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Markantony Rainer
feat. Zion Clark
A morning filled with dark night
Try to find a shoreline
With no ground beneath my feet
Til the hurt wears off
And the storm will fade
We will talk again
About the difference
naissance
24 octobre 1996.
nom(s) & prénom(s)
Markantony Rainer.
nationalité(s)
Québecois, double nationalité américaine.
origine(s)
né à Saint-Georges, ses parents se sont installés à Augusta pour leur travail en 2007.
orientation sexuelle
complètement inhibé.
statut amoureux
célibataire endurci.
statut social
jeune psy en début de carrière, ça va tranquille, mais il ne roule pas sur l’or non plus.
emploi
il vient de décrocher son doctorat et d'ouvrir son cabinet de psychologue en ville.
24 octobre 1996.
nom(s) & prénom(s)
Markantony Rainer.
nationalité(s)
Québecois, double nationalité américaine.
origine(s)
né à Saint-Georges, ses parents se sont installés à Augusta pour leur travail en 2007.
orientation sexuelle
complètement inhibé.
statut amoureux
célibataire endurci.
statut social
jeune psy en début de carrière, ça va tranquille, mais il ne roule pas sur l’or non plus.
emploi
il vient de décrocher son doctorat et d'ouvrir son cabinet de psychologue en ville.
Fire Starter
Personne ne pense jamais que le docteur Rainer est psy, en le voyant pour la première fois. La première pensée, quand il demande aux inconnus de deviner, c’est : amputé de guerre, vétéran. Ils veulent lui faire un passé honorable, ils n’osent pas dire « gangster qui s’est fait démonter en prison ». Il n’y a pas que son physique ; c’est l’énergie qu’il dégage, cet air de toujours se précipiter dans les directions les plus difficiles à surmonter. Il respire la bravoure, il ne baisse jamais les bras, il veut être fier de ce qu’il accomplit, et surtout ne jamais s’ennuyer. Les gens qu’il rencontre, il veut leur faire partager cette philosophie, ce rush d’adrénaline, cette impression de se sentir vivant et ancré dans le réel. Il les entraîne dans son sillage, avec un grand sourire qui les éblouit et leur fait accepterses plans les plus fous. Et quand ils vont mieux… eh bien, ils disparaissent de sa vie, c’est comme ça. C’est son destin.
caractère du personnage
« Le sport, c’est une séance au réveil pour démarrer le coeur, une le soir pour évacuer le stress. Et puis toute la journée pour le plaisir. »
Quand Markantony s’est fixé un objectif, impossible de le décrocher, et peu importe qu’il soit en fauteuil roulant. Pas étonnant que ses chiens préférés soient les bulldogs et autres pitbulls. Il en a un, d’ailleurs, un petit bonhomme de couleur crème qui vit chez ses parents, parce que contrairement à lui, ils sont toujours à la maison et ont le temps de s’en occuper. Mais il l’embarque parfois pour de longues balades au bord de la mer, et ils laissent tout le monde dans la poussière : infatigables. Surtout Markantony, qui ramène le petit bonhomme endormi sur ses genoux pour le chemin du retour.
« Si tu regardes bien, Quasimodo à la fin c’est pas lui qui pécho. Il aide les potes, c’est déjà pas mal. »
Ayant grandi dans l’ombre de son grand frère, le parfait danseur si extraverti et démonstratif, Markantony a eu du mal à se définir. D’autant que son propre charme n’était pas évident à ses yeux. Ses parents l’ont couvert de compliments et d’encouragements, mais il a toujours eu l’impression que ça sonnait faux. Et il s’est habitué à se considérer au mieux comme un bon copain. En clair, il rachète l’affection des autres en se coupant en quatre pour eux, une expression qu’il trouve particulièrement marrante. (Et en plaisantant sur son handicap. Ça ne lui a jamais posé de problème… tant que c’est lui qui le fait.)
« J’avais dix ans, je traînais avec les potes de mon frère, ils avaient la vingtaine. J’ai pris le pli. »
Markantony a toujours été très mature pour son âge, au sens où il s’entendait avec les gens beaucoup plus âgés, et traitait ceux de son âge comme s’ils étaient plus petits. Il a tendance à prendre sous son aile des gens qui ont été en classe avec lui, et à les conseiller comme s’il était l’heureux détenteur d’une sagesse millénaire. Parfois ça agace, souvent ça rend service : c’est lui qui restera calme quand tout le monde panique, ou qui rappellera à la raison les esprits qui s’enflamment. Qui veillera ainsi sur lui en retour ? Sûrement pas son frère, qui l’a toujours laissé se débrouiller.
