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BEATRIZ BETANCOURT
feat. la blanca padilla
❝ Ici règne la laideur, le cauchemar
Mais au bout se trouve l'inverse
C'est une question d'équilibre
Au bout du cauchemar doit exister le rêve
Au bout de la laideur, la beauté
Tout doit s'équilibrer, c'est logique...
C'est logique.
— Sénécal, Aliss
Mais au bout se trouve l'inverse
C'est une question d'équilibre
Au bout du cauchemar doit exister le rêve
Au bout de la laideur, la beauté
Tout doit s'équilibrer, c'est logique...
C'est logique.
— Sénécal, Aliss
naissance
nom(s) & prénom(s)
nationalité(s)
origine(s)
orientation sexuelle
statut amoureux
statut social
emploi
les traits habiles des poudres, des crèmes et des pinceaux comblent les marques indélébiles du temps qui se meure dans le sillon de ces rides burlesques, noient sous les couches les nuits austères qui creusent ses pommettes rougies par la brûlure des larmes poison. les cernes se succèdent sur la peau, image mélancolique d'une âme déchue, égarée dans l'oubli, celle qui lui renvoie le tragique reflet de ses flétrissures, et d'une beauté dont on perçoit les souvenirs brisés. [ paris, france :: quinze avril mille neuf cent quatre-vingt-quinze ]
nom(s) & prénom(s)
betancourt, beatriz
nationalité(s)
née dans les confins d'un parisillusoire, désillusionné, là où les noms se heurtent à l'indifférence, que les caresses se font suppliques d'un refus étouffé par les souffles rances, par les gémissements dissonants qui se meurent sur la peau flétrie de ces étreintes sanglantes. le silence en écho aux déshonneurs de minuit, lorsque le corps est échoué au large des ruelles pittoresquement crasseuses.
origine(s)
produit de l'Espagne, issue des entrailles d'une union passionnée, quelque part entre ces draps qui s'emmêlent, à la frontière des souffles qui se heurtent, des corps parfumés et des baisers sucrés.
orientation sexuelle
à s'enivrer des passions, à cueillir les bourgeons des amours qui se forment entre le pli des draps, les soupirs qui se perdent sur la chaleur humide des oreillers, au creux des tympans. le satin des caresses égarées, des gémissements perdus contre les peaux parfumées. le myocarde s'affole des tentations oubliées ou interdites, le corps roucoule sous le doigté habile au creux de leurs courbes ou de leurs muscles. à s'affoler des amours terribles et des passions les plus pures... en quête du beau, du coeur qui palpite et de la violence des émotions.
statut amoureux
le coeur se meurt en apesanteur, chimère condamnée, sorcière nécrosée. lame à la pointe ensanglantée, s'enfonce dans l'endocarde, pétrifie, atonie, les battements survoltés de l'organe depuis longtemps érodé.
statut social
de l'argent. de l'argent qui pue l'indécence. de l'argent sur lequel elle a craché dans une vie passée, désormais oubliée. de l'argent qui lui brûlait les doigts, rien que d'en effleurer le papier. de l'argent dont elle n'a pas vu la couleur avant qu'elle ne meurt. l'héroïne boudée. mamá. en revenant aux racines, à la quête d'une étreinte, d'un tout va bien aller, mi hija. une étreinte qui ne vint pas. qui ne viendra plus. pas ce soir, pas demain, jamais plus. l'argent propre qui prend la couleur du sang, mais qu'elle arbore désormais sur ses épaules comme une parure dorée.
emploi
harvard alumni, 2021. histoire de l'art. maintenant, artiste freelance, critique artistique & nouvellement directrice d'une galerie d'arts en plein coeur du quartier de back bay.
i want it i got it
workaholic. l’ambition pour noyer la peur, crouler sous les erreurs pour éviter de se laisser envahir par les élans de terreur. s’épuiser corps et âme dans des journées sans fin, pour ne pas voir s’écouler le temps dans le sablier. viser le sommet pour cueillir les rêves d’enfant, mais surtout pour l’écraser du haut de ses talons aiguille. vouloir toujours plus pour récupérer son pouvoir, son self control. l’ambition, à l’image du train de vie [mondaine] qu’elle mène. beatriz betancourt, identité qu’elle se (ré)approprie, illustre socialite.
