Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes étrangers ont-ils toujours été aussi courtois ? (ft. Chris L. N. Svendsen)
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Les étrangers ont-ils toujours été aussi courtois ? (ft. Chris L. N. Svendsen)

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Première mission : trouver un Eliot. Eliot house, Eliot house, Eliot house... A quoi peuvent-ils bien ressembler leur maison ? On dit qu'ils ne sont pas, pour la plupart, studieux, mais plutôt narcissique. Je ris à cette pensée, pourquoi ? Car moi-même, je l'étais parfois que très légèrement. Dans ma famille, on a toujours été soigné, dépendant de personnes et... Comment pourrais-je le dire sans vraiment choquer personne ? Oh, et puis zut ! Personne ne peut lire dans mes pensées, si ? Ce n'était pas comme si j'étais actrice dans une série supernaturel où je devrais surveiller mes dires ! Manipulateur. Voilà ce que nous sommes, en somme. On savait se jouer des autres et.. Personnellement ? Je le vis plutôt bien. Cela fait déjà quelques jours que j'ai quittée l'Italie, le patrimoine de mon unique grand-mère encore " en vie " en poche. A la cérémonie, je n'avais strictement ressenti. Aucune larme, aucune tristesse, aucune joie, peine, douleur, juste... L'idée de rentrée " chez moi " pour pouvoir me dorée tranquillement au soleil. Je me trouvais à cet instant dans un coin, côté fenêtre, pensive à l'idée de retourner bientôt en cours. J'avais l'impression que mon esprit était toujours à Vérone, mais mon corps, lui, me maintenait cloîtrer sur cette chaise qui pourrait se briser par une personne portant du quarante-quatre. Voyez-vous cette femme au coeur de la salle, mh ? Elle est forte, prête à exploser s'il lui faudrait avaler une petite bouchée de tarte double chocolat et pourtant... Elle semble être de bonne compagnie. Un peu trop quand même... Serais-ce un bizutage ? Un sourire plutôt moqueur fendit délicatement à cet instant le coin de mes lèvres : je le crois aussi. Généralement, ce genre de femmes seraient un crime, en Italie. Enfin.. Chez moi plutôt. Vérone.. Voilà un bon nombre d'années que je n'avais pas mis les pieds jusqu'à la semaine dernière. Ma vie à Capri semble d'ailleurs lasse et monotone au contraire de ce que j'aurais pu faire à Venise ou bien encore ma ville natale.

Assez pensée, il faut que je trouve un Eliot et vite ! Car oui, patienté n'était pas vraiment mon domaine. Et Enrique, mon très cher et adorable cousin, le savait pertinemment bien. D'ailleurs, c'était un peu le seul à connaître mes bonnes qualités que mes défauts. Et des défauts ? J'en compte par millier si vous savez ! Je levais ma main en l'air afin d'interpeller un serveur pour lui demander l'addition, celui-ci arriva très vite et ce fut dans un sourire banale, mais polie, que je lui tendis ma carte de crédit. " Mademoiselle ? " M'interpelait une personne inconnu à mon dos. Je me tournais vers cette individu, le questionnant alors du regard. " Si vous voulez bien m'excuser pour le dérangement, mais je travaille pour une association qui aide les enfants malades à pouvoir avoir une vie meilleur dans les hôpitaux.. " Des enfants malades... ? Je ne pensais même pas que c'était possible. Lorsque je vivais en Europe, j'en croisais pas tellement... C'est sure qu'entre Paris, Rome ou encore Barcelone c'était assez difficile maintenant que j'y pense. " Les enfants... " Lui demandais-je alors aussitôt en le questionnant du regard. " Qu'ont-ils ? " . Il racla à plusieurs reprises sa gorge afin de l'éclaircir avant de baisser la tête. Je compris que ce fut alors un sujet plutôt sensible à aborder et que cela ne me regarder en rien. Lorsque le serveur revint avec ma carte de crédit, je la lui repris avant de sortir hors de mon porte-monnaie quelques dollars américains que je glisse entre les doigts du bénévole. Je me levais donc hors de ma chaise afin de me diriger jusqu'à la sortie : " Merci, mademoiselle. " Me lançait le jeune homme dans un ténor pleins d'espoirs. " Si vous avez besoin de quoique ce soit, vous pouvez toujours me retrouver dans la Lowell house. " Je ne répondis en rien et poursuivait sagement mon chemin. Eliot house, Lowell house, Dunster house... Mais combien de maison y en a t-il donc seigneur ? Je roulais des yeux tout en levant mon regard droit au ciel, marchant en zigzaguant sur le trottoir, pensant dur comme fer que personne n'oserait me sortir hors de mes songes et pour la même occasion me barrer le chemin. Je me suis littéralement trompée : je heurta de pleins fouets un individu hors du commun, car oui, il venait de reverser une partie du contenue de mon sac. Je sortie donc aussitôt de mes pensées pour pouvoir croiser le regard le sien.
