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Première mission : trouver un Eliot. Eliot house, Eliot house, Eliot house... A quoi peuvent-ils bien ressembler leur maison ? On dit qu'ils ne sont pas, pour la plupart, studieux, mais plutôt narcissique. Je ris à cette pensée, pourquoi ? Car moi-même, je l'étais parfois que très légèrement. Dans ma famille, on a toujours été soigné, dépendant de personnes et... Comment pourrais-je le dire sans vraiment choquer personne ? Oh, et puis zut ! Personne ne peut lire dans mes pensées, si ? Ce n'était pas comme si j'étais actrice dans une série supernaturel où je devrais surveiller mes dires ! Manipulateur. Voilà ce que nous sommes, en somme. On savait se jouer des autres et.. Personnellement ? Je le vis plutôt bien. Cela fait déjà quelques jours que j'ai quittée l'Italie, le patrimoine de mon unique grand-mère encore " en vie " en poche. A la cérémonie, je n'avais strictement ressenti. Aucune larme, aucune tristesse, aucune joie, peine, douleur, juste... L'idée de rentrée " chez moi " pour pouvoir me dorée tranquillement au soleil. Je me trouvais à cet instant dans un coin, côté fenêtre, pensive à l'idée de retourner bientôt en cours. J'avais l'impression que mon esprit était toujours à Vérone, mais mon corps, lui, me maintenait cloîtrer sur cette chaise qui pourrait se briser par une personne portant du quarante-quatre. Voyez-vous cette femme au coeur de la salle, mh ? Elle est forte, prête à exploser s'il lui faudrait avaler une petite bouchée de tarte double chocolat et pourtant... Elle semble être de bonne compagnie. Un peu trop quand même... Serais-ce un bizutage ? Un sourire plutôt moqueur fendit délicatement à cet instant le coin de mes lèvres : je le crois aussi. Généralement, ce genre de femmes seraient un crime, en Italie. Enfin.. Chez moi plutôt. Vérone.. Voilà un bon nombre d'années que je n'avais pas mis les pieds jusqu'à la semaine dernière. Ma vie à Capri semble d'ailleurs lasse et monotone au contraire de ce que j'aurais pu faire à Venise ou bien encore ma ville natale.
Assez pensée, il faut que je trouve un Eliot et vite ! Car oui, patienté n'était pas vraiment mon domaine. Et Enrique, mon très cher et adorable cousin, le savait pertinemment bien. D'ailleurs, c'était un peu le seul à connaître mes bonnes qualités que mes défauts. Et des défauts ? J'en compte par millier si vous savez ! Je levais ma main en l'air afin d'interpeller un serveur pour lui demander l'addition, celui-ci arriva très vite et ce fut dans un sourire banale, mais polie, que je lui tendis ma carte de crédit. " Mademoiselle ? " M'interpelait une personne inconnu à mon dos. Je me tournais vers cette individu, le questionnant alors du regard. " Si vous voulez bien m'excuser pour le dérangement, mais je travaille pour une association qui aide les enfants malades à pouvoir avoir une vie meilleur dans les hôpitaux.. " Des enfants malades... ? Je ne pensais même pas que c'était possible. Lorsque je vivais en Europe, j'en croisais pas tellement... C'est sure qu'entre Paris, Rome ou encore Barcelone c'était assez difficile maintenant que j'y pense. " Les enfants... " Lui demandais-je alors aussitôt en le questionnant du regard. " Qu'ont-ils ? " . Il racla à plusieurs reprises sa gorge afin de l'éclaircir avant de baisser la tête. Je compris que ce fut alors un sujet plutôt sensible à aborder et que cela ne me regarder en rien. Lorsque le serveur revint avec ma carte de crédit, je la lui repris avant de sortir hors de mon porte-monnaie quelques dollars américains que je glisse entre les doigts du bénévole. Je me levais donc hors de ma chaise afin de me diriger jusqu'à la sortie : " Merci, mademoiselle. " Me lançait le jeune homme dans un ténor pleins d'espoirs. " Si vous avez besoin de quoique ce soit, vous pouvez toujours me retrouver dans la Lowell house. " Je ne répondis en rien et poursuivait sagement mon chemin. Eliot house, Lowell house, Dunster house... Mais combien de maison y en a t-il donc seigneur ? Je roulais des yeux tout en levant mon regard droit au ciel, marchant en zigzaguant sur le trottoir, pensant dur comme fer que personne n'oserait me sortir hors de mes songes et pour la même occasion me barrer le chemin. Je me suis littéralement trompée : je heurta de pleins fouets un individu hors du commun, car oui, il venait de reverser une partie du contenue de mon sac. Je sortie donc aussitôt de mes pensées pour pouvoir croiser le regard le sien.
Assez pensée, il faut que je trouve un Eliot et vite ! Car oui, patienté n'était pas vraiment mon domaine. Et Enrique, mon très cher et adorable cousin, le savait pertinemment bien. D'ailleurs, c'était un peu le seul à connaître mes bonnes qualités que mes défauts. Et des défauts ? J'en compte par millier si vous savez ! Je levais ma main en l'air afin d'interpeller un serveur pour lui demander l'addition, celui-ci arriva très vite et ce fut dans un sourire banale, mais polie, que je lui tendis ma carte de crédit. " Mademoiselle ? " M'interpelait une personne inconnu à mon dos. Je me tournais vers cette individu, le questionnant alors du regard. " Si vous voulez bien m'excuser pour le dérangement, mais je travaille pour une association qui aide les enfants malades à pouvoir avoir une vie meilleur dans les hôpitaux.. " Des enfants malades... ? Je ne pensais même pas que c'était possible. Lorsque je vivais en Europe, j'en croisais pas tellement... C'est sure qu'entre Paris, Rome ou encore Barcelone c'était assez difficile maintenant que j'y pense. " Les enfants... " Lui demandais-je alors aussitôt en le questionnant du regard. " Qu'ont-ils ? " . Il racla à plusieurs reprises sa gorge afin de l'éclaircir avant de baisser la tête. Je compris que ce fut alors un sujet plutôt sensible à aborder et que cela ne me regarder en rien. Lorsque le serveur revint avec ma carte de crédit, je la lui repris avant de sortir hors de mon porte-monnaie quelques dollars américains que je glisse entre les doigts du bénévole. Je me levais donc hors de ma chaise afin de me diriger jusqu'à la sortie : " Merci, mademoiselle. " Me lançait le jeune homme dans un ténor pleins d'espoirs. " Si vous avez besoin de quoique ce soit, vous pouvez toujours me retrouver dans la Lowell house. " Je ne répondis en rien et poursuivait sagement mon chemin. Eliot house, Lowell house, Dunster house... Mais combien de maison y en a t-il donc seigneur ? Je roulais des yeux tout en levant mon regard droit au ciel, marchant en zigzaguant sur le trottoir, pensant dur comme fer que personne n'oserait me sortir hors de mes songes et pour la même occasion me barrer le chemin. Je me suis littéralement trompée : je heurta de pleins fouets un individu hors du commun, car oui, il venait de reverser une partie du contenue de mon sac. Je sortie donc aussitôt de mes pensées pour pouvoir croiser le regard le sien.
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