Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEthley ♕ tu vas te prendre un poing dans la gueule ? (a) - Page 2
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Ethley ♕ tu vas te prendre un poing dans la gueule ? (a)

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Ethan & Presley
Hey oh Casper, prends-toi ça pour m'avoir abandonner
et ça parce que je te kiffe (a)

Je me trouvais dans ses bras, comme un bébé, je ne touchais plus le sol, j’étais juste contre son corps. Je lui souriais. Je m’étais dévalorisée et dès ce moment, mon ami s’était empressé de me complimenter pour me contredire mais en aucun cas, je voulais cela. Ce n’était aucunement mon genre de chercher ça, de chercher des compliments. Je le regardais et d’un coup, il me fit tournoyer jusqu’à ce qu’on se retrouve au sol, dans l’herbe. Il se mettait à rire et je ne pus que le suivre. J’avais toujours aimé le voir rire, le voir sourire et là, c’était étrange mais j’aimais le sentir contre moi, enfin bon, c’était surement mes hormones, tout simplement. Je tentais de me remonter un peu parce que j’avais limite la tête sur son torse et je préférais récupérer notre contact visuel. Je plongeais mes yeux dans les siens. C’était impressionnant, en fait ! Il laisse échapper un petit oops super marrant. Je riais plus encore, me plaçant plus confortablement sur lui comme si je m’apprêtais à l’embêter au maximum et à le chatouiller, ce que je ne fis pas pour le moment. Néanmoins, il prit le dessus en me poussant sur le coté avant de se retrouver au dessus et d’encercler de ses mains, mon visage, troublé. Oui, j’étais troublée et c’était bien trop bizarre. Il semblait me regarder avec cette lueur bizarre que je ne pouvais décrypter. Soudain, il ouvrit la bouche, prêt à parler et il me surprit en me proposant d’habiter avec lui. Mes idées et pensées firent un tour facile à 180 degrés dans ma tête. Ethan se laisse tomber sur le coté, se posant tranquillement sur la pelouse et en tournant la tête, je le vis admirer le ciel à travers les branches des arbres. Je fis, de même, tentant d’assimiler sa proposition étrange. Je ne parlais pas, je ne savais pas trop quoi dire. En à peine une heure, je le voyais de retour, je lui parlais puis il me demandait ça, direct. Il reprit d’ailleurs très vite surement conscient de ma gêne, enfin surement de mon étonnement. Il se préoccupait donc de la possibilité que je sois déjà ailleurs, c’était déjà bien. Je restais impassible, incapable de réagir comme ça, direct. Je ne parlais pas et ça faisait déjà un moment que je n’avais réagi qu’avec mes yeux et les expressions de mon visage. Surement devait-il croire que j’étais mal ou quelque chose comme ça ! Je me tournais vers lui, espérant que j’allais réussir à parler et comme si, il avait senti que je me tournais face à lui, sans même regarder, il tourna la tête pour me confier qu’il avait surement plus besoin que moi qu’il en avait l’air. Cette annonce me fit sourire, j’étais beaucoup moins impassible, je crois même que ça me touchait et que direct, c’était entrain de faire son effet ainsi que me débloquer. Je me raclais alors la gorge et soupirais. Je pensais à la fois à mes deux colocations mais aussi, à tous nos souvenirs ensemble : Lui & Moi. Je les aimais tous autant, mais il était seul et elles étaient deux. En plus, elles allaient surement comprendre, enfin, je ne savais pas trop quoi répondre, je pouvais pas décider comme ça, je les aimais tous autant … Quoique, j’adorais les filles, mais Ethan avait toujours été celui qui me complétait. Je le regardais et repris la parole pour la première fois depuis un moment : Je … Je suis surprise … tu reviens à peine et j’ai encore peur.. Peur que tu repartes … si je venais, que j’abandonnais mes colocataires pour m’engager avec toi … Je grimaçais face à ma phrase, très étrange … et je repris, du coup, très vite, presque nerveusement : Enfin, je veux dire, pour venir habiter avec toi … Je le regardais, les yeux dans le vague. Je me remettais sur le dos, regardant le ciel, ma joie était retombée car en parlant, je m’étais rendu compte que son retour me rendait de nouveau mal comme après son départ, parce que j’avais peur … peur qu’il reparte et m’abandonne à nouveau. Je n’aimais juste pas ça. A cette pensée, en me revoyant, en revoyant ces flashs d’il y a un an, une larme coula sur mon visage, je tournais la tête à l’opposé, tentant de le cacher puis je repris, tentant de cacher ma voix quelque peu tremblante ; tu sais que ton départ m’a vraiment blessé … Je détestais montrer mes faiblesses mais je l’avais déjà fait après tout, rien qu’en le baffant, là, je le montrais avec les mots.

