Ji-hun "J." Hwang
feat. Jong-seok Lee
courage, &
[...] I survived.
naissance
Né en terre République populaire démocratique de Corée, dans la région de Hamgyong du Sud, il a vu le jour le dix-neuf mars mille neuf cent quatre-vingt-seize. Peinant encore à se faire au calendrier chrétien, il lui arrive souvent de dire qu’il a pris vie à l’équinoxe du printemps juche quatre-vingt-quatre.
nom(s) & prénom(s)
Ji-Hun Hwang, comme plusieurs milliers d’autres coréens, du Nord et du Sud confondus. Un patronyme banal qui pourtant révèle l'ambition et la détermination qui le consument, et qui le prédestinent à rafler tous les tops qui font son domaine de prédilection qu’est la science.
nationalité(s)
D’abord en transit au Japon, à la frontière duquel son père et lui ont demandé le droit d’asile, il n’a pas réussi à obtenir leur protection. Déterminé, il a finalement été parrainé par une famille américaine via une association privée, avant de se voir offrir la réinstallation en Corée du Sud. Il est Nord-coréen, et réside aux États-Unis en tant que réfugié depuis mars.
origine(s)
Coréen. Un peu du Nord, un peu du Sud. Avec l’habitude de voir le territoire séparé, on tend à oublier que la Corée ne faisait qu’une avant la fin de la Seconde Guerre Mondiale ; la démarcation au 38° parallèle n’existait pas avant février 1945.
orientation sexuelle
Attiré exclusivement par les courbes des demoiselles et dames de vingt-et-un à cinquante-trois ans. Question de principe. Il ne veut pas de problème en séduisant une mineure, et ne se voit pas s’amuser avec une femme qui aurait l’âge de sa mère, pour éviter toute confusion ; il ne cherche pas une maman de substitution.
statut amoureux
Ji-Hun découvre peu à peu certaines libertés, à tel point qu’il ne désire pas voir ses ailes être coupées en plein vol. Il est célibataire et compte bien le rester pour multiplier ses expériences relationnelles. Il est curieux des femmes, et plus particulièrement de celles qui viennent de contrées qui lui sont inconnues ; pour ne pas dire toutes.
études
Il a complété l’équivalent de son Master’s degree dans le domaine de la chimie/biologie dans l’Université de sciences et de technologie de Pyongyang, où les cours étaient prodigués par des professeurs étrangers en anglais. Papiers traduits en poche, après des cours intensifs en anglais au sein d’Harvard, il sera bon pour débuter la rentrée prochaine sa première année de doctorat avec l’espoir de devenir un jour chercheur pharmaceutique.
bourse
Boursier et bien plus. Ji-hun est soutenu financièrement par un programme qui permet aux réfugiés de poursuivre leurs études supérieures. Il perçoit une bourse qui couvre une partie des frais d’inscription et d’hébergement, mais également un soutien psychosocial, du tutorat linguistique et une mise en réseau afin qu’il ne soit jamais seul.
statut social
Il n’est pas riche, mais pas pauvre non plus. Il ne vit d’aucun prestige, peut toutefois compter sur une aide financière de son père qui, malgré une place en or en tant que botaniste, voit ses origines l’empêcher d’obtenir un salaire décent. Le Nord-coréen est ainsi comme une majorité de la population bostonienne : il profite, mais pas trop.
job étudiant
L’argent envoyé par son paternel ainsi que l’enveloppe octroyée pour ses études ne suffisant pas, il a toujours su trouver des petits boulots. Récemment il a décidé de postuler à la Luna Caffe, puisqu'il répond parfaitement à l’ambiance désirée par l’établissement. Il est connu pour avoir toujours une petite attention particulière pour chaque client – surtout pour les clientes qui fondent devant son accent très prononcé et sa façon de s’exprimer.
maison
Pforzheimer House
Né en terre République populaire démocratique de Corée, dans la région de Hamgyong du Sud, il a vu le jour le dix-neuf mars mille neuf cent quatre-vingt-seize. Peinant encore à se faire au calendrier chrétien, il lui arrive souvent de dire qu’il a pris vie à l’équinoxe du printemps juche quatre-vingt-quatre.
