SAMAYA ¥ envie de toi. (tw)

Tu ne bosses pas aujourd’hui et donc tu t’ennuies. Toi t’as toujours besoin de voir du monde, de bouger et profiter de la vie. Alors que tu es sur ton lit à regarder ton téléphone, tu penses à ce que tu pourrais faire avec Samuel dans ce lit. Quelques messages plus tard et te voilà à te rendre au commissariat. Pas que tu es commis un délit, du moins pas encore. Tu dois aller prendre du plaisir sur place. T’as envie de lui et tu ne peux pas reporter ça à plus tard. Samuel à l’habitude de tes plans foireux maintenant et même que tu sais qu’il aime ça. Tu fais ton entrée dans le poste de police à la recherche du brun. Salle de repos que t’annonce un collègue, tu lui offres un joli sourire et fait ton entrée dans la salle avant de fermer la porte derrière toi. Salut mon beau. J’ai le droit de dire que tu m’as manqué ? Tu affiches un sourire coquin avant de t’approcher de lui lentement admirant ta proie.

En pleine pause déjeunée au poste de police, échangeant des messages avec Naya qui m'a clairement dit qu'elle voulait qu'on le fasse sur mon lieu de travail, ne croyant pas réellement qu'elle viendrait, je lui lance le défi de le faire. Je pose mon téléphone sur la table alors que je mange quelque chose vite fait en épluchant un dossier sur une enquête sur laquelle je travaille, mais la porte s'ouvre et se referme, ce qui me fait lever les yeux. Je suis surpris de trouver la jeune femme juste devant moi. "Salut, alors tu es vraiment venue... je pensais que tu plaisantais, mais tu arrives encore à me surprendre on dirait." Dis-je en refermant le dossier sur lequel je travaillerai plus tard puisque mes occupations venaient tout juste de changer.

Tu le sais que tu as un soucis à vouloir faire tout ce qui te passe par la tête. Toutefois les personnes qui t’entourent ne s’ennuie jamais avec toi et ça fait ton charme. Dans son dernier message Samuel, t’as clairement lancé un défi, sans avoir conscience que tu viendrais. Tu le vois à sa tête lorsque tu passes la porte de sa salle de repos. L’endroit est rempli de policier, mais toi ça t’excite plus qu’autre chose. Tu vas commettre un délit dans le commissariat et avec un policier. Tu es sûre que d’autres l’ont fait avant vous c’est certain. Il est beau là assit à se concentrer sur son dossier, tu t’en mords la lèvre. Une fois près de lui, tu as toute son attention et tu viens t’asseoir sur ses genoux, enroulant tes bras autours de son cou. Tu aurais dû savoir que je ne manquerais pas une occasion d’avoir ce que je veux.. en l’occurrence toi. Tu glisses ta main dans ses cheveux alors que tu frôles lentement ces lèvres des tiennes. Oh et je ne plaisantes jamais lorsqu’il est question de sexe. que tu souffles contre ses lèvres.

Naya était le genre de jeune femme qui avec sa présence me faisait oublier à quel point ma vie était devenue compliquée depuis l'année dernière. Elle était jeune, insouciante et mieux encore, elle me faisait rire et j'avais besoin de ça pour ne pas craquer. Alors, en la voyant passer la porte, j'avoue que j'étais surpris, mais content de la voir, je n'allais pas le cacher. Je la laisse prendre place sur mes genoux alors que mon bras entoure sa taille, mon regard se perd dans le sien et son pouvoir était que j'avais vraiment du mal à lui résister. "C'est ce que j'aime le plus chez toi." J'espérais que personne aurait l'idée de venir dans la salle de repos puisque j'étais le dernier à prendre ma pause comme à chaque fois que je travaillais, étant trop concentré et surtout trop sérieux dans mon travail, pas comme maintenant. "J'espère que tu as fermé la porte à clés, car je ne veux pas qu'on soit surpris, ce serait mal vu pour un policier de mon grade." En deux, trois mouvements, elle arrivait à faire monter la température dans la pièce au point que j'embrasse finalement ses lèvres pulpeuse.

