Integration is today's challenge ft. Guowei (29.04)

Plus tôt dans la journée, alors qu’il prenait son déjeuner dans la cantine de l’Université, Ji-hun avait été interpellé par deux étudiants. Ceux-ci s’étaient installés sur les chaises face à lui, surprenant le réfugié dans sa dégustation. Spaghetti dépassant de ses lèvres, il l’avait rapidement aspiré en observant le faciès des deux inconnus qui s’étaient invités à sa table. Heureusement, ces derniers ne semblaient pas porter de mauvaises intentions, et leur invitation avait conforté le Nord-coréen dans ce sens. Une petite fête était organisée dans une maison avoisinant la faculté, histoire de couper court aux révisions que demandaient les examens de fin d’année. Il fallait savoir s’aérer l’esprit* avaient-ils présenté à l’étranger, et Ji-hun n'avait eu que pour réflexe de se demander comment ces deux personnes pouvaient désirer effacer les données de leur cerveau à une période aussi importante que  la passation des tests finaux ; quelques expressions américaines restaient floues et inusitées dans son pays de la Corée du Nord.

Il avait toutefois accepté d’y réfléchir, incapable de prendre une décision sur le tas. Il avait téléphoné à sa famille d’accueil après les cours, durant le trajet qui le menait à la Luna Caffe, et celle-ci s’était empressée de le pousser à expérimenter auprès de ces semblables. Ses parrains l’avaient briefé sur certaines pratiques desquelles il fallait se tenir à l’écart, mais le mot d’ordre avait été de s’amuser. Ce fut pour cette raison qu’après avoir mangé sur le pouce à la suite de son service il s’était préparé dans sa chambre universitaire. Il s’était brossé les dents et avait enfilé un chino noir, un t-shirt uni de la même couleur à col bas monté d’un gilet bleu azur pour le compléter. Il avait passé ses baskets basses dans l’entrée de sa chambre et s’était tourné vers le miroir suspendu contre le mur. Ses doigts étaient passés ébouriffer ses cheveux légèrement bouclés avant de sortir. Il ne lui avait fallu que dix minutes pour rejoindre l’adresse envoyée sur son smartphone. Il frappa à plusieurs reprises à vingt-trois heures, mais aucune réponse.

Quelques retardataires lui montrèrent le chemin en ouvrant la porte eux-mêmes, et il put découvrir l’ambiance déjà bien avancée de la soirée. La pièce principale était remplie et la musique boomait à fond. Il se retrouvait là complètement paumé, et il avait beau observé ce qui se passait autour de lui, il peinait à se fondre dans la masse. Dents serrées et mimique septique donnée à ses lèvres, il se dirigea vers la table des boissons parce que « ça aidait à se faire des amis ». Tout du moins c’était ce qu’il avait entendu – ou lu. Il prit un gobelet rouge et le porta à ses narines pour humer l’odeur. Étrange pour lui qui avait l’habitude des boissons alcoolisées à base de riz. Il grimaça, incapable de savoir s’il pouvait se laisser tenter, mais un miracle apparut à ses côtés. Que je viens ici, c’est la première fois, répondit-il à son interlocuteur/trice venu(e) également se désaltérer. Accent marqué et tournure de phrase inédite, impossible de passer à côté : il venait de l’étranger.

On aura beau dire être père ce n'est pas de tout repos! Mais j'ai cette chance d'avoir une baby-sitter sympathique. Et si je ne peux pas compter sur la baby-sitter j'ai mes voisins qui sont tout aussi sympathique, un couple de retraité des adorables grand-parents, que mon fils aime tellement aller.

Marchant tranquillement dans les couloirs de l'université, je fus déranger une nouvelle fois par un appel de mon paternel qui me relançait sur le sujet de l'entreprise. Soupirant je raccrocha pour être tranquille. Et senti une main se posé sur mon épaule d'un coup, je me retourna prêt à plaqué la personne sous le coup de la tension crée par mon père, mais me calma voyant mon ami, qui me me tendis un carton d'invitation. Je le regarda et lui dis ok pour la fête.

