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two years and still counting (taylor)

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maternité privée. mardi 22 mars 2022 w/ @Taylor V. Foster

Cela fait trois jours que je suis coincée ici, entre ces murs blancs, à manger de la nourriture sans saveurs et dont la provenance me fait questionner tout le système médical. QUI a envie de manger des endives au jambon et à la béchamel, franchement ? Qui se contente de ces pâtes aux anchois ? Nous sommes dans une maternité privée et le prix à la nuit devrait se justifier par des soins de qualités mais aussi des repas à faire jalouser tous les hôpitaux de la ville. Mais non, les repas préparés par des diététiciens sont infectes, sans sel et poivre et sortent tout droit d’un film d’horreur. J’ai déjà hâte que Jeremiah vienne me voir avec un petit plat qu’il aura préparé. Ça ne sera peut-être pas chaud - enfin pas aussi chaud que je le souhaiterai - mais ce sera mieux que tout cela. L’estomac qui gargouille, je regarde l’heure sur ma montre : seize heures. Dès qu’une infirmière passera pour venir vérifier que tout va bien, je la supplierai d’aller me chercher une barre de chocolat et un paquet de chips à la machine automatique. J’ai besoin de quelque chose, de sucre ou de sel, je ne ferai pas la difficile et c’est pour montrer dans quel état je suis. Assise dans mon lit, des fils de partout qui font remonter mon tshirt sur mon gros ventre, je tourne le visage sur la machine qui calcule le rythme cardiaque des jumeaux - et hurle au moindre souci - et soupire fortement. On se fait chier les mômes, vous voulez pas venir s’il vous plaît ? Je n’attends plus que cela maintenant, qu’ils arrivent, qu’ils viennent faire grandir les rangs de notre famille. Et lorsque j’entends la porte s’ouvrir, je tourne rapidement le visage, un large sourire sur mon visage, heureuse d’avoir de la visite, quelqu’un avec qui discuter et à qui demander d’aller me chercher de quoi manger. Je m’attends à voir mon fiancée mais c’est l’une de mes plus proches amies qui passe la porte. Nous avons quelque peu discuter et elle m’avait annoncé venir à un moment mais je ne savais pas quand cela aurait lieu. Taylor ! Je suis réellement heureuse et cela se voit sur le moniteur qui s’occupe de traquer mon rythme cardiaque. On fait attention aux jumeaux mais aussi à maman, non mais oh ! Comment vas-tu ? Que je demande, me redressant dans le lit médicalisé. Dis-moi que tu as ramené de quoi manger pour le goûter ? Je tends le cou, estomac sur pattes, besoin de manger pour caler ce creux dans mon estomac mais aussi pour m’occuper. La nourriture me permet de passer le temps. Quelle tristesse, je le sais.
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TWO YEARS AND STILL COUNTING ॐ
Dès mon retour de vacances, j’ai pris des nouvelles d’Ella, sachant pertinemment que cette dernière est presque à terme et que les petits sont bientôt là. Les grossesses gémellaires ne sont pas réputées pour arriver à terme, alors je m’en serais voulu si j’avais raté l’arrivée de ses enfants. Et apprendre le fait qu’elle soit hospitalisée, je me dois d’avouer que ça m’a pratiquement fait le même effet. Je me suis sentie mal, comme une amie bourrée d’indignité.

Du coup aujourd’hui je prends le temps d’aller la voir, parce que je m’en veux déjà assez, et qu’il est hors de question que je fasse traîner. Chargée comme une mule, mais c’est pour la bonne cause. Et je suis certaine que les aides-soignantes me regardent d’un drôle d’œil au moment où je me présente à l’accueil. J’annonce être attendue par Mademoiselle Marriott, j’assure être son amie, et je me demande même si on ne va pas me demander ma carte d’identité… Dieu que je hais les cliniques privées. Mais j’imagine qu’il faut ce qu’il faut lorsqu’on est l’héritière d’un empire hôtelier.

On me donne finalement son numéro de chambre, et je me présente devant sa porte, sur laquelle je ne frappe pas, parce que je n’ai tout simplement pas assez de bras. « Taylor ! » Y a un sourire qui vient trancher mon expression, j’aime entendre la joie dans son ton. « Comment vas-tu ? » Pas le temps de répondre qu’elle poursuite sur sa lancée. « Dis-moi que tu as ramené de quoi manger pour le goûter ? » Je ne peux pas me retenir de pouffer. « Affirmatif ! » je le jure, dans tout mon barda, pour manger, il y a de quoi. Et parce que je fais partie de ces gens toujours à l’aise dans un hôpital, ou tout du moins lorsque la personne que je vais voir ne va pas mal, je dépose à ses pieds mes sacs et extirpe de l’un d’eux une boîte absolument spéciale. « Je voulais passer chez Dunkin’, mais j’ai trouvé ça plus sympa. » Parce que lorsque j’ouvre et lui révèle les beignets, on ne peut pas douter de ce qu’ils sont censés représenter. « Choisis celle qui te fait le plus envie. » Oui, oui, je lui demande de choisir un zizi. C'est par six que je les ai pris. « Sache que j’aimerais poser une option sur le chocolat noir, mais bon, t’es dans le lit, alors… » Je veux bien m’en passer, surtout que ce n'est que pour la blague de la taille que je l'ai prononcé. De toute façon, je me passe des vraies,  alors les fausses… J’arriverai à gérer.



