calme mais en recherche d'un filet de sécurité pour te donner le courage de poursuivre. « En particulier celui de ma décision de prendre de la distance. Je voulais m'excuser de mon choix parce que tu en as souffert et ce n'est pas ce que je voulais crois-moi. Seulement, c'était ce qu'il y avait de mieux à faire … je n'avais pas d'autre choix en réalité ... ». Un rire narquois s'échappe d'entre tes lippes, une tonalité qui décrit combien tu continues à cette minable lorsque tu y repenses. Tu as toujours dit à ta propre fille que rien n'est jamais ridicule dans la vie, pourtant tu l'es belle et bien. Tu laisses aller ta tête contre le repose tête du siège de la voiture. Tu passes une main dans tes cheveux tout en prenant soin de fuir son regard azuréen car tu n'as la force de le faire, surtout avec ce que tu t'apprêtes à lui dire. «  Je t'ai vu évoluer depuis la naissance de Lou, tu as changé de bien des façon, dévoilant des aspects de ta personnalité que je n'avais encore jamais connu lorsqu'on était ensemble … Et plus le temps le passait, plus je me suis rendu compte que j'avais à nouveau des sentiments pour toi … Seulement, tu étais à nouveau en couple, heureux, épanouie et Poppy est une fille géniale. Tu ne pouvais pas trouver mieux, vraiment. Quand à moi … prendre mes distances était la meilleure solution possible … voilà pourquoi je tenais à m'excuser, pourquoi je me sens coupable et mon accident n'a pas aidé ... ». Tu n'as pas conscience que des larmes coulent le long de tes joues, car te rends bien compte de l'ironie de l'histoire, celle où tu tournes en ridicule. Tu détaches à ton tour ta ceinture de sécurité, puis tu le regardes furtivement avant de t'excuser une énième fois et de descendre du véhicule. Tu claques la portière passager, réajuste la bandoulière de ton sac car tu as besoin de marcher.
@Elias Wertheimer
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Edie s'empresse de te faire arrêter la voiture. Tu ne comprends pas vraiment pourquoi ici, au vue de ce qu'il s'est passé la dernière fois. Tu te dis qu'elle a du paniquer en voyant l'école, au loin. Mais non, ce qu'elle fait, c'est qu'elle se met à parler. Elle souhaite avoir la conversation ici, dans la voiture. Tu te détaches pour pouvoir lui faire face tandis qu'elle te demande de ne pas la couper. Tu lui promets de ne rien dire même si tu commences à paniquer parce que tu ne sais pas de quoi il s'agit. Tu ne connais pas le thème principal de votre échange et tu croises les doigts pour que ce ne soit pas Louise. Elle te parle de souvenirs et tu écoutes attentivement, suspendu à ses lèvres. Si tu hoches la tête, tu finis par te stopper net quand elle parle du fait qu'elle s'est éloignée. Tu te dis qu'elle a retrouvé la raison pour laquelle elle a décidé de couper les ponts et qu'elle va vouloir recommencer à nouveau. T'as le coeur qui bat à tout rompre. Tu arrêtes de respirer, en suspens alors qu'elle détourne le regard, comme pour ne pas avoir à t'affronter. Mais voilà, ses paroles sont loin de ce à quoi tu t'attendais. Edie ne te fuyait pas parce qu'elle n'aimait pas Poppy. Elle ne te fuyait pas parce que tu t'y prenais mal avec Louise. Non, ce sont ses sentiments qui l'ont poussé à s'éloigner, pour se protéger. Elle dit se sentir coupable. Elle s'excuse à nouveau pour l'accident. Toi, tu restes de marbre. T'es comme figé dans le temps. Tu n'arrives pas à prononcer le moindre mot, sous le choc par rapport à ses dires. Edie, elle se détache alors, tu secoues la tête comme pour revenir à la réalité mais quand c'est le cas, elle s'est déjà éloignée. Quand tu en prends conscience, tu sors de la voiture à ton tour pour la contourner et retrouver ton ex petite-amie. Tu lui cours après, attrapes son bras pour l'immobiliser, pour qu'elle te regarde. Tu n'as pas à t'excuser de quoique ce soit Edie, c'est moi... J'ai agi comme un con sur toute la ligne. Et puis, je suis plus avec Poppy. Elle est partie et... Et même si c'est une fille géniale, c'est pas une fille pour moi. Tu sais, j'ai pas changé. Je suis toujours un connard... Tu esquives un sourire, reprenant ton souffle pour pouvoir poursuite. Je suis un connard mais je refuse de te faire souffrir. Je refuse que tu sois malheureuse ou triste à cause de moi. Du bout des doigts, tu replaces une mèche de cheveux derrière son oreille, laissant tes yeux glisser dans son regard. Je ferais tout pour toi tu sais. Edie. Louise. Peu importe. La finalité en est la même. Elles sont et resteront ta priorité, peu importe quelle fille entre dans ta vie. @Edie Reuben
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