Retournant en cours, je fus bien attentif jusqu'à la fin des dernières heures. Puis je pris ma voiture pour aller chercher mon fils, passant un moment avec lui avant de lui dire que je serais avec mes amis et qu'il sera chez papy et mamie et rosaly. Il me fit un câlin directement en me disant de faire attention et me demanda s'il pouvait mangé des bonbons, ce que je refusa.

Déposant Nao vers dix-huit heures après cela je partis me préparer en prenant une douche et m'habillant d'un slim noir, tee shirt noir et une veste jean style déchiré et me coiffant à mon habitude. J'emmène mon portefeuille, mon portable et ferme tout rangeant mes clés prenant le carton d'invitation de mon ami. Enfin un bien grand mot, ses actions ne me porte pas dans mon coeur.

Prenant ma voiture, j'arrive sur les lieux, puis me gare non loin, pour terminé le chemin à pied. Je frappe et la porte s'ouvre. Je fais encore du chemin, pour découvrir un endroit rempli d'alcool et de musique. Je vois mon ami bien entouré et soupire, puis donne le carton et viens vers la table de boisson et vois un jeune novice. Je ris puis regarde autour de moi et me baisse connaissant les cachettes, puis prends un gobelet vide et verse du jus de fruit.

Ce n'est pas grave, j'entends également que tu es étranger. Tu viens d'où?

Ce n’était pas toujours facile de se fondre dans la masse quand les codes d’une société restait une énigme, mais la volonté de s’intégrer à celle-ci faisait beaucoup. Ji-hun avait heureusement ça dans le sang, pour avoir longtemps été éduqué à se donner entièrement à son pays et aux autres. Là-bas, chacun participait au bien commun, et si de la profession dépendait quelques chiffres en plus à la fin du mois, il était de coutume d’œuvrer pour le peuple, plus que pour soi. Le Nord-coréen savait mimer mieux que n’importe qui. Alors, lorsqu’il avait vu des personnes se diriger vers le stand de boissons, il s’était rappelé que ces gobelets rouges étaient la clé d’un premier pas vers l’intégration. Il s’y était alors rendu et en avait pris un. Il s’était rappelé toutefois des bémols soufflés par sa famille d’accueil, et avait préféré sentir le contenu avant de s’aventurer à le boire. Moment propice où un jeune homme s’était avancé aussi vers la table.

Est-ce que renifler le contenu d’un verre paraissait louche ? Probablement. Alors Ji-hun s’était expliqué avant de remarquer que son interlocuteur était un habitué, puisqu’il découvrit une cachette sous la nappe, d’où il sortit une coupe en plastique pour se servir un jus de fruits. L’inconnu fut poli, lui répondit, ne le laissa pas en plan. Mieux encore, il s’intéressa à lui, de quoi débuter une conversation. D’où venait-il ? Question épineuse. Du Japon, dit-il en premier lieu. Parce qu’il avait demandé l’asile là-bas, le pays du soleil levant avait été son pays d’accueil, jusqu’à son parrainage pour les États-Unis. Il ajouta alors : en Corée, je vivais. Inutile de préciser si c’était du Nord ou du Sud, ses parrains lui avaient conseillé d’éviter ce détail, parce que ça pouvait être sujet de tension. La Corée du Nord était un pays dont les américains se méfiaient beaucoup, surtout depuis les essais nucléaires qu’ils projetaient en mer.

À Harvard, je suis étudiant, se présenta-t-il, histoire de passer le sujet qui concernait son pays natal, anglais renforcé, puis chimie et biochimie à la rentrée. Il hésita de la tournure qu’il devait employer pour s’adresser à son vis-à-vis, mais la façon dont il l’avait interrogé le mit sur la voie : et toi ? Il devait être étudiant, lui aussi, pour se retrouver dans une fête comme celle-ci ; à moins que les Bostoniens y étaient conviés parfois ? Ji-hun, je m’appelle, fit-il en tendant sa main libre vers l’Asiatique, sinon Jay (J.), c’est plus facile. C’était le surnom qu’on lui avait donné en classes linguistiques.

