Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityGet high on love, not drugs | ft Twins K.
Le Deal du moment : -55%
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer ...
Voir le deal
49.99 €


Get high on love, not drugs | ft Twins K.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
19.03.2022 | @D. Jewell Kaine | Retour à la réalité, ou du moins, celle de Boston. Spring Break terminé avec un petite pointe de déception et de regret de ne pas pouvoir prolonger ces moments d'insouciance, mais peut-être que ce n’était pas plus mal. Je m’étais bien amusée, il est vrai, j’avais passé d’incroyables moments avec ma famille comme mes amis, dont certains avec qui j’avais pu renouer. J’avais tenté de nouvelles expériences, certaines gratifiantes, certaines plus problématiques, et il n’était peut-être pas plus mal de rentrer à Boston pour tenter de me reprendre en main, de me remettre sur le droit chemin. La dernière nuit sous le ciel mexicain ne m’avait pas vraiment réussi. Une fête qui a duré toute la nuit sur la plage, des substances que je n’aurais jamais dû consommer associées à l’alcool, je n’avais pas fait de bad trip, mais j’avais tout de même été bien malade, en rentrant me coucher pour le reste de la matinée. Un dernier jour à être donc déphasé du reste du monde, et un vol à somnoler, qui ont fait que mon cerveau n’avait retrouvé la totalité de ses capacités que le samedi matin, au réveil, dans un immense sentiment de culpabilité. J’étais en train de tout foutre en l’air, je le sais, et pourtant, je continuais de refuser de demander de l’aide. Pourquoi … ? J’ai une idée sur la réponse, mais je suis bien trop lâche pour oser l’affronter. Matinale, je descends en cuisine, remarque que Jewell n’est pas encore réveillé, ce qui me permet de nous préparer un bon petit déjeuner pour nous deux, histoires de lui rendre la pareille pour avoir pris soin de moi la veille. Ses pas se font entendre au bout de quelques minutes, et je me retourne, sourire aux lèvres. « Salut ! Bien dormi ? » Je le questionne, guillerette, avant de prendre conscience de la fermeté de son regard, des traits de son visage. « Ca va pas ? » Que je lui demande, inquiète mais insouciante, sans savoir ce qui m'attend.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Spring break, il me semble que ça doit être le premier enfin je ne suis pas sûr peut être en avais-je fait un avec Nate il y’à quelques années en arrière, mais là c’était différent, partir avec ma sœur et ses deux demoiselles avec qui j’étais maintenant, loin des tumultes de Boston, loin de toutes les emmerdes par lesquels on était passé. Du calme et beaucoup d’amusement c’est tout ce que j’avais voulus pendant ses deux semaines et on y était presque arrivés, jusqu’à l’avant dernier matin où j’avais fait tomber le sac d’Evi et des choses m’avait attiré l’oeil directement. Un flacon d’amphétamine et un sachet de poudre, que j’avais ouvert et gouté du bout du doigts. J’avais tout rangé et quitté la chambre, on c’était dit qu’on s’accordais des vacances qu’on ne pensait pas business, voulait-elle se faire un peu plus d’argent ? Mais à ce compte-là pourquoi ses deux produits là alors que nous avions un stock conséquent au PR de notre propre création. Toute la journée j’avais cogité et le soir j’étais bien décidé à l’affronter. J’étais rentré assez tard et je pensais la trouvé dans la chambre, mais elle était rentrée bien après moi et dans un sale état et je n’avais pas eu besoin de parler pour comprendre ce que ses deux substances illicites faisaient dans ses affaires. Je n’avais rien dit, préférant veiller sur elle toutes la nuit et sur le chemin du retour, lui laisser le temps de se remettre.