nom(s) & prénom(s)
Ji-Hun Hwang, comme plusieurs milliers d’autres coréens, du Nord et du Sud confondus. Un patronyme banal qui pourtant révèle l'ambition et la détermination qui le consument, et qui le prédestinent à rafler tous les tops qui font son domaine de prédilection qu’est la science.
nationalité(s)
D’abord en transit au Japon, à la frontière duquel son père et lui ont demandé le droit d’asile, il n’a pas réussi à obtenir leur protection. Déterminé, il a finalement été parrainé par une famille américaine via une association privée, avant de se voir offrir la réinstallation en Corée du Sud. Il est Nord-coréen, et réside aux États-Unis en tant que réfugié depuis mars.
origine(s)
Coréen. Un peu du Nord, un peu du Sud. Avec l’habitude de voir le territoire séparé, on tend à oublier que la Corée ne faisait qu’une avant la fin de la Seconde Guerre Mondiale ; la démarcation au 38° parallèle n’existait pas avant février 1945.
orientation sexuelle
Attiré exclusivement par les courbes des demoiselles et dames de vingt-et-un à cinquante-trois ans. Question de principe. Il ne veut pas de problème en séduisant une mineure, et ne se voit pas s’amuser avec une femme qui aurait l’âge de sa mère, pour éviter toute confusion ; il ne cherche pas une maman de substitution.
statut amoureux
Ji-Hun découvre peu à peu certaines libertés, à tel point qu’il ne désire pas voir ses ailes être coupées en plein vol. Il est célibataire et compte bien le rester pour multiplier ses expériences relationnelles. Il est curieux des femmes, et plus particulièrement de celles qui viennent de contrées qui lui sont inconnues ; pour ne pas dire toutes.
études
Il a complété l’équivalent de son Master’s degree dans le domaine de la chimie/biologie dans l’Université de sciences et de technologie de Pyongyang, où les cours étaient prodigués par des professeurs étrangers en anglais. Papiers traduits en poche, après des cours intensifs en anglais au sein d’Harvard, il sera bon pour débuter la rentrée prochaine sa première année de doctorat avec l’espoir de devenir un jour chercheur pharmaceutique.
bourse
Boursier et bien plus. Ji-hun est soutenu financièrement par un programme qui permet aux réfugiés de poursuivre leurs études supérieures. Il perçoit une bourse qui couvre une partie des frais d’inscription et d’hébergement, mais également un soutien psychosocial, du tutorat linguistique et une mise en réseau afin qu’il ne soit jamais seul.
statut social
Il n’est pas riche, mais pas pauvre non plus. Il ne vit d’aucun prestige, peut toutefois compter sur une aide financière de son père qui, malgré une place en or en tant que botaniste, voit ses origines l’empêcher d’obtenir un salaire décent. Le Nord-coréen est ainsi comme une majorité de la population bostonienne : il profite, mais pas trop.
job étudiant
L’argent envoyé par son paternel ainsi que l’enveloppe octroyée pour ses études ne suffisant pas, il a toujours su trouver des petits boulots. Récemment il a décidé de postuler à la Luna Caffe, puisqu'il répond parfaitement à l’ambiance désirée par l’établissement. Il est connu pour avoir toujours une petite attention particulière pour chaque client – surtout pour les clientes qui fondent devant son accent très prononcé et sa façon de s’exprimer.
maison
Pforzheimer House
admission à harvard
À sa naissance, issus d’un père botaniste, travaillant pour le compte du conseiller de l’agriculture, le Nord-coréen était prédestiné à étudier les sciences ; le gouvernement ne permettant à aucun de ses citoyens de choisir son métier. Bien qu’il ait été endoctriné par le système éducatif via le culte de la personnalité et la falsification de l’histoire, Ji-hun se sait chanceux d’avoir grandi dans une famille « élitiste » au domaine d’études qui ne laissait pas la place à des données altérées . La pénibilité des travaux agricoles et de construction, obligatoires et faisant partie du programme, ne l’a pas empêché d’être très bon élève, poussé par la crainte des lourdes sanctions subies à l’échec des examens, il faut bien l’avouer.