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Ce n'était qu'une simple proposition et pourtant elle avait l'air d'avoir fait un carnage en Presley. Elle avait raison, je revenais les mains dans les poches, m'attendant à ce que tout revienne à la normale. Mon oeil ! Je pouvais toujours rêver. Tout mon entourage s'était comme ligué contre moi, j'étais face à tout le monde, et même à Presley, ma moitié me redoutait. Je me retournais sur le ventre pour regarder loin devant moi, les coudes enfoncés dans le sol. " Je comprends que tu ne sois pas prête à t'engager avec moi " j'avais lâché un petit rire nerveux et avais pas mal appuyé sur ce engager, je trouvais ça adorable, on aurait dit un couple. J'avalais péniblement ma salive car ça me mettait tout de même un petit coup au moral qu'elle n'accepte pas d'un coup avec un large sourire. Mais c'était sans doute mieux pour elle que de s'enfoncer avec moi. " Je t'en veux pas que tu refuses, il manquerait plus que tes colocataires m'en veulent ce serait le pompom " oui je m'étais fait assez d'ennemis involontairement dans le coin et de de nouveaux ne feraient que descendre la balance d'un côté. Mais il fallait arrêter désormais de croire en un potentiel départ de ma part, si j'étais revenu c'était pour de bon. Presley avait sans doute peur que je m'évapore de nouveau dans la nature et ce n'était pas le cas, excepté si ma mère avait besoin de moi à l'autre bout des Etats Unis. " Faut quand même que tu saches que je ne suis pas revenu pour repartir illico presto " je basculais sur le côté et collais mon visage tout près de celui de Presley, le tordant dans tous les sens pour faire des grimaces. Je l'aimais plus que tout et si jamais il lui arrivé quelque chose, je pourrais bien mourir. C'était comme si nous partagions le même coeur, on était indissociable.

Je me relevais ensuite offrant une fois de plus ma main à la jolie blonde qui cette fois ci l'avait accepté. Je cherchais un endroit où nous pourrions continuer nos enfantillages. Mais à l'intérieur de cette faculté il n'y avait rien d'alléchant. J'entrainais alors de plus belle ma meilleure amie à l'extérieur de ce campus. La circulation était au ralentie, nous pouvions nous frayer un chemin à travers les véhicules momentanément arrêtés. J'hésitais à emmener la demoiselle directement chez moi, ça ne lui donnerait forcément encore moins envie d'y aller, c'était un loft pas immense, mais il avait une vue magnifique sur la ville et surtout une architecture spéciale, l'immeuble était en brique rouge, j'adorais ça, ça changeait du bon vieux béton gris ou du crépis souillé par la pollution. Néanmoins ce n'était pas le grand luxe auquel elle avait sans doute goûté. Mais si Presley était celle que je croyais alors elle n'y ferait sûrement pas gaffe." Je t'amène chez moi, ce n'est pas parce que tu ne veux pas y habiter que tu ne peux pas venir de temps à autre ! " nous nous glissions toujours entre les voitures, nous bifurquions encore quelques fois et nous étions finalement arrivés. J'ouvrais l'immense porte en fer forgé noir et fis entrer la jeune femme la première. " C'est au dernier étage, j'ai même droit au toit tu pourras y faire pousser ton cannabis dans la serre " j'explosais de rire avant de gravir les escaliers à ses côtés.C'était bon de l'emmerder, car elle renchérissait la plupart du temps et c'était à mourir de rire. Nous grimpions l'escalier et finissions sur le dernier palier, j'avançais jusqu'à la porte et la déverrouiller " Fais comme chez toi " avouais-je tout en restant sur le côté, les bras vers l'intérieur pour qu'elle y entre la première.

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J’avais avoué ce qui me faisait mal, ce qui me faisait peur. J’étais mal, apeurée et pourtant, je mourrais d’envie d’être là pour lui, de ne pas avoir cette peur. Je le sentais fébrile, anxieux face à mon état, il l’avait donc senti, je le sentais qu’il avait compris moi. Il avait du changer de position car je l’entendais bouger et après avoir un peu essuyé mes yeux au cas où, je m’étais mis sur les coudes, remarquant qu’il s’était exactement mis dans cette position. Il m’avait alors dit qu’il me comprenait et j’avais tenté un sourire voulant effacer de mon visage les traits tristes qui avaient pu s’encrer peu de temps avant. Je savais, je sentais et surtout, je comprenais qu’il aurait voulu que je dise oui directement, mais je n’y arrivais pas, je ne pouvais pas. Déjà, je savais que j’avais été peut-être un peu vite pour le pardonner alors je me devais de ne pas dire oui tout de suite quoique cela me démangeait. Je ne parlais pas. En fait, dès qu’il parlait un peu, je ne pouvais plus parler comme si sa voix était signe que je devais me taire et l’écouter parce que j’avais peur de sortir une connerie et ensuite, de le couper dans ces pensées et ces dires. Il me disait qu’il ne m’en voulait pas mais je savais qu’il voulait juste me faire comprendre qu’il ne me mettait pas en cause, mais qu’il était grave déçu. Alors que j’étais silencieuse et que je le regardais quelques secondes, je me mettais inconsciemment, dans la gêne et le stresse, à jouer avec l’herbe verte. Je la regardais, le soleil la faisait briller et rendait le vert bien plus flamboyant. Je me sentais gênée quand il reprit pour m’annoncer qu’il ne pensait pas repartir pour le moment. Cette petite annonce me fit un peu sourire, rendant mon visage plus lumineux et je le vis se tourner vers moi pour me faire quelques grimaces, tentant de me rendre le sourire, voir à me faire rire, mais je me contentais juste de répondre à sa demande par un simple sourire avant de dire un simple : Oh … je vois ! Je ne pouvais rien dire d’autres, je ne voyais pas quoi dire, et je ne voulais pas plus l’ouvrir. Ethan se relevait, prenant les devants une fois de plus tandis que je me remettais assise sur les fesses et me tendit la main. Je souriais timidement et l’acceptait pour pouvoir me lever facilement. Alors que nous étions debout, je le sentis perplexe comme en pleine recherche et on commença à marcher pour s’éloigner du campus. Je le suivais parce que je savais que je n’avais rien à perdre à continuer notre journée ensemble pour le moment. Je continuais néanmoins à marcher un peu en retrait le regardant, réfléchissant à ce que je voulais. Je devais dire que ça me laissait perplexe, réellement. Je sentais que sa demande était vraiment sincère, qu’il avait réellement ce besoin de m’avoir auprès de lui et je ressentais aussi ce besoin, mais je me sentais méfiante et apeurée. Je passais ma main dans mes cheveux nerveusement et souriait un peu plus, voulant y mettre vraiment du mien. Il m’annonça qu’on allait chez lui et je sentais ça un peu comme un piège. Néanmoins, il me précisait qu’il avait bien compris que je ne voulais pas, enfin justement il avait rien compris, j’avais rien dit. Je pris donc rapidement la parole, d’une voix qui semblait montré mon état de trouble : Je n’ai pas dit « non », je ne dis rien, je … Je m’étais stoppée net, car je ne savais pas quoi dire de plus. Nous continuons à marcher, tournant et virant dans la ville jusqu’à arriver devant un bâtiment original. On arrivait devant une grande porte en fer forgé et il me fit pénétrer en première m’annonçant que ça se trouvait au dernière étage. Il tentait une blague concernant le toit auquel il avait le droit qui pourrait me servir pour faire pousser du canabis. Je riais mais pas totalement libérée, je devais me l’avouer, j’étais un peu trop perturbée encore malgré notre marche depuis sa proposition. Je lui souriais quand même mais il semblait bien faux, j’en étais consciente. Nous arrivions en haut et il déverrouilla la porte avant de m’inviter à y entrer. Je ne me faisais pas prier car je ne pouvais cacher que j’étais curieuse de voir l’intérieur de chez lui. Déjà d’en bas, j’avais pu deviner que c’était pas immense, mais après tout, j’étais peut être assez riche, mais je n’avais jamais aimé étendre cela, le montrer et le too much alors ça me convenait tout à fait. Ca me faisait bizarre car en découvrant cet appartement si cosy, j’avais presque envie de m’y installer direct. Je posais mon grand sac de sport dans un coin et avançait plus dans le petit appartement de mon meilleur ami. Ce n’était pas bien grand mais original. La cuisine typiquement américaine, petite mais charmante donnant sur un petit salon où un canapé faisait face à une télévision, c’était sympa et je le photographiais rapidement tant il me plaisait. Il faut dire que parfois je me sentais trop fille de riche dans mon actuel appartement qui se voyait super grand mais je ne me plaignais pas non plus. Je me décidais enfin à parler, me tournant vers lui tout en laissant mon regard admirer encore ce qui se trouvait autour de moi : C’est très sympa chez toi … Oui, bon d’accord, j’avouais que je ne pouvais pas me sentir de nouveau complètement bien parce que je ne cessais de penser à ce qu’il m’avait proposé et j’étais totalement tiraillée. Bizarrement, j’étais gênée aussi parce que je n’avais pas que peur qu’il parte, mais aussi de certains trucs que j’avais pu ressentir depuis l’heure et demi durant laquelle je l’avais retrouvé. J’avais néanmoins besoin de poser mes questions, de savoir et de comprendre vraiment comme si ça pouvait m’aider à me décider : Euh … pourquoi tu veux une colocataire ? Enfin, je veux dire … tu es sur de me vouloir comme colocataire ?