Je n’arrivais pas à fermer l’oeil, je l’avais entendu se lever, mais j’avais attendu que les nerfs redescendent, peine perdue. Je devais l’affronter. Je me dirigeais vers la cuisine, m’installais à table qu’elle avait préparé, ce qui me renforçais dans l’idée qu’elle avait quelque chose à se reprocher, son air enjoué m’énervait encore plus. “Mal dormis” je bois une gorgée de café juste histoire de me donner un peu de courage. “Qu’est-ce que tu as fait pour être dans un état pareil ? T’as du y aller bien fort, je ne t’ai jamais vu comme ça” lui tendre la perche, lui donner une chance pour qu’elle me dise d’elle-même la vérité.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@D. Jewell Kaine | Je mords la lèvre lorsque je remarque qu’il n’a pas l’air de très bonne humeur ce matin. Je ne sais pas encore si c’est lié à moi, à ces derniers jours pendant lesquels je m’étais intoxiquée stupidement avec des substances que je ne n’aurais pourtant jamais dû prendre. J’ai merdé, et il a fallu que je frôle le pire une nouvelle fois pour prendre conscience de ma stupidité. Cette fois, il n’y aurait pas de retour possible, pas de pardon, pas de seconde chance. Je n’aurais jamais dû aller si loin, même pour m’amuser, juste parce que c’était l’ambiance en soirée. Je savais très bien ce que ça pouvait me couter, et pourtant, j’avais joué avec le feu. Plus de peur que de mal, j’avais évité le pire, et doucement, je m’étais remise de mon mal, soutenue par mon jumeau qui ne m’avait pas lâché un seul instant. La reconnaissance est donc présente, de même que l’inquiétude, d’être celle qui lui avait causé cette fatigue. Je me rapproche, dépose une tasse de café ainsi qu’une assiette généreuse pour le petit-déjeuner. « Mange quelque chose, ça te fera surement du bien. D’autant plus que je me suis un peu lâché ce matin. » C’était ni les choix qui manquaient, ni les quantités.

Les yeux posés sur lui alors qu’il me questionne, je perds immédiatement tout sourire. Je ne sais pas quoi lui dire. Pas la vérité en tout cas, mais en même temps, je culpabilisais déjà à l’idée de lui mentir alors que c’était lui qui avait pris soin de moi. Je commence à jouer nerveusement avec le bas d’une de mes mèches de cheveux entre mes doigts. « J’ai sûrement un peu trop bû… C’était la fête, et je n’ai pas vraiment été raisonnable je pense. » Ce n’est qu’une partie du problème, qu’une partie des choses qui m’ont mises dans cet état déplorable. Mais c’était la seule partie que je pouvais lui avouer. « Et puis, avec les fêtes précédentes, la chaleur et la fatigue, je suppose que ça a été de trop. » Je me raccroche comme je peux à cette partie de la vérité. « D’ailleurs, merci Jewell d’être resté près de moi. Ca m’a rappelé Papa… » Un léger sourire prend place sur mon visage, teinté de douceur et de mélancolie. J’ai l’impression que ça faisait si longtemps que personne n’avait pris soin de moi de la sorte, mais Jewell, malgré toutes les années passées loin l’un de l’autre, continuait de le faire chaque fois que c’était nécessaire, chaque fois qu’il en avait l’occasion.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je serre les dents vivement, partagé entre le fait de la trouver adorable de vouloir me rendre l’appareil alors que j’avais naturellement pris soin d’elle et le fait de lui en vouloir d’être passé de l’autre côté de la barrière. Pas de drogue, on la fabrique, on la revend et ça s’arrête là. Pas de mensonge non plus, jamais entre nous et il n’y a pas si longtemps que ça elle m’avait rappelé à l’ordre et là tout m’avait éclaté en pleine figure, la sensation que je ne connaissais plus ma sœur, que j’avais foiré en la laissant seule autant de temps que je ne comptais plus assez à ses yeux pour qu’elle se livre à moi. Je l’interroge, lui tend la perche sur ce qu’il s'est passé à cette fameuse soirée et j’espère sincèrement qu’elle va se décider à tout avouer plutôt que de s’enfoncer encore un peu plus dans ses troubles. Elle n’avoue pas, elle patauge et j’insiste impuissant à son naufrage. Jambe en dessous de la table qui se secoue nerveusement et à cet instant pas grand-chose ne me retenais pour lui hurler dessus jusqu’à ce qu’elle prononce le mot Papa et je sais qu’elle ne parle pas de Monsieur K je reste quelques instants à la fixer sans rien