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(tw) flirting with hell (w/koa)

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TW (tout le rp): GHB, CONSOMMATION D'ALCOOL, DÉTRESSE PSYCHOLOGIQUE
29.01.22

Détresse. Elle doit bien se lire dans tes yeux qui brillent d'une substance que t'as ingérée sans trop y porter attention et qui flottait, indécelable, au fond de ton verre, à la surface de ce nectar tempétueux qui faisait désormais bouillir ton sang chaque fois que tu étais contrariée. Ironique, pour une agaçante miss je-sais-tout qui s'entêtait jusqu'ici à faire la morale à ses potes sur les dangers et les mauvais revers de la boisson. On ne saurait pas trop comment t'avais fait pour te frayer un chemin jusqu'ici, au sommet du monde, sur le toit de la dudley. La brise de minuit, ou peut-être de trois ou quatre heures avancées dans la nuit, fouettait ton visage aux joues incendiées. La musique s'était amenuisée sans que tu n'y portes la moindre attention, ou peut-être résonnait-elle en écho dans ta tête, s'éclatant dangereusement contre les parois de ton crâne, s'écriant en chimère contre tes tympans, si bien qu'il t'fallait te prendre la tête à deux mains pour espérer la faire taire, tant les pulsions étaient douloureuses. Ta démarche titubante, ton regard vitreux, tout faisait état lamentable de ta vulnérabilité. La fatigue rampait, serpentine, t'enveloppant de son manteau à la fois chaud et réconfortant, et tu te laissais peu à peu aller à son étreinte, morsure vipère dont les crocs se refermaient sur sa proie. Démarche titubante, ta silhouette flirtait dangereusement avec l'absence de rambarde, la vie au bord du précipice, à quelques faux-pas de sombrer, de te laisser engloutir par le vide et les ténèbres...

@Koa Parish
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koa quand il a attrapé son portable après l'avoir senti vibrer dans sa poche, qu'il a lu le message de maxine, sa cousine, il a eu le sang qui n'a fait qu'un tour, son coeur il a raté un battement et ses jambes ont faillis lâcher. parce que lire un sms venant de max qui disait, urgent et viens maintenant dans la même phrase ça veut rien dire de bon. alors il s'est levé en vitesse de son lit, a enfilé un sweat et un jogging, a chopé son skate qui trainait au pied de son lit et à juste gueulé à meili qui devait être dans sa chambre urgence j'reviens. il a jamais été aussi vite le garçon, et dans sa tête il se faisait mille scénario sur le chemin, il savait pas, il savait rien de la situation, mais il savait qu'une seule chose, il ne valait mieux pas qu'il soit arrivé quelque chose à max où il allait faire un carnage. les rues étaient quasiment désertes, le froid lui fouettait le visage, mais exit la douleur, il n'avait qu'une envie s'était d'arriver sur place le plus vite possible. une fois en bas du bâtiment de la dudley, il jeta un coup d'oeil en haut et à la vue d'une silhouette titubante il compris, il compris bien trop vite, putain de merde, qu'il pesta avant d'attraper sa planche et de dévaler afin d'atteindre le rooftop des dudley. une fois en haut, essoufflé, il faisait face à max jouant l'équilibriste au bord du précipice, et il ne savait pas quoi faire. "tu m'expliques ?!" seule chose qu'il arrive à sortir tellement la scène face à lui est impensable, il ose pas avancer, il ose pas la brusquer, parce qu'elle est beaucoup trop proche du vide.