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J’ai hâte. Voilà, c’est tout ce qu’il faut retenir. J’ai hâte d’accoucher, hâte de les rencontrer, hâte de sortir d’ici, hâte de voir Jeremiah dans son rôle de papa, hâte de retrouver mon corps, hâte de retourner au travail aussi. J’ai juste hâte. C’est fou d’attendre comme ça, d’être dans le futur plus que dans le présent. Ce n’est pas ce que j’aime le plus au monde mais c’est ce qu’il se passe en ce moment, j’ai tout bonnement hâte ! Hâte qu’on me ramène de quoi manger et que l’on m’occupe aussi. Alors forcément, quand Taylor passe la porte, mon rythme cardiaque augmente sur le moniteur parce que je suis contente et heureuse de la retrouver. On ne s’est peut-être pas rencontrées dans le meilleur des lieux mais notre amitié a réussi à perdurer et à s’ancrer dans la durée. Il y a des gens de passage dans une vie mais elle, ce n’est absolument pas le cas et ça me rend joie. Un large sourire sur mon visage, je la détaille, acquiesce et baisse les yeux vers la boîte cartonnée qu’elle vient de poser sur cette petite tablette qui se glisse pile au-dessus de mon ventre. Nooooon, énorme ! Je plante mes deux mains dans le matelas et me relève rapidement. Le dossier du lit redressé avec la télécommande, je l’écoute et regarde les différentes sucreries qu’elle a ramené. Je savais qu’une boutique avait ouvert à Boston mais j’en avais jamais goûté. Que je lance rapidement, attrapant le petit livret qui détaille les saveurs qui sont dans la boîte. Prends, prends, ça ressemble pas assez à celle de Jem, ça m’intéresse pas. Que je finis par balancer, riant aux éclats comme une gamine de douze ans. Et quand j’ai fait mon choix sur la saveur - celle pleine de custard et de framboise - je souffle Ils devraient trop en faire des différentes sur la taille, la circonférence. Je suis désolée mais j’en ai vu et y en a des tordues hein ! J’éclate de rire, heureuse de retrouver mon amie et de me lancer dans cette petite discussion graveleuse. Comment tu vas sinon ? Parce que je lui ai posé la question mais ne lui ai pas laissé le temps de répondre. C’était cool le Mexique ? Elle a bronzé, ça lui va vraiment bien au teint. Je n’ose pas mordre dans mon zizi de gaufre. Il faut que je prenne une photo et l’envoie à Snow, il va halluciner !
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TW / Sexe & préjugés ethniques/mention raciste.


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« Nooooon, énorme ! » Ca m’arrache un sourire et j’en ai des envies de lui dire que oui, c’est énorme, justement, et que ça tombe sous le sens de le dire maintenant. J’ai presque envie d’applaudir ma propre connerie, tant ça me fait plaisir qu’elle réagisse ainsi. « Je savais qu’une boutique avait ouvert à Boston mais j’en avais jamais goûté. » Taylor Foster pour vous servir madame ! Puis on ne va se cacher le fait que je me trouve ici dans le but de la détendre. Je dois d’ailleurs me retenir pour ne pas fixer les écrans et autres du monitoring auquel elle est branchée. Défaut de formation, pas vrai ? Du coup, je m’en reviens rapidement au vif du sujet. Les sexes version gaufrés. « Prends, prends, ça ressemble pas assez à celle de Jem, ça m’intéresse pas. » Elle m’autorise donc à prendre celle recouvert de chocolat noir accompagné d’une giclée de vanille blanche pour mieux imager. Je suis comme elle, je ne peux pas m’empêcher de pouffer.