Gobelet en main pour moi l'alcool n'est pas un problème, mais je connais ma limite. J'apprécies tout types, même les délices de France qui à pour nom Champagne. Je vois au loin le nombre de bouteille et connaissant l'organisateur de cette soirée, j'attends à ce qu'il est de la réserve et des jeux d'alcools comme il aime tant. D'ailleurs je suis bon joueur et tout le monde pense que je suis coincé. Mais ce n'est qu'une armure, une fois que l'on me connais je me dévoile doucement.

Observant l'inconnu devant moi écoutant également ses paroles, je me demande multiples questions. Après ma question il vient à me répondre et il commence à parler. Je viens lui prendre son verre pour sentir si c'est bien de l'orange simple et non un mélange. Puis lui rends.

Excuse-moi, c'est que tu parles bien beaucoup pour quelqu'un qui vient de Corée. Et tu inverses. Tu dois dire "Je vivais en Corée". Mais j'avoue que ça du charme et ça te rends unique comment tu parles. Mais si tu veux je peux t'aider à mieux te faire comprendre.

Buvant et étant attentif aux explications, j'apprends ses matières puis souris. Puis je fus étonné qu'il me demande. J'en appris d'ailleurs son prénom et son surnom. Je souris doucement puis lui frotta les cheveux en souriant une seconde fois.

Eh bien Jay, je suis également étudiant j'étudie le droit pour être dans la police. Je suis né en Chine, mais je suis ouvert aux horizons et aux différentes classes sociales. Je détestes laissé une personne en position de faiblesse seule.
Et je m'appelle Guowei, mais appelle moi Guo

Sens d'un coup deux mains sur mes épaules, puis me retourne et vois l'organisateur.Qui nous dis que le premier jeu va commencer. Je regarde Jay et l'organisateur et lui dis que je fais équipe avec le nouveau en désignant Jay.

Oh le Prince qui protège les nouveau. C'est action ou vérité, tu connais le principe et tu n'as pas le droit aux cadeau.

Le regarde s'éloigner, puis regarde le gobelet. Puis regarde les gens se mettre en place. Et deviens sérieux. Puis me tourne vers Jay

Jay! Tu m'écoutes, tu ne fonce pas. Si tu ne veux pas répondre, fais un geste en douce de façon à ce que personne ne vois. Sinon je ne pourrais pas t'aider.

Spoiler:

De réfléchir par écrit, c’est plus facile. Mais j’apprends, avait-il plissé les yeux face à la remarque de son interlocuteur. Sa syntaxe était un peu déstructurée, il traduisait dans sa tête groupe de mots par groupe de mots, construisait ses phrases à la manière coréenne. Heureusement, cela voulait souvent dire quelque chose, et même s’il lui arrivait de s’embrouiller tout seul, ses vis-à-vis savaient le comprendre. C’était pourquoi il se mêlait aux autres, parce qu’il était plus simple de s’améliorer en pratiquant. Même si, il fallait bien l’avouer, savoir que cette particularité linguistique plaisait à beaucoup de ses clientes le confortait à l’idée de garder une petite singularité dans sa diction. Le frottement dans ses cheveux l’avait quelque peu surpris, jamais encore on avait osé lui gratouiller ses mèches brunes depuis qu’il était arrivé sur le sol américain. Il ne s’était pas braqué pourtant, avait simplement assumé le geste amical du jeune homme, se disant que ça devait être pour montrer sa sympathie.