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Presley était toujours autant craintive même si elle tentait d’y mettre du sien en complimentant mon petit chez moi. J’avais mis du temps à m’y faire mais je commençais à prendre mes marques, ce n’était pas immense, on pouvait rapidement s’y sentir à l’aise. Je la laissais évoluer dans l’appartement, j’en profitais pour enlever ma veste et la poser sur le porte manteaux à l’entrée. J’entendis alors une question de sa part, j’entrais dans le couloir afin de l’apercevoir pour lui répondre sur cette demande de colocation. J’allais être franc et ne pas me prendre la tête à peser mes mots. « J’avais vraiment l’intention de le demander uniquement à toi, je ne veux personne d’autre à la maison, si tu refuses je reste seul c’est pas un soucis, c’est que nous deux on s’éclate ensemble faut le dire » j’esquissais un sourire avant d’ouvrir le frigo de la cuisine ouverte sur le salon. J’attrapais une bière et la décapsuler immédiatement avant d’en boire une première gorgée, il était encore tôt pour boire mais j’y faisais plus attention. Le temps passait et j’agissais selon mes envies, plus besoin d’horloge pour régler ma vie. « Tu en veux une ? Tiens je la pose ici » j’attrapais la dernière du pack et la déposer sur le plan de travail. Ça faisait un bail que je n’avais pas fait des courses, je n’avais plus rien. Je détestais me rendre au supermarché, quelle perte de temps !

Puis je m’étais dirigé vers le fond du salon où une baie vitrée donnait sur la fameuse terasse, j’ouvrais en grand et m’extirper à l’extérieur. J’avais encore l’espoir de séduire ma meilleure amie pour qu’elle me rejoigne, qu’on rit jusqu’au bout de la nuit, qu’on s’endorme l’un contre l’autre… Je me sentais en sécurité à ses côtés, elle me protégeait autant que je l'a protéger. C’était une relation tellement entière et sans ombres. Du moins c’était ce que je croyais jusqu’à ce qu’elle plonge son regard dans le mien, qu’elle se déshabille sous mes yeux sans gêne. Et si je glissais sur une pente savonneuse me menant là ou je n’aurais jamais imaginé. Ma demande était peut être précipitée et elle pourrait un jour nous détruire si jamais nous développions des sentiments autre que de l’amitié. La jolie blonde m’avait suivi, le toit était recouvert de gravillons, mais quelques plaques de bétons permettait d’avoir les pieds bien à plat. La vue dégagée m’étonnait toujours autant. Je m’avançais vers le précipice pour regarder les passants en bas. « C’est pas super ça ! » puis je me retournais vers elle un grand sourire aux lèvres, je reculais lentement et l’attraper dans mes bras pour la serrer très fort. « Rien que pour ça je pars plus » j’embrassais le sommet de son crâne puis frottais ma joue contre sa tête. Un grondement dans le ciel m’interpella, je levais les yeux au ciel et me mis à gesticuler ne savant pas vraiment si les pilotes de l’hélicoptère pourraient m’apercevoir. « Youhouuuuuu » je dansais comme un imbécile le temps qu’ils nous survolent. J’étais heureux quoiqu’il arrive, j’avais retrouvé ma Presley.

