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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Dutch B. Cooper

La couleur bleutée de ses prunelles repose sur les vagues face à elle, aux mêmes reflets colorés. Un océan calme en cette fin de journée. Les traits de son visage apaisés, elle contemple le bout du monde, ou presque. Une terre d’exil, un semblant de liberté, de droit d’asile, qui a chaque vacance donne à Joey, cette sensation étrange dans le creux de son ventre. Comme une volonté d’envoyer valser Boston, car ici, elle en est convaincue, c’est moins qu’elle déraisonne. Les doigts enfoncés dans le sable, puisqu’elle est assise sur ce dernier, à même le sol, les bords de sa robe humidifié, elle égrène la matière, à l’image d’un sablier. Elle effectue un décompte qui n’existe que dans son esprit, silencieuse jusqu’à entendre un mouvement dans son dos, qui ne peut être que lui. Car une fois n’est pas coutume, ils ont réitéré, le fait de louer une cabane sur la plage, désireux de tranquillité. Elle éprouve d’ailleurs son regard sur elle, cette aura qu’elle a appris à reconnaître durant ces mois, qui la brûle et la consume. « Reposé ? » Elle prononce, un sourire glissé sur ses lèvres, égayée, sans pour autant se retourner, dans l’attente de le voir prendre place à ses côtés.

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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Joséphine Porter

A l’instar du dernier été que nous avons passé, nous avons décidé d’un commun accord de revenir sur nos pas cette année, au Mexique. Mais cette fois, nous nous sommes attardés, prétextant ne pas avoir eu assez de temps pour en profiter. Juillet a alors débordé sur aout et progressivement l’idée que nos vacances puissent devenir un quotidien m’a effleuré de nouveau puisque plus rien à Boston ne nous retient. Snow a sa petite vie rangée, Lyra a disparue sans doute pour mener à bien l’une de ses vendettas personnelles ou peut-être veut-elle, déçue par sa nuit de noces, vivre seule sa lune de miel… Les derniers Soul se sont tous plus ou moins bien réadaptés alors peut-être serait-il temps d’en faire de même et de prendre ma retraite anticipée.

Il n’y a que cette petite sauvageonne que je laisserais derrière mais curieusement, après l’avoir surprise juste avant de partir en train de prendre le café en très bonne compagnie à la terrasse du coin, je la devine être entre de très bonnes mains et si ce n’est pas le cas, je sais de toutes façons qu’elle ne manquera de rien. Comment me demandez-vous... C’est dans cette lettre cachetée entre mes doigts que son avenir est assuré. Mais avant il me faut encore en parler à Joey, qu'elle approuve mes desseins et c'est dans ce but que je vais la retrouver, quitte le confort de la chambre pour aller sur le sable m'assoir à coté. « Reposé ? » Elle n'aura pas attendu que je m'installe pour me le demander, sachant pertinemment qui l'approchait et pour cause nous sommes les seuls sur cette portion de la plage, un petit privilège qui nous a été accordé contre une somme conséquente mais nettement justifiée. " J'ai réfléchi. " Ce n'est pas un fait très inhabituel je sais, mais depuis quelques semaines, je préfère opter pour la nonchalance que le profit. Ce n'est qu'une fois assis à coté, le coin de la lettre heurtant rythmiquement mon mollet que je me décide à aborder le sujet.  " Le Sidh, tu t'y projettes encore combien d'années? "
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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Dutch B. Cooper

Le mot interrogatif à peine échappé de ses lèvres, est suspendu dans l’axe du temps, murmuré au grès du vent, et s’installe à côté d’elle, l’homme qui l’accompagne depuis deux ans à présent. C’est étrange comme les choses se sont déroulées, combien ils ont pu, tous les deux, s’accrocher et changer. Et puisqu’elle attend une réponse de sa part, elle se mure dans un stoïcisme, belle de glace dont il a recollé petit à petit les morceaux épars. Deux chaos réunis en un, et Joséphine ne rougit pas de l’avouer, elle ne regrette rien. " J'ai réfléchi. " Alors la vision méthylène se décline sur lui, son faciès paré des aléas de couleur que le coucher de soleil tend à refléter.

Réfléchir, elle n’est pas certaine que ce soit quelque chose de bon, bien au contraire, Joey, par instinct, elle envisage toujours le mauvais. Elle s’imagine être arrivée à l’instant charnière, déterminé par un besoin de discuter. Convaincue qu’il va la remercier pour ces mois partagés. Comment est-ce qu’on dit, déjà ? Toutes les bonnes choses ont une fin, n’est-ce pas ? En un éternel reflex, elle va effleurer les cicatrices de son poignet, de l’empreinte de ses doigts. " Le Sidh, tu t'y projettes encore combien d'années? " Le regard froncé tandis qu’elle s’en vient à observer ce avec quoi il tapote son mollet. Elle se meut en une expression railleuse afin de lui demander. « Pourquoi ? » Et relâche les vestiges de ses besoins suicidaires, de ses envies de s’abimer à l’excès. « Ca y est… » Elle suppute, à présent qu’il en possède la majeure partie, depuis que Lyra a déménagé, et que le mari ne s’est pas montré à la hauteur comme ils l’avaient tous deux envisagés, « Tu comptes me virer ? » La jeter, comme un ustensile usagé.

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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Joséphine Porter

« Pourquoi ? » Cette façon qu’elle a de jouer la funambule sur le fil de ses hésitations, murée dans un silence alors que ses gestes la rappellent à ses vieux démons, n’est en rien ce que j’attendais comme réaction. Mais puisqu’elle ne connait encore mes ambitions pour nous deux, je suppose qu’il est légitime de se poser des questions. « Ça y est… Tu comptes me virer ? » Elle trouve d’elle-même la réponse ou du moins s’en fabrique une de toutes pièces avec ses éternelles craintes : celles de son abandon. Mais si j’avais réellement eu pour projet de la quitter, jamais elle ne serait là à mes côtés. Deux ans bientôt que nous nous côtoyons, vivons une relation que d’aucuns qualifieraient de particulière mais quoi de plus normal entre un trafiquant et une serveuse qui joue de ses charmes dans un bar à tendances singulières. Si tel était le cas, je me serais lassé d’elle depuis bien longtemps déjà, à l’image de ces femmes que j’ai pu y croiser, de ces filles de joie qui ne revêtent que de légers déshabillés.
 
« Pas encore. » Je compte bien mettre à profit encore ses belles et jeunes années, et la garder entre autres à mes côtés. " Mais le quitter, tu y as déjà pensé ?  "Prendre une retraite anticipée.... Parce que pour ma part l’idée de me mettre au vert indéfiniment a déjà fait son chemin, rester ici, au Mexique, où tout a commencé pour renaitre sous un autre nom, une autre identité.  
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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Dutch B. Cooper

Alors le méthylène de son regard va chercher le sien quand il réplique à l’aide d’un ; « Pas encore. » La rousse en craque un sourire pernicieux, qu’elle mord. Ces mois partagés et il n’est toujours pas lassé, alors. Elle s’en satisfait, fortement. Parce qu’il est et restera le seul qu’elle désire à présent comme compagnon et amant. Elle ne saurait envisager d’en revenir à ses anciens travers, dorénavant. Seulement, ce qu’il cherche à lui confier, elle ne le voit pas, la réflexion berçant les tonalités de sa voix. « Mais le quitter, tu y as déjà pensé ? » Quitter le Sidh, donc. Voilà l’objet de ses suppositions.

D’une paume, elle balaie le feu de ses cheveux, accentué par le soleil, tout comme ses taches de rousseurs naturelles. A ce club, Joey n’y est accrochée que par pur et simple intérêt. Bien évidemment, elle a appris à l’apprécier, à en conserver les secrets, néanmoins, elle ne peut nier une vérité. « Le Sidh… C’est pour toi que j’y suis allée. » dans un temps premier. Par la faute de sa curiosité qu’il avait réussi à piquer. Pour la proposition d’un lit partagé. Pour la promesse d’un endroit où ses charmes seraient plus adaptés, prête à briller. Elle se fait maligne, à la lisière du féline, quand elle lui souligne, « Si la question est ; Est-ce que je te suivrai si tu le quittais ? » L’ongle de son index accroche son épaule, laisse un sillon blanchâtre sur sa peau quand il glisse le long de son bras. « La réponse est oui. » C’est lui, qu’elle a choisi. « Les putes ne te donnent plus envie ? » Vipère qui sourit, consciente que cela fait deux années qu’il n’a pas visité d’autres lits.