Il a intégré l’université des sciences et technologies de Pyongyang sans faute, établissement qui connaît, comme sa voisine, un niveau d’excellence supérieur en lecture/mathématiques/sciences que celui des États-Unis, notamment grâce à la recherche de perfection du régime qui souhaite forger des « révolutionnaires talentueux ». Dans ces notions de « talents » et d’ « idéal » , avec toute l’ambition et la détermination qui puissent exister, Ji-hun s'est vite mis en tête d’intégrer la fabuleuse Harvard, attiré par le matériel de pointe mis à disposition des étudiants, mais aussi par le programme proposé aux PhD. Soutenu par ses parrains/marraines, il a complété son dossier d’admission à l’aide des documents traduits qu’il avait réussi à sauver.
Appréciations élogieuses de ses professeurs, bien que tournées d’une façon originale, et recommandations de ses patrons auprès desquels il s’était engagé peu après son arrivée sur le sol américain. Résultats du test de fin de lycée de Corée du Nord dépassant les six cent cinquante points pour chacune des parties, il a écrit sa dissertation sur ses œuvres au profit de la société dans laquelle il vivait, appelé régulièrement à donner de son temps pour la cause sanitaire face au système de santé défaillant de son pays, concluant son désir de poursuivre une carrière dans la recherche. Ses expériences citoyenne, éducationnelle et professionnelle l’ont aidé à se démarquer lors de l’entretien, et sa personnalité a fait le reste lors de l’échange ; Harvard a tout autant à y gagner.
caractère du personnage
Ji-hun est fait d’un état d’esprit façonné par le régime totalitaire duquel il vient, il est ainsi dévoué à la société et fait preuve de collaboration en toutes circonstances. Il a besoin des autres, et n’aime pas se retrouver seul. Au milieu de la foule, il peut se montrer incompréhensif de la multitude d’opinions, de croyances et de points de vue qui s’agitent autour de lui. Heureusement, ce défaut est balancé et équilibré par son côté curieux qui le pousse à s’ouvrir doucement aux différences et à expérimenter avec un peu plus de sérénité.
Il prend au sérieux ses ambitions professionnelles et objectifs étudiants. C’est un travailleur acharné qui recherche toujours l’excellence. Il est rigoureux, discipliné et fait preuve d’une extrême concentration quand il est face à un enjeu de taille. Ce trait de caractère l’amène parfois à en attendre beaucoup des autres également. Il ne laisse pas de place à la flemmardise dans son groupe de travail, car s’il y a une finalité à atteindre c’est ensemble. C’est un vrai leader qui sait aider ses coéquipiers/ses collègues à se surpasser.
C’est un jeune homme vif et alerte qui peut paraître parfois étrange et excentrique, attitude expliquée par le gain de libertés récent. Il est attiré par la nouveauté et l’originalité, sans se douter qu’il est intéressant pour les autres par sa singularité. Il participe volontiers aux activités qui demandent réflexion et logique, prêt à mettre à profit la culture générale emmagasinée. Il peut toutefois se joindre aux jeux plus « chill » qui laissent parler la spontanéité. Vous pourrez ainsi compter sur lui autant pour un trivial pursuit que pour un jeu de la bouteille.
Le Nord-coréen n’exprime pas ses sentiments et retient instinctivement colère et frustration, tout simplement parce qu’il n’a jamais appris à les exposer. Il lui arrive de se confier au sein de la cellule psychosociale mise à disposition par l’association privée qui l’a aidé. Il évacue plus aisément au sein du club de natation, ce qui lui permet de garder une attitude positive , et l’attention sur ce qui importe réellement ; il ne supporterait pas de s’éparpiller. Les vibrations de l’eau lui font un bien fou, parce qu’elles lui rappellent qu’il n’est plus oppressé.
Très réceptif à la beauté et aux apparences physiques, il aime finement séduire et ne s’en cache pas. Il n’a pas de fille idéale, à une attirance particulière pour les types de morphologies et corps qu’il n’a pas encore rencontrés. Il est toutefois franc, ne promettra pas monts et merveilles quand son charme décalé ne lui sert qu’à profiter de bons moments en compagnie d’une femme ; du simple tête-à-tête au moment plus intime. Contrairement à ses voisins, Ji-hun a grandi dans un pays où la sexualité est moins puritaine qu'on l'imagine, est pratiquée assez tôt.
anecdotes
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Ji-hun Hwang)