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Oui, j'étais génée. Oui, je savais pas quoi faire et j'étais pommée, mais après tout, j'avais envie. Je sentais que je voulais le rejoindre. D'ailleurs, j'étais déjà conquise. J'avais juste des doutes, c'était bizarre, trop de choses me semblaient étrange et puis, je pensais à mes deux meilleures amies et colocataires. J'avouais que peut-être ça pourrait me changer d'air aussi parce que ce loft dans lequel je vivais en ce moment, je le connais bien trop maintenant et puis, la vie à trois, était bien trop compliquée. J'adorais Oxana, mais elle était exigeante et son fonctionnement niveau nourriture et course restait compliquée. Enfin, je ne savais clairement pas. Je voyais enfin mon ami apparaitre dans la pièce principale que j'admirais, la découvrant peu à peu, de recoins en recoins, bien que c'était pas très grand, juste parfaitement cosy comme il le fallait. Il m'avoua qu'il ne voyait que moi pour vivre avec lui et surtout, ne voulait que moi. Cette révélation me donnait la patate, je trouvais ça gentil. Il m'expliquait alors qu'il préférait rester seule si je répondais non à sa requête et je me contentais de lui répondre par un simple : Je comprends,, ça me fait plaisir que tu aie pensé à moi ... tandis qu'il s'éloignait vers la cuisine et le frigo où je le vis sortir des bières. Il m'en proposa alors une, tout sourire mais perplexe surement à cause de moi et me la posa sur le plan de travail. Je m'approchais pour la prendre et boire un coup avant de la garder à la main. Merci ! Avais-je dit timidement. Ensuite, on se dirigea vers une grande baie vitrée donnant sur un grand espace extérieur qui semblait être le toit. J'étais époustouflée par la vue, par l'endroit. Nous avions souvent parlé de ce genre d'endroit petit quand on imaginait un peu notre petit chez nous. C'était le rêve ! Il ne manqua pas de le faire remarquer avant de se tourner vers moi pour me sourire et s'approchait pour me prendre dans les bras. J'étais plus trop d'humeur pour ça et pourtant, c'était plaisant, j'aimais bien l'avoir dans mes bras et prendre conscience de sa présence tant rêvée depuis un an. Je le serrais un instant avant qu'il me dise qu'il ne partirait plus rien que pour ça, me prendre dans ses bras, ces moment-là et qu'il m'embrassait au sommet du crane. je me séparais de lui, avançant plus sur l'espace qui me plaisait tant, quittant son regard, l'évitant comme pour m’empêcher d’être attendri et pouvoir réfléchir, me poser les bonnes questions. Parler de partir, de son départ, ou dire des choses du genre ne faisait que me rappeler ma peur de le voir m'abandonner encore. Je marchais doucement, telle une ombre sur le toit, revenant par moment sur mes pas, tournant un peu en rond tandis qu'il faisait l'imbécile comme ci un hélicoptère allait l'entendre. Sur ce coup-là, je ne le suivais pas dans ce délire et ne faisait que penser, penser, encore penser à tous ça. Je repris la parole, ne voulant pas que lui aussi soit mal à l'aise ; Désolé de ne pas rire mais tu vois, ça me fout mal ... tous ça ! Oui, autant être claire et puis il pouvait pas dire qu'il l'avait pas vu. Je tortillais mes doigts ce qui exprimait totalement mon état de stresse ou de totale perdition. j'étais du genre à vouloir faire un choix, pas faire ma girouette alors forcément, je ne pouvais pas laisser tous ça comme ça en suspens, faire comme ci, ça me faisait pas étrange et comme si y avait pas de réponse à donner. Écoute, ça me touche que tu me proposes ça, dis toi que j'ai même à un moment penser direct oui, mais le truc, c'est que tu me fais flipper ... J'ai peur que tu m'abandonne encore, peur de ... alors forcément, ça me fait hésiter à venir habiter avec toi parce que je sais que ça va directe renouer nos vrais liens et me faire m'attacher de nouveau ... enfin tu vois ! J'avais presque inconsciemment besoin qu'il me prouve que je devais dire oui, que je pouvais lui faire confiance, que ... oh tellement de chose. Je continuais de tourner en rond, ne pouvant rester en place tant j'accumulais le stresse depuis que je l'avais retrouvé parce que j'avais trop de surprise, de doutes en quelques heures. Je regardais le vague, la vue, toutes cette étendue que l'on pouvait facilement admirer tandis que je reprenais ; Le pire, c'est que j'en ai envie, j'ai envie d’être là pour toi, de passer du temps avec toi ... mais j'ai l'impression que tu ne te rends pas compte et que tu vois tout acquis en fait ... je suis pommée ... Avais-je dit tristement.

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Presley n’était pas une femme que l’on pouvait mettre rapidement dans sa poche, j’avais espéré l’espace d’un instant que notre relation assez spéciale aurait pu jouer en ma faveur… Mais non en aucun cas. Je pédalais dans la choucroute ! Elle n’était pas prête à accepter ma proposition pour mes beaux yeux. J’avais essayé de détendre l’atmosphère une fois de plus mais celle-ci s’était immédiatement alourdie lorsque Presley avait repris la parole. Elle me confiait toujours ses doutes, ses opinions sur ce qu’elle pensait de moi. Dans un sens c’était plutôt douloureux qu’elle se soit construite une image biaisée durant tout ce temps. Je m’approchais alors d’elle qui d’ailleurs n’arrêtait pas de bouger. Mon visage guilleret s’était refermé. J’étais sérieux et attristé. Je me pointais alors devant elle les bras ballants. « Je ne t’oblige rien, si tu ne veux pas ou que tu t’en sens pas prête à cause de mes conneries, je le comprends, on peut d’abord prendre le temps de se retrouver avant de prendre une quelconque direction » mon visage était légèrement incliné vers le bas, les sourcils froncés, je portais un visage plutôt empathique. Je laissais ensuite la jeune femme face à ses pensées, je ne pouvais pas prendre de décisions à sa place. Je m’étais alors faufilé à l’intérieur et m’étais affalé sur le canapé. Oui ça me faisait mal de la voir douté de moi à ce point mais après tout les chemins tortueux que j’avais emprunté, j’avais déçu plus d’une personne. Mais Presley… Presley et moi c’était plus puissant que ça et j’avais cru que nous pourrions passer outre ce lot d'épreuves auxquelles j'avais été confronté ces derniers mois.

Après quelques minutes de solitude à fixer l’écran noir de la télévision, je m’emparais de la télécommande et l’allumer. Je me créeais une sorte de compagnie pour éviter de songer à ma déception. J’aperçu alors la paire de jambe de la jeune femme emjamber le seuil. Je ne savais plus ce qu’elle souhaitait faire, ce qu’elle désirait au fond d’elle. Je levais mes yeux rapidement en sa direction et reportais immédiatement mon regard sur un documentaire. Je me sentais soudainement emparé d’un sentiment diffus de mélancolie. Je n’avais plus envie de parler, j’avais trop idéalisé notre relation, croyant qu’elle ne possédait aucune faille alors que si…si elle en avait. Et même si je m’étais enfoui sous ma carapace, j’avais l’impression que la jeune femme faisait déjà partie du décor, comme si c’était tout à fait normal qu’elle soit là, qu’elle déambule dans mon espace. Les publicités me sortirent tout à coup de mon mutisme. « Tu veux peut être rentrer chez toi ? Je t’accompagne si tu veux. » Eh voilà le bon vieux Ethan intégrant une pointe de conflit. Lorsque tout n’allait pas dans mon sens, je boudais, je ne voulais plus rien entendre, je n’étais qu’un gosse capricieux et Presley le savait. Dans ces circonstances elle pouvait m’enfoncer encore plus en se tirant ou alors dédramatiser en me chambrant.


