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@Zack Cassidy - tw: vih, sexe

Si Raph aurait aimé profiter de chaque seconde de ce weekend en amoureux, c’est dans les bras de Morphée qu’il passe une bonne partie du vol, la tête sur l’épaule de son petit-ami. Il parvient à garder les yeux ouverts sur la route, afin d’être un bon copilote, mais malgré l’excitation de ce qui les attend, ses paupières se font lourdes. Tant bien que mal, le français fait preuve d’enthousiasme et promet même, à plusieurs reprises, une nuit de folie au brun pour fêter dignement le cap des six mois, qu’il ne pensait honnêtement jamais passer. Si on lui avait dit il y a un an qu’il serait dans une relation de couple des plus normales, monogame, Raphaël n’y aurait pas cru une seconde. Pourtant, Zack ne lui a pas seulement donné envie de changer, il a aussi rendu la transition facile, Raphaël n’ayant pas remis une seule fois en question sa décision de lui être fidèle. Tout n’a pas été rose, quelques épreuves se sont déjà imposées à eux, mais dans l’ensemble, ils peuvent dire fièrement que tout se passe pour le mieux. A mi-chemin, ils marquent une pause pour récupérer du paracétamol dans une pharmacie, par sécurité, avant de reprendre la route vers leur destination secrète. Touchant de près à leur petite escapade pour la Saint-Valentin, Raph comprend alors pourquoi son chéri était mi-heureux mi-frustré de découvrir sa surprise le quatorze février. « Les grands esprits se rencontrent. » Dit-il tout en s’avançant dans le chalet de bois, jusqu’à trouver le jacuzzi intérieur. « C’est parfait, mon coeur. » Malgré ses muscles douloureux, Raph balance sa veste sur le lit king size et s’approche de son petit-ami afin d’en faire de même avec la sienne et glisser ses mains sous son t-shirt. « Je propose qu’on ne perde pas de temps. » Les yeux fiévreux, frigorifié alors que sa peau est bouillante, ce jacuzzi ne peut que lui faire que du bien, c’est donc là qu’il aimerait commencer les célébrations. Le t-shirt de Zack au sol, Raph s’attaque à la boucle de sa ceinture alors que ses lèvres viennent effleurer celle de son petit-ami. « Tu as interdiction de penser au boulot pour les trois jours à venir. » Il l’a suffisamment vu soucieux cette semaine, Zack a mérité ce weekend de détente et le français espère qu’il saura en profiter comme il se doit, loin de ses emails.
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23-27.02.2022 - @ chalet in Vermont   @Raphaël Desrosiers

Un peu de répit, c’est tout ce que Zack aimerait. Pouvoir avoir l’esprit tranquille quelques jours, voire semaines s’il est gourmand, et pouvoir simplement profiter de la vie, de la sienne surtout, et à rien d’autre. Mais les embûches, de tailles diverses, s’accumulent et chaque fois que Zack remonte en scelle, il semblerait que quelque chose d’autre vienne chercher à lui faire perdre pied. Par chance, au milieu de tout ça, Raphaël reste présent, trouve toujours un moyen de lui faire sourire et Zack n’a aucun doute sur le fait que sa santé mentale en aurait beaucoup plus pâti s’il n’était pas là. Cette semaine à Los Angeles en est la parfaite illustration. Avant, Zack aurait passé l’intégralité du séjour à travailler, profitant de ne pas avoir de distraction pour avancer des projets de longue date, tandis qu’il rentrait chaque soir chez les parents Desrosiers et était obligé de couper. Plus qu’obligé, il en avait sincèrement envie que ce soit pour profiter de son petit-ami ou de sa famille, avec Jade en tête de liste.
Plus vite qu’il ne le pense, l’heure de couper pour de bon arrive et si c’est quelque chose qu’il n’a jamais su vraiment faire, Zack n’a aucun doute sur le fait qu’il aura mieux à penser. Insistant pour que son petit-ami se repose dans l’avion, il en profite pour finir deux trois petits trucs avant de couper définitivement. Pour preuve de sa bonne volonté, il va même jusqu’à éteindre complètement son téléphone pro et le laisser chez lui (même si son numéro personnel est connu des personnes importantes) avant de prendre la route vers leur destination. Il insiste auprès de son petit-ami pour qu’il se repose, mais ce dernier s’efforce de lui faire la conversation et de le guider. Zack voit qu’il lutte mais connaît assez le français pour savoir qu’il est têtu et se contente de le faire boire régulièrement.
Un sourire amusé se dessine sur les lèvres de Zack quand il entend le commentaire de Raphaël et il dépose un baiser sur sa main qu’il tenait dans la sienne avant d’attraper leurs sacs et de les mettre à l’intérieur. “Ce n’est que le début.” précise-t-il, même si le corps brûlant de Raphaël va obliger Zack à adapter un peu leur programme. Ils peuvent oublier l’idée d’aller skier ou de faire du snow mais ce n’est pas très grave : traîner au lit, faire les meilleurs restaurants du coin, si Raph se sent d’attaque, reste tout aussi agréable. Tout ce qui compte, c’est d’être ensemble. Il dépose leurs affaires près du lit et sourit en sentant Raphaël le rapprocher de lui pour commencer à le déshabiller. “A tes ordres, chef.” répond-il, levant les bras pour l’aider à le déshabiller. Il vient déposer un baiser sur son nez, laissant ses propres mains glisser sur ce corps qu’il connaît et aime tant avant de pouffer en l’entendant : “Je ne vois pas de quoi tu parles”. Zack vient sceller leurs lèvres pour couper court à la discussion; c’est un sujet de discussion récurrent entre eux mais cette fois, Raphaël obtient gain de cause, sans débat. Après avoir approfondi légèrement le baiser en déboutonnant la ceinture et le pantalon de son amoureux, il détache légèrement ses lèvres : “On va quand même commencer par du paracétamol, tu es bouillant, et pas dans le sens que je préfère”. Il caresse doucement son visage, se demandant s’il n’aurait pas mieux fait d’aller voir un médecin avant de partir mais Raphaël ayant déjà refusé l’idée, Zack se retient de remettre le sujet sur le tapis. “On peut faire une sieste avant le jacuzzi si tu veux, bébé.
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@Zack Cassidy - tw: vih, sexe
S’il n’y est pour rien, Raphaël ne peut s’empêcher de culpabiliser d’être dans cet état pour un weekend que son petit-ami prépare depuis plusieurs semaines déjà. Malheureusement pour Zach, le français n’a jamais été de ces hommes forts qui parviennent à prétendre que tout va bien lorsqu’ils se sentent mal. Il fait plutôt partie de ceux qui commencent déjà à écrire leurs dernières volontés une fois que la fièvre se pointe, comme les trois quarts des hommes si on en croit les rumeurs. A Boston, Raphaël serait déjà enroulé dans sa couette, au lit, à réclamer des câlins mais puisqu’il s’agit de leur six mois d’anniversaire et qu’ils sont en déplacement, il prend sur lui pour faire preuve d’autant d’énergie que possible.
A peine arrivé au chalet, il laisse le brun s’occuper de leurs sacs pendant qu’il observe rapidement les lieux, et vient ensuite rompre la distance entre eux. « Que le début hein? » Sourcil arqué et avec un large sourire, il vient effleurer les lèvres de Zack avant de glisser ses mains sous le t-shirt de ce dernier. S’il ne veut pas que son petit-ami pense au boulot ce weekend, il va aussi falloir qu’il y mette du sien et parvienne à lui changer les idées, il ne peut donc pas passer la moitié de son temps à dormir. Raphaël n’a pas pour plan de l’occuper en l’inquiétant sur sa santé car ce n’est pas pour jouer au docteur au sens propre qu’ils se sont programmé cette petite escapade. « J’aime bien quand tu m’appelles chef. » Lui qui n’a absolument aucune autorité, pas même avec ses propres employés. Il est pourtant têtu et sait se faire entendre mais lorsqu’il est question de taper du poing sur la table et ordonner quoi que ce soit, Raphaël a beaucoup de mal. Il passe d'autant plus par la manipulation et quelques sourires que par la force.
Le t-shirt de Zack ôté, il permet à son petit-ami d’en faire de même avec le sien et joue avec sa lèvre inférieure alors que le brun s’attaque à la boucle de sa ceinture. Le fait qu’il puisse lui refiler tous ses microbes ne lui traverse même pas l’esprit, trop focalisé sur le besoin de prendre sur lui afin qu’ils passent tous deux un beau weekend. Le sourire de Raphaël se transforme en une grimace lorsque Zack mentionne les paracétamol, ce qui montre à quel point il n’est pas doué pour cacher son mal-être. Il fait pourtant de son mieux mais il n’y a pas grand chose que le français puisse faire contre sa peau brûlante qui le trahit alors qu’il est pris de frissons. « Non ça va me faire du bien le jacuzzi, j’ai déjà dormi dans l’avion. » Hors ce n’est pas pour faire une cure de repos qu’ils se sont évadés en amoureux. Débarrassé de son pantalon, Raphaël s’éloigne pour récupérer les paracétamols dans leur sac de voyage et se rend à la cuisine pour se servir un verre d’eau. « Tu n’es pas obligé d’être à l’eau aussi. » Précise-t-il, même si une part de lui se dit que la pause alcool ne ferait pas de mal à Cassidy après ces derniers mois. Il n’ira pas jusqu’à le lui préciser verbalement, ne souhaitant gâcher (un peu plus) ce moment. Le médicament avalé, Raphaël pose le verre pour retourner vers le jacuzzi et retirer son caleçon lorsqu’il arrive à sa hauteur. Frigorifié, il n’attend pas Zack avant d’y plonger, activant les bulles avant de faire un signe de tête à son petit-ami pour qu’il le rejoigne. Dès qu’il est à ses côtés, Raphaël vient se placer à califourchon sur lui et poser les lèvres dans la nuque de Zack qu’il embrasse, suce et mordille en alternance. « Merci de t'être occupé de tout pour ce weekend. » Il murmure avant d’embrasser ses lèvres.
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23-27.02.2022 - @ chalet in Vermont   @Raphaël Desrosiers

Zack acquiesce d’un signe de la tête en entendant Raphaël répéter ses mots avant de râler doucement quand il s’éloigne de ses lèvres. Il en profite pour venir doucement croquer son nez avant de sentir son corps se réchauffer au seul contact de ses mains sur sa peau : “Oui, je nous ai réservé que le meilleur.” Comme Raphaël l’avait d’ailleurs fait pour la Saint-Valentin, même si le programme sera un peu différent ; Zack a annulé le SPA quand il a constaté que Raphaël lui avait réservé exactement le même mais en a trouvé un autre qui propose un autre type de massage - il n’y a aucun sous-entendu là-dedans - et qui, il l’espère, sera aussi bien que le premier. “Meilleur restau, meilleur massage, meilleures luges… Mais j’abandonne l’idée du ski, ne t’inquiète pas.” Les luges sont également en option mais si Raphaël commence à se sentir un peu mieux, ils pourront s’y aventurer. Il est en revanche hors de question de le laisser monter sur des skis, même avec un peu moins de fièvre. Si Zack apprécie tout particulièrement ce sport, notamment pour l’adrénaline qu’il procure, il a également conscience des dangers qui l’entourent et ne souhaite pas que son petit-ami se casse une patte - et pas uniquement parce qu’il faudrait sans doute être à ses petits soins vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour les semaines à venir.
Levant les bras quand ce dernier commence à lui ôter son tee-shirt, il rit légèrement quand le français lui dit aimer être appelé chef et secoue doucement la tête : “Ne t’y habitues pas trop”. C’est difficile d’être crédible en lui donnant son petit surnom quand il est sans doute l’homme avec le moins d’autorité qu’il connaisse. Mais si ça lui fait plaisir, Zack note de lui donner ce petit surnom de temps en temps.
Si l’américain est résolu à permettre à son petit-copain de se reposer, Raphaël semble avoir d’autres idées en tête. Elles ne sont pas pour déplaire à Zack, bien au contraire, mais il a aussi conscience que la fièvre l’affaiblit grandement et s’ils veulent profiter d’un temps soit peu de la journée, mieux vaut que Raph accepte de se reposer quand il a besoin. Loin de lui l’idée de lui dicter quoi faire, Zack lui conseille alors simplement de prendre un médicament en acquiesçant quand il lui dit que le jacuzzi lui fera du bien. “Ok, je vais le lancer pour qu’il chauffe rapidement alors.” Zack retire à son tour son pantalon pendant que Raphaël va dans la cuisine et secoue doucement la tête à la remarque de Raphaël : “Pour l’instant, de l’eau c’est très bien.” S’il se réserve le droit de changer d’avis, il préfère être aussi alerte que possible pour le moment. D’abord, pour profiter au mieux de l’instant mais aussi parce que s’ils doivent finalement aller chez le médecin ou si Zack doit aller à la pharmacie, il faut qu’il soit en état de conduire. “On ouvrira le champagne, quand tu te sentiras mieux.” L’idée est d’être ensemble avant tout - et peut-être aussi de faire tomber un peu plus amoureux de lui Raphaël, et c’est la priorité absolue de Cassidy.
Zack se déleste alors de son dernier bout de tissu et vient rejoindre Raphaël rapidement, souriant en voyant la vitesse à laquelle il lui fait part de ses plans pour les heures à venir. Etirant le cou, il glisse une main dans la nuque de son petit ami et une seconde sur sa cuisse, le laissant le titiller à sa guise. Zack répond, comme toujours, sans se faire prier à son baiser remontant sa main sur sa mâchoire. Ce n’est que quand il récupère son souffle qu’il ajoute : “Tu le mérites”. Il vient ensuite à son tour déposer des baisers dans son cou, caressant son dos : “Je crois qu’on a accès à toutes les sites de streaming qu’on veut, même Disney +.” S’il veut simplement profiter du jacuzzi pour regarder des dessins animés, c’est possible. Zack tient surtout à ce qu’il profite. “Et dis-moi si tu as faim, soif ou quoi que ce soit. Je suis à ton service.” Il lui fait un petit clin d’oeil, avec un sourire en coin mais pourtant sincères. Ce n’est pas nouveau que Zack est prêt à se plier en quatre pour son petit-ami, ça l’est encore plus quand sa santé est en jeu.
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Au-delà du fait qu’il se sent assez mal pour rêver d’être dans son propre lit, Raphaël s’en veut surtout de priver Zack du week-end parfait qu’il a organisé pour eux. Son petit-ami lui en a parlé il y a plusieurs semaines déjà et l français sait qu’il a dû passer plusieurs heures à tout réserver et préparer afin que ce moment soit parfait. Je n’en attendais pas moins de ta part. Raph souffle contre les lèvres du brun, avant d’entreprendre de les déshabiller. S’il a, en tout franchise, des goûts de luxe, Raphaël n’en est pas moins facile à satisfaire quand il s’agit de passer un moment en tête-à-tête avec son petit ami. C’est bien mieux que d’être au lit, à Boston, mais il en aurait sans doute tout autant profité, pour tant est qu’ils soient tous les deux - et qu’il ne soit pas malade, ce qu’il n’avait même pas envisagé. Il l’a été il y a quelques semaines à peine, Raphaël pensait sincèrement avoir eu sa dose pour l’année. Promis, on ira skier à un autre moment pour se rattraper. Dit-il, un peu coupable de priver Zack. Il lui proposerait bien d’y aller sans lui s’il y tient, mais il est assez égoïste pour ne pas le faire. C’est pour être en amoureux qu’ils sont ici, alors il est hors de question que son petit-ami l’abandonne pour aller s’amuser sur les pistes de ski.
Il hoche la tête lorsque Zack lui dit aller allumer le jacuzzi, avant de se rendre à la cuisine pour prendre du paracétamol. A la vue des médicaments, il ne peut s’empêcher de se demander s’il n’a pas raté un seul comprimé de son traitement journalier, laissant la porte ouverte au virus pour se développer avec un système immunitaire affaibli. On le lui a assez répété, un seul jour d’oubli peut être dramatique dans son cas, raison pour laquelle Raphaël est à peu près certain de ne pas avoir fait son erreur. Il tient bien trop à la vie pour se risquer à jouer avec, mais sur le coup de la panique, il est à deux doigts de demander à Zack de rentrer sur Boston afin de vérifier ses plaquettes et apaiser son esprit. Le brun l’extrait de ces pensées lorsqu’il le rejoint à la cuisine pour se servir un verre d’eau également et Raph s’efforce de laisser passer ce vent de panique. Ils n’ont pas besoin de retourner à Boston, parce qu’il sait qu’il n’a pas fait cette erreur. Il croit en tout cas. D’accord. Le champagne ne fait de toute façon pas bon ménage avec le paracétamol, même si Raph ne peut s’empêcher d’y voir une opportunité de planer sans que ce soit réellement un choix de sa part. Mais même cette idée ne le tente pas plus que ça, dans l’immédiat, sauf si ça lui permet d’oublier à quel point il se sent mal dans sa peau.
Une fois dans le jacuzzi, il vient prendre place à califourchon sur son petit-ami et l’embrasser pour lui faire savoir à quel point il lui est reconnaissant pour ce weekend, mais surtout pour chaque instant qu’ils partagent depuis le mois d'août. Et j’ai fait quoi, pour le mériter ? Il demande avec un sourire, la tête légèrement rejetée en arrière pour laisser la voie libre au brun de le couvrir de baiser. Il vient rapidement retrouver son regard et a un faible sourire lorsqu’il lui parle de Disney+. Avoue que t’as parfois l’impression d’avoir un gosse plus qu’un mec. Raph rit et caresse du bout des doigts la barbe naissante du brun, avant de coller son front au sien. Je ne pensais pas un jour fêter mes six mois avec qui que ce soit. Pas plus qu’il n'espérait le faire. Il y a de cela un an, Raph aurait encore vu cette perspective comme une prison dans laquelle il refusait catégoriquement de s’enfermer. Je t’aime. Les mots ne sont pas rares mais Raph tient à le lui rappeler, encore et encore. Et je serais ravi de regarder des dessins-animés, nu, dans tes bras. Même s’il rêve surtout de fermer ses yeux et se réveiller en bien meilleure forme.
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23-27.02.2022 - @ chalet in Vermont   @Raphaël Desrosiers

En préparant ce weekend pour eux, Zack n’a pu s’empêcher de penser à ce qu’ils étaient il y a dix ans de cela. A aucun moment n’a-t-il imaginé qu’ils puissent se retrouver en 2022 à fêter leur six mois. D’abord, parce qu’il a sincèrement cru à un moment qu’il parviendrait à convaincre Raphaël qu’il n’avait besoin de personne d’être - cela aurait donc plutôt été leur dix ans qu’ils auraient fêté ; puis ensuite, parce qu’il pensait avoir tiré un trait définitif sur leur histoire. Bien sûr, il restait le premier amour inachevé, celui qu’on oublie vraiment mais Zack n’aurait jamais parié sur leurs retrouvailles. Il n’a eu aucune histoire sérieuse, enchaînant les personnes qu’il fréquentait pendant quelques semaines avant d’abandonner l’idée de quoi que ce soit jusque Eryn. Peut-être est-ce le fait qu’ils ne vivent pas au même endroit qui l’avait convaincu de donner une chance à cette histoire qui n’avait aucune chance. C’était en tout cas grâce à cette relation qu’il s’était octroyé le droit de reprendre réellement contact avec celui qu’il pensait n’être qu’un ami… mais il ne lui avait pas fallu beaucoup de temps pour capituler et se retrouver dans son lit. Il n’y a jamais eu personne qui avait réussi à faire naître la même chose que Raph en lui, et ce n’est pas une question de passion, de faire naître autant de désir en lui mais c’est aussi le fait qu’il lui suffisait de croiser son regard ou de prendre sa main pour que l;e monde se mette à tourner un peu moins vite. “On a pas besoin de se rattraper, mon coeur. Le but c’est d’être ensemble, et c’est exactement ce qu’on va faire.” Avec quelqu’un d’autre, il aurait été frustré, déçu et aurait sûrement joué avec l’idée d’aller skier tout de même, l’aurait sans doute fait (il l’avait après tout fait avec d’autres activités) mais pas avec Raphaël. S’ils essaient de passer un maximum de temps ensemble, ils ont aussi des vies séparées et Zack un métier prenant qui leur donne rarement l’occasion de passer quarante-huit heures collées l’un à l’autre. C’est sans doute une bonne chose, car cela permet de profiter réellement des moments privilégiés comme ce weekend mais aussi d’être heureux de se retrouver chaque soir.
Les sourcils de Zack se froncent légèrement lorsqu’il aperçoit son petit-ami le regard dans le vide dans la cuisine. Il se demande ce qu’il se passe, mais termine la phrase qu’il a commencé avant de voir Raph se réanimer. Il hésite une seconde à lui demander si ça va mais met cela sur le compte de la fatigue. Il connaît assez le français pour savoir qu’il prend sur lui pour être un minimum alerte et pense même que cela le fatigue plus qu’autre chose. Le boulot de Zack est donc de le convaincre de se reposer, doucement mais sûrement. Une part de lui ne peut s’empêcher de penser au pire, à le voir malade plusieurs fois en quelques semaines mais il tâche de faire confiance à Raphaël : si ce dernier a été prêt à lