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Les amants interdit (ALEC)

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Un sourire, un regard. Je ne me souviens même plus comment ça a commencé, cette histoire. Je sais juste que ça a commencé et que depuis, il n'y a pas un moment où je songe que le mieux serait de mettre fin à tout ça. Cela m'épuise mais j'ai beau faire de mon mieux pour tenter d'oublier cette histoire, ça ne semble pas changer. Je n'ai sans doute pas pris la meilleure décision du monde, en me lançant là dedans, mais c'est arrivé, et bien que cela puisse sembler dérangeant, ça ne me déplaît.. Pas tant que ça, dirons-nous. En faite pour faire court, j'ai rencontré quelqu'un. Est-ce que cela s'arrête là et s'apprête à devenir romantique et tout ça ? Non parce qu'il n'est absolument pas question de sentiment ou quelque chose de ce genre. En faite, on a couché ensemble, un soir, une fois, une envie. Et au final, le lendemain, le monde avait changé. Ouh là, voilà que je je me mets presque à philosopher sur le monde alors que ça ne rime à rien et je préfère ne pas y penser. Disons que les choses sont moins dramatiques que je pourrais le penser. Que tout le monde pourrait le penser. Mais ça ne veut pas non plus dire que tout est bien dans cette actuelle situation et c'est même compliqué parce que l'on est deux à se retrouver dans l'embarras. Parce que cet homme avec qui j'ai couché, se trouve être un professeur de mon école. Et de logique, un professeur ne doit pas coucher avec un de ces élèves, au risque de se voir renvoyer. Les deux d'ailleurs, si on veut tout savoir. Et du coup maintenant, on essaie de la jouer discret, mais ça ne veut pas dire que c'est si simple que ça, parce que dans le fond, on est quand même deux fraudeurs.

Et s'il avait été question d'une seule nuit, les choses auraient été bien différentes aussi. Mais il est question de beaucoup plus. Bon, pas de tant que ça, aucun sentiment ni rien, juste cette attirance qui ne s'arrête pas, même lorsque l'on a assouvi nos pulsions. Et on finit par se mettre dans des situations un peu dangereuses. Puisqu'à tout moment quelqu'un pourrait nous coincer, nous découvrir et nous percer à jour. A tout moment, quelqu'un pourrait débarquer et se mettre à avoir des soupçons, que quelque chose est en train de se passer entre nous. Les choses auraient sans doute été beaucoup plus simples, si je n'avais pas pris option histoire, si je n''étais pas dans sa salle de classe, une fois par semaine. Le voir là, en face de moi, et ne pas pouvoir lui parler ni rien, ça me fait bizarre, feindre de ne pas le connaître alors que je ne suis pas quelqu'un qui ment, en général, ça me fait bizarre. Mais j'ai pris l'habitude, et il est hors de question que je nous mette dans l'embarras, alors je laisse comme ça.

Pour se voir, on doit se donner rendez-vous dans des endroits improbables, des lieux où personne n'est susceptible de nous trouver. Là, aujourd'hui, je lui ai proposé de nous voir dans la darkroom. J'ai des photos à développer et j'ai réservé la salle pour l'après-midi. Parce que oui, on peut faire ça. Du coup, aucune chance que l'on vienne me déranger, et de toute façon, il n'y a pas cours, cette après-midi. Je suis donc tranquille et s'il vient me voir ici, nous serons tranquille pour bavarder et.. Allez donc savoir. Cette situation me fait bizarre, mais vivre une relation comme ça, interdite et ambiguë, c'est la toute première fois et ça me plaît, ça rend tout ça encore plus excitant et je crois que c'est pour ça que je n'y mets pas un terme. Plus c'est dangereux, et plus on a de chance de se faire coincé, plus ça me plaît. Je suis bizarre peut être, mais tout ça m'amuse, et je ne dirais jamais le contraire. Là, je l'attends donc, en développant mes photos doucement, de toute façon, ça ne urge pas et puis.. C'est lui que je veux voir surtout. Pas de sentiment, mais ce désir qui me ^brûle dès que je le vois. Et on avait cours ce matin. Très dur de ne pas pouvoir me lever, m'approcher de lui et le déshabiller. Est-ce que ça fait de moi une nymphomane ?