« Sur deux semaines, tu fais tenir 14 permanences différentes, une par jour. Sauf le week-end... où tu peux en caser plusieurs. »
En dehors de ses rendez-vous au cabinet de psy, ceux qui payent ses loyers, Markantony est partout en ville. Il intervient dans les écoles, et dans les centres hospitaliers, dans les maisons de retraite et dans les accueils pour sans-abris, dans les prisons et en entreprise, dans les centres sociaux des quartiers chauds et les petites associations caritatives des mémés du centre-ville. Il aime changer de publics, comme il dit, les gosses ça te repose des vieux et ensuite les vieux te reposent des gosses, ça lui permet d’être en mouvement sans arrêt sans se laisser bouffer par les problèmes qu’il entend raconter à longueur de journée.
« La famille c’est sacré, et les copains c’est la famille. Sauf qu’eux, un jour, ils ne téléphonent plus. Ça veut dire que tout va bien. »
Markantony est résigné à une chose : les seuls gens qu’il gardera autour de lui, ce sont ceux qui l’ont vu naître, et leurs proches à eux. Les autres, il les laisse partir, il les aide même à se détacher, même s’il serait le premier à sortir de chez lui au milieu de la nuit pour aller récupérer un ex-patient qui lui téléphone depuis la barrière du pont ou le toit d’un immeuble. Mais il considère que ce qu’il peut leur souhaiter de mieux, c’est de s’en sortir sans lui. Quant à fonder une famille lui-même, impossible. Il est le frangin de tout le monde, c’est déjà beaucoup et il arrive à s’en satisfaire. Il donne de sa personne mais il ne réclame rien.
« Non mais quand je dis touche à tout, c’est pas un sous-entendu bizarre hein, je parle de la musique. »
En traînant avec les potes de son frère, Markantony a tout testé. La guitare électrique. La batterie. La trompette. Mais ce qu’il préfère c’est le piano, il a un synthé chez lui et il s’en sert surtout pour composer des chansons pour le groupe. Faut bien les chantonner à voix haute pour entendre comment ça sonne, sinon juste choisir des paroles et dire aux gars « tiens amusez-vous bien » ce ne serait pas honnête. Et sans doute pas beau. Qu’au moins quelque chose de beau sorte de lui un jour ! Et il est comme ça avec tout, engageant, liant, partant pour se mêler à toutes vos passions comme s’il avait fait ça toute sa vie.
« Mais jme soigne. J’ai un sac de sable dans ma chambre. Tu sais, comme dans la chanson. Got a baseball batt beside my bed to fight off what’s inside my head. »
Markantony fait de la lutte, du skate, de la muscu, de l’escalade, de la boxe, et quelques autres sports. Il en a besoin pour se défouler et ne pas devenir fou, trop d’énergie qui s’accumule en continu. Il pourrait s’auto-prescrire des calmants ou en demander à un collègue, mais il préfère ne rien prendre. Il a une discipline personnelle très stricte, presque militaire, et il ne se respecterait plus s’il devait la trahir pour un moment de faiblesse. Pas de tabac, pas d’alcool, et pas de médocs addictifs, tant qu’il ne met la vie de personne en danger.
« Non mais, le prends pas comme ça, c’était de l’humour ! ……...Je plaisante, c’était sérieux. »
Comme certains psys ont tendance à le faire, parfois Markantony joue un peu sur les mots et avec les neurones de ses interlocuteurs. Ce n’est pas méchant, mais quand on est fatigué ou qu’on n’a pas envie de se plier à des jeux d’esprit, il arrive que ce ne soit pas très apprécié. Le bon côté, c’est qu’il arrête dès qu’on le lui demande. Mais ce qu’il adore, c’est quand la personne en face lui répond sur le même ton et qu’il peut débuter un duel de piques, même si elles deviennent relativement personnelles : quand c’est pour le plaisir, clairement, des deux côtés, c’est aussi marrant que la lutte !