Elle feuillette le livret, tandis que je ne me suis toujours pas décidé à prendre la mienne, je maintiens le fait que je désire qu’elle choisisse en premier. « Ils devraient trop en faire des différentes sur la taille, la circonférence. Je suis désolée mais j’en ai vu et y en a des tordues hein ! » J’en peux plus. Encore, je rigole comme une idiote, je ne peux même pas la contredire, parce que j’en ai vu des pas très droites aussi, et lui précise une fois qu’elle récupère son choix, « Je note donc que celle de Jem a une tendance à être rosée comme une framboise. » Et je prends finalement le beignet le plus foncé, prête à le mettre en bouche, sans sourciller, « En tous cas… J’en ai jamais vu des aussi grosses que celles-là. » Oui, il y a une pointe de déception dans ma voix, clairement elles sont pas moulées sur des hommes, je n'y crois pas.

« Comment tu vas sinon ? C’était cool le Mexique ? » Je réponds pas directement, je prends le temps de réfléchir, et ne prends pas de suite conscience du fait que j’en suis venue à tapoter mes lèvres avec l’engin masculin, « Pour une fois, » je commence en arrêtant mon mouvement et secouant le visage quant à ce que j’étais en train de faire, « ce fut calme, et c’est pas plus mal ! » Je souris largement et précise « Je n’ai dansé avec personne ! » et ça, ce n’est pas négligeable, tu ne crois pas ? Même si j’ai passé des moments magiques, totalement uniques, je garde les détails pour moi. Parce que le plus important, c’est elle. « Et toi ? » Tu m’expliques tout ça ? Et dans ma bouche, j’enfourne la chose cette fois.



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Dire que je suis heureuse de voir Taylor est un euphémisme. Cette nana, c’est mon rayon de soleil et je suis heureuse de la compter dans ma vie, surtout lorsque je la vois arriver avec de la nourriture et quelle nourriture !! J’ai presque envie de faire venir tout le service pour que les infirmiers, infirmières voient de quoi il s’agit. C’est ingénieux, je ne peux pas le nier. Un peu chelou quand on y pense mais… J’adore le concept ! Je suis sûre que ça marche bien plus avec les femmes que les hommes. Mais regardez donc ! Je ne sexualise pas du tout la chose, je mange une gaufre allongée et… circoncisée ! Il y en a une circoncisée ! Je n’arrive pas à y croire. C’est génial… Que je souffle en les regardant l’une après l’autre. Elles ne sont pas parfaites - Dieu merci les détails ne sont pas parfaits - mais je remarque que tout cela manque quand même de diversité. Je sais bien que les gens râleraient d’avoir une gaufre plus petite qu’une autre mais c’est la beauté de la chose aussi, non ? Je ne demande pas quinze moules de gaufres différents mais un petit truc changé par-ci par-là pourrait être intéressant. Et je suis sûre que Taylor est de mon avis vu ce qu’elle rit depuis tout à l’heure. Non, mais je l’aime autant que mes framboises fraîches. Et je ne peux m’empêcher de glousser, cachant mon visage derrière cette gaufre pleine de chocolat blanc et de coulis de framboises. Franchement, l’expression ‘tirer à blanc’ n’a jamais été aussi véridique. Et face à sa réflexion, je ne peux pas m’empêcher de rire aux éclats. J’en ai déjà croisé et… La taille ne fait pas tout. Loin de là même. Si on ne sait pas s’en servir, on ne sait pas s’en servir. Il n’y a rien d’autres à dire là-dessus. J’attrape mon téléphone et fais un rapide selfie pour l’envoyer à mon meilleur ami, à mon frère aussi et même à ma mère à qui je promets d’aller en acheter avec elle quand elle viendra rencontrer ses petits enfants. La question posée, je croque dans la pâtisserie et place ma main libre sous mon menton, au cas où ça glisse. Merde, du coup t’as perdu en entraînement pour danse avec les stars. Je lui offre mon regard triste, celui qui est là pour s’excuser mais la malice est vite à nouveau présente sur mon visage. Et c’est tout ? Des avancées avec le conducteur de bus ? Tut-tut, tout le monde veut monter à bord du bus magique ? Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Je suis désolée, je suis carrément fatiguée. Et je dis des conneries à longueur de journée. Je me redresse rapidement, retrouve mon calme et dis Bah écoute, j’essaye de me reposer, je dors super mal, les jumeaux n’ont pas arrêté de se disputer touuuuuute la semaine dernière. Et quand j’avais enfin la paix, ma poche des eaux s’est fissurée. C’était horrible. Un filet d’eau chaude sur ma jambe là par-fait. Je soupire fortement avant de croquer à nouveau dans ma gaufre. Alors je suis là, alitée jusqu’à l’accouchement. Résumé de mes dernières semaines : fait ! Et alors que je sens du chocolat blanc me couler le long de la bouche, je souffle Putain, même là-dessus c’est réaliste. Me voilà à nouveau à éclater de rire. J’espère qu’elle apprécie le divertissement parce que je ne ferai jamais mieux que ça.
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« C’est génial… » Je trouve aussi, clairement la meilleure invention de pâtisserie de l’année. Je suis clairement fière de lui avoir apporté ça, il n’y a rien de mieux pour le moral de la future maman que de manger une gaufre en forme de sexe masculin, n’est-ce pas ? Je suis vraiment la meilleure des médecins, parce que ces choses si bien détaillées, c’est le summum des anti-dépresseurs ! « Non, mais je l’aime autant que mes framboises fraîches. » Un faible sourire s’esquisse sur mon visage, c’est beau un amour comparé à celui qu’elle peut avoir pour les framboises. « Chanceuse. » que je me permets de souligner, je suis à la fois envieuse mais pour elle, profondément heureuse.

Mais chemin se faisant, j’en suis donc au point de me plaindre de la taille des engins de mes anciens amants. « J’en ai déjà croisé et… La taille ne fait pas tout. » Je relance directement, « Pardon ?! Des aussi grosses vraiment ? » Elle ne doit pas avoir le compas dans l’œil, voilà tout, parce que ce n’est pas humain d’en avoir une aussi longue. Et quand elle se prend en photo avec son téléphone, je ne peux pas m’empêcher d’à nouveau pouffer. J’en rajoute même une couche de rire lorsque je lui dis ne plus danser et qu’elle réenchérit « Merde, du coup t’as perdu en entraînement pour danse avec les stars. » J’en grimace, « Ouais, ce sera pas pour cette année. » d’ailleurs pour jamais, c’est simple, j’ai pris la décision d’arrêter de valser. « Et c’est tout ? Des avancées avec le conducteur de bus ? Tut-tut, tout le monde veut monter à bord du bus magique ? » C’est ridicule qu’encore une fois, je me mets à rigoler. Bien qu’elle se reprenne rapidement dans le but de s’excuser, avec l’excuse désignée lorsqu’on attend non pas un mais deux bébés. « Aucune avancée, à l’évidence, j’ai raté le bus. » Haussement d’épaules, j’essaie de minimiser, de ne pas montrer que sa prise de distance me blesse et m’a blessée. « C’était voué à l’échec, voilà tout. » On le savait probablement depuis le jour de notre rencontre, mais têtus comme on est, on a voulu forcer.

Puis lui demander comment elle va, parce qu’après tout, c’est pour cette raison que je suis là. « Bah écoute, j’essaye de me reposer, je dors super mal, les jumeaux n’ont pas arrêté de se disputer touuuuuute la semaine dernière. » Je dois me mordre la langue pour ne pas répliquer le fait qu’ils tiennent leur caractère du côté maternel. « Et quand j’avais enfin la paix, ma poche des eaux s’est fissurée. » J’en crache un soupir de surprise, arrête de manger ma gaufre phallique. « C’était horrible. Un filet d’eau chaude sur ma jambe là par-fait. » Et j’en finis par grimacer, parce que bon dieu, je n’ose même pas imaginer. Ca me file des frissons rien qu’à y penser. Je le jure, je n’accoucherais jamais. « Alors je suis là, alitée jusqu’à l’accouchement. » J’en serre les dents, en essayant de penser positivement. « Au moins, il ne te reste plus beaucoup de temps. » La torture prendra fin plutôt rapidement.
Et parce qu’une giclée de chocolat s’échappe de sa bouche pour couler le long de son menton, « Putain, même là-dessus c’est réaliste. » on explose de rire à l’unisson. Comme on est dans ce sujet, elle ne m’en voudra pas de répliquer à l’aide d’une répartie railleuse à souhait. « Ca c’est parce que tu ne t’entraînes pas assez à avaler. » Oubliant que nous sommes en presque présence de nouveaux nés.



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TW : sexe.

Je suis stupéfaite de la création pâtissière. Franchement, la personne qui y a pensé est un vrai génie. Dans la société dans laquelle on vit, là où le sexe est si important, c’est la meilleure idée d’entreprise au monde et je regrette presque de ne pas y avoir penser. Ce n’est pas du tout mon domaine et les seules idées que j’ai eu - de cet acabit du moins - pour les hôtels ont toutes été refusées. Bien entendu, Mama Shelter a déjà l’option sextoy pour ses chambres alors le faire ne serait pas bien vu et ça ne collerait pas à l’image Marriott, ce qui n’est pas faux. Mais je suis sûre qu’on récolterait un paquet de nouveaux clients si on offrait cette option. Enfin, ce n’est pas pour maintenant. Ni pour demain parce que je suis bloquée ici à déguster ma gaufre-chibre qui est toute somme délicieuse. Et la conversation continue sur ce sujet - enfin, pas celui des gaufres - et je ne peux m’empêcher de rire face à l’exclamation de la jeune femme. Peut-être pas aussi grosse, c’est vrai. Je la zieute à nouveau, sa gaufre, et pince les lèvres. Mais pas beaucoup plus petite non plus hein. Et c’était vraiment pas ouf. Que j’ajoute rapidement. Je ne suis pas du genre à comparer les sexes et le sexe en général - chaque expérience est unique et particulière - mais c’était assez mémorable. Quand je l’ai vu, je me suis demandée comme ça allait passer et malgré l’excitation, le lubrifiant et le préservatif, rien n’y a fait, ça ne valait pas le détour et je n’ai jamais revu la personne en question. Au point où je n’ai jamais recontacté le type. C’était un Grec en vacances en Italie il y a … huit ou neuf ans de cela. Pas mémorable sur le coup, rapidement oublié mais aujourd’hui, à revoir cette gaufre, me voilà replongée dans mes jeunes années. Si on m’avait dit à l’époque que je finirais par me contenter d’un seul homme - et donc d’une seule verge - toute ma vie, je n’y aurais jamais cru. La vie rêvée d’Ella à l’époque ne ressemblait en rien à celle que j’ai aujourd’hui. C’est beau comme la vie change, comme les choses bougent, comme tout évolue. Et si le schéma passait me convenait, je me rends compte qu’aujourd’hui, je suis vraiment heureuse et c’est tout ce qui compte. De voir que ce n’est pas son cas me chagrine mais je sais que, malheureusement, je n’y peux rien. Et elle non plus. Je la connais assez pour savoir qu’elle est patiente, prête à prendre le temps mais qu’il ne faut pas se jouer d’elle. Taylor aime sa vie professionnelle et c’est sûrement la seule chose pour laquelle elle sera aussi féroce que patiente. Un de perdu, dox de retrouvé. Que je lance. Il y a des millions de poissons dans l’océan. Que je renchérit avant de dire. Oui, je te cherche les adages les plus pourris pour que tu te rendes compte que tu auras ta chance. Et peut-être que sa chance, c’est celle d’être célibataire, de faire ce qu’elle aime dans la vie. Je n’en sais trop rien. Je sais qu’elle ne veut pas d’enfants mais un mari ? Qui sait… Je sais que le couple n’est pas la finalité de la vie mais le sait-elle ? Et comme à son habitude, la douce change le sujet de conversation, préférant parler de tout sauf de sa vie sentimentale ce que je comprends et accepte totalement parce que moi, j’adore parler de moi. Ma vie est un de mes sujets préférés, si ce n’est mon préféré. C’est ça… Heureusement que ce n’est pas arrivé au début de ma grossesse parce que je serai devenue folle. Complètement folle. Déjà là, les journées sont longues et je sais que c’est bientôt fini. On me déclenche le premier avril s’ils ne décident pas de sortir de leur cachette. Que je lance avec un léger soupir. Je n’ai pas envie d’être déclenchée mais nous n’aurons malheureusement pas le choix. Et puisqu’ils semblent être aussi chiants que leur mère, aucun doute qu’ils vont se faire attendre jusqu’à la dernière seconde. Mais je savoure ces moments, ces derniers instants où je ne les ai que pour moi. Les partager ne va pas être facile, je le sais d’avance mais je suis une grande fille, je crois. Bon, pas trop, vu l’éclat de rire qui sort de ma bouche. J’avoue que je préfère recevoir que donner. Est-ce que ça étonne qui que ce soit ? Non. Mais je suis plutôt douée, je manque juste cruellement de pratique ces derniers mois. Pas une critique ou quoi que ce soit mais être à genoux et devoir supporter le poids de mon ventre et me mettre à l’action… C'est difficile. Et puis allongés sur le lit ? Impossible de rester sur le ventre sans que ce soit désagréable au possible. J’ai hâte de retourner à une vie sexuelle active moi je te le dis. Je n’ai pas à me plaindre mais je suis limitée et ça, ça me gonfle carrément. D’ailleurs, quelles sont tes conseils de médecin pour le sexe après l’accouchement ? On peut recommencer rapidement ? C’est bien le seul sujet que je n’ai pas essayé d’aborder en long, en large et en travers sur Google. En tout cas, là, ce sont des conseils médicaux que je cherche. Mes yeux sur elle, je continue de manger ma gaufre, l’oreille tendue, prête à enregistrer tous ses conseils.
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Si on m’avait dit que je finirai par débattre de la taille des sexes masculins avec une femme presque prête à accoucher, j’avoue que je ne l’aurai jamais cru. Ni même oser le penser. Mais comme quoi, on ne doit jamais dire jamais. Et puis la vérité, c’est que je ferais absolument tout, par amitié. Lui changer les idées avec des pâtisseries coquines listé en premier. « Peut-être pas aussi grosse, c’est vrai. » Et j’en souris, la regardant l’air de souffler Ah tu vois ! avant qu’elle ne poursuive ses pensées. « Mais pas beaucoup plus petite non plus hein. Et c’était vraiment pas ouf. » Alors ça ne venait pas de la taille, mais de l’homme sélectionné. « Au point où je n’ai jamais recontacté le type. C’était un Grec en vacances en Italie il y a … huit ou neuf ans de cela. » En vacances, en même temps, on ne va pas se mentir, on ne recontacte pas généralement. C’est l’histoire d’un soir, un petit coup et aurevoir. Mon dieu, il me semble que ces gaufres sont en train de me faire devenir folle à lier. Ou peut-être simplement, que les contacts physiques me manquent plus que ce que je ne veux l’avouer. « Heureusement, tu as trouvé mieux depuis. » Parce que pour vouloir l’épouser et avoir des enfants avec, j’imagine que Jeremiah a tout ce qu’il faut, là où il faut. Et j’essaie de pas imaginer, encore une fois, parce que songer à l’attirail du fiancé d’une amie, ça ne se fait tout simplement pas.

Alors le sujet Jasper, évidemment, et le fait que je suis perdue dans la débâcle de mes sentiments. « Un de perdu, dix de retrouvé. » J’ai oublié d’y croire à ce proverbe démodé. « Il y a des millions de poissons dans l’océan. » Je la regarde, les sourcils froncés, aussi dépitée qu’amusée. Plus encore quand elle vient confirmer le cheminement de mes pensées. « Oui, je te cherche les adages les plus pourris pour que tu te rendes compte que tu auras ta chance. » Merci Ella, j’apprécie. Malgré tout, j’en ris. « Advienne que pourra. » Mon sourire s’élargit. « Qui vivra verra. » Je suis douée moi aussi, pour ça, tu vois. Le fait est que je n’ai pas envie de me prendre la tête, je ne souhaite plus réfléchir à cette histoire avortée avant d’avoir réellement débutée. Des le départ, j’ai su, de toutes les manières, que Jasper allait abîmer mon cœur.

Et parce que je n’aime pas trop ça, parler de moi, j’en reviens à elle, star de ce mois. Sachant que pour ce faire, blablater sur elle, elle le fera. Ce n’est pas une critique, loin de là, on est juste complémentaires, Ella aime parler d’elle, et j’apprécie écouter. C’est un duo qui fonctionne depuis deux années. « C’est ça… Heureusement que ce n’est pas arrivé au début de ma grossesse parce que je serai devenue folle. » Tu m’étonnes… « On me déclenche le premier avril s’ils ne décident pas de sortir de leur cachette. » Encore amusée, je commente « La jolie blague pour le premier avril. » Deux bébés, je trouve que ça fait moins rire que pleurer, sauf que je me tais. Ne désire pas l’effrayer avec ma propre peur des humains miniaturisés.
De toutes les façons, pas le temps de m’étaler que les blagues salaces refont leurs entrées. « J’avoue que je préfère recevoir que donner. » Et pourquoi ça ne m’étonne pas ? La belle princesse Ella. « Mais je suis plutôt douée, je manque juste cruellement de pratique ces derniers mois. » Mes yeux déclinent vers son bidon, un sourire serré en l’observent… « En même temps. » Je me doute que ce n’est pas pratique dans son état. Une fois encore, je préfère ne pas imaginer, au risque d’être accusée de pudicité. « J’ai hâte de retourner à une vie sexuelle active moi je te le dis. » Je ne suis pas enceinte, mais je pourrais bien avoir hâte aussi. Pour moi-même, pas pour elle, je suis une bonne amie mais peut-être pas à ce point-là. Bien que je la souhaite épanouie, cela va de soi. « D’ailleurs, quelles sont tes conseils de médecin pour le sexe après l’accouchement ? On peut recommencer rapidement ? » Et l’arc de mes lèvres se transforme en grimace, sachant par avance que ce que je vais lui dire ne risque pas de lui plaire. « Ca dépend ce que tu entends par rapidement. » Rien ne sert de se précipiter, il faut savoir se ménager. Permettre au corps de récupérer. « Puis ça dépend de plusieurs choses… » Je ne sais pas si j’ose, si je me lance, je ne veux pas l’apeurer davantage. « Episio, pas épisio. » connaissant l’impact de ce mot. « Le temps que le col se referme. » Je continue de grimacer. « Entre trois et six semaines. » Sans mentionner la baisse de libido, la confiance perturbée, la fatigue qui va s’accumuler. « Avant tout, faudra surtout que tu te sentes prête. » Comme si je parlais de sa première fois, mais après un accouchement, c’est un peu ça.