caractère du personnage
baiser sanguin de la mort attendrissante, presque compatissante. elle ère comme un spectre, comme une ombre accrochée au pied de l'Homme, de laquelle il ne pourra se détacher. écho de l'amertume, l'ange des enfers qui lui insuffle de se taire, à déployer ses ailes pour l'envelopper d'une étreinte incendiaire. incandescente union, combustion de l'oiseau infâme qui, d'un cri hardi annonciateur de la venue de l'enfant maudit ; s'époumone de la renaissance, oisillon devient corbeau, de ses piaillements qui percent les tympans, glacent le sang, figent dans l'éternité.
gueulante, charme en serpent, capricieuse, sanguinaire, infernale, jalouse, capiteuse, charlatan, inaccessible, impulsive, lionne, insensible, cruelle, révoltée, meurtrière, précieuse, opulente, sourires carmin assassins, les éclaboussures de sang entachent l'épiderme immaculé.
et pourtant...
femme enfant, détruite, poupée brisée, poésie ébranlée, pureté entâchée, doucereuse colère que dissimulent les billes divines et effacées, avarice des désamours.
si elle affiche tout le contraire, les hommes et leur pouvoir sur elle la terrifient. si elle se montre fière et droite devant eux, c'est pour déguiser l'ombre de l'échine qui se courbe encore sur leur passage.
anecdotes
TW : violence et sexe explicites, exploitation sexuelle, agression sexuelle
chapitre i. — la vie d'avant. [17 à 20 ans]
on oublie difficilement ses premières fois.
le premier job.
la première neige.
la première fois où l'on prend une cuite.
la première fois où l'on conduit une voiture.
la première fois où l'on donne la vie.
le premier voyage.
la première communion.
le premier coucher de soleil.
la première fois où l'on perd un proche.
la première fois où l'on tombe amoureuse.
les premiers papillons.
la première fois où l'on fait l'amour.
le premier chagrin d'amour.
...
et le premier coup.
et les premières ecchymoses.
et le premier mensonge.
et la première fois où l'on baisse la tête sur son passage (pour ne plus savoir la relever).
et la première fois où l'on fuit pour sauver sa peau.
[/font]†
le vide entre ses cuisses édulcore l'horreur des plus pervers desseins. image décadente, incandescente, putride que lui renvoie son reflet dans la glace. sous le rideau opaque que forment les ténèbres, son visage se distord en une grimace sardonique, les lèvres s'entrouvrant pour laisser s'échapper un anneau de fumée à l'allure fantomatique et funeste.
soirées mondaines où les invitations se font privilèges. entre luxe et luxure, la ligne est mince, si bien que les billets se vomissent en caprices et que la cyprine coule dans l'excès des faux semblants et des complots meurtriers. fantasmes se conjuguent à prestance, jamais à l'indécence. dans le vice, les vêtements s'égarent derrière les dédales des portes closes. les langues se délient dans le flot des ragots, les chairs s'épousent au gré des pulsions outrancières. et la poupée se meurt.
sur ses cuisses, coule la chaude semence de ces monstres impurs. dégoût amer. et les grains s'égrènent sous ses doigts peints de rouge, les ongles encrassés du sang séché de ses propres plaies, de son corps qui se putréfie dans l'indifférence des morts. et surtout des vivants.
chapitre ii. — la vie d'après, maintenant [20 ans à aujourd'hui].
et maintenant, la vie demeure encore à écrire, comme un canevas vierge sur lequel on n’ose déposer le crayon ou encore le pinceau. six années. six années à jouer la comédie, à tenter de se reconstruire, de ces deuils et de ces misères qui parsèment la peau. taire le passé comme s’il n’était jamais arrivé. craindre le pire malgré les années qui se sont écoulées depuis son silence. déshéritée de son corps, sous les plaies qui abiment, qui laissent des traces indélébiles.
timeline (facultatif)
mois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla iciaesthetic
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pseudo pinky swear
âge hm?
nationalité québécoise
forum connu par... ça remonte!
ILH, j'en pense quoi ? hmmm?
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avatar utilisé blanca padilla
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