Oh, la Chine, s’exclama-t-il lorsque ce fut au tour de Guowei de se présenter. La Terre du Milieu avait avalé sa mère et ses deux petites sœurs. Il les avait su fuir la Corée du Nord par la frontière tracée entre les deux pays, et ne les avait plus jamais revues. Les Chinois étaient habitués à retourner les fuyards au régime totalitaire d’où ils venaient, mais Ji-hun fut rassuré d’entendre l’étudiant lui assurer qu’il était ouvert aux autres et ne faisait pas de différenciation, d’aucune sorte. Enchanté, Guo, fit le plus vieux en baissant légèrement sa tête pour le saluer respectueusement à nouveau. Ils n’eurent pas le temps d’aller plus loin dans leur échange que l’organisateur apparut derrière sa nouvelle connaissance pour l’appeler à jouer au premier jeu. Le Nord-coréen se montra curieux de ce qui se disait, et il ne put réprimer ce sourire qui se stabilise sur ses lèvres. Action ou vérité, il connaissait bien, même s’il imaginait aisément qu’il n’y avait pas vraiment de limites à s’imposer ici.

Ça va aller, se montra-t-il confiant face à la panique du plus jeune, ce genre de jeux, on a aussi chez moi. Il but d’une traite son gobelet, sa pomme d’Adam dansant sur sa trachée avant de lâcher un « ah ! », preuve qu’il était désaltéré et prêt à se plier aux règles de leur « truth & date » étudiant. On y va, demanda-t-il à l’Asiatique qu’il venait à peine de rencontrer, j’ai envie de m’amuser ! Habitué aux couvre-feux dans son pays natal, il était enthousiaste et motivé à prendre entièrement part à la fête. Il rejoignit les autres qui avaient formé une ronde, et il s’assit là où Guowei pouvait prendre place à ses côtés. L’organisateur expliqua qu’ils allaient commencer doucement avec les questions. Muni de son téléphone portable, application au bout du pouce, génératrice d’interrogations aléatoires, il était opérationnel, et les joueurs aussi. Au milieu d’eux se trouvait un cercle coupé en deux par une ligne droite. D’un côté, il était inscrit action, de l’autre vérité.

Le chef d’orchestre demanda alors qui désirait commencer à tourner la bouteille, placée au centre, goulot qui marquerait le choix. Une alternative au jeu classique que Ji-hun commençait déjà à apprécier.

Appli d'action ou vérité:

"Ce n'est pas une critique, il faut dire que c'est simple pour moi qui suis polyglotte depuis mon enfance. Mais si tu veux de l'aide, je suis là pour aidé, mais j'avoue que j'ai fais comme toi au début.

Même si pour mon futur ami ma remarque ne l'avait guère perturbé, pour moi s'était l'inverse. Touchant le collier de ma mère défunte que personne ne savait dont je gardais le secret, car oui tout le monde pensait que la femme richissime au bras de mon père était ma véritable mère. Personne n'était au courant de la relation avec la roturière et soeur du leader d'une triade chinoise dont j'étais le filleul.
Le collier un dragon en or avec ses yeux rouge ainsi que des détails vert. Les seuls moments que je le retire et pour dormir, me lavé et faire du sport.

Écoutant mon acolyte, je regarde également autour de moi, un réflexe appris avec mon parrain frère de ma mère détesté par mon père. Je laisse un sourire fin se dessiné sur mes lèvres puis il lui répondit.

Oui un pays que j'affectionne beaucoup pour diverse raison que je garde pour moi. Désolé de ne pas parlé du pourquoi cette réponse. Mais c'est ainsi. Je vois que tu prends bien tes marques Jay! Si tu as besoin de quelque chose contact moi, je pourrais t'aider.

Après que mon amis nous demande de se rapproché et qu'il me mette en garde que je n'ai aucun joker, je me dis que je suis dans la muise. Je regarde Jay une fois que mon ami s'éloigne pour expliquer les règles du jeu et préparer les bouteilles. Je m'inquiète vraiment et n'a pas le temps de lui expliquer en détail.

Jay...Crois moi fais attention...Il est très horrible avec se jeux.!