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En retard ! Comme si j'avais besoin de ça ! Mais qu'est-ce que je raconte, tout va bien ! Non ! Je suis amoureux putain ! Rien ne va, rien ! C'est la merde ! Faut juste que je respire un bon coup, que j'oublie ces légers petits problèmes, que je me re-concentre sur ma belle personne et tout ira pour le meilleur des mondes. Et mes filles aussi. Faut que j'arrive à les voir, j'en peux plus de me savoir père et de ne pas pouvoir les voir. J'ai merdé, certes, mais je reconnais mes erreurs, et ça, Andy veut pas le comprendre. J'aurais tellement voulu la récupérer, mais non, au lieu de ça, il a fallu que je tombe amoureux de sa meilleure amie sur qui je voulais me venger à la base. Et maintenant je suis grandement pommé. Et en retard aussi ! Je viens de finir de manger en ville avec ma mère qui est venue me rendre visite, bien que je m'en fiche un peu. Et bien sûr, elle m'a monopolisé bien plus de temps qu'il ne fallait. Et bien sûr, c'est moi qui vais être en retard à mon cours de botanique. Certes, mes parents je m'en fous un peu, mais je voudrais tout de même récupéré la société de mon père, et pour ça, il faut que j'aille en cours ! Une fois sorti du resto', je dis au revoir vite fait à ma mère et cours en direction de l'université, en zigzagant entre les passants. Et comme une malchance n'arrive jamais seule, en voulant éviter un cycliste qui roulait bien trop vite, je me suis retournais, tout en courant et en lui gueulant Connard, tu vois pas qu'il y a du monde ici ?! Je ne ralentissais pas pour autant et en voulant me recoiffer, je bousculais un peu violemment quelqu'un Putain de merde ! J'en crois pas mes ... J'avais déposé mes yeux sur la personne que j'avais bousculé et croisa son regard ... Yeux ... J'avais sorti ce mot complètement détaché du reste de ma phrase. Je ne m'étais pas attendu à croiser le chemin d'une belle demoiselle, et la pensée qui me traversa, fut que j'étais bien deg d'être amoureux. Le côté dragueur finissait toujours par ressortir, mais je devais apprendre à le maitriser. Alors est-ce que je peux savoir ce que je fous à terre en train de lui ramasser son sac ?!?! J'aurais mieux fait de me barrer oui ! Je lui tendis alors son sac Désolé, je t'ai pas vu et je fonçais comme un taré parce que ... Illumination ! Mes cours ! Je regardais alors l'heure sur ma montre complètement affolé et me mis à souffler de désespoir. Putain c'est trop tard ...

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Les objets de mon sac s'étant éparpillée sur tous le sol, je ne pouvais que juré de tous les noms cet homme intérieurement. " Putain de merde ! J'en crois pas mes ... " Il avait une voix si... Imposante, qu'il me casserait bien les tympans. Non de dieu ! Comment pouvait-on hurler aussi fort, surtout lorsqu'on se trouver seulement à quelques millimètres de la personne " responsable " de tout cela ? " Yeux ... " . Nos regards se croisèrent un instant, celui possédant des pupilles aussi bleu océan que les miennes. On aurait presque dit que je m'y noierais à l'intérieur. Je ne pensais pas qu'on pouvait avoir des pupilles aussi similaire, mh.. Sa doit être surement parce que chez moi, les habitants avaient plus l'habitude de posséder des yeux vert. En parlant de ce pays.... Ici, les personnes peuvent être constamment... Pressés dans ce pays de dingue ! Je soupirais intérieurement face à cet individu qui avait bien pris soin de me " déboiter " l'épaule avant de s'accroupir aussitôt pour ramasser mes affaires. Quand je dis " déboiter " c'est bien entendu verbalement parlant. Je me contentais de le regarder sagement, plissant mes cils à deux reprises. Quel galanterie, les étrangers ont-ils toujours été aussi courtois dans ce pays ? Mh.. Il est bien évidemment sur que s'il aurait heurté un passant italien, celui-ci l'aurait insulté de tous les noms, lui aurait pris soin de le remettre en place et j'en passe. En observant minutieusement du coin de l'oeil le jeune homme, une question me traversa aussitôt l'esprit : de quel maison était-il ? Que je n'avais plus à chercher comme une dingue pour réussir le bizutage. D'ailleurs, j'ignorais que chez " les grosses têtes " c'était possible d'en faire ! Quoique... J'ai entendu beaucoup d'éloge dans leur maison. Il paraîtrait même que les fêtes les plus connus viennent de chez eux ! Comme quoi... Il faut toujours se méfier des apparences. La grosse tête est juste un plus en plus d'être dévergonder dans les soirées. " Désolé, je t'ai pas vu et je fonçais comme un taré parce que ... " Marmonnait-il dans son coin. Etais-ce donc à moi qu'il parlait ou bien... ? Mon regard se dirigea sur ma gauche, puis ma droite : personne. Donc oui, c'était bel et bien à moi qu'il parlait. Lorsqu'il me tendit le sac, je la saisie et lui gratifiais d'un simple sourire doux, juste polie. " Putain c'est trop tard ... " Cet homme devait être aussi dingue que moi... Surtout à parler ainsi et tout seul en plus de ça, c'était bien ma veine. Je décidais alors de plonger mes prunelles océaniques dans les siennes, tout en gardant intact mon sourire, je lui lançais d'une voix suave : " Merci, mh... ? " J'arquais aussitôt un sourcil, le questionnant donc du regard. J'attendais donc qu'il se présente. Après m'avoir heurté ainsi comme un sauvageon je méritais bien de connaître de son nom, non ?
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J'étais méga dégouté. Tout ça à cause de ma mère. Mais je ne peux pas lui en vouloir, c'est en partie grâce à elle que je suis sur terre, je lui suis reconnaissant. Je n'ai pas le droit de lui cracher dessus. Et j'aurais très bien pu le faire sur le jolie demoiselle, mais je n'y arrivais pas non plus. Tout ça à cause de Kara, j'en suis sûr. Boh peut-être pas après tout. Peut-être que cette fille a un aura qui m'intéresse. Elle a intérêt à être friqué, parce que sinon, je me casse. J'en ai marre de tous ces paysans, j'en rencontre trop et on va finir par être envahi par ces crasseux. Puis je me mis à regarder alors son sac, et je pus remarquer que c'était une marque. Bon point pour elle. Mais pour vraiment savoir, faudrait que je vérifie ses vêtements. Si seulement je pouvais les toucher et les lui enlever ... Putain de dragueur, sort de ce corps ! Heu ... Chris. Je lui tendais alors la main, pour faire genre que je suis un gentleman et que je ne pensais à rien d'autre qu'à me présenter. Enchanté. Et j'ai à faire à ... ?J'attendais évidemment à mon tour, son prénom. En tout cas, si elle n'est pas riche, elle a au moins le mérite d'avoir la classe, comme un vrai riche. T'es à Harvard ? Ouais question directe, mais j'avais que ça à faire maintenant, faire un peu connaissance avec celle que je venais de bousculer violemment.

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Maquillage ? Mac. Sous-vêtement ? Victoria's Secret. Robe ? Mickael Kors. Talon ? Jimmy Choo. Et sac à main ? Louis Vuitton, bien sur ! Quel italien ou italienne ne sortira pas avec une marque Louis Vuitton sur lui ou bien elle. Quant aux accessoires, je n'aie pas été trop " gourmande " la plupart venait de Zara, mise à part mon bracelet qui venait de chez Tiffany & Co. Comme disait souvent mon père, j'ai des goûts de luxe. J'adorais les vêtements de bonnes qualités, qui mettent en valeur mes attributs féminins. Et après quelques regards échangeaient avec cet inconnu, il semblerait que lui-même était un adepte des grands marques, tout comme moi. " Heu ... Chris. " Finissait-il enfin par se présenter en me tendant poliment la main. Et bien, j'ignorais que ce genre de chose se faisait encore. " Enchanté. Et j'ai à faire à ... ? " Je décidais alors de lui saisir la main, pour me présenter à mon tour. " Rosalia. " Répondais-je simplement en me contentent de le regarder. Mh.. J'aurais du demander à ma marraine de maison comment pouvais-je repérer un Eliot house sans aucune difficulté. Ce que je peux être tête en l'air parfois. J'essaye tant bien que mal d'essayer de trouver les critères qui pourraient m'amener à cette conclusion, mais en vain. Et puis.. Il y avait tellement de maison que je ne sais plus où donner de la tête ! " T'es à Harvard ? " Me questionnait-il aussitôt. Et bien ? Cela ne se voit-il donc pas ? Quoique.. Mon accent italienne jouer beaucoup aussi maintenant que j'y pense. Il doit très certainement penser que j'étais une touriste ? Oh, j'aimerais bien, ça oui ! Mais.. Malheureusement, je n'étais pas là pour jouer les photographes en herbe mais avoir un diplôme et prouver à mon père que, même si j'étais une " femme " je pouvais parfaitement bien reprendre son entreprise, à la place d'Enrique. En réponse, je hochais positivement la tête, répondant dans une pointe d'humeur dans un léger rire : " Mon accent s'entends t-il autant que cela ? "