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J'étais complètement dos à lui mais très vite, à la fin de mes explications, il était revenu se placer face à moi, soucieux de pouvoir me regarder en parlant surement. Il semblait vraiment vouloir m’accueillir, tenter de me comprendre aussi, tant de chose se bousculer dans ma tete en le regardant, je savais plus quoi penser alors je me contentais de regarder derrière lui, de ne plus croiser son regard tandis qu'une énième il me montrait sa compréhension. Mon ami m'expliqua qu'il ne m'obligeait rien, que c'était mon choix et qu'il voulait au moins qu'on profite de passer du temps ensemble avant de prendre une direction mais je le problème, c'est que je détestais voir mon ami aussi déçu et c'était incroyable comme le voir aussi mal et faire un maximum semblant juste pour moi, me donner juste envie de dire "oui je viens habiter chez toi" pourtant, là, j'en étais incapable. Je continuais de regarder la vue comme pour continuer de me garder dans une certaine concentration tandis qu'il disparaissait de devant moi pour aller, je ne sais où. Quand je me décidais à bouger et que je me retournais, je le vis, à l'intérieur, affalé sur le canapé. Oui, je le décevais, enfin non, je pense plus que ma décision le décevait et ma peur aussi, ma peur qu'il m'abandonne. Je voulais parler, dire quelques choses mais je pouvais juste pas alors je me contentais de le rejoindre et de rester impassible, sans un bruit non plus. Le silence était grand et je crois qu'on était tout aussi géné l'un que l'autre ... La télé fut la première chose qui brisa le silence et je tournais lègèrement ma tete pour remarquer qu'il semblait la regarder avec pourtant ce regard vide que je haissais chez lui, qui voulait dire qu'il était mal et ça me faisait me hair. Je ne sais pas comment mais on parla au meme moment. En effet, alors qu'il me demandait si je voulais rentrer chez moi et qu'il me proposait de me ramener, je lui annonçais avec un air sérieux que je voulais vivre avec lui. Du coup, il avait forcément pas entendu et avec son air boudeur, ça ne pouvait que m'attendrir encore plus. Alors, au lieu de le répéter en ralant parce qu'il avait pas entendu et ça me coutait de le redire parce que j'avais peur de me lancer à tord, je l'avais dit gentiement, preuve que d'une certaine manière, je me triturais le cerveau depuis un moment pour rien car j'avais déjà la réponse au fond ; J'ai dit ... que je voulais vivre avec toi ... mais effectivement, faudra bien que je rentre chez moi tout de même ... Je tentais un sourire mais pour l'instant, il ne revenait pas car le sien était absent ce que je ne pouvais tolérer alors je repris ; Bon, tu pourrais arrêter de faire ton bébé pas satisfait, tu as entendu ce que j'ai dis non ? Là, je souriais comme pour l'encourager avant de poser ma main sur la sienne, alors qu'elle était posée sur le canapé. Oui, j'avais décidé, d'un coup, de changer du tac au tac, de l’indécision totale à la prise de décision ; quand on a besoin de moi, je viens tant pis pour les reproches que me feront surement Elysia ou les filles par rapport au pardon trop rapide. Néanmoins, je m'inquiétais de la réaction des filles bien qu'elles seraient peut être compréhensives. J'espère que les filles m'en voudront pas ... mais bon, tu as besoin de moi, c'est ça ? Dis-je avec un rire enfantin qui se faisait bien mignon et attendrissant.

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Lorsque j'avais enfin ouvert la bouche pour jouer au gros lourd de service, Presley en avait fait de même de ce fait je n'avais rien pu entendre. Nos voix s'étaient fondues en un brouhaha incompréhensible. Mais quand la jeune femme avait quelque chose à dire elle comptait bien se faire comprendre. Elle avait repris me jetant au visage sa décision, la décision à laquelle je m'attendais avoir directement mais qui avait mis du temps à sortir. Je n'étais pas sûr d'avoir bien saisi, elle voulait vraiment emménager chez moi avec moi ? C'était la fiesta dans mon cerveau et pourtant je gardais ma moue de gamin qui boude, les bras croisés sur mon torse. Presley tentait de détendre l'atmosphère en mE taquinant et elle avait fini par y arriver. J'esquissais un sourire avant de désenlacer ma poitrine, la jeune femme posa sa main sur la mienne avant de me faire une confession.Elle avait peur que ses colocataires lui en veuillent. Ces filles devaient lui tenir à coeur pour qu'elle se fasse autant de sang d'encre. " Oui j'ai besoin de toi, je suis vraiment trop content que tu acceptes " avouais-je avant de glisser sur le canapé et de me relever en un bond. J'encerclais la jeune femme tout excité et la serrer fort contre moi. " Merci merci " disais-je tout en me décollant de son corps dessiné à la perfection. J'ignorais où tout ça nous conduirait, mais nous avions de bonnes soirées en prévision. L'été s'annonçait mouvementé, malheureusement je ne savais pas si nous aurions vraiment l'occasion de profiter de la colocation, il y avait bientôt le Summer Camp qui pointait le bout de son nez et je me doutais bien qu'elle aurait envie d'y aller où que ce soit, et je la suivrais c'était certain.