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J’ai trouvé chaussure à mon pied, c’est vrai. Que je souffle, souriante au possible. Je ne pensais vraiment pas que ce serait possible mais ça l’est. J’ai trouvé celui qui me faut, celui qui me fait rêver et je sais très bien que c’est parce que nos coeurs sont alignés que je le ressens de cette façon. C’est définitivement plus fort que le corps et l’esprit ne font qu’un et on fait - enfin faisait - très souvent un, lui et moi. Laissant de côté ces pensées - j’aurai le temps de me concentrer dessus lorsque Jeremiah sera de retour à mes côtés - je me concentre sur la brune et sur la dégustation de ma gaufre. Nous sommes un peu les deux faces d’une même pièce, elle et moi. Une heureuse en ménage, l’autre complètement seule et triste - à quoi on peut ajouter ‘agacée des adages pourris que la copine raconte’. Mais quand elle s’y met, je ris légèrement. Je me disais aussi que tu avais encore un peu d’humour sous la main. Je lui adresse un clin d'œil et j’ai ce drôle de sentiment, au fond de mon cœur. Celui qui fait que j’ai envie de l’aider, que j’aimerais lui présenter quelqu’un, lui proposer l’homme parfait, celui qui fera tourner sa tête aussi vite qu’une toupie peut tourner sur elle même. Manque de bol, ma liste de testostérone est plutôt courte et la moitié d’eux font partie de ma famille ou sont casés. Voire les deux, c’est pour dire. Je me dis même qu’elle pourrait bien s’entendre avec Bastian mais je ne sais pas si j’ai vraiment envie d’avoir Taylor en tant que belle-mère. Ce serait un petit peu trop pour moi. Sans compter que là, j’ai envie d’être le centre du monde. Je suis sur le point de mettre au monde deux petits chats alors, tout le monde me regarde et m’admire s’il vous plaît ! Je n’y avais même pas pensé avant que Jeremiah en parle… J’ai juste hâte que ça arrive, c’est tout. Que je lance avec un petit rire. Je ne veux pas qu’ils naissent la même semaine que leur grande soeur alors je serre les cuisses et me repose au maximum pour leur éviter de partager une semaine avec Cameron en plus d’un jour commun. S’il y a bien quelque chose que je peux encore faire pour eux, c’est ça. Je crois que je serais devenue folle à lier si j’avais dû partager une semaine d’anniversaire avec l’un de mes frères et soeurs ou pire, avoir à partager le jour de mon anniversaire. Ô non, ça ne se serait clairement pas passé comme ça ! Ou peut-être que j’aurais été complètement différente, qui sait ? Pas moi et je ne veux pas savoir. Je préfère m’appliquer à la dégustation de mon met et froncer les sourcils à ses mots. J’étais super sexy dans ma dentelle avec mon gros ventre ! Il faut vraiment que les hommes arrêtent de croire qu’ils vont toucher leur fils ou leur fille avec leur macaronis là. Ça va, quoi. Ronchon comme jamais quand on aborde un tel sujet avec moi. Ma libido n’est pas partie retrouver les rats planqués dans les égouts de la ville. Oh que non. Elle était plutôt à la surface et bien présente. Je n’ai pas à me plaindre de Jeremiah mais… peut-être qu’un peu plus de folie ne m’aurait pas gêné. Là, je suis sur le point d’accoucher et avec la poche des eaux fissurée alors c’est sûr qu’il ne va plus me toucher. Et je ne peux même pas dire que je vais le faire moi même parce que je n’arrive plus si bas ! Mais quelle tristesse bordel… Alors les questions qui arrivent sont légitimes tout comme les réponses qu’elle me donne. Et quand le nombre de semaines tombe, j’ai l’impression que c’est un putain de couperet. Vraiment, on pourrait me couper la tête que ça aurait le même impact. C’est une blaaaaaague. Que je souffle en me laissant tomber contre le coussin derrière moi. Mais je suis prête, j’attends que ça ! De retrouver un peu plus d'amplitude de mouvements, de pouvoir profiter et de ne pas avoir l’air d’une gros dindon à longueur de journée et de moments intimes. Je vais déprimer, c’est sur. Que je dis en secouant le visage de droite à gauche. Entre les jours à ne rien faire, les moments où la fatigue sera trop présente pour ne pas s’endormir dès que le visage touchera l’oreiller - s’il le touche… Je passe pour une nympho mais j’en suis pas loin et je n’en ai pas honte. Je sais bien que c’est un terme clinique, à ne pas utiliser à la va-vite mais les faits sont là. Sortez de làààààà, faites moi gagner quelques jourrrrrs. Que je dis, soulevant le fin drap qui me couvre, comme si je parlais aux jumeaux. Je me cache le bas du visage derrière ce dernier et glisse les yeux sur elle. Ne tombes jamais enceinte. On laisse tellement de choses de côtés pour des semaines et des mois… Mon boulot, ma vie sexuelle, la possibilité de voyager comme je le souhaite. Et on est responsable pour les vingt-et-une années qui suivent. C’est déprimant, il n’y a pas d’autres mots. Mais je crois aussi que c’est la plus belle expérience de ma vie. C’est juste que là, je suis dans une des partie qui ne fait pas trop rêver alors forcément, ça n’aide pas à relativiser…
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TWO YEARS AND STILL COUNTING ॐ
Alors oui, je trouve que c’est beau quand elle prononce qu’elle l’a trouvé, la chaussure qui va à son pied. Je trouve même que l’assurance dans ses paroles, elle fait un tantinet rêver. Et même les adages qu’on n’arrête pas de se balancer, clairement, ça prouve qu’elle possède ce truc à présent, de la fille apaisée. De la grande sage accomplie, de la femme épanouie. « Je me disais aussi que tu avais encore un peu d’humour sous la main. » Toujours, malgré les petits mélodrames qui ponctuent ma vie.

