violence au goût de miel | isaac

@Isaac Rockefeller un simple message et te voilà en route pour l'appartement d'isaac. avec les cours le lendemain matin, ce n'était guère raisonnable de t'y rendre à une heure pareille, un dimanche soir. sachant que tu savais pertinemment que tu rentrerais en zigzaguant, non pas à cause de l'alcool mais à cause de lui mais tu n'allais guère t'en plaindre. tu marchas tranquillement jusqu'à chez lui, les oreilles bercées par la musique électro qui s'échappait de tes airpods. profiter de boston la nuit était un délice. un pur moment de calme avant la tempête rockefeller qui t'attendait impatiemment. pénétrant dans l'immeuble, tu grimpas les escaliers quatre à quatre. tu entras dans l'appartement dont la porte était déverrouillée, clairement pour toi. silencieusement, tu retiras un à un tes vêtements pour les déposer dans un coin du salon. tu filas t'installer sur le canapé, les jambes écartées, les bras croisés derrière la tête. — je t'attends dans le salon, déclaras-tu, un sourire malicieux étirant tes lèvres. rien de mieux qu'une telle surprise pour chauffer instantanément isaac.

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@Nino Zimmerman — Il n'en faut pas beaucoup pour me chauffer. Et il en faut encore moins quand on répond à mes désirs. Je déverrouille la porte, laissée légèrement entrouverte avant de retourner à mes livres. Nul temps à perdre avant ton arrivée. Quelques temps s'écoulent avant que je n'entende du bruit et dix secondes s'écoulent avant que ta voix ne raisonne de mon salon. Je ferme mon livre et me lève, avance nonchalamment jusqu'à te découvrir nu, sur mon lit. ❝ Tu perds pas d'temps, toi ❞ lâche-je en te regardant, accoudé sur un mur, sourire pervers se dessinant sur mon visage. Mes yeux te dévisagent et te dénudent davantage, et alors que j'avance, j'enlève mon tee-shirt, puis mon pantalon avant d'arriver le caleçon à semi-baissé jusqu'à toi. ❝ Tu sais ce qui arrive à une bête mise à nue, fragile, quand son prédateur l'a dans le viseur ? ❞ demande-je les yeux dans les yeux, intense. Le sourire se fane, la bête gronde en moi. Les pulsions sont fortes et tu désires qu'elle se libèrent se lâchent entièrement.

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@Isaac Rockefeller

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