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Aleina "A.J" Jida-Rossa
feat. Camilla Cabello
HEY LORD, YOU KNOW I'LL FIND IT
I DON'T KNOW WHEN OR HOW TODAY
naissance
((Vingt quatre ans)) Tu as vu le jour à Cuba, pays natal de ta chère et tendre mère. Un endroit dont tu ne gardes malheureusement aucun souvenir, puisque ton passage y a été très bref. Très vite, tu as rejoins la famille de ton père, ici, à Boston, et tu n'as plus jamais quitté la ville. C'est ici ta maison, ta patrie, mais tu n'oublies pas tes racines pour autant.
nom(s) & prénom(s)
Aleina. Un prénom aussi doux que piquant que tu affectionnes particulièrement, donné par ta maman. Pour autant, tu as tendance à te présenter sous le pseudonyme de "AJ", bien plus bref, bien plus facile à retenir que ton nom de famille à rallonges. Jida-Rossa. Un beau mélange des noms de tes géniteurs que tu gardes précieusement. Loin d'être prête à renoncer à ce cadeau, à ces derniers souvenirs d'eux, même pour celui qui fera - peut être un jour - battre ton petit coeur.
nationalité(s)
Si tu as vu le jour loin de là, à Cuba, tu as vécu la totalité de ta vie sur le sol américain. Tu es donc Américaine, officiellement.
origine(s)
Tes parents sont tous deux d'origines Cubaines, mais la famille de ton père est venu s'installer aux Etats Unis bien avant que tu ne pousses ton premier cri. Toi, tu as ouverts les yeux pour la première fois sur leur terre natale. Tu n'as, pour souvenir, qu'une brochettes de photos de famille, mais tu n'y es restée que quelques semaines avant de découvrir Boston. De ce que tu sais, tu tiens aussi quelques origines mexicaines du côté de ton père.
orientation sexuelle
Incertaine. Si tu te permets de clamer haut et fort que tu es hétérosexuelle, forcée de constater que tu n'en as aucune idée, dans le fond. Tu ne t'ai jamais perdue dans les draps d'une autre femme, pas même effleurer les pulpeuses. Alors tu es curieuse...
statut amoureux
Célibataire. Tu n'as clairement pas le temps de t'occuper de ça. Pas le temps de te préoccuper de ton petit cœur. Pas l'envie, non plus. Tu as peur, AJ. T'es flippée à l'idée de donner ton palpitant à quelqu'un, de te livrer sincèrement, de laisser quelqu'un entrer dans ta vie comme un boulet de canon. Peur d'en souffrir, de te montrer faible, vulnérable.
statut social
En galère, c'est un statut ? Tu te bats bec et ongles pour sortir la tête de l'eau. T'es prêtes à te noyer, mais tu refuses d'embarquer tes frères et sœurs dans ta suffocation. Les lippes étirées, tu refuses d'admettre que t'as peur de te retrouver à la rue, de ne pas savoir gérer l'éducation de ces petites têtes blondes qui dépendent entièrement de toi.
emploi
Tu te démènes autant que possible, souriante, comme si de rien n'était. Galérant entre ton job de serveuse cinq jours par semaine, et ce boulot de danseuse dans un club tous les week end. La main aux fesses dans l'un et l'autre de tes jobs, le corps qui se déhanchent sous les lumières violettes, sur un rythme sensuel, déshabillée du regard par des pervers dont tu tentes d'éloigner le toucher. Ecœurée de l'univers dans lequel tu évolues, tu refuses pourtant de lâcher prise. Ca paye mieux que ton petit boulot de serveuse dans ce petit resto miteux, étonnamment. Au moins, ça t'aide à joindre les deux bouts.
