GIUSEPPE CALABRESE ► alessandro dellisola

naissance
six septembre mille-neuf-cent-quatre-vingt-quinze à palerme, sicile.

nom(s) & prénom(s)
calabrese, giuseppe louis.

nationalité(s)
italo-américain.

origine(s)
italien et français côté paternel, américain et néerlandais côté maternel.

orientation sexuelle
hétérosexuel.

statut amoureux
la bague au doigt malgré un coeur indomptable à l’image d’un diamant aux couleurs ébènes. marié comme pour dire qu’t’appartient à une femme, et pourtant l’corps est quant à lui libre, toujours à la recherche du plaisir charnel aux côtés de ces déesses.

études
politique et relations internationales.

bourse
non.

statut social
pleins aux as.

job étudiant
pas pour l’instant, nope.

maison
pfozheimer.

l’excellence a toujours été quelque chose de primordial pour les calabrese, au moment où les responsabilités t’ont été attribués, tu as toujours donné le meilleur de toi-même dans l’but de rendre fier les tiens. si le soutien et l’influence de tes parents aurait pu être d’une très grande aide pour ton admission à harvard, on n’peut toutefois pas dire que tu n’aies pas donné le meilleur de toi-même pour parvenir à ton objectif. tu pouvais également compter sur tes résultats plus que radieux ainsi que sur ton travail acharné comme atout précieux pour peser sur ta candidature. trois. c’est le nombre exact de pages qu’il t’as fallu pour rédiger ton essay, qui a été l’étape le moins passionnant, en dévoilant ta motivation et tes ambitions concernant l’avenir. l’entretien a été l’étape ultime pour ta place où tu te retrouvais à expliquer notamment ta vision du monde, chose qui, faut croire a su trouver les mots juste pour convaincre le jury de t’accepter.

si beaucoup des tiens voient en toi un homme ambitieux en plus d’un travailleur acharné désirant nul autre que être constamment le meilleur avec ce côté un peu de trop sûr de lui dans tout ce qu’il entreprend au point d’te définir en un mot comme quelqu’un d’arrogant aux premiers abords, en te découvrant davantage et en brisant cette carapace ; on peut facilement apercevoir en toi un bon fond. honnête et le sourire sans cesse sur le coin des lèvres, ta bonne humeur est une pure bouffée d’oxygène pour celles et ceux qui t’entourent et te rend si attachant. ces mêmes personnes faisant partie de ce cercle fermé et réservé pour qui tu n’hésiterais pas à venir en aide quitte à y laisser ta propre vie. cependant tu n’en restes pas moins une bonne personne ou du moins presque ; amoureux d’la vie et véritable don juan connaissant la gent féminine sur le bout des doigts ou du moins presque; tu collectionnes les cœurs de ces dernières quitte à sortir le grand jeu pour mieux les attirer dans tes filets et parvenir à tes fins. plutôt bon parleur voir peut-être même manipulateur pour obtenir ce dont tu désires d’elles, une chose est sûre ; tu ne mens jamais et promets jamais rien pour y arriver.

