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MARYA + on ne choisit pas de s'attacher à quelqu'un, notre coeur le fait pour nous.

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La dernière fois qu’elle l’avait vu, cela ne s’était pas forcément très bien terminé. Malgré l’échange de quelques messages, elle ne savait pas quand elle allait pouvoir le revoir. Il avait décidé de la tenir au courant concernant son opération. Mais depuis, Amaya n’avait pas tant de message que ça et elle comprenait. Ce n’était pas une opération des plus simples et des plus agréables, alors elle avait décidé d’attendre sagement sans lui envoyer des messages à répétition. Les journées passaient, l’inquiétude était au plus haut. Amaya avait décidé de sortir en cette fin de journée, faire son sport pour garder un corps comme elle le désirait, enfilant rapidement sa tenue de sport. La nuit commençait à tomber petit à petit, mais elle connaissait très bien son circuit, très éclairé et surtout plus calme qu’en pleine journée. Les écouteurs dans les oreilles, la musique qui résonne dans son crâne. Elle commence à courir pour s’échauffer, doucement, et finalement elle part dans une course sans embuche. Il n’y a pas grand monde, une chance pour elle, elle ne pourra pas se plaindre d’avoir été dérangé pendant sa séance. La jeune demoiselle avait bien du mal à faire ses séances chaque jour, un travail bien trop important, des études soutenues. Alors qu’elle allait bientôt finir son tour, son regard se posa automatiquement sur cette forme, non loin de son chemin du retour. La jeune femme décida d’accélérer le pas, peut-être qu’elle hallucinait, mais pourtant, elle avait bien l’impression de le voir. Arrivé à sa hauteur, en effet, il s’agissait bien de cet homme, un léger sourire sur tes lèvres. « Marin. » laissait-elle glisser entre ses lèvres. Loin d’être très sexy, dégoulinante de sueur, pourtant elle s’en fichait de ce détail. Elle était juste heureuse de le trouver ici, debout, il avait l’air d’être en pleine forme.
@Marin Perol
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L'opération était désormais derrière toi, une étape de passé et il te suffisait de patienter. Une vertu que tu as appris à cultiver depuis que tu es môme. Selon les derniers examens que tu avais fait avant de quitter la clinique, ton était se voulait très encourageant. Repos et reprise progressive d'une vie normale, un juste équilibre sur lequel tu prends de nouvelles marques depuis ta sortie. Louve et ton meilleur ami sont présent sans oublier l'ensemble de ton entourage amical. Laia étant également sortie de la clinique récemment, vous vous soutenez les coudes ce qui vous fait rire. Depuis plusieurs mois, tu avais fait prendre des cours à ta petite compagne canine au cas où ta déficience visuelle aurait empiré. Des cours de pratiques que lui permettent de t'aider au quotidien surtout en ce moment. Pendant les deux jours qui ont suivis l'opération tu as eu les yeux bandés afin de ne pas les fatiguer et d'éviter toute lumière agressive. Plus de dix jours après, tu avais pu sortir tout en ayant un suivi stricte. Un traitement anti rejet couplé à une prudence afin de ne pas trop te fatiguer étaient les clés d'une réussite selon le médecin. Tu avais repris les cours et le boulot à distance – en télé travail – mais avec énormément de repos. Quand aux activités sportives, elles étaient conseillés mais avec modération. Depuis ta sortie, tu prenais plaisir à sortir Snow en fin début de soirée, une heure propice entre le dernier rayon solaire et l'aube de l'astre lunaire à la fois. Lunette de soleil sur le boit de ton nez, tu marches tranquillement dans l'arrondissement de Along Charles River lorsque la jeune chienne s'arrête devant un part terre de fleurs. Tu t'abaisses à sa hauteur, caressant le sommet de sa tête alors que les effluves florales viennent chatouiller tes narines. Ta déficience visuelle aura eu le loisir de faire davantage travailler tes autres sens. Une pensée qui t'arrache un maigre rictus ironique. Snow aboie une première fois, remuant la queue joyeuse de partager ces instants avec toi. Ton absence, elle l'avait fait payer à ta colocataire mais également à Anja. « Allez on y va ma grande ! ». Lorsque tu t'apprêtes à te relever, tu perçois une voix que tu ne reconnais que trop bien. Tu te relèves et te retourne tandis qu'elle énonce ton appellation, sourire aux lèvres. « Amaya ... ». Ton timbre de voix est calme mais rieur à la fois car le hasard est véritablement étrange ces temps ci. Au vue de sa tenue vestimentaire et de son souffle quelque peu saccadé tu comprends qu'elle était en pleine séance de footing. Snow aboie une seconde fois, cette fois pour manifester sa présence mais surtout parce qu'elle sait que la jeune Suarez est une demoiselle. Comment dire que ta chienne est possessive et jalouse. « Comment ça va ? ». Lui demandes tu en souriant tout en repoussant tes lunettes de soleil sur le bout de ton nez.