Je n'ai pas le temps qu'il les rejoints et je suis le dernier, je regarde mon amis qui me fais un signe comme quoi de faire attention à moi. Je viens à m'assoir et prends la bouteille qui tombe dans vérité. Je regarde mon ami puis attends sa question.

Nommez la personne que vous détestez le plus.

Je viens à faire un silence et m'apprête à prendre mon gobelet, mais serre les poings et regarde mon ami.

La personne que je déteste le plus c'est mon père!

Vois tout le monde chuchoté après ma réponse et viens à touché le collier pour me calmer pour ne pas pensé à toutes ses choses, puis regarde Jay pour savoir s'il veut vraiment le faire.

Il allait faire attention, sans aucun doute, mais cette petite soirée étudiante appelait aussi à jouer, et à s’intégrer en participant aux activités estudiantines extra-scolaires. Ji-hun ne comprenait pas tellement pourquoi Guowei avait tant de craintes. Il n’était question que de réponses à donner et de défis à effectuer. Le réfugié n’avait pas à sa connaissance des actions ou interrogations auxquelles il ne voudrait pas répondre. Il était franc et assumait parfaitement ce qu’il était et d’où il venait. Ça va aller Guo. Déstresser, il faut, s’exclama-t-il avant de partir vers le cercle déjà formé. Il trouva une place et s’y installa avant d’inviter son nouvel allié à s’asseoir à ses côtés. Ensemble, ils pourront ainsi s’épauler si, vraiment, l’organisateur était aussi horrible que le chinois l’avait confié.

Il fut d’ailleurs le premier à se pencher sur la bouteille pour la tourner. Le goulot atterrit dans la partie « vérité » et le maître du jeu appuya donc sur la touche aléatoire avant de lire ce qui s’afficha sur son écran. « Nommez la personne que vous détestez le plus. » Difficile. Si Ji-hun était tombé sur celle-ci, il n’aurait su quoi répondre. Il n’avait jamais vraiment eu l’impression de détester quelqu’un, ni ici, ni en Corée du Nord. On lui avait appris à prendre du recul, et à relativiser. Les sentiments négatifs n’avaient jamais été les bienvenus, ne servaient en rien à la société sinon créer quelques tensions inutiles. Et puis, la vie était bien trop courte, et les journées bien trop remplies. Guowei, quant à lui, ne mit pas grand-temps à sortir l’identité de la personne qu’il ne portait pas en son cœur.

Étrange aux yeux du nord-coréen, mais il ne fit aucune remarque contrairement à certains autres joueurs. Il ne comprit pas pourquoi tant de chuchotements autour d’eux. Il reporta son attention sur son voisin d’assise et il lui sourit. Bien sûr qu’il allait jouer, rien ne l'embêtait pour l’instant. Ce fut au tour du jeune homme à la gauche de Guowei de jouer. Il eut à faire le tour d’une table à pied joint. La suivante eut à avouer et conter sa première triche à un examen. L’autre demoiselle eut à écrire une publication sur meetsa à l’aide de ses orteils. Le maître du jeu ne jouait pas, alors il passa son tour à un autre étudiant qui chanta « Twinkle Twinkle little star », et celui qui précédait Ji-hun mangea un œuf cru. Il se pencha à son tour sur la bouteille qui indiqua une vérité à avouer. Il se tint prêt ; « qu’avez-vous fait la première nuit de votre première année ? »

Tout le monde s’attendait sûrement à ce qu’il confie quelque chose d'intime à ce sujet, pour fêter son entrée à l’université. Mais durant sa première année, Ji-hun était encore à Pyongyang, et il était hors de question d’enfreindre le couvre-feu. Mes feuilles de cours, j'ai complété, et je…, se stoppa t’il, observant les corps des étudiants qui s’étaient penchés vers lui, euphoriques à l’idée qu’il les mette dans la confidence, je suis allé dormir. Ji-hun trouva la question étrange, et encore plus la déception de ses coéquipiers de jeu.