Il est tout ce que tu n’es pas. Un mec droit et sérieux. Il ne prend pas vraiment de risque et en même temps tu peux comprendre. Mais toi tu t’es donné comme mission de lui rendre le sourire et la joie de vivre. Qu’il puisse à nouveau faire des choses folles, avoir des souvenirs pleins la tête. Samuel te fait énormément de bien. Il est là pour toi, t’offre la dose de tendresse et d’affection dont t’as besoin. Chaque fois que tu es avec lui, t’as envie d’être dans ces bras. Il t’apaise et te rassure. Différent des autres hommes que tu as connus, lui est doux. Tu te pinces lèvres en l’écoutant. Et bien tu n’as pas fini de m’apprécier alors. Tu avais très envie de lui et de t’amuser dans cette salle qui n’allait plus du tout être reposante dans quelques minutes. Tu joues avec ses lèvres en les frôlant, vos souffles chauds qui se mélangeaient à présent et tu souris à ces mots. J’ai fermé le verrou, nous sommes seuls au monde. Tu tenais à ce que personne ne vienne vous déranger à présent. Samuel capture tes lèvres et tu y réponds avec sensualité. Ta langue allant caresser la sienne, pour faire grimper la température.

Nous étions tellement différents elle et moi, mais pourtant, avec elle, j'oubliais tout, je me détendais, je faisais des choses que je ne ferais pas en tant normal, surtout pas sur mon lieu de travail, mais là, clairement, je n'y pensais même pas. J'appréciais sa présence, même si entre elle et moi c'était uniquement physique, je ne voyais personne d'autre à par elle, car elle me satisfaisait complétement sur le plan sexuel. Personne ne soupçonnait que moi le père de famille dévoué, veuf depuis l'année dernière, coucher avec une femme plus jeune. Beaucoup ne verrait pas ça d'un très bon œil, mais je ressentais ce besoin d'avoir de l'affection et Naya le comblé complétement. "C'est tout ce que je voulais entendre." La température dans la pièce monte très rapidement alors que nos langues effectue une danse enflammée et que je retire ma veste, les inspecteurs ayant comme uniforme la veste de costume avec la cravate et la chemise bien que la cravate n'était pas toujours obligatoire. Je m'occupe de retirer le haut que la jeune femme porte tandis que mes lèvres embrasse ses lèvres puis descendent petit à petit jusqu'à son cou et sa poitrine. J'étais peut-être un homme assez sérieux, mais lorsqu'il s'agissait de sexe, je savais très bien y faire aussi et Naya en avait la preuve avec les nombreuses fois où nous avons coucher ensembles elle et moi.

Tu avais besoin de lui comme jamais auparavant. Alors te montrant insistante et prête à tout il avait lancé cette idée. Et tu te retrouvais à présent dans le commissariat pour faire l’amour avec lui. Samuel était plus âgé et toi tu adorais ça. Tu aimais qu’il ait cet ascendant sur toi bien que tu t’amuses à lui faire tourner la tête. Il était tellement partant pour te suivre dans ta folie et c’est tout ce dont tu avais besoin. Une fois rassurée que tu avais bien fermé la porte, il sourit. — Je suis tout à toi. Tu réponds au baiser qu’il te donne avec la même fougue. Ta langue qui valse avec la sienne. Tu lèves les bras pour l’aider à te retirer ton vêtement. Tu commences à détacher les boutons de sa chemise pour sentir sa peau sous tes doigts. Il embrasse ta poitrine et tu lâches un soupire de plaisir. Tu sais que vous n’avez pas beaucoup de temps avant que quelqu’un ne débarque ici. Tout ça devient de plus en plus excitant. Tu embrasses son cou sensuellement et presse ton bassin contre lui pour faire grimper le désir.