@Maxine Cheshire (tw) flirting with hell (w/koa) 2109348208
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au bord du gouffre. au sens figuré et littéral. dans ton monde, c'comme si t'étais seule. c'est ce que tu ressens depuis... depuis quand, déjà? les pensées s'emmêlent et s'embrouillent, la notion du temps disparaît, tu as le coeur au bord des lèvres. il n'y avait que la musique beaucoup trop forte pour te tenir compagnie, mais même elle, elle ne suffisait guère à ta raccrocher aux tristes métaphores. Vide. Le vide te déchire les entrailles, te détruit l'âme, te malmène le coeur, et s'il te brûle l'épiderme, sa flamme n'a jamais été aussi effervescente qu'à l'instant. Avant l'aube de ses seize ans, elle se piquera le doigt à la pointe d'un rouet et en mourra. Envoûtée par les ténèbres, elle s'avance, tend le bras, la main, le doigt pour en capturer l'étoile... jusqu'à ce qu'une voix l'interpelle et la sorte brusquement de ses songes hypnotisés. Regard vitreux qui se pose sur l'intrus et le scrute, le reconnaît sans le voir, ou le voit sans le reconnaître. Allez savoir. Koa. Un sourire terrifiant se dessine sur ses lèvres, à en glacer le sang. C'est beau, tout en bas... La mort. Et un rire lui échappe, cristallin, presque enfantin, tandis qu'elle se relève, marche le long de la balustrade du toit, sous les yeux apeurés de Koa, le corps titubant ici et là, Max improvisant les plus belles prouesses des funambules...

@Koa Parish
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il a envie de lui hurler de descendre, hurler de toute ses forces pour qu'elle arrête ses conneries, mais il ne la connais que trop bien et il sait que la solution n'est pas là. ils en ont fait des cap ou pas cap étant enfant, ado, jeune adulte, le niveau des défis augmentant au fil des âges, du t'es pas cap de sonner chez la voisine et ta barrer en courant au t'es pas cap d'aller prendre le numéro de la meuf la bas avec son mec. un jeu débile qui n'est plus ce soir, l'innocence envolée, bien loin derrière eux, qui a laissé place aux problèmes du quotidien, ceux qui rongent le corps et l'âme, ceux qui pourrissent la vie, qui rendent un ciel bleu tout gris, et son ciel à max il doit être bien noir pour qu'elle en arrive là. il ose un pas koa, mais elle titube au même moment, son coeur rate un battement, il peut la perdre à tout moment mais il ne veut pas, il préférait être à sa place, qu'il la sache en sécurité sur la terre ferme, moins proche de ce vide qui l'attire, qui l'attire. "max...tu veux pas descendre de là, qu'on discute..." qu'il essaye de négocier face à une maxine totalement bornée, pour changer. encore un petit pas, un après l'autre, pour s'approcher doucement d'elle, pour ne pas lui faire peur, lui faire risquer un geste brusque, le geste de trop. "vas y donne...donne moi la main je te rattrape." qu'il propose en tendant délicatement le bras, main tremblante au bout. elle est comme une soeur pour lui, ils ont grandis ensemble, ils partagent tout, ou presque, parce qu'il n'a pas su décelé les signes qui ont poussés à en arriver là, et il s'en veut, à mort, lui qui s'est donné pour mission de la protéger de ce monde de fou, il a échoué.

@Maxine Cheshire
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TW: idées et tendances suicidaires