© charney

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Je sais très bien que cette histoire est dangereuse et que je risque mon travail à cause de ça, mais je ne peux pas m'empêcher de la voir ou d'être avec elle. Une relation prof/élève n'est jamais bonne, tout simplement parce que c'est strictement interdit par la directrice de l'université, même si elle et moi avons toujours été très discrète j'ai toujours très peur... peur que quelqu'un nous prenne en flag' ou encore que Gab' balance notre histoire que ce soit à sa meilleure amie ou à ces parents et que ça remonte jusqu'aux oreilles de la principale. Je tiens à mon boulot et j'adore cette université, je ne veux pas que cette histoire ce sache. J'ai dû mal à donner ma confiance à quelqu'un, je me doute que Gab' n'irait pas balancer cette histoire mais sait-on jamais, un soir ou elle est bourrée ou encore parce que l'on vient de se disputer... Je me dis que je devrais peut-être rester éloigner de Gab' ça vaut mieux pour elle et pour moi, mais ces petits messages et ces sourires et ces regards me font craquer et à la place de montrer l'exemple je me laisse aller et je profite comme un gamin de 18 ans.
Je venais de finir ma journée par une petite réunion avec la direction, des réunions pas toujours très utiles et intéressantes mais je n'avais pas trop le choix d'y aller. Il était midi quand je pars manger au réfectoire avec quelques collègues et treize heures quand je rejoins mais voiture pour rentrer chez moi. J'avais un tas de copies à corriger et rien qu'en lisant la première je sentais que j'allais bien me marrer à cause des bêtises que certains élèves mettent dans leurs copies. Je m'apprête à démarrer ma voiture quand mon Iphone vibre dans ma poche, je le sors de celle-ci et remarque un nouveau message de Gab'. Un message qui me fit rire. Encore une fois à la place de partir et de ne pas lui répondre, me voilà en train de descendre de ma voiture pour retourner dans le bâtiment et me diriger vers les " darkrooms ". Je regarde autour de moi voir si personne ne me suivait ou me voyait entrer dans sa pièce mais à cette heure-ci les élèves étaient déjà retournés en cours. Je ferme la porte derrière moi et je descends les quelques escaliers avant d'arriver face à Gab'. Je me disais que tout cela n'était pas raisonnable mais elle m'avait manquée. Je m'approche de celle-ci en lui disant : « Je pensais que tu avais cours à cette heure-ci... » C'était un gros mensonge je connaissais bien son emploi du temps. Je regarde la porte d'entrée avant de reposer mon regard sur Gabrielle et lui dire : « Je ne sais pas si c'est une bonne idée de se voir ici... quelqu'un pourrait arriver... et nous voir... » Vous n'imaginez pas à quelle point j'avais envie de la prendre dans mes bras et de l'embrasser et... de faire bien plus, mais cette peur de nous faire prendre me rongeait de l'intérieur.
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Je sais bien que l'on pourrait se faire prendre à tout moment. Est-ce que c'est censé m'empêcher de le voir ? J'en doute un peu trop fortement. Justement, j'ai réservé la salle et si quelqu'un vient à rentrer ici, c'est qu'il y a un problème. Sauf que voilà, étant la dernière à utiliser la pièce, on m'a demandé de la fermer quand je sortirais, pour être sûr qu'il n'arrive rien au matériel (heureusement d'ailleurs, puisque je dois bien avouer que je me sentirais mal, si quelque chose venait à disparaître alors que je suis responsable. Donc voilà, j'ai la clé et cette clé va clairement nous permettre de rester tranquille, pour un petit moment. Je pose mon sac dans un coin, je fouille dedans un bref instant, gardant le silence et je m'approche de la porte pour la fermer à clé. Ainsi, nous sommes sûr de ne pas nous faire déranger tant que nous seront ici. Et l'idée est donc que l'on puisse.. Faire absolument tout ce que l'on pourrait bien vouloir. De toute évidence, bien sûr.  « Ca tombe bien, j'ai la clé de la porte. Et j'ai réservé la salle pour l'après-midi. J'ai la clé, et donc.. Je suppose que ça veut bel et bien dire que l'on est tranquille ». J'hausse les épaules, tandis qu'un sourire est déjà en train de se former sur mes lèvres. Et dire qu'en dehors de tout ce désir, il n'y a rien de plus et pourtant, je suis toujours heureuse de le voir. Sans doute parce que je sais que l'on va passer un bon moment, parce que oui, il est clair que c'est ce qu'il va se passer, là tout de suite, entre lui et moi. Et je n'ai pas le moindre doute sur la question.