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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Joséphine Porter

Petit à petit le sujet de la conversation vient doucement mais surement sur le tapis, mais toujours en espérant lui faire accepter cette étrange idée. La lettre entre mes doigts qui pique de l’un de ses recoins mon tibia, j’attends encore qu’elle me réponde, le regard porté vers l’horizon, craignant qu’elle ne veuille prendre le risque de quitter des repaires, cette stabilité et son petit train de vie si particulier. « Le Sidh… C’est pour toi que j’y suis allée. » Soustraite d’un club pour être exhibée derrière le comptoir d’un autre, attirée par l’appât du gain et la promesse de plus riches lendemains. « Si la question est ; Est-ce que je te suivrai si tu le quittais ? » Dans mon esprit voilà déjà quelques temps que je m’en suis éloigné, le club ayant perdu de sa valeur, de ses principes et de ce qui le rendait attrayant dès le départ. Il est prospère et sa clientèle fidélisée au point de voir toujours les mêmes visages venir s’y fourvoyer mais cet attrait de nouveauté, il a disparu avec la prise de mes nouvelles responsabilités. « La réponse est oui. »

Un regard complice échangé, mon attention glissant sur l’empreinte laiteuse qu’elle vient de s’affliger et c’est une appréhension qui me ronge subitement lorsque je l’imagine se retrouver seule face à ses vieux démons. Et si l’importance de cette conversation semblait peser, elle sait y remédier, glissant l’un de ses anciens jugements dont elle me sait coupable faute d’y avoir succombé, ce qui n’est plus depuis longtemps un secret. « Les putes ne te donnent plus envie ? » Celles-là mêmes qui ont su un temps me satisfaire avant de la connaitre… « C’était avant. » Les choses changent, les gouts et les couleurs aussi, m’allongeant sur le dos les coudes plantés avant de caresser la courbure de son échine. « Je me suis découvert une préférence…  Pour les pulpeuses mexicaines aux hanches pleines. » Jouant de mes doigts sur ses courbes qu’ils redessinent.


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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Dutch B. Cooper

Dans les méandres de son esprit, dans les abysses qui constituent son chemin de vie, elle n’a plus de mal à faire le tri, à savoir que son quotidien, elle le désire avec lui. Elle a troqué sa mélancolie contre l’affection, et se sait capable, s’il la laissait, de perdition. Joey, elle maitrise la perte de raison, à la perfection. Assumant les contraires qui se fondent en son caractère. Aussi vulnérable que putassière. « C’était avant. » Avant elle, mais par son passé sulfureux, elle n’en reste pas moins agacée pour autant. Fait stupide car le sien n'est pas non plus blanc. Ses traits reflétant malgré tout, son apaisement, tandis que ses yeux glissent sur la silhouette de son partenaire s’allongeant.

De ses doigts sur sa peau, elle se délecte, fermant les paupières à la faveur du lascif se dissimulant dans ses gestes. De son envie de lui, Joey, jamais ne se déleste. « Je me suis découvert une préférence… » si bien qu’elle, elle mourait tous les jours pour sa présence, « Pour les pulpeuses mexicaines aux hanches pleines. » En un rictus mauvais elle se retourne avec véhémence. Elle lui balance de prime abord un regard assassin avant d’avorter les mouvements de sa main. D’un acte autant sec que succinct. Pour se faire, à la finalité, vicieuse et faussement irritée quand elle se meut et qu’elle va jusqu’à le chevaucher. Profitant de l’effet de surprise pour le faire basculer et prendre son visage en coupe, menaçante, de ses ongles que de part et d’autre de ses mâchoires, avec une violente douceur, elle plante. « Fais gaffe, Cooper, c’est toi qui m’as appris à tirer. » Un art où la rousse s’est révélée être douée. A présent, les cibles, elle ne les rate quasiment jamais. Car elle s’est trouvé une passion pour cette matière, activité dans laquelle lui est, depuis des années, expert. Nul doute à avoir, elle n’hésiterait pas et il le sait, puisqu’il l’a favorisée, qu’elle est capable de folie comme de jalousie meurtrière.