tout est pêle-mêle; c'est l'bordel dans ta tête, le chaos dans tes yeux. en silence, tu cries à l'aide, la bouche ouverte à t'en exorciser, mais personne t'entends, là-haut, là-bas, tout en bas, sous la marée qui t'engloutit, qui te noie. c'est la fin. or as you wish. mais l'espérais-tu vraiment? désirais-tu vraiment disparaître, au fond d'toi? ou était-ce le seul moyen que t'aies trouvé pour mettre fin à des peines devenues à la limite du supportable. c'est la tempête, l'hécatombe de c'qui reste encore de vivant dans ce coeur d'enfant, de gamine farouche qu'on fuyait parce que trop ou pas assez. une pensée pour narcisse, pour c'frère qu'était plus là, qui s'fichait bien maintenant que tu sois là ou pas. et une pensée aux goonies, qui verraient sans doute pas la différence laissée par ton absence. et une autre pensée pour papa, qui se doutait guère des souffrances d'sa pauvre fille. ingrate. de mépriser autant la vie que t'avait léguée, au détriment de la sienne, ta propre mère. à y laisser sa peau. quand tu lèves les yeux, te risquant à tituber au bord du précipice, c'est elle que tu vois, et que t'entends là-haut. l'sourire timide que t'imagines déçu, triste, ou en colère. tu m'as tuée pour ensuite te mépriser? et y'a les larmes qui coulent, mais la peau brûle à en faire évaporer les perles qui roulent le long des joues. tu les sens pourtant se frayer un chemin sur ton visage hideux, monstrueux, quand tu croises l'regard de cette moitié qu'il te faut à tout prix épargner. mais qu'est-ce qu'il venait foutre là? t'es prise dans ton vertige, absente, désireuse de t'enfoncer dans l'vaporeux plutôt que d'être confrontée à la réalité. ça fait moins peur. la chute sera moins dure. si t'obtempères, c'est parce que t'y vois pas trop le choix. que tu te balances dans ses bras comme une molle poupée de chiffon. y'a plus rien qui fait du sens. et lorsque l'étreinte devient rassurante, tu récupères le peu de forces qu'il te reste pour le chasser, koa. ME TOUCHE PAS! que tu cries, à t'en déployer les poumons, à en cracher la misère. va-t'en, dégage, LAISSE-MOI. et y'a ce regard vitreux qui doit retraverser ton visage, une énième fois, quand tu lui tournes le dos, pour pas voir la déception chasser la peur, pour pas voir la honte et le dégoût l'envahir à ta vue misérable, méprisable, minable. tu vas m'laisser crever en paix? pourquoi t'es toujours là à faire comme si t'en avais quelque chose à foutre? la langue claque, vipère ou sorcière, la ligne est fine entre les deux, mais ça n'change rien à tes remarques acerbes, violentes, démolies. je t'aime ko, mais laisse-moi partir et t'en souffriras pas trop. j'te le promets..

@Koa Parish
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démuni, déboussolé, il ne sait pas, il ne sait plus, le garçon se tient là face à une scène horrifique, il voudrait arrêter le temps pour tout stopper, la ramener sur la terre ferme et que cesse ce drame duquel il est acteur principal. son coeur bat à lui déchirer la poitrine, ratant un battement à chaque mouvement trop brusque de la brune, le froid lui gèle les phalanges, le vent fouette son visage, mais il a d'autre chose en tête que son confort personnel, il n'a qu'une trouille c'est que cette fois ci elle mette ses menaces à exécution. il a beau lui dire, lui répéter, lui gueuler à longueur de temps qu'elle est importante, qu'elle a sa place, qu'elle n'est pas rien, elle est bornée la cheshire, c'est de famille, il est comme ça lui aussi quand il s'y met, il préfère garder la tête au fond du seau plutôt que d'en sortir pour voir les quelques rayons du soleil qui tentent de percer difficilement à travers les nuages gris du quotidien. et puis c'est un soupir de soulagement, long, franc, qui sort de sa bouche quand max se décide enfin à capituler, enfin, presque. elle est maintenant loin du précipice, ce bord si dangereux qui l'aurait happée jusqu'en bas sans le moindre mal, mais elle est toujours fermée, en colère, pleine de rancoeur que koa voudrait calmer, si il pouvait il prendrait tout son mal être pour l'endosser à sa place, il déteste la voir souffrir comme ça, ça le tue. les mots lui lacèrent le coeur, c'est douloureux, puissant, perçant, il a peur que les siens ne soit pas assez fort pour lutter, lui prouver qu'elle a tord. "je t'aime." qu'il balance aveuglement, avec risque que ça n'aggrave la situation, mais il n'y a rien d'autre qu'il trouve plus judicieux à dire que ces petits mots venant du coeur, comme si il les avait lancé dans son dernier souffle. "j'ten supplie max me laisse pas, jamais, sans toi j'y arriverais pas, j'serais au point mort." puis y'a les larmes qui viennent perler le long de ses joues gelées par la température extérieure, il se surprend lui même à se mettre à pleurer, parce qu'il parle avec sincérité, qu'il lui donne cette pensée qu'il gardait enfoui, juste pour lui, par pudeur.

@Maxine Cheshire
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