Je m'avance doucement vers lui, m'arrêtant à une courte distance de lui. Nous sommes si proches et pourtant, je ne tends pas la main vers lui, j'aime lorsque c'est lui qui fait le premier geste, et à force, je suppose qu'il a quand même fini par le comprendre hein, soyons sérieux, je fais toujours ça, donc bon. Et puis, on est seul, tranquille et personne ne va pouvoir venir nous déranger. Donc pourquoi ne pas en profiter hein ? Pour une fois que l'on est sûr que personne ne va venir. Je sais qu'il a vraiment peur pour son boulot, et j'ai peur aussi, pour lui, pour son boulot. Normal en même temps, puisque s'il le perd, ça sera ma faute, mais je sais aussi que je ferais tout ce qui est possible pour qu'il ne se fasse pas coincer. Et ça, il a du mal à le comprendre. J'ai moi-même du mal à faire confiance alors je me tais et je ne dis rien à ce sujet, mais j'avoue que ouais.. Il faudrait qu'il se rende compte qu'avant de se voir, je fais toujours attention à ce que l'on puisse vraiment se voir quoi, sans être dérangé. Dans ma résidence, ce n'est clairement pas possible, les Cabots ne pourraient pas le supporter. En faite, de toute façon, il faut que l'on se cache tous les deux, sinon, c'est la fin. On n'a que 5 ans d'écart et parfois, j'ai l'impression que pour tout le monde, ça représente un siècle.

Là, presque collé à lui, je suis toujours avec mon sourire, à ne pas bouger, à ne pas faire de pas vers lui, attendant qu'il fasse le premier geste.  « Tu sais, je te trouve incroyablement sexy quand tu fais cours.. ». Si je nous ai déjà imaginé en train de le faire en salle de classe ? Bien sûr. Mais bon, c'est un fantasme vraiment trop risqué alors, je le garde pour moi. Et puis.. Qui, sait peut être un jour ? Ca serait assez marrant en faite. Mais bon, on verra bien quoi. Pour le moment, la discrétion est le maître mot, et on ne pourra rien faire d'autre, c'est évident.