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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Joséphine Porter

S’attarder juste le temps qu’il faut sur la même zone de sa peau, laissant mes empreintes altérer la tiédeur que le soleil est venu y déposer, suffisamment pour sourire de plaisir face à la jalousie qui s’encre dans le turquoise de ses yeux. Fusillé du regard comme attendu, ayant déchainé la fureur de ses sentiments profonds, je n’ai pas eu longtemps à attendre avant de la voir se retourner afin de jauger de ma sincérité. Elle chasse presque dans la foulée mes doigts, preuve de son irritabilité dès qu’est émise la possibilité de la remplacer ? Ma main reste alors figée là où elle l’a laissée dans l’attente de sa prochaine réaction, parce qu’il est évident qu’elle n’en restera pas là, piquée à vif dans son orgueil et sa fierté. Elle s’invente et s’invite, cavalière émérite, sur ce qu’elle lui est depuis longtemps acquis, plantant ses genoux de chaque coté pour me lasser le loisir de la sentir venir sur moi se poser, s’imposer ne me faisant basculer, mon dos épousant le sable dans sa totalité en ressentant la chaleur de ses ongles venir m’irradier. « Fais gaffe, Cooper, c’est toi qui m’as appris à tirer. » C’est vrai, en si peu de temps que son évolution fut étonnante d’ailleurs, à se demander si elle n’a pas pris des cours avec un autre à côté afin de se montrer à la hauteur. Et parce qu’elle m’effile de ses griffes mon sourire s’estompe en faveur de l’incertitude qui me ronge. Joey serait capable du meilleur comme du pire, de mettre toute vie dans sa ligne de mire, y compris la mienne si je venais à lui mentir. C’était peut-être un pari risqué que de lui apprendre à tirer mais maintenant les jeux sont faits, il n’y a plus de place pour les regrets.

La lettre n’a toujours pas quitté mes doigts, trop précieuse à mes yeux pour la laisser sur le sable trainer, au risque de la voir s’envoler. Alors puisque la rouquine veut se la jouer mante religieuse, l’enveloppe est glissée sous mes reins le temps de l’attraper, remonter le long de ses cuisses et faire pression sur ses hanches une fois arrimées avec fermeté. « Des menaces… » qu’elle sera apte à mettre en application. « Tu as appris oui, mais pas sur des cibles mouvantes. » Toujours à briser du verre blanc, peut-être ce qui lui a valu cette chance insolente. « Et crois-moi, je peux galoper très vite, » une aptitude plus qu’utile lorsqu’il est nécessaire de décamper au plus vite des scènes de crimes.
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“ Once upon a... ” 15/08/2022

@Dutch B. Cooper

Sur son derme, toujours de ses ongles, elle décline l’intensité de sa folie furieuse, de la rage qui découle de ses élans de femme amoureuse. Mais aussi et surtout cette véracité, le fait que ses émotions, elle ne sait pas les doser ou les canaliser. C’est toujours à l’excès, en ce qui concerne Joey. Elle s’enflamme avec une indéniable rapidité. Pour se damner, elle agit toujours volontiers.

Perdue dans les reflets du regard de son amant ravivé par une lueur qu’elle connait bien, elle en esquisse un sourire mesquin. Elle dénote le fait qu’il prend la peine de cacher la lettre avant de venir caresser son derme, elle se délecte en un soupir de leur impact, fermant ses paupières, et apprécie qu’il vienne imposer une pression sur elle. L’ancrant sur son être, à s’en convaincre que c’est sa place originelle. « Des menaces… » Son sourire carnassier renouvelé, prouvant qu’il ne faut pas en douter, Joséphine le ferait. « Tu as appris oui, mais pas sur des cibles mouvantes. » Evidemment, il dit vrai, mais il n’empêche que lorsqu’elle elle tire sur les bouteilles de l’entrepôt désaffecté, elle éprouve le fait qu’elle est vivante. « Et crois-moi, je peux galoper très vite, » l’expression de la belle s’étiole vers un tout autre ressentiment, celui de l’imaginer et de trouver ce tableau plaisant. « Si tu savais combien j’aimerais voir ça. » Elle dans le rôle de la chasseuse et lui dans celui de la proie. Tandis qu’elle souligne sa lèvre inférieure de ses doigts, apposant sur cette dernière l’empreinte de sa langue serpentine, d’une perverse Joséphine.

Pour finalement se redresser, ses mains glissant sur son torse, sans pour autant réellement le griffer. Elle s’essaie à s’armer de patience, de se faire clairement violence, pour ne pas l’acculer de questions. Interrogations qui seraient toutes destinées à connaitre de ses pensées, le fond. Après une ou deux secondes, qu’elle estime comme trop longues, elle ose l’interroger, la rousse suspicieuse ; « Alors mon amour, » vicieuse, « tu envisages quoi ? » de toute sa candeur liée à sa place de dominatrice orgueilleuse.

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