@Amaya N. Suarèz
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Le sport, le seul moyen qu’il lui restait pour canaliser son humeur, garder un corps sain avec la tête saine également. Alors oui, parfois elle n’avait pas le temps de le faire, elle finissait par le faire à son retour de l’hopital en plein milieu de la nuit. Amaya n’avait peur de rien, sauf certainement de la mort. Le décès de son frère n’avait aidé en rien, bien au contraire, ça ne faisait que de l’enfouir, un peu plus dans un puit sans fond. Elle tentait toujours de garder la tête haute, de rester forte, mais ce n’était pas évident tous les jours. Surtout en ce moment, elle avait fini par s’attacher à cet homme, celui qui devait recevoir l’un des organes de son frère. Elle espérait que cette opération allait fonctionner, qu’il n’y aurait aucun rejet et surtout une opération simple sans embuche. Bien évidemment, c’était bien trop demandé, alors, elle attendait un simple message, des nouvelles. Un léger soupire s’échappa de sa bouche, après avoir pris le temps de se préparer pour son sport, elle dégringola rapidement les marches de son appartement pour se retrouver dehors. Elle courrait, la musique l’entrainant, la poussant toujours dans ses retranchants. La course lui permettait de libérer ce stress permanent, rendre son corps fatigué jusqu’à ce qu’elle puisse ne plus tenir debout. S’endormir d’épuisement pour ne plus penser une seule seconde à son frère et à ses nombreux problèmes. Alors qu’elle se posait la question de comment s’était passé l’opération, au loin, elle reconnu le jeune homme. Cette démarche, son corps, alors elle s’empressa de reprendre sa course dans sa direction. Amaya avait envie de le voir, d’entendre sa voix, et de savoir comment il se portait. Elle l’avait rattrapé, laissant juste son prénom sortir de sa bouche. S’arrêtant à seulement un mètre de lui, observant cette petite boule de poils à ses pied. Léger sourire sur ses lèvres, elle était contente de le voir ainsi, il avait l’air de bien aller. « Elle n’a pas l’air très heureuse de moi. » soufflait-elle doucement en rigolant. Son regard posé sur le jeune homme, arrêtant la musique dans ses écouteurs, remontant légèrement sa veste pour ne pas attraper froid. « Je vais bien, du moins, j’essaie. » laissait-elle glisser entre ses lèvres. « Et toi ? Çe n’est pas trop douloureux ? » elle cherchait son regard, elle désirait une réponse positive.
@Marin Perol
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Ta rencontre avec la jeune étudiante en médecine avant été des plus banales mais d'une manière qui invite le destin à s'y mêler. Une question de hasard aussi également ? Tu ne saurais le dire mais la seule chose que tu sais que tu es liée à elle par l'existence même si cela demeure implicite. En effet, elle était la petite sœur du donneur  dont tu avais reçue la greffe. Vous aviez échangés depuis votre dernière rencontre en chair et en os. Vous aviez été honnêtes l'un envers l'autre et tu lui avais promis de lui donner des nouvelles. A croire que le hasard vous rassemble une fois de plus en ce jour. Cela fait d'ailleurs quelques jours que tu es sorti de la clinique et le médecin veille avec pertinence et prudence sur ton état. Amaya effectué son footing du jour et toi ta promenade en compagnie de ta petite bouvier bernois dont le caractère se manifeste de suite. Snow a un tempérament plein de douceur mais également d'une finesse possessive à la fois. Elle se méfie de la gente féminine qu'elle soit humaine ou canine d'ailleurs. Sa remarque concernant ta boule de poils te faire sourire. « Ah … ne le prend pas pour toi, Snow est comment dire … un peu comme ça avec tout le monde ou presque. ». Dis-tu tout en ricanant tout en posant ton regard sur le visage de la jeune brunette. « Sache que de mon coté, je suis ravie de te voir. ». Une assertion emplit de vérité et de sincérité à la fois. Tu avais hâte de la revoir car elle avait pris une place particulière dans ton esprit dernièrement. « Tu veux en discuter ? ». Vous avez toujours beaucoup parler depuis vous échangez sur la toile et tu veux aussi qu'elle comprenne que tu es là si jamais elle a besoin.  Son interrogation est d'actualité mais aussi une source d'espérance qu'elle attend de ta part. Tu hoches alors d'abord lentement la tête tout en poursuivant. « ça l'a été au début au réveil … aujourd'hui encore un peu et davantage lorsque la lumière est trop forte comme aujourd'hui. Mais tout va bien pour l'instant et les résultats encourageants pour ne pas dire excellents. ». Une vérité qui paraphrase presque les mots du père de Amaya qui s''est occupé de ton opération en personne. « J'allais rentrer … je peux t'inviter à boire un verre ? ».
@Amaya N. Suarèz
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Il y avait tellement peu de chance pour qu’elle se retrouve face à lui. Une relation qui sera bien loin d’une autre, elle était exceptionnelle, une rencontre différente, une relation qui se forme petit à petit. Amaya, oui, elle commençait à s’attacher à lui, un peu plus chaque jour. Alors, le fait de ne pas avoir beaucoup de nouvelle, avait tendance à l’inquiéter, mais elle ne pouvait pas se permettre de lui envoyer un paquet de message, après tout, il restait juste une connaissance. Elle ne pouvait pas le classifier d’amis, c’était encore bien trop tôt et encore moins de petit ami. Elle courrait, elle faisait en sorte de se défouler, de se changer les idées, de se vider l’esprit une bonne fois pour toute. La musique qui résonne dans ses oreilles, le coeur qui s’emballe, le souffle qui se fait court. Il était temps qu’elle s’arrête, elle courrait sans se rendre réellement compte des kilomètres et du temps qui défilaient. Alors qu’elle le reconnaissait un peu plus loin, l’envie de le rejoindre était plus forte que tout. Sans hésiter une seule seconde, elle traversa les quelques mètres qui la séparait de lui. Rapidement, sa chienne se mit à japper, montrant son mécontentement, un léger sourire sur ses lèvres. « Elle défend son maitre, et elle est peut-être un peu jalouse. » soufflait-elle doucement. Elle fut surprise par ce qu’il venait de dire, la laissant sans voix durant quelques secondes. Un battement de coeur plus fort qu’un autre. « Je suis ravie de te voir également. » laissait-elle glisser entre ses lèvres. Elle haussa doucement les épaules, l’envie d’en parler, ce n’était pas réellement ce qu’elle voulait à l’heure actuelle. « Ne t’inquiète pas pour moi. » avouait-elle. Soulagement, c’était cette phrase qu’elle voulait entendre. « Je suis contente de savoir ça, d’ici quelques jours ça ira mieux. » elle le pensait réellement. Etant elle-même dans le médical, elle savait que ça prendrait un peu temps, mais que ça finirait par passer. Elle se regardait de la tête aux pieds « Je ne suis pas très présentable. Mais, si ça te dérange pas, pourquoi pas. ». Ça serait avec plaisir de pouvoir passer un peu de temps avec lui, son regard se posa sur lui. « Ça me fait du bien de te voir. » finissait-elle par lui dire.