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L'accent de la jeune femme ?! Je n'avais réussi à le discerner qu'à la phrase qu'elle venait de me dire à l'instant pour savoir si justement son accent était trop prononcé. Bon bah apparemment, la réponse est oui. Franchement ?! Je viens à peine de me rendre compte que t'as l'accent italien. Mais garde le, ça te donne un charme en plus ! Non mais chut toi ! Après elle va s'imaginait des chose qui ne sont pas. Bon d'accord, peut-être un peu, mais quand même pas ! Mais bon, c'est quand même vrai que l'accent italien est terriblement craquant. C'est ce que disent les femmes à propos des italiens. Et bien je peux vous dire que ça marche aussi pour les femmes italiennes sur les autres hommes. Moi mon accent n'a rien de très attirant, c'est mon physique de dieu qui fait tout le reste. Bien que j'ai réussi à en mettre dans mon lit grâce à ce dernier, comme quoi ça fait viking ou je sais plus trop quoi. S'il faut je descend vraiment d'un viking, mais bon je m'en fous un peu, tant que j'arriveais à me choper les meufs que je voulais. Puis je me rendais compte qu'on était en plein milieu de la foule qui n'arrêtait pas de faire des zigzag autour de nous pour nous éviter. T'as quelque chose de prévu ? Putain, pourquoi j'arrive pas à me casser simplement franchement ?!

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" Franchement ?! Je viens à peine de me rendre compte que t'as l'accent italien. Mais garde le, ça te donne un charme en plus ! " Vraiment ? Et bien ! C'était bel et bien le premier ! D'habitude, que ce soit avec n'importe quel personne d'ailleurs, ont pouvaient très bien entendre mon accent. Et puis d'ailleurs.. Qui lui à dit que c'était un accent italien que j'avais, mh ? Quel petit menteur. Je savais bien qu'on pouvait parfaitement entendre mon accent. A ces derniers dires, j'esquissais un sourire narquois dont j'avais moi seule le secret, m'avançant d'un pas face à son être, balayant du regard son torse afin de percevoir le moindre petite signe de quel maison pouvait-il appartenir dans ce campus, en vain. Mh.. Il va donc falloir que je lui demande. Qu'est-ce que j'y perd de toute manière ? " Qui à dit que c'était un accent italien que j'avais, mh ? " Finissais-je par l'interroger en haussant un sourcil dans un sourire espiègle. Je sentais parfois plusieurs coudes de la foule me heurter le bas de mon dos, personnellement je n'en avais absolument rien à faire. Qu'il me heurte, effleure la belle matière première qu'est le tissus de ma robe, ça m'est égale : cette robe ? Je ne l'a porterais qu'une fois, soit aujourd'hui. " T'as quelque chose de prévu ? " Me demandait-il alors. Je haussais avec innocence mes épaules, effectuant alors une légère moue de chien battue, répondant : " Je suis à la recherche d'un étudiant de la Eliott house. Mais.. Ils semblent ce faire rare, apparemment. Je n'aie vue que des étudiants de la Lowell house ou bien encore des Cabots house... Et toi ? Tu as quelque chose de prévu ? "
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Comment j'avais su que c'était un accent italien ?! J'arquais un sourcil, je suis pas isolé du monde quand même ! Je sais à quoi ressemble un accent italien. C'est pas comme essayer de discerner un accent écossais de celui des irlandais ... Là j'avoue j'ai grandement du mal. Mais Le parrain quoi ! Je l'ai trop vu pour ne pas reconnaître leur accent. Sûrement parce que je l'ai reconnu et que tu n'es pas la première italienne que je rencontre ?! Désolée pour toi ma belle ! Elle devait rien avoir à faire de ne pas être la première blonde que je rencontre, mais j'ai ressenti ce besoin de la taquiner et de la surnommer. Déjà. Alors qu'on ne se parle que depuis quelques minutes. Puis je lui avais alors demandé si elle avait quelque chose de prévu, parce que j'avais bizarrement envie de passer du temps avec elle. Ce qu'elle me révéla donc, me surpris assez. J'écarquillais un peu les yeux puis ne répondit pas vraiment à sa question, mais à ce qu'elle devait trouver. Faut croire que la chance a enfin tourné pour toi. Parce que tu as le plus beau, le plus magnifique et le plus fort des Eliot. Tout ce que tu voudras, je peux le faire. Oula je m'emportais un peu moi. Trop tard. Et je sentais qu'elle allait en profiter. Mais c'est bizarre, je t'aurais imaginé plutôt chez les Cabots, ou chez nous. Vu ses vêtements, cela ne m'aurait pas étonné. Mais après tout je ne la connais pas encore.

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