i. fils aîné d’un couple de docteurs ainsi que d’une fratrie de trois, tu es l’enfant sur qui les sentiments ainsi qu’les regards pleins de fiertés des tiens sont constamment posés lors de tes premières fois ; des premiers cris poussés à la naissance passant par les premiers mots prononcés jusqu’à tes premiers pas. si bien qu’les espoirs ont été placés sur toi aussitôt comme le digne successeur de l’héritage qu’on bâti le couple calabrese, voyant en toi vers une carrière tout aussi prestigieuse. cette responsabilité qui te colle à la peau depuis ta tendre enfance et qui t’as possiblement fais du tort au cours de ces dernières décennies. ii. la sicile, celle qui t’as vu naître au grand jour et grandir jusqu’à ton adolescence, et qui encore aujourd’hui occupe une place si importante dans ton coeur. l’myocarde qui se met soudainement à battre la chamade chaque fois que son nom est évoqué et qu’les souvenirs du passé qui refont constamment surfaces à coup d’nostalgies, au point d’te faire esquisser ce petit sourire aux lèvres comme réponse à ce bon vieux temps avant que l’continent américain ne devienne votre nouvelle maison. un nouveau départ pour laisser place à une nouvelle vie, en amérique et dont tu as eu plutôt du mal à accepter lors d’un premier temps. après tout, tu n’étais encore que cet adolescent essayant tant bien qu’mal à se trouver et voyant se perdre davantage en s’éloignant de ses repères qu’est sa ville natale. iii. puis un beau jour, t’es devenu un homme. ou du moins, presque. le cycle du lycée touchant à sa fin, sur le point de prendre ton envol vers l’université. et si t’as mis autant de temps à trouver ta voie malgré l’influence de tes parents pour suivre le même chemin qu’eux en médecine, c’est finalement vers la politique que tu t’intéresse de près, ainsi que dans le domaine des relations internationales. un choix que ces derniers ont soutenus malgré tout. iv. puis tout d’un coup, t’as grandi. t’es devenu un homme, ou du moins que l’on puisse dire, presque. la voix a mué, le corps qui a prit quelques centimètres, et les muscles ont fait leur apparition. t’es devenu plus agréable à regarder auprès de la gent féminine. alors t’en a profité, en te rapprochant d’abord un peu plus des nanas les plus belles du bahut. les soirées et les conquêtes qui ont aussitôt fini par se multiplier avec le temps, t’es en quelque sorte devenu ce gars fêtard qui ne pense qu’à croquer la vie à pleine dent plutôt que vouloir t’engager et découvrir le véritable amour, d’cette chose dont on t’as tant parlé mais que tu n’as jamais vraiment connu jusqu’ici, si ce n’est qu’auprès de tes parents. v. enfin tu pensais, avec elle. celle qu’tu considères comme ton premier amour. l’genre d’histoire si magique, cachant à travers cette magie une fin mélancolique. entre vous c’était fou et magique. ce qui ne devait durer qu’une nuitée a fini par se transformer par plusieurs, jusqu’à devenir cette drogue qu’on ne peut se défaire si facilement en venant conquérir ce qu’aucune autre n’avait réussi à faire jusqu’ici ; ton cœur. puis un beau jour, l’amour s’est tue, empoisonné par ce qui avec le temps toxique. les disputes se répètent constamment, les crises de jalousies et reproches devenus reines et rois. pendant des années vous vous êtes tourné autour, à vous détester autant qu’vous vous aimez. vi. jamais d’ton existence tu n’aurais imaginé devoir dire cette phrase. qu’un simple « oui, je le veux. » pleins de mensonges deviendrait des mots plus lourd et aussi profond qu’un sincère je t’aime aux yeux de tous, rivés vers celle qui deviendra l’élue une fois prononcé et avec qui t’as arrangé c’mariage, dans l’unique but d’éviter qu’vos parents le fasse à votre place. alors vous faites semblant d’être amoureux, pour éviter un quelconque conflit avec les vôtres, mais en réalité, chacun est libre de faire ce que bon lui semble de son côté, aucune exclusivité si c’n’est l’diamant à l’annuaire, comme symbole d’union et de possession de l’un envers l’autre, le sacrifice ultime d’une liberté que vous chérissez tant. vii. misère. le cocon que tu pensais si stable a fini par enfin se dévoiler au grand jour. mariage qui bat de l’aile dernièrement, jusqu’au jour où l’infidélité a été franchi ; maman voit un autre homme. un canadien, également père de famille. l’empire d’un amour de longue date s’écroule, ne laissant derrière lui rien d’autre, si c’n’est ruines, comme si cette image de couple modèle que tu avais de tes parents et qui faisait croire une infime partie au fond d’toi du vrai amour n’était en réalité qu’utopie.

et le blabla ici
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ici c'est ce que tu veux, des quotes, un moodboard, une playlist bref, feel free.

pseudo yac’
âge 21yo.
nationalité fr.
forum connu par... c’est devenu la maison à force.
ILH, j'en pense quoi ?
autres comptes ? naaaah.
avatar utilisé alessandro dellisola
crédits images hemerasmoon. (tumblr.)
nombre de mots par rp entre 250-500.
type personnagepré-lien par @andréa davenport / @emilio calabrese

code études
nom des études ;; nom de la faculté ;; année d'étude ;; 20XX-20XX - explicatif pour remplir correctement : politique ;; harvard kennedy school of gouvernment ;; huitième année ;; 2021-2022
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Code:

@"Giuseppe Calabrese" » <i>(politique)</i>

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<span class="pris">ALESSANDRO DELLISOLA</span> <span class="inv/scena/pl"></span> @"Giuseppe Calabrese"