@Marin Perol
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Ces dernières semaines, tu t'étais principalement focalisé sur ton opération tant sur l'aspect physique que psychique. Les deux n'allant guère sans l'autre, tu avais pris du faire face rapidement à cet événement qui aurait la chance de changer – peut être – ton existence. Tu étais objectif, tu l'avais promis à tes proches mais surtout à la jeune Suarez qui plaçait beaucoup d'espoir. Après tout, c'était un don d'organe de son frère et tu imaginais la situation de ce point de vue, ce qui devait être complexe pour elle. Néanmoins, tu te dois d'y croire car même si tu n'es pas résigné de nature, une partie de ton être se veut pragmatique et réalité aussi. C'est pourquoi durant ce laps de temps tu n'avais pu voir grand monde hormis quelques personnes. Voilà seulement quelques jours que tu reprenais petit à petit les habitudes de ton quotidien. Tu ne pensais pas croiser la route de la jolie brunette mais faut croire que le destin en a décidé autrement et comme tu le lui confies, tu en demeures plus que ravi. En revanche Snow ne semble pas partager ton avis mais tu n'es pas surpris. Ta compagne canine est adorable au possible mais dépeint une certaine possessivité qui met en avant sa jalousie envers la gente féminine. « C'est vrai … mais tu verras qu'avec le temps on découvre sa douceur et son petit coté malicieux. ». Tu la considères d'un sincère sourire tout en lui demandant comment elle va. Sa réponse laisse sous entendre que les hauts et les bas font loi dans sa vie. Tu laisses alors la porte ouverte à la possibilité d'en discuter en le lui proposant. Elle t'affirme qu'il n'est pas nécessaire de s'en faire pour elle. Vous n'êtes pas totalement fait du même tissu mais tu te retrouves dans son attitude. Présentement en parler ne ferait que revivre des ressentis qui nourrissent un mal être. Tu secoues doucement la tête de gauche à droite avant de poursuivre. « Je comprends et je respecte ton choix, Amaya. Cependant que cela ne m'empêche pas de inquiété  à ton sujet. ». Tes paroles sont honnêtes comme tu l'as toujours été avec elle. Tu la considères d'un petit clin d’œil amusé et tendre à la fois afin d'apaiser la discussion. A son tour, elle s'enquit de ton état de santé que tu lui décris. Toi aussi, tu es content que les choses aillent dans le bon sens. Tu lui annonces alors que tu allais rentrer mais que tu serais ravie de pouvoir l'inviter à boire un verre. Tu esquisses un sourire amusé mais attendri par sa réaction. «[color=darkslategray Ne dis pas n'importe quoi, tu es belle quoi que tu portes et ça ne me dérange pas, vraiment.[/color] ». Ton timbre de voix est calme mais franche. Amaya était une fille magnifique certes mais surtout doté de belles valeurs humaines qui tendent à se perdre aujourd'hui. «  Alors ce bien être est plus que partagé. ». Elle aussi t'avait manqué tout comme vos échanges. Tu ouvres la marche en direction de ton immeuble. « J'habite pas loin ne t'en fais pas. ».
@Amaya N. Suarèz
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Les émotions défilent dans sa tête, sans réellement savoir sur quoi s’arrêter. Actuellement, Amaya était un peu déstabilisé, une autre personne qu’elle était autrefois. La mort de son frère lui a changé totalement sa vie, la faisant devenir cette femme a moitié vide, loin de son esprit. Pourtant, elle tentait tout pour y arriver, passant du temps à travailler, à étudier et faire du sport. Entretenir son corps, garder un coeur en pleine forme, tout comme son esprit et sa tête. Elle gardait toujours sa musique à proximité, c’était bien l’une des choses qui arrivaient à la canaliser, la détendre et la faire tenir. Alors, en le voyant ici, à quelques mètres de lui, elle ressentait ce besoin de le rejoindre. Prendre de ses nouvelles et pourquoi pas échanger quelques minutes, ça ne pouvait que lui faire du bien. Elle voulait entendre que l’opération s’était bien passée et qu’il se portait bien. Elle s’était attachée à lui, peut-être un peu trop… A vrai dire, elle ne savait réellement ce qu’elle ressentait pour lui. Il l’attirait, bien plus qu’une simple connaissance. L’amour ? Cela serait bien trop rapide, mais peut-être que des sentiments commençaient à remonter petit à petit. Un léger sourire sur ses lèvres, un regard doux, laissant son regard se promener sur le corps du jeune homme ainsi que sur sa petite boule de poils. Amaya connaissait sa chienne, elle avait déjà partagé une matinée pour un footing avec lui et elle. « Je me doute bien ! Il faudra que je la côtoie plus souvent pour pouvoir la connaitre davantage. » soufflait-elle doucement, une douceur qu’elle n’avait que très rarement. A côté de ce jeune homme, elle devenait bien différente. La demoiselle avait décidé de changer de sujet, ne désirant pas parler d’elle et son bien-être ou plutôt son mal-être. Elle faisait toujours ainsi, faire passer le reste avant elle, les autres étaient bien plus importants qu’elle. Un gros défaut, car finalement, la demoiselle ne prenait jamais soin d’elle, arrivant toujours au point de non retour. « Tu n’as pas à t’inquiéter pour moi. Regarde, je vais bien non ? » elle faisait peine à voir. En-dehors du fait qu’elle dégoulinait de sueur, elle avait des cernes de plusieurs centimètres sous les yeux. La fatigue se lisait directement sur son visage, qu’elle essayait de détourner en lui offrant le plus beau sourire. Il l’invitait chez lui, une première pour elle, elle hésita l’instant d’un temps, et accepta de le suivre. Il n’habitait pas très loin, et ça lui permettrait de passer quelques temps avec lui. Amaya marchait à ses cotés, sans rien dire, elle était contente, une petite joie au fond d’elle. Son regard balayait la rue, assez vide à cette heure là, ce qui était assez logique. « Tu me ferais presque rougir avec tes compliments. » laissait-elle glisser entre ses lèvres.
@Marin Perol
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Sa première tirade est emplit de sous entendus qui sans le vouloir t'arrache un rictus d'ange rigolard. Une expression qui t'accompagne depuis l'enfance et que bien des personnes – y compris ton entourage le plus proche – peine à déchiffrer. Tant mieux à la rigueur, tu seras le seul à en saisir le sens propre. Tu penches légèrement la tête sur le coté, de telle manière à mémoriser les traits du visage de la jeune Suarez. Une fraction de secondes qui aurait pu perdurer mais tu ne veux aucunement la même mal à l'aise et encore moins attirer l'attention de certains badauds qui font halte dans la ruelle. Assise non loin de ta jambe droite, la petite bouvier bernois aboie, tout en regardant à son tour Amaya. « Et bien, on dirait que c'est quelque chose qui va devoir être acter, mh ? En tout cas, moi je ne demande que cela. ». La dernière partie de tes propos est une vérité  énoncé à une voix à peine audible mais suffisamment pour qu'elle puisse l'entendre. Très vite, tu comprends qu'elle a besoin de changer de sujet, peu désireuse de s'attarder ce qui la tracasse. Tu as beau la connaître depuis seulement quelques semaines, un brin de logique et d'attention suffit pour saisir que quelque chose ne va pas. Ton assertion précédente est véridique, tu n'iras pas plus loin pour en savoir davantage mais tu continueras à être soucieux de son état. Elle t'affirme à nouveau qu'elle va bien, que tu n'as qu'à la regarder. Tu ne fais que cela, l'observer et même si vos prunelles se figent entre elles, c'est avec profondeur que tu te perds dans les méandres de ces dernières.  « Je te regarde, Amaya. Je te regarde depuis le tout début et c'est pour cela que je te dis que je respecte ton choix mais je m'en ferai quand même pour toi. ». Lui dis-tu doucement mais sérieusement tout en déposant ta main sur sa joue que tu caresses du bout du pouce. Tu laisses ton bras retomber le long de ton corps, puis lui propose de venir boire un coup chez toi. Hésitante au début, Amaya finit par t’emboîter le pas tandis que ses mots étire tes lippes en un sourire franc. Tu la considères d'un clin d’œil complice alors que vous arrivez devant ton immeuble dont tu ouvres la porte principale. L'agent de sécurité te salue comme à l'accoutumée tout en saluant d'un bref signe de tête ton invitée. « Il me semble que je te fais beaucoup rougir depuis qu'on se connaît, mh ? ». Lui demandes-tu tout en appuyant sur le bouton de l'ascenseur qui s'ouvre directement au rez-de-chaussé. Le trajet jusqu'à ton étage est silencieux mais pas désagréable pour autant. Soudain, la tonalité de l'ouverture des portes te sort de tes pensées et vous arrivez dans le corridor des logements de ton étage. Vous n'êtes que deux et c'est pas plus mal. Tu mets la clé dans la serrure et ouvre la porte d'entrée, laissant au soin à Amaya d'être la première à pénétrer à l'intérieur.  Tu en profites pour détacher la laisse de Snow qui s'empresse de devancer la brune. « Sonw ...je suis désolée, elle a un tempérament un peu foufou parfois ... ».