Appli d'action ou vérité:

Souvent ses jeux étaient mélangé à l'alcool et partait en noisette. Et mon ami détestait que les gens trichais à chaque jeux et ne se privais jamais en retour de leurs faire boire. Alors en fin de soirée souvent des corps gisaient pour décuvé ou on avait le droit d'appeler une ambulance pour un coma éthylique du plus idiot de la soirée ou alors des personnes qui vomissent leurs tripes en milieu de soirée à cause des mélanges.
Regardant Jay, je me dit que je devait prendre exemple sur son assurance, mais j'ai peur pour lui au fond. Me disant que ça va aller que je dois déstresser, inspire doucement et expire. Puis me dit que si je balance des secrets, ça leurs fera pas de mal.

Après avoir sortis l'identité de la personne que je portais pas dans mon coeur, suite à la question vérité. Je vis les autres parler entre eux, est-ce qu'ils savent qui est mon père? Je ne dis rien et viens tapoté le dos de Jay pour lui dire que tout va bien. Puis je viens à observé les actions et vérités des autres, j'applaudis pour leurs courage. Puis viens Jay, j'observe le maître du jeu pour voir sa réaction. Puis d'un coup

Eh tu as triché, c'est vérité. Tu as stoppé alors tu bois!

Rapidement je me lève, ne pouvant accepté et le regarde en prétextant qu'il a le droit à un joker étant nouveau à la soirée et sur le Campus. Le maître du jeu me regarde puis fronce les yeux et me dis que je suis punis. Il me pose une question vérité *As-tu un tatouage?*
Je viens à le regardé puis le regarde énervé et lui dit oui j'ai un tatouage énorme un dragon.
Puis viens à retiré ma veste et ensuite mon tee shirt pour montré mon tatouage , que le maître du jeu regarde et me regarde en reculant doucement et commence à bégayé. Puis me tourne vers les autres qui recule un peu en le voyant. Je soupir en voyant cela et remets mon teeshirt.

Me rassoit et tourne la bouteille et tombe de nouveau sur vérité et regarde le maître du jeu et attends *Avez-vous déjà menti à votre petit amie ou petit ami?* Je le regarde et ça personne ne le sait. Puis je viens à mettre correctement ma veste et regarde le sol.

Oui j'ai menti à mon ex-petite amie pour la rupture en disant que je m'engageai dans l'armée, alors que s'était le souhait de mon père que je quitte ma copine et que je m'engage. Chose que je n'ai pas fais, mais je l'ai quittée sous ordre de mon père.

Ji-hun n’avait rien fait de plus le fameux soir de sa première année à l’université. Comme tous ces compagnons nord-coréens, il était retourné dans le logement attribué par le gouvernement, avait révisé et revu ses notes avant d’aller dormir pour cueillir le jour suivant. Il avait alors répondu de façon honnête, et n’avait pu faire plus précis. Cependant, il fut accusé de mentir, et sous le choc de l’exclamation, il ne sut quoi dire pour répliquer, peu habitué à ce genre de situations. Ce fut alors Guowei qui reprit le relais, se levant pour donner de la voix et quémander un joker. De pass, je n’ai pas besoin, fit le réfugié en s’adressant à son acolyte, mentir, je n’ai pas fait. Mais il était trop tard aux yeux de maître du jeu qui décida de donner un gage à celui qui s’était opposé à lui. Il fut attristé de savoir sa nouvelle connaissance devoir se plier à ça à cause de lui.

Pire encore, la question qui lui fut réservée choqua l’étudiant en langue renforcée. Le tatouage en Corée du Nord n’était pas très apprécié et avait une réglementation stricte. Marquer sa peau était autorisé à condition que l’acte fasse l’éloge de la famille Kim ou de son régime, et devait être approuvé par le gouvernement. Si tel n’était pas le cas, des travaux forcés étaient à effectuer dans l’un des camps prévus à cet effet. Pire, les personnes qui transgressaient cette règle pouvaient être envoyées en prison ou connaître d’atroces souffrances pour effacer l’encre sur leur peau. Ji-hun ne releva pas le regard sur Guowei, pour ne pas entrer dans son intimité, pour ne pas le juger par ces règles ancrées dans son esprit. Une obligation, ce n’était pas, adressa t’il au chinois lorsqu’il se rassit à ses côtés. Il aurait pu accepter un autre défi, sans problème.