" On va trop s'éclater tu vas voir, youhouuuu " je tournais sur moi même avant d'attraper son visage et d'embrasser sa joue. Je ne savais pas encore comment nous allions nous y prendre pour ce fameux déménagement, j'allais créer un désordre pas possible dans la vie des autres jeunes femmes que connaissait Presley... " Tu me dis quand tu es prête, je t'aiderais avec les cartons, j'ai hâte ! J'espère juste que tu squatteras pas la salle de bain une éternité ça va chauffer sinon " un vrai gamin, j'étais passé du muet à la pipelette, n'arrêtant pas de bouger dans tous les sens. Je ne tirais plus la tronche, j'étais de nouveau en scelle, prêt à faire le pitre. " Du coup tu veux que je te raccompagne quand même ? Que je jette un oeil aux affaires à empaqueter " j'avais l'impression de presser les choses mais c'était surtout par peur qu'elle revienne sur sa décision, j'étais si comblé d'avoir Presley à mes côtés chaque matin... Je peinais toujours à y croire, elle qui avait l'air si réticente. Je me demandais bien ce qui l'avait fait changer d'avis en un si court laps de temps. Peu importe je finirais par l'apprendre un jour avec un peu de persuasion et quelques verres en trop. " Presley & Ethan c'est pour la vie ! " m'exclamais-je avant d'enrouler mon auriculaire au sien, nous étions liés depuis que nous étions gamins et c'était notre cri à nous deux lorsqu'on faisait des conneries en douce, où alors quand nous vivions des émotions fortes côte à côte. Nous l'avions hurlé ensemble pour la première fois lorsque nous avions gravi une colline gigantesque, nous étions à bout de force, seuls au milieu de rien. Que de bons souvenirs et de nouveaux en perspective avec son emménagement.. J'attrapais ma veste et commencer à sortir ne laissant pas vraiment le choix à la belle blonde.

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Ethan & Presley
Hey oh Casper, prends-toi ça pour m'avoir abandonner
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Mon amie avait l'air de m’être du temps à réaliser que je venais d'accepter. Je lui souriais, montrant que je venais bel et bien de lui annoncer quelques choses de bien. Il réalisa enfin et je vis un sourire s'affichait même si il avait mis du temps à apparaitre. J'eus un petit rire néanmoins assez nerveux vu que je pensais à mes deux amies, mes deux colocataires. Il m'avoua encore une fois qu'il avait effectivement besoin de moi et ça m'étonnait toujours autant venant d'Ethan même si ça me faisait réellement plaisir. Mon beau brun de meilleur ami se laissa glisser vers moi et je sentais le câlin arriver. J'affichais un sourire toujours franc tandis que je sentais ses bras forts m'entouraient. Je n'hésitais pas à participer à cette étreinte amicale car je voulais qu'il voit mes efforts, moi, qui n'était pourtant pas la plus câline avec lui, je me rappelais qu'il était celui qui m'avait toujours réconcilié avec mon ancien coté très tactile. Ethan me remerciait et je murmurais un "merci à toi de me l'avoir proposé". Ensuite, il desserra notre étreinte et s'exclama que nous allions bien nous amuser alors je rigolais. Il s'était levé tournant sur lui même comme un gosse avant de m'embrasser sur la joue. Je me remis à rire, il avait le don de me faire rire à fond, et de m'aider à etre plus détendue. Il proposait son aide pour les cartons ce que je trouvais adorable mais ce qui ne m'étonna guère alors je m'empressai de lui répondre : écoute, je pense que le mieux c'est de faire ça rapidement, c'est toujours mieux ... j'ai pas non plus trente mille truc à emballer et tu sais bien que je suis organisée donc je vais annoncer ça dès demain à mes colocations et tenter de faire les premiers trucs ce week end si tu veux ? Et le voilà qui bougeait dans tous les sens comme un enfant a qui on avait annoncé qu'il aurait son dernier jeu vidéo. Je ne pouvais pas arrêter de sourire malgré mes inquiétudes parce que il était là, que j'étais avec lui, que j'étais heureux. Bien sur, je ne voulais pas laisser échapper sa petite remarque et rieuse, je repris : Euh déjà si tu veux de moi, tu accepteras que je prennes la salle de bain tant que je veux, NAH ! Telle une gamine, je m'étais lâchée pour le faire rire mais je n'étais pas de celle qui ne se presse pas le matin et prenne pire que ça leur temps.Je m'étais levée pour sauter comme une gamine avec lui, histoire de ma jouer folle comme lui et surtout, lui faire plaisir. Soudain, il me demanda si je voulais qu'il me raccompagne quand même et qu'il en profite pour qu'on regarde niveau carton. Je m’arrêtais nette. A cette heure les filles risquées d’être là et je préférais leur en parler quand même avant alors j'évaluerais seule quoi. Il pressait les choses mais comme j'avais dit, j'étais du genre après avoir pris une décision à faire les choses directes parce que c'était dit et réfléchit alors bon, réglons vite les trucs, c'est tout. Je répondais alors ; "Mon Than', on va plutôt se dire que je me la rentre seule parce que bon, je préfère parler aux filles avant que tu viennes ... mais limite, je t'appelle et j’évalue le volume moi-même tu sais ..." avais-je dit avec un grand sourire. Alors qu'il prenait mon auriculaire pour le lier au sien, il reprit sortant une phrase enfantine concernant notre amitié, ça me fit rire mais surtout, du baume au coeur, il m'avait tant manqué, je pensais un coup aux filles, un coup à ma joie de le retrouver puis après tout, je n'abandonnais pas les filles, on se verrait toujours souvent, inséparable comme toujours et elles étaient deux, lui seul. Je le pris dans mes bras, de mon propre chef, sachant qu'il serait étonné. Je voulais lui montrer que malgré tous le temps durant cette après midi où j'avais tiré la gueule, été triste, j'avais été heureuse et avait retrouvé un truc, un truc spéciale et extraordinaire. Je l'embrassais ensuite sur la joue et reprit la parole : Bon je vais y aller et je te sms puis je t’appelle ... Me refais plus jamais ce coup là de disparaitre parce que ça me fait chier de l'avouer mais tu m'as manqué amour ... Oui, c'était pas trop moi, d'autres me voyant dire ça, aurait été choqué. Je m'éloignais, retournant à l'entrée vers mon sac avant de l'embrasser très fort comme une enfant et de reprendre ; Alors salut mon biquet, enfin mon coloc' si je comprends bien ... je lui avais fait un clin d’œil avant de sortir de chez lui.


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Ethan & Presley
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Je comprenais totalement qu'elle se sente le besoin d'annoncer cette grande nouvelle à ses amies toute seule. Ma présence aurait été de trop.Je laissais alors partir Presley, me sentant au passage impuissant. Je ne voulais plus la quitter, elle m'avait terriblement manqué. Je voulais étendre nos retrouvailles encore et encore mais tout avait une fin.Comme on dit toutes les bonnes choses ont une fin. J'avais déjà franchi le seuil quand Presley m'avait finalement avoué préférer rentrer seule. J'haussais les épaules, un peu déçu mais compréhensif. Je ne rêvais pas elle m'avait embrassé sur la joue ? Elle m'avait bien appelé amour ? Non j'hallucinais totalement. Aurais-je réussi à percer la coquille Ravenswood !? Même pas en rêve. La jeune femme avait récupéré son sac de sport le balançant sur son épaule. Je ne savais plus trop quoi penser à présent. À dire qu'elle serait là dans une poignée de jours. J'avalais péniblement ma salive, ne sachant pas réellement comment agir. Presley avait enfin franchi la porte, toujours aussi radieuse, m'adressant un dernier clin d'oeil. " Oui colocataire... ou meilleur ami " avais-je fini par murmurer alors qu'elle s'éloignait déjà. J'observais sa silhouette se dissoudre dans l'obscurité du couloir. Dans quoi m'étais-je embarqué... Et si nous devenions plus que meilleurs amis. Partager sa vie au quotidien avec quelqu'un signifier énormément de chose. Elle serait là à chacun de mes mouvements. Adieu l'intimité, elle me connaissait par coeur, elle sera même capable de déceler mes moindres secrets, de connaître mes pensées traversant mon esprit. C'était comme ça avec Presley, elle savait lorsque je n'allais pas bien, lorsqu'au contraire je me sentais heureux. Ô God, où vais-je ! Je ne voulais en aucun cas la perdre, lui causer la moindre douleur. La voir souffrir était le pire des supplices. Je refermais la porte d'entrée et courais en direction de la terrasse, dérapant au passage dans les graviers. Elle était en bas, se retournant déjà, elle l'avait senti. Elle m'avait fait un dernier signe d'aurevoir, j'avais répliqué son geste sans vraiment réfléchir. " Presley je suis désolé.. " laissais-je échapper vaguement. J'étais si désolé de l'avoir abandonné dans cette jungle, je ne doutais pas de sa force, elle avait les armes pour riposter contre le monde entier. Mais je m'en voulais profondément.

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