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Et me voilà ici juste à côté d'elle, je venais de me foutre dans une histoire sans fin il faut croire. Je crois que jamais je n'aurais pu ignorer son message et rentrer chez moi comme-ci de rien n'était, j'étais là dans cette pièce avec elle parce que j'en avais envie. J'étais toujours très inquiet que quelqu'un nous découvre ici, mais bien sûr Gab' était très intelligente, elle avait pris les clés de la porte pour nous enfermer à clé tout en me disant qu'elle avait réservé la salle toute l'après-midi et que personne ne viendrait nous déranger. J'étais rassuré à moitié après tous les femmes de ménage, les professeurs et pleins d'autres personnels de l'université avaient les doubles de cette clé et à tout moment quelqu'un pouvait entrer et si nous étions en train de faire ce que j'ai très envie de faire en ce moment, jamais nous aurons le temps de nous cacher ou de trouver une excuse bidon... « malheureusement je pense que je ne t'apprends rien si je te dis que tu n'es pas à la seule à être en possession de cette clé... » Elle se rapproche de plus en plus de moi, bien sûr que ça me fait de l'effet mais cette fichue porte que je n'arrête pas de fixer me bloque dans mes gestes... À ce moment-là j'ai envie de la toucher, de passer mes mains dans son dos et de les faire glisser sur ces fesses, de rapprocher mon visage en core plus du sien, de sentir son souffle contre mon visage, d'embrasser ces lèvres et de bien plus encore... mais est-ce raisonnable ? Elle vient presque à se coller à moi sans réellement me toucher, si je comprenais bien c'était à moi de la toucher en premier. Je fixe ces beaux yeux et je laisse échapper un petit rire de mes lèvres à sa remarque, je me rapproche d'elle à mon tour en lui disant : « Tu ne devrais pas fantasmer sur ton professeur... c'est strictement interdit ! » dis-je avec un sourire aux lèvres et d'un ton un peu moqueur de ce règlement. Bon finalement je pense que je vais un peu me laisser aller... Je monte d'une marche les escaliers de manière à être plus grand qu'elle et je passe ma main sur sa joue avant de rapprocher mes lèvres des siennes et puis finalement je m'éloigne d'elle en lui disant : « Oh mais non mais qu'est-ce que je fais ! » Je descends des marches d'escalier et marche dans la pièce en disant : « Gab'... on ne peut plus faire ça, je risque de perdre mon travail et tu sais que je tiens à ce job, si je le perds je n'ai plus rien.. et toi aussi tu risques de te faire virer, ce que l'on fait c'est trop dangereux ! » J'essaye de rester éloigné d'elle parce que j'ai toujours peur de céder à la tentation.
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Cette situation a beau être étrange, j'avoue que j'ai du mal à vraiment le réaliser et la seule et unique chose que je veux, c'est qu'il soit là, que je puisse le toucher. C'est ça le plus bizarre, c'est que cette situation est dangereuse et j'en passe et du coup.. Bah ça nous tape sur les nerfs, sérieux. Et j'en ai assez. Je m'amuse de la situation, parce que vraiment, la situation actuelle me fait plutôt rire et ça m'amuse. Enfin bon, après, ce n'est pas moi qui vais me mettre à en faire toute une histoire. Et les choses ne se sont jamais passé comme ça, et c'est sans doute.. Bien mieux comme ça, de toute façon. En tout cas aujourd'hui, il n'est pas très drôle, en appuyant sur le fait que je ne dois pas la seule à avoir cette clé. Ne sait-il donc pas que si on.. laisse la clé dans la porte, personne ne peut entrer ? Je sais bien que je ne suis pas la personne la plus douée du monde, je sais que je peux me montrer un peu trop maladroite parfois, mais lorsqu'il faut vraiment faire attention, je sais me montrer vigilante.. Et il ne semble pas le comprendre et j'en suis assez triste, ça me blesse. Mais bon, bah.. Je peux comprendre qu'il ait à ce point peur de perdre son boulot.  « Je sais, mais si la clé reste dans la porte.. Personne ne peut entrer. Continues-tu toujours de douter ? ». Je souris doucement, baissant mon regard, puisqu'au final, il ne fait pas le premier pas vers moi, mais il semble bien plus reculer. Et ça, ça me rend triste. Enfin bon, il faut surtout que j'arrête parce qu'à continuer comme ça, je vais finir par me noyer. Pas fantasmer sur un professeur ? Et bien, il semblerait qu'il soit beaucoup trop tard pour me dire un truc pareil, je fantasme déjà, sur mon professeur, alors me dire de ne pas le faire, c'est un peu compliqué pour moi hein. Mais ça me fait rire donc.. Pourquoi ne pas en profiter hein ?  « Et bien oui je sais que ce n'est pas bien.. Mais le professeur n'a qu'à être beaucoup moins sexy.. ». Je ris doucement et savoure le fait qu'il s'approche enfin de moi et qu'il pose alors, ses lèvres sur les miennes. Je ne réfléchis pas plus longtemps et déjà, mes lèvres s'emparent des siennes alors que mes mains se glissent dans ses cheveux.