dire “Papa...” prononçais-je doucement un rire nerveux franchit la barrière de mes lèvres et je me lève, je me dirige vers son sac espérant y trouver la même chose que j’avais découvert au Springs break. Bingo. J'en sors les deux flacons que je pose devant elle “Il penserait quoi de ça papa ?” le ton est accusateur et avant qu’elle ne réplique “Non je n’ai pas fouillé, ton sac est tombé dans la chambre, j’ai ramassé et le soir quand t’es rentré dans cette état lamentable j’ai compris” la colère pulse en moi et même si j’aurais aimé que cette conversation se passe correctement je sais que je n’en suis pas capable. “COMBIEN DE TEMPS TU COMPTE ME PRENDRE POUR UN CON ELVIRA ? C’EST QUOI CETTE MERDE !?” hurlais-je sans me soucier des voisins.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@D. Jewell Kaine | Mentir à Jewell pèsera toujours sur ma conscience, mais surement moins que de lui dire la vérité. Car s'il y a une personne que je ne peux pas perdre c'est lui. Et au delà de le perdre, il y a aussi tout ce qui pourrait être lu dans son regard et auquel je ne pourrais faire face. La pitié, le dégoût, la haine, la déception... Je ne pourrais pas supporter qu'il me regarde de cette façon, pas lui. Alors même si lui mentir me serrait le coeur, je savais que je pouvais vivre avec. Pourtant je suis loin de faire la fière quand il m'interroge sur mon état. En dehors du fait que j'avais commis une grave erreur, il faut bien avouer qu'en plus, il n'y avait pas de quoi être fière de ce lendemain de soirée. J'avais été malade comme je ne l'avais été depuis bien longtemps. Un mal qui avait fait renaître une certaine nostalgie. Celle d'avoir quelqu'un près de soit quand on est malade et incapable de quitter le lit, celle d'une enfance douce et aimante, dans laquelle notre père avait prit soin de nous.

Je ne lui disais jamais, mais il lui ressemblait de plus en plus. Et pas uniquement physiquement. Il avait des gestes, des façons de faire, des façons d'être qui me rappelaient notre père. Et naturellement, c'est à lui que je pense lorsque je suis malade, car c'était lui qui prenait soin de nous. Il me manque... Mon regard est capté par Jewell lorsque je l'entends rire étrangement. Mon regard le suit, la panique me prends lorsque je commence à le voir fouiller dans mon sac. « Non mais qu'est ce que tu fais ?! » J'accours vers lui pour l'en empêcher, mais lorsque j'arrive à son niveau, il est déjà trop tard. Dans sa main, il tient mes faiblesses, ce qui m'a trainé en enfer ces derniers. Il m'interroge, accusateur. J'ouvre la bouche pour répliquer mais il ne me laisse même pas commencer. Il se dédouane avant tout, sait que j'allais l'attaquer d'avoir fouiller dans mes affaires. Il ne me laisse pas cette possibilité, cette excuse pour me défiler. Je suis dos au mur, coincée entre mes peur, mes erreurs et mon double. Je recule d'un pas, les larmes au bord des yeux alors qu'il hurle. « Ne me crie pas dessus Jewell ! Ce sont mes affaires, ça ne te regarde pas ! » J'hausse le ton également, alors que j'étouffe pourtant dans ma poitrine. J'ai besoin de toi, aide moi. C'est ce que j'aurais du lui dire, et pourtant, je n'y arrive pas. « De toute façon, tu ne comprends pas, jamais ! Aucun de vous ! Personne ne fait jamais attention, vous me prenez tous de hauts comme si c'était toujours moi qui en faisait trop ! J'étais toute seule... » Les larmes coulent abondamment ses mes joues alors que je me laisse tomber à genoux sur le sol, épuisée de lutter.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Evidemment son mécanisme de défense se prépare à me hurler dessus que je n’avais pas à toucher à ses affaires, malheureusement pour elle jusqu’à présent j’avais confiance en elle, confiance au point de ne pas espionner sa vie, ses affaires, de me contenter seulement de ce qu’elle pouvait me dire. J’ignore si je pouvais prendre ça comme une trahison, après tout elle avait fait un faux pas, ça pouvait arriver, ce qui me dérangeais plus c’est le mensonge qu’elle continuais d’entretenir. Les yeux écarquiller face à sa réponse, la colère qui tape dans mes veines “Ça ne me regarde pas ? “ j’ai de nouveau un rire nerveux “Ma sœur est en train de se bousiller avec de la merde, en train de me mentir les yeux dans les yeux ça ne me regarde pas ?” Je tente de souffler pour faire redescendre la pression “Alors j’ai qu’à aller me faire tabasser dans la cage ça ne te regarde pas non plus à ce compte-là ? Chacun fait ce qui veux de sa vie, on finira bien par se revoir et tombé dans la même chambre d’hôpital” je ne comprends pas comment elle avait pu en arriver là “Arrête de te foutre de ma gueule Elvira, assume tes conneries” je pose les flacons sur la table alors que ma sœur éclate. Je la regarde ses larmes coulent, ses émotions sortent et même si de la voir comme ça me touche ces mots ne sont pas convainquant pour moi, mais je baisse un peu le ton de ma voix tout en gardant cette distance entre elle et moi “Donc c’est la faute des autres ? Nous t’avons mis le nez dans cette merde ? Ce genre de décision tu la prend seule Elvira, que tu aies voulus essayer, que t’en es eu besoin il n’y a déjà aucune excuse à ça, néanmoins je peux le comprendre, essayer, mais que tu oses me mentir en pleine face, que tu continues à dissimuler la vérité que tu ne me dises pas que t’es besoin d’aide c’est juste...” j‘en perds mes mots, je soupire alors que les larmes montent et je m’approche d’elle me mettant aussi à genoux. Le ton de ma voix est plus doux “Je suis là pour toi Elvi...” je replace une mèche de ses cheveux “Pourquoi tu me tiens hors de ta vie comme ça ?”
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@D. Jewell Kaine | Telle une enfant apeurée, je suis sur la défensive, prête à tout pour me protéger de ce qui va suivre. La colère, le dégoût, la déception, et bien d’autres sentiments que je ne suis pas prête à découvrir dans le regard de mon double. Le sol semble se dérober sous mes pieds, et j’ai l’impression d’être en chute libre. Je cherche désespérément un échappatoire pour ne pas avoir à mener cette conversation, mais c’est cause perdue. Il ne me lachera pas avant d’avoir des explications, avant de savoir pourquoi sa petite soeur se laisse sombrer dans la pire merde possible et se sans jamais lui en avoir touché le moindre mot, avant de comprendre pourquoi elle le rejette si agressivement. « Ni pense même pas Daryl Jewell Kaine car si je te retrouve encore une fois à essayer de te laisser mourir dans cette putain de cage, c’est moi que tu devras affronter ! » La colère grimpe encore un peu plus à l’évocation de ce souvenir. J’ai cru le perdre, mille fois par le passé, il ne pouvait pas me menacer avec la cage, il n’avait pas le droit de me faire mal ainsi, volontairement.

Les flacons sur la table, je sais que je n’y couperais pas, mais je ne sais pas comment faire face. Comment lui dire que j’ai laissé toutes mes craintes prendre le dessus dans ma vie et que je suis incapable désormais de les faire taire autrement. Mais il m’y pousse, et il a bien raison. Il était temps que j’affronte tout cela et que je m’en sorte, une bonne fois pour toute. Pourtant, sur le moment, j’ai l’impression que c’est toute ma cage thoracique qui est sur le point d’exploser. Je m’effondre au sol, le visage recouvert par les larmes, la tête basse. Je n’ose affronter son regard, je n’ose le regarder dans les yeux. Ma tête vient se poser contre son torse en sentant ses doigts effleurer mon visage. J’ai tellement besoin de lui. « J’ai fait n’importe quoi Jewell. J’ai merdé… Et je ne sais pas comment m’en sortir. » Je n’y arrive pas. Je passe mes bras autour de sa taille, me cale contre lui. « J’ai besoin de toi. Je ne veux pas continuer ainsi. S’il te plait… »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Provoquer pour lui faire comprendre le mal que m’avais fait son acte, qu’elle est des faiblesses c’est humain et je ne pouvais lui en vouloir d’avoir voulus se tourner vers une solution de facilité peu importe la raison, mais le mensonge, entre nous avais du mal à passer et je pense que je mettrais un temps avant de digérer cette pilule-là. Je la touche avec la cage, c’était voulus la blesser pour qu’elle réagisse, qu’elle comprenne que ses propos étaient complétement déplacer pour le coup, comme si tout ce qui pouvait se passer dans sa vie ne me regardais pas, comme si tout ce qui pouvais la toucher ne me touchais pas. Le regard est furieux, le corps est tendu et la situation palpable ce n’étais pas le moment pour que qui que ce soit nous interrompt il serait très mal reçu.

Je baisse le ton, je tente d’apaiser les nerfs, parce que je l’avais poussé dans ses retranchements, mais ce n’est pas pour autant que j’appréciais qu’elle se mette dans un état comme celui-ci, chaque larme qui pouvait couler sur ses joues me faisais terriblement souffrir. Alors je me mets à sa hauteur, l’encerclant avec mes bras quand celle-ci vint appuyer sa tête sur moi, naturellement je la berce. “Je vais t’aider, tu vas t’en sortir. On trouvera un moyen” je ne lui propose même pas un centre, il fallait que cela reste entre nous pas sûr que papa K apprécie qu’Elvira est passé de l’autre côté. “De toute façon ça fait quoi... Quelques semaines ? Mois ? Que tu en prends ? Ça devrait être moins douloureux...” je ne sais pas, je n’avais jamais été accroc à ce genre de chose “On va y arriver d’accord, je ne te laisse pas tombé.”
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@D. Jewell Kaine | C’est une douleur atroce qui perce ma poitrine. Une douleur à laquelle je n’étais pas prête à faire face, une douleur à laquelle je n’aurais jamais cru devoir faire face. Jamais les conflits avec Jewell n’avaient été si violents, si destructeurs. Prendre soin l’un de l’autre, c’est ce que l’on s’était toujours promis, c’est dans cet esprit que notre père nous avait éduqué. Prendre soin de la famille, être là les uns pour les autres. Dans le chaos de nos enfances, ces mantra s’étaient partiellement effondrés, mais jamais entre Jewell et moi. Et pourtant, aujourd’hui c’est le cas. La tête contre son torse, le visage enfoui, j’essaye de calmer le désespoir que j’éprouve, j’essaye de calmer mes sanglots, afin de pouvoir articuler correctement les réponses qu’il attend. Des réponses qu’il me laisse le temps de formuler, me berçant dans ses bras pour m’apaiser au mieux. Ce qui fonctionne, malgré la peur toujours très présente. « Depuis Soan… » Que je murmure doucement dans un premier temps pour lui répondre. Avec son décès et les examens, j’étais vite retournée dans mes plus mauvais travers. « Mais juste les… Les amphétamines. » Je n’avais touché à aucune drogue dure pendant tout ce temps, j’avais seulement dérapée pendant les festivités du Spring Break. Mais ce n’est peut-être pas cette vérité qui est la plus difficile à avouer. Une secret enfoui pendant des années menace notre relation, je le sais bien, mais je veux pouvoir être aidée, je devais me montrer plus honnête que jamais. « Mais c’est pas… La première… J’ai déjà… Antécédents. » Ma voix tremble plus que jamais, inquiète de ce que j’allais provoquer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne dis rien, je continue de la bercer contre moi attendant patiemment qu’elle se sente de me parler en toute sincérité. Je lui demande depuis quand elle consomme et le prénom de Soan sort, je soupire, je m’en voulais de n’avoir rien vu, de ne m’être préoccuper que de mes propres problèmes, peut être que j’aurais pu éviter ça, peut être que j’aurais dû savoir d’avance que la découverte du corps de Soan allait être de trop à gérer pour elle “Je suis désolé” murmurais-je. Le voyage du spring break avait été de trop, si j’avais été plus attentif peut être que j’aurais pu au moins éviter la prise de drogue dur, peut-être qu’elle aurait pu se dire d’elle même que c’était trop dangereux pour elle. Je ne sais plus comment penser, une partie de moi à envie de lui hurler dessus, de lui dire qu’elle m’a déçu et l’autre partie à besoin de la protéger et de la rassurer. En réalité je ne sais pas quel est la chose à faire et quand j’entends sa dernière phrase je me recule légèrement, mon regard la juge sans que je ne puisse le retenir, mais je reste là sans rien dire parce que je ne parviens pas à mettre mes idées en ordre et j’ai toujours cette retenu de ne pas lui crier de nouveau dessus. “Ca date de quand ?” demandais-je d’une voix sèche.  
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)