((Vingt quatre ans)) Tu as vu le jour à Cuba, pays natal de ta chère et tendre mère. Un endroit dont tu ne gardes malheureusement aucun souvenir, puisque ton passage y a été très bref. Très vite, tu as rejoins la famille de ton père, ici, à Boston, et tu n'as plus jamais quitté la ville. C'est ici ta maison, ta patrie, mais tu n'oublies pas tes racines pour autant.
nom(s) & prénom(s)
Aleina. Un prénom aussi doux que piquant que tu affectionnes particulièrement, donné par ta maman. Pour autant, tu as tendance à te présenter sous le pseudonyme de "AJ", bien plus bref, bien plus facile à retenir que ton nom de famille à rallonges. Jida-Rossa. Un beau mélange des noms de tes géniteurs que tu gardes précieusement. Loin d'être prête à renoncer à ce cadeau, à ces derniers souvenirs d'eux, même pour celui qui fera - peut être un jour - battre ton petit coeur.
nationalité(s)
Si tu as vu le jour loin de là, à Cuba, tu as vécu la totalité de ta vie sur le sol américain. Tu es donc Américaine, officiellement.
origine(s)
Tes parents sont tous deux d'origines Cubaines, mais la famille de ton père est venu s'installer aux Etats Unis bien avant que tu ne pousses ton premier cri. Toi, tu as ouverts les yeux pour la première fois sur leur terre natale. Tu n'as, pour souvenir, qu'une brochettes de photos de famille, mais tu n'y es restée que quelques semaines avant de découvrir Boston. De ce que tu sais, tu tiens aussi quelques origines mexicaines du côté de ton père.
orientation sexuelle
Incertaine. Si tu te permets de clamer haut et fort que tu es hétérosexuelle, forcée de constater que tu n'en as aucune idée, dans le fond. Tu ne t'ai jamais perdue dans les draps d'une autre femme, pas même effleurer les pulpeuses. Alors tu es curieuse...
statut amoureux
Célibataire. Tu n'as clairement pas le temps de t'occuper de ça. Pas le temps de te préoccuper de ton petit cœur. Pas l'envie, non plus. Tu as peur, AJ. T'es flippée à l'idée de donner ton palpitant à quelqu'un, de te livrer sincèrement, de laisser quelqu'un entrer dans ta vie comme un boulet de canon. Peur d'en souffrir, de te montrer faible, vulnérable.
statut social
En galère, c'est un statut ? Tu te bats bec et ongles pour sortir la tête de l'eau. T'es prêtes à te noyer, mais tu refuses d'embarquer tes frères et sœurs dans ta suffocation. Les lippes étirées, tu refuses d'admettre que t'as peur de te retrouver à la rue, de ne pas savoir gérer l'éducation de ces petites têtes blondes qui dépendent entièrement de toi.
emploi
Tu te démènes autant que possible, souriante, comme si de rien n'était. Galérant entre ton job de serveuse cinq jours par semaine, et ce boulot de danseuse dans un club tous les week end. La main aux fesses dans l'un et l'autre de tes jobs, le corps qui se déhanchent sous les lumières violettes, sur un rythme sensuel, déshabillée du regard par des pervers dont tu tentes d'éloigner le toucher. Ecœurée de l'univers dans lequel tu évolues, tu refuses pourtant de lâcher prise. Ca paye mieux que ton petit boulot de serveuse dans ce petit resto miteux, étonnamment. Au moins, ça t'aide à joindre les deux bouts.
FIRE STARTER
Toi, t'as soif de liberté. Passionnée par la vie, par tout ce qu'elle a à t'offrir. Tu n'en as que faire de l'amour, tu veux profiter de toutes les opportunités qui pourraient s'offrir à toi. Toi, tu aspires simplement à une vie tranquille, sans le moindre soucis. Pouvoir te lever le matin sans t'inquiéter des factures. Partir en vacances avec les petits quand ça te chantes. Ne pas avoir cet emploi du temps millimétré qui te nargues chaque fois que tu poses ton regard sur ton réfrigérateur. Toi, tu voudrais pouvoir promettre aux gamins que Noël cette année sera glorieux. Que les cadeaux déborderont du sapin. Toi, tu aimerais respirer l'air frais plus souvent que tu ne le fais. Ne pas avoir à montrer autant d'épiderme à des regards lubriques qui aimeraient de déshabiller encore plus. Toi, tu veux être maîtresse de ton corps, de tes choix, de ton avenir, et offrir à ceux que tu aimes, un futur plus radieux que le tiens. Toi, t'as abandonné tes rêves, qui - pourtant - ne sont pas si loin dans ta caboche.
caractère du personnage
Entre le feu et la glace, tu es aussi tendre que piquante. Tu n'as jamais eu la langue dans ta poche, AJ. Tu as tendance à ne pas savoir filtrer tes mots, qu'importe la réaction que tu obtiendras de ton interlocuteur. T'aimes pas l'hypocrisie, de toute manière. Allergique aux mensonges, ça te donnes envie de foutre le feu quand on te ment. T'as le sang chaud, tu t'emportes vite, susceptible. T'as tendance à t'exprimer en espagnol quand t'es énervée, à parler bien trop vite, le débit plus rapide que celui d'Eminem. Une petite boule de nerf, teigneuse du haut de ton mètre soixante. Petit bouclier forgé pour n'y déceler aucune faiblesse. Tu te dois d'être digne, d'être forte, indépendante. Tu crèverais qu'on te vois vulnérable, ravalant tes larmes quand elles osent s'immiscer dans ta vie. Tu ne supportes pas qu'on puisse te trouver des faiblesse, pas à toi. Tu gères ta vie, tes jobs, ton emploi du temps digne d'un ministre et l'éducation de tes frangins d'une main de maître. Tu ne te plains pas, jamais. Tu ne demande pas d'aide, jamais. Tu préfères t'enfoncer seule, la fierté bien trop grande pour admettre que - de temps à autre - il serait bon qu'on te tende la main. Et pourtant, sous ces airs d'inatteignable, tu caches un besoin d'affection omniprésent. Toi aussi t'aimerais qu'on fasse un peu plus attention à toi, qu'on prenne soin de toi. Te voir dans les prunelles d'un homme comme la huitième merveille du monde. Incapable de laisser ton palpitant entre les doigts de qui que ce soit de peur qu'il n'implose, que l'autre le torture, le piétine. T'as bien assez de problèmes pour y ajouter du sentimental. L'âme bercée de projets avortés, d'ambitions oubliées, de rêves effacés. Toi, petite, tu te voyais sur scène, le micro au creux des mains, les cris des autres scandant ton nom. Toi, adulte, tu as choisis de briser tes propres fantasmes au profit de ta petite famille. Parce que rien ne compte plus pour toi que ta famille.
anecdotes
La première, l'aînée, le miracle. T'as été accueillie comme une déesse, une princesse. T'as été chouchoutée les premières années de ta vie, fille unique, l'attention à été concentrée sur toi, et toi uniquement. Tu ne t'en es pas plainte, au contraire, profitant de la tendresse de tes géniteurs. Tu voguais, à l'école. Tantôt bonne élève, tantôt complètement larguée, balancée dans des montagnes russes où tu comprenais la moitié du programme. C'est pas faute d'avoir essayé, et t'es maline comme gamine. Mais rester assise sur une chaise pendant des heures, ça n'a jamais été pour toi. T'as l'esprit qui divague, qui prolifère, sans cesse. La tête dans les nuages, des idées pleins la tête, t'es créative. Ta mère, elle l'avait bien compris. Elle t'as guidée vers le piano, que tu as maîtrisé avec une facilité déconcertante. Elle est la première à t'avoir poussé à t'exprimer, à te faire chanter. Et puis t'as 10 ans quand ton petit frère vois le jour. T'aurais pu être la pire des garce, le voir comme une menace à votre équilibre familial. Mais t'as préféré aduler ce petit être qui ne demandait qu'à être aimé. Posé sur un piédestal comme les jumelles qui ont suivit 4 ans plus tard, et le cadet, 3 ans après les filles. Cibq gamins, c'était pas simple tous les jours à gérer pour tes parents, mais vous n'avez jamais manqué de rien. A manger dans l'assiette, un toit au dessus la tête, de l'amour qui déborde. Et si t'as dû arrêter les cours de piano avec un pro, ton professeur de musique t'accueillais volontiers pour que tu t'entraînes après les cours. Elle aussi elle a vite comprit que t'avais de l'or au bout des doigts, que t'avais besoin d'extérioriser au travers de ta musique. Encore plus quand, à dix sept ans, ta maman tombe malade. Juste après la naissance de Tiago, le petit dernier, on décèle un cancer. Foudroyant. T'as perdu ta mère dans un claquement de doigt, t'as rien vu venir. Ca t'as anéantis, mais ton paternel en souffrait bien plus que toi. Alors t'es restée digne, t'es restée droite, pour lui, pour les petits. T'as lâché les cours pour trouver du travail, embauchée comme serveuse dans un petit resto qui paye pas de mine. Tu voulais l'aider, participer aux finances pour que tout le monde s'en sorte. Vous aviez votre quotidien, un équilibre. T'as sacrifié tes rêves de musique, t'as sacrifié ton petit palpitant au passage. La peur au ventre de te faire piétiner par une peine de cœur. Pas le temps, non plus, d'accorder des heures précieuses. Des draps, t'en as côtoyés, mais jamais bien longtemps. Une nuit, ça te suffit. L'attachement t'effraies. Tu te glisses hors du lit dès qu'il s'endort, donne un faux nom quand tu danses, glisses un faux numéro pour ne pas être retrouvée. Finalement, ton équilibre va de nouveau être bouleverser en mars 2021. T'as hurlé si fort que t'aurais pu t'en briser les cordes vocales. T'as tellement pleurer que tu t'es déshydratée. La poitrine comprimée dans la douleur quand à l'autre bout du fil on t'annonce l'accident de ton père. Orpheline. Un mot ne t'auras jamais fais autant souffrir. Et ce qui te ronges, c'est que chaque jour tu te demandes si c'en était vraiment un, d'accident. Parce que tu connaissais ses maux, tu la voyais l'ombre planer au dessus de sa tête à ton paternel. Et depuis, t'es toute seule. Tu prends soin des petits comme si c'était les tiens, te confrontant à la crise d'adolescence de ton petit frère, aux réunions parents profs des jumelles, aux questions diverses du cadet. Aux matchs de foot, aux punitions, aux devoirs, aux "Tom peut venir ce week end ?" et autres futilités. Accumulant les factures, t'arrangeant avec le proprio de l'appartement pour le loyer en retard. T'as pris un deuxième boulot que t'exècres, mais qui paye bien pour joindre les deux bouts. Et tu survis, AJ, plus que tu ne vis. Rêvant encore secrètement d'un univers parallèle, d'un monde imaginaire, où t'aurais peut être pu percer dans la musique si le destin t'en avais donné l'occasion, le droit.
& irl, ça donne quoi ?
pseudoSPF
âge 26 ans
nationalité Française
forum connu par... Top site, y'a des années
ILH, j'en pense quoi ? On a peur de se noyer
autres comptes ? @"compte" @"compte" @"compte"
avatar utilisé Camilla Cabello
crédits images nefertari-graph
nombre de mots par rp Je m'adapte
type personnageInventé
code métier
Nivana + Danseuse : explicatif pour remplir correctement
- Code:
@"Aleina Jida-Rossa" » <i>(Danseuse)</i>
- Code:
@"Aleina Jida-Rossa" » <i>(Serveuse)</i>
code bottin
- Code:
<span class="pris">CAMILLA CABELLO</span> <span class="inv"></span> @"Aleina Jida-Rossa"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
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