Mais il finit par mettre fin à notre baiser et commence à me dire que ce que l'on fait est mal et surtout, que l'on devrait arrêter. Et ça me rend triste quoi. Mais bon, bah.. Je sais qu'il a raison hein ! Mais je ne peux pas concevoir que ça puisse prendre fin. Je sais que c'est ce qu'il y a de mieux à faire, mais je ne veux pas arrêter, parce que j'ai encore envie de profiter de la situation. Mais bien sûr que ça aurait dû prendre fin, à un moment. Mais je ne pensais pas que ça prendrait fin, là, tout de suite. C'est surtout ça qui me rend triste. Je pensais que ça allait pouvoir durer encore un peu et qu'ensuite, ça prendrait fin, d'un commun accord. Pas qu'il le déciderait comme ça. Mais dans le fond, je ne sais pas ce que j'attendais et c'est peut être ça qui me perturbe. Ce n'est pas comme si on allait se marier. Pas de sentiment, alors pourquoi ça me touche autant ?  « Trop dangereux ? Alec, on connaît le risque depuis le début bordel ! Et on a toujours fait attention, je sais que c'est délicat mais bordl, tu décide d'y mettre fin au seul moment où on n'a pas la moindre chance de nous faire repérer, on a pris tellement plus de risque par le passé que j'ai du mal.. A comprendre où tu veux en venir ». Mais dans le fond, je ne vais pas lui forcer la main, s'il veut arrêter, et bien, nous arrêtons, c'est comme ça.

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Alec & Gabrielle
Les amants interdit .
Certes si la clé reste sur la serrure personne en pourra entrer dans la pièce, je n'avais pas pensé à ça. Je baisse le regard en essayant de trouver une réponse qui ne la décevra pas parce que je me voyais mal lui dire non je ne suis toujours pas rassuré. Et puis comment répondre quelque chose de négatif quand on voit sa petite tête enjouée et ce sublime sourire qu'elle a au bout des lèvres... « ce n'est pas bête, je n'y avais pas pensé à ça. » Si la directrice venait à entendre ces paroles suivantes je crois que je serais viré définitivement, elle était adorable et je pouvais moi aussi lui retourner ce compliment après tout elle était très sexy et parfois c'était compliqué pour moi de ne penser qu'à mon cours et de ne pas la regarder ou plutôt la mater Les amants interdit (ALEC) 152426858 comme je le fais quand nous sommes tous les deux dans un coin tranquille. Je lâche un rire en lui répondant : « La prochaine fois je ferais cours avec une cagoule et en combinaison de ski comme ça tu arriveras mieux à te concentrer.. » dis-je d'un air plaisantin. Et comme à chaque fois je n'arrive pas à garder mon sérieux plus d'une minute, me voilà entrain de l'embrasser et de passer mes mains dans son dos mais le baiser ne dur pas plus d'une minute que j'y mets fin en recommençant à lui dire que c'est beaucoup trop dangereux et que nous sommes inconscients de faire ça...ici.

Je descends les dernières marches des escaliers avant de partir au fond de la pièce et de faire les cent pas. J'avais juste besoin de penser et de réfléchir ce qui était finalement dommage parce qu'en pensant je perds un peu plus du temps pour être avec elle. Maintenant que j'étais embarqué dans cette histoire je ne pouvais plus faire marche arrière, je sais bien que j'avais pris de plus grosse que ça et que si j'avais voulu j'aurais arrêté avant... Peut-être que j'essayais juste de montrer l'exemple et d'être raisonnable aujourd'hui... « Je le sais bien Gab' mais je me dis qu'il est peut-être encore temps de tout arrêter avant que ça ne devienne impossible de nous passer l'un de l'autre. Ce que je veux dire c'est que peut-être maintenant je réalise vraiment le danger et ce que normalement en tant que professeur je devrais faire... » A croire que les mots ne voulaient pas sortir, c'était au-dessus de mes forces de la regarder dans les yeux et de lui dire que cette histoire était finie. Je pose mes fesses sur une chaise et je lui dis en soupirant : « Tu en as parler à quelqu'un... de nous ? » Je sais très bien qu'elle allait mal prendre le fait que je ne lui fasse pas confiance...

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Bien sûr qu'il n'y a pas pensé, comme si les choses allaient pouvoir vraiment changer. Non, les choses ne sont pas aussi simples que ça et ça, ça me tape sur les nerfs. Bon, après, pour le reste, il n'a quand même pas l'air très convaincu et c'est surtout ça qui me déprime. Mais bon, bah, on ne peut pas le refaire ou même, le pousser, une seule seconde à faire ce qu'il ne veut pas faire. Disons juste que je trouve ça triste, qu'il puisse douter à ce point. Je ne dis pas, nous faire coincer sera la pire des choses qui pourrait arriver. Mais je sais ce qu'il faut faire pour que les choses n'arrivent pas et c'est ce qui me tape sur les nerfs. Parce qu'il ne semble pas y croire en faite. Mais bon, je suis à fond. Un sourire sur les lèvres, j'essaie de cacher le fait que les choses ne se passent pas si bien que ça. L'instant d'après, il semble essayer de détendre l'atmosphère, ce que je trouve plutôt marrant en faite. Et ce qui me touche aussi. Enfin.. J'ai toujours aimé les hommes marrant, donc forcément, ça change la donne, même si je fais toujours tout ce qui est en mon possible pour que les choses ne partent pas trop dans tous les sens. Enfin bon, je suis quand même contente qu'il essaie de changer de sujet, mais bon. Le soucis reste là.  « C'est une idée. Je pense que si on fait ça, ça me semblera plus facile de suivre tes cours hein ! ». Je ris, légèrement. Je trouve tout ça plutôt drôle mais bon, je n'ose pas imaginer ce que les gens pourraient bien penser de ça en faite. La situation pourrait partir dans tous les sens et en général, c'est le genre de chose qu'il vaut mieux éviter donc.. Bon.

Le temps d'arrêter. Oui, peut être. Et je savais que ce moment allait finir par arriver. Et ce n'est pas moi qui vais me mettre à dire le contraire. Bon, après, oui, je pensais que ça s'arrêterait plus tard, mais ça ne s'arrête pas alors, je suppose qu'il est hors de question que je continue de me prendre la tête. Et sans doute que la situation ne pourra, QUE, devenir beaucoup plus évidente. Ce qui m'arrange. Il est sûr que le mieux serait que je me trouve quelqu'un de mon âge, et ce n'est pas moi qui vais dire le contraire. Mais bon, après, je mentirais, en disant que la situation ne me convient pas. Parce qu'elle me plaît, et ce, depuis le tout début, depuis toujours. Donc ça me blase un peu, en faite. De ne pas savoir, de devoir douter et tout ça. Ca m'énerve. Un sourire sur les lèvres, j'essaie de garder la face, de toute façon, je suppose qu'avec ce qu'il a pu se passer entre nous, on gardera un certain contact ? Enfin bon, je ne vais pas chipoter non plus, ça ne servirait à rien de continuer. Il ne veut pas, soit.  « Hm.. Tu as peut être raison. Je ne sais pas. Je trouvais qu.. Ca pouvait continuer encore un peu, mais c'est vrai que ça doit prendre fin alors.. Je suppose que ça peut arriver à tout moment, je ne sais pas ». Je ne sais même pas quoi lui dire de plus. Mais je suppose que ce n'est pas plus mal. Et ça me va très bien.

Lorsqu'il me demande si j'ai parlé de tout ça à quelqu'un. Je soupire, j'ai envie de hurler. C'est horrible. Je déteste ça, et ça me tape sur les nerfs, qu'il puisse ne pas avoir confiance en moi. Et du coup, j'en viens à me dire que le fait que ça prenne fin, ce n'est pas plus mal. Vu qu'il n'a toujours pas confiance. Et que pour être discret, c'est la base.  « Non, je n'en ai pas parlé. Je trouve abusé que tu ne me fasse vraiment pas confiance.. ».

© charney

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