Le premier avril le déclanchement, et quand elle commente ma phrase au sujet de la date, je réalise que… Et bien qu’on n’est pas sur la même longueur d’onde. Evidemment qu’elle s’en fout que ce soit le premier avril, de la blague que ça peut être, qu’elle ne désire qu’une seule chose, c’est voir ses bébés venir. Une impatience qu’elle ne peut cacher, une volonté qu’on ne peut lui reprocher. J’aimerai pouvoir la comprendre, mais je n’ai aucune réelle idée de ce que ça fait, d’attendre de voir à ce point sa vie changer.
Puis le sexe revient dans le sujet de la conversation, en même temps, c’est normal quand on pense à ce que je lui ai rapporté. Et lui je lui dis que dans le fond, Jeremiah, l’on ne peut pas le blaser de ne pas avoir voulu… la contenter. « J’étais super sexy dans ma dentelle avec mon gros ventre ! » J’en éclate de rire, même si je n’en doute pas, « Il faut vraiment que les hommes arrêtent de croire qu’ils vont toucher leur fils ou leur fille avec leur macaronis là. Ça va, quoi. » Alors j’en resserre les dents en un sourire crispé. « Faut pas lui en vouloir, je suis sûre qu’il pensait à leur bien. » Enfin je suppose, on se taira sur le fait que je n’en sais strictement rien. Avant de lui prodiguer mes conseils de médecin, et de voir l’expression de ma copine devenir dépitée, « C’est une blaaaaaague. » Non pas vraiment, tandis qu’elle se laisse tomber sur son oreiller, je pince mon sourire pour ne pas la vexer. « Mais je suis prête, j’attends que ça ! » Qu’elle le soit, j’en doute pas, mais la mécanique du corps, c’est un peu plus compliqué et délicat. « Je vais déprimer, c’est sur. » Je pouffe un peu, cette fois. « Je passe pour une nympho mais j’en suis pas loin et je n’en ai pas honte. » Je ne me risquerai pas à le penser, j’imagine que c’est long neuf mois. Pour tout d’ailleurs, pas que pour le sexe, cela va de soi. « Sortez de làààààà, faites moi gagner quelques jourrrrrs. » Elle balance à son ventre, sous le drap d’hôpital, sa patience réellement mise à mal. « Ne tombes jamais enceinte. On laisse tellement de choses de côtés pour des semaines et des mois… » J’approuve en un mouvement de tête, cependant… « Je te crois sur parole. » On ne peut plus même, et probablement qu’elle est l’une des seules avec lesquelles je me permets de prononcer. « De toutes façons, je n’ai jamais eu de projet bébé. Et je pense que je n’en aurais jamais. » Ce n’est pas mon truc, ça ne l’a jamais été. Mes poupons, je passais mon temps à vouloir les ouvrir pour les opérer quand j’étais petite, alors j’imagine que c’était un signe que je n’étais pas faite pour pouponner au sens figuré. « Et c’est pas seulement le manque de sexe qui m’effraie. » Non, forcément, moi je suis une peureuse du pack complet. « Mais si tu as survécu jusque là, tu tiendras bien encore quelques jours pour laisser ton corps se remettre de tout ça. » Faut ce qu’il faut, c’est comme ça. Pas le choix, Ella.



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