« J’ai pas peur de toi, j’ai peur de te faire mal. Après, faudra que je te porte aux urgences, et tu risques de traîner un peu sur l’asphalte. »
S’il y a bien une chose devant laquelle Markantony ne recule pas, c’est un risque. Quand il est avec un groupe d’amis, il veille sur eux et calme les choses, mais quand il est seul, ou quand le groupe est directement menacé, il monte immédiatement au créneau. Ça peut faire rire certains qui ne le connaissent pas ; ils rigolent beaucoup moins quand il leur fait une clé au sol et qu’ils sentent leurs os commencer à craquer. Dans ces moments-là, Markantony a l’air de sortir d’un western.
« Ouais, je suppose, si tu le dis… de loin dans le brouillard, après cinq ou six bières… on peut considérer que Paul Newman est pas trop mal foutu. »
Autant Markantony trouve que c’est dommage quand quelqu’un n’ose pas avouer ses sentiments, et il aide ses patients à assumer ce genre de chose ; autant dans son propre cas, il serait incapable de s’y risquer. C’est un blocage. Il aime les hommes, c’est aussi simple que ça, il en a conscience et il est clair sur ce sujet, mais il serait incapable de le dire. Il se trouverait trop ridicule, il serait détruit par un rejet. C’est la faille dans son armure, le point vulnérable qu’il n’arrive pas à cuirasser, parce qu’il n’a aucune expérience sentimentale. Alors il nie, et son visage devient un mur à travers lequel on ne distingue rien des tourments au-dessous.
anecdotes
timeline (suite)
2012
le gamin suit l’exploit d’un athlète atteint de la même condition que lui, qui escalade l’Everest uniquement à la force de ses bras. Spencer est gay et l’assume sans difficulté, devenant même un mentor pour les jeunes handicapés LGBT. Markantony est incroyablement marqué par cette figure positive et décide d’avoir le même impact quand il sera adulte. Il a 16 ans et c’est alors qu’il se décide pour une carrière dans le médical, sans savoir encore vers quelle branche il se dirigera. En somme, il résout ses complexes d’ado en se promettant qu’à défaut d’être beau, il sera utile.2014
Alors qu’il démarre l’école de psycho, son frère devient la star d’un groupe de rock. Markantony se socialise un peu. Il découvre la vie étudiante, les feux de camp sur la plage, et commence même à écrire des chansons pour son frère. Ses phrases sont pleines de punch et de sentiment, il est adopté par le groupe mais il leur fait promettre que personne ne doit jamais savoir qu’il est leur auteur officiel. Il ne veut pas présenter une image d’artiste. Il est un sportif et un scientifique, un warrior, mais pas un artiste.2021
Markantony termine ses études à Harvard, seconde gloire pour la famille après un premier fils au succès foudroyant, mais qui n’a pas fait d’études. Au cours de ses longues études, il est tombé amoureux de la ville ; il y est venu pour étudier, mais il y restera. Il ouvre son cabinet dans une banlieue défavorisée et se met immédiatement en cheville avec les associations locales pour proposer son aide. Bientôt, il est assailli de propositions. Il est ravi de remplir son emploi du temps au maximum et ne se laisse aucun moment de répit, marié avec son travail, comme s’il ne voulait pas se laisser l’espace de penser à autre chose.2022
Un des premiers patients est Tex Douglas, un jeune professeur qui est le fils d'un danseur célèbre, véritable idole du frère de Markantony ; ils brisent la glace en parlant de ça, et peu à peu le professeur parvient à aborder d'autres sujets, moins légers.aesthetic (facultatif)
& irl, ça donne quoi ?
pseudo mcrae
âge 40 - des brouettes
nationalité frenchie
forum connu par... j'étais déjà là ^^
ILH, j'en pense quoi ? je me dédouble parce que je déteste cet endroit non je plaisante, c'est incroyablement sympa et vivant pour un forum si vaste et si ancien ! Très complet, bien construit, bienveillant... rien à redire.
autres comptes ? @Tex Douglas
avatar utilisé Zion Clark
crédits images mcrae
nombre de mots par rp 800 à 1200 mots environ
type personnage inventé
code métier
nom du lieu + nom du métier : Along Charles River + psychologue (permanence au centre communautaire)
- Code:
@"Markantony Rainer" » <i>(psychologue)</i>
code bottin
- Code:
<span class="pris">ZION CLARK</span> <span class="inv"></span> @"Markantony Rainer"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Invité)