Guowei était aimable, bienveillant, mais il n’avait pas à supporter quoi que ce soit qui incombait au nord-coréen, au risque de l’amener à être mal à l’aise pour un jeu aussi stupide que celui d’action ou vérité. Son voisin tourna de nouveau la bouteille et répondit à une autre question. Ji-hun n’avait jamais vraiment eu de petite-copine. Tout du moins, il n’avait jamais considère les femmes qu’il avait côtoyées comme tel. La question lui aurait été embarrassante, mais son allié n'eut aucun mal à donner une raison ; y avait il un lien entre cette histoire et le fait qu’il détestait son père ? Le plus âgé ne joua pas les curieux et, comme le reste de l’équipe, il se satisfit de la réponse donnée et écouta les suivantes ainsi que les gages que certains devaient effectuer pour finir le tour. Il se pencha ensuite sur la bouteille et tomba sur un défi à relever. Le maître du jeu appuya sur le bouton correspondant.

«  Faire dix pompes avec une personne sur son dos. » Une demoiselle leva la main pour faire partie de l’activité, et Ji-hun la salua respectueusement d’un signe de tête avant de se lever et s’éloigner d’y groupe. Plus loin, il se mit en position, et attendit que la jeune femme se pose de côté sur sa colonne vertébrale pour effectuer les premières pompes. Réserviste militaire lorsqu’il était encore en Corée du Nord, il n’eut aucun mal à soulever son poids et celui de sa partenaire. Le manque d’entraînement le fit galérer pour la dernière, mais il remplit l’action haut la main. Il revint s’asseoir en ayant validé son deuxième tour. Jusqu’ici, c’est plutôt facile, commenta-t-il en regardant Guowei, tu avais peur tout à l’heure, pourquoi ?

Appli d'action ou vérité:

Et voilà un de mes secrets révéler à cette soirée, certains connaissent la signification du tatouage comme le maître du jeu. Etre le filleul du leader des Sun Yee On ce n'est pas très super , si des personnes savent l'histoire . Encore moins quand votre cousin traîne dans les parages et risques de vous faire des histoires, voir mettre des bâtons dans les roues. Entendant mon portable je regarde le sms et découvre le message du cousin m'annonçant que la guerre allait bientôt être déclarer signer de ses initiales.

J'observe les autres, puis viens une fille qui tombe sur action qui est de choisir une personne ici et de l'embrasser. Je croise son regard et elle se lève pour aller vers moi, sous le coup je me repousse ne souhaitant pas, puis elle continue. Cette fois-ci je hurle non et elle embrasse ma joue. J'apprends ensuite que son collègue est claustrophobe , puis je me retiens de rire voyant l'autre personne faire la poule.

Puis je tourne la bouteille et tombe sur action, je souris et regarde le maître du jeu qui me donne la consigne de faire 50 pompes. Je le regarde en arcquant un sourcil. Puis retire ma veste et me mets en position et commence à faire les pompes qui sont du gâteau.
J'arrive facilement et rapidement sans être essouffler à 50 puis me relève. Tout le monde me regarde étonné.

J'écoute Jay puis lui frotte ses cheveux et regarde le maître du jeu et viens à l'oreille de Jay.

Il est capable de te faire sortir les plus profond secrets que tu as. Pour s'en servir.

Eh Guowei, ton père n'as pas fais partie du parti communiste ?

Je le regarde, puis rapidement me lève et viens le choppé et le plaque au sol et le regarde de travers. Prêt à le tuer face à mon soit disant amis qui ris face à ce qui se passe.

Frappe moi, ça ferra la une des média et ton fils retirer.