@Amaya N. Suarèz
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Il était temps pour elle de s’ouvrir un peu plus, arrêter d’être fermée et de se laisser porter. Un sentiment qu’elle n’avait jamais trop connu, et qui était pourtant très agréable. Elle restait face à lui, sans trop le regarder, difficile pour elle de lui tenir le regard. Amaya regardait un peu partout, la chienne, le jeune homme, les ruelles. Pour finalement reporter son attention sur lui. Un léger sourire sur ses lèvres, elle appréciait ce qu’elle entendait. « Je crois qu’en effet, il va falloir mettre ça en place rapidement. » soufflait-elle doucement. « A vrai dire, je ne dis pas non. » elle haussa doucement les épaules. Elle venait d’avouer qu’elle désirait passer encore plus de temps avec lui, d’apprendre à le connaitre davantage. Elle se sentait totalement différente à ses côtés, pour le moment, elle ne pensait même plus à ses problèmes. Pourtant, lui, ne voulait pas oublier tout ce qu’elle avait pu dire, faire, il voyait bien que la jeune femme n’était pas au plus haut de sa forme. « Tu es vraiment un homme parfait. Pourquoi je ne t’ai pas rencontré avant? » lançait-elle calmement. Clairement, elle aurait aimé l’avoir à ses côtés bien plus tôt, qui sait peut-être qu’elle serait en couple avec lui, à ce jour. Bref, elle chassa rapidement ces pensées, pourquoi pensait-elle à ça ? Sentir sa peau contre la sienne, des frissons parcouraient son corps tout entier, et sans réfléchir, elle déposa un instant sa main sur celle du jeune homme. Pinçant délicatement ses lèvres, sentant le rouge monter à ses joues. Çe n’était pas plus mal, cela lui remettrait un peu des couleurs au visage, un peu de baume au coeur. Elle marchait à ses côtés, dans un calme plat, très calme, mais parfois c’était la meilleure solution. Ça ne faisait jamais de mal de se retrouver avec soit-même, les griffes de sa chienne qui cliquetaient sur le macadam. Finalement, en peu de temps, ils arrivaient devant cette grande bâtisse. Elle n’en revenait pas, ne pensant pas qu’il habitait dans cet endroit. Elle salua tendrement cet agent de sécurité, montant derrière lui dans cet ascenseur. « Oui j’ai l’impression qu’à chaque fois que tu me parles, tu me fais rougir. » son regard se posa instinctivement sur lui. Déposant pendant quelques secondes sa tête sur son épaule, un léger rapprochement. La sonnerie retentissait, déclarant que l’ascenseur était arrivé à l’étage demandé. Elle reprit une position normale, le suivant dans ce long couloir. Il ouvrit doucement la porte de son logement, une fusée la dépassa, où plutôt une boule de poils. Elle rigolait, appréciant cette force de la nature « Ne t’inquiète pas, elle est tellement mignonne que ça lui fait tout pardonner. » soufflait-elle. Son regard se promenait dans cet appartement, magnifique. « Tu as un très beau appartement en tout cas. ». Elle se laissait aller dans cet appartement, gardant les mains dans son sweat, jouant nerveusement avec le fil de ses écouteurs. Elle se positionna pile devant cette fenêtre donnant une très belle vue.
@Marin Perol
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Tu es franc lorsque tu lui dis que tu ne demandes qu'a passer du temps en sa compagnie et sa réponse ne fait qu'accentuer un peu plus le rictus visible à la commissure de tes lèvres. Lorsque vous que échangiez sur meetsa, l'audace de la jeune femme est plus une évidence mais une fois en face à face, sa timidité semble reprendre le dessus. Ce sont des attraits de sa personnalité que tu adores découvrir au fur et à mesure du temps. Tu la considères d'un petit clin d’œil amusé tout en emboîtant le pas en direction de ton lieu d'habitation situé non loin de là. Tu oses le contact l'espace de quelques minutes pour lui confier sincèrement une vérité que tu veux qu'elle entende. Celle où tu la regardes et que bien que tu respectes sa demande, ton inquiétude à son égard sera toujours de mise. Ses prochains mots te font un peu grimacer car bien qu'ils résonnent comme un compliment, tu te considères au lointain de l'horizon d'un homme « parfait » comme elle elle mentionne. Tu secoues la tête de manière négative tout en remontant le bout de tes lunettes de soleil puis tu lui réponds. « Oh … je crois que je suis loin de l'être crois moi. La perfection est un relatif tout à chacun j'ai envie de dire et c'est un horizon qui je cherche à atteindre .. . ». Tu es loin d'être respecter les normes de la perfection et tu n'as jamais chercher à l'être. Le respect des autres, les bonnes manières ou la bonne éducation font parti de l'individu que tu es. Tu as fait et fera encore des erreurs mais tu apprends de ces dernières.  « Peut être parce que l'on devait se rencontrer maintenant, mh ? ». une interrogation que tu lances en réaction à la fin de sa réplique. Tu ne crois pas franchement au destin, si ce n'est à la rationalité de l'existence – et en soit c'est déjà pas mal. Une fois à l'intérieur du l'énorme complexe immobilier, tu salues l'agent de sécurité puis te diriges vers l'ascenseur. Ce dernier ne tarde pas à s'ouvrir devant vous. À l'intérieur, tu appuies à ton étage, l'un des deux derniers. Ses propos se rythme à cette proximité soudaine qui se fane lorsque les portes de l'engin mécanique s'ouvrent à nouveau. Un sourire mi charmeur mi espiègle se dessine sur ta bouche et tu reprends la marche vers la porte d'entrée. Ta petite compagne canine est déjà excité à l'idée de rentrer pour certainement se goinfrer de croquette. À peine la porte ouverte, Snow file à vive allure à l'intérieur et ta réprimande sonne alors comme un murmure qui ne servira à rien. Tu t'excuses du comportement de ta chienne, puis laisse Amaya pénétrer à l'intérieur puis ferme la porte. Tu déposes les clés sur le petit meuble de l'entrée puis la rejoins dans le salon qui est la pièce principale. L'endroit semble lui plaire et sa dernière réplique en témoigne ce qui te ravi un énième sourire bien que discret cette fois. « Merci, c'est gentil … mais la décoration à un peu évoluer ces derniers mois surtout depuis que je suis en colocation. ». C'est vrai que le loft a subit pas mal de transformation depuis ton retour sur Boston. Tu aimes les espaces soient simples pour ne pas dire épuré. Faire des concessions en matière de décoration d'intérieur n'est pas un problème pour toi, même de manière général même s'il y a des limites un peu à tout. « Qu'est-ce que tu as envie de boire ? ». L'interroges-tu tout en dirigeant vers la cuisine où Snow est belle et bien en train de restaurer son estomac. « Si tu veux, tu peux prendre une douche ? J'ai des affaires que ma petite sœur à laisser chez moi si jamais tu veux te changer ou ...enfin en tout cas, il y a pas de problème. ». Ton discours est un brin gauche, ce qui est rare chez toi. Tu secoues la tête pour balayer cette impression tout en enlevant tes lunettes. La lumière est moins forte qu'au dehors mais ça te fait toujours ça lorsque tu les enlèves.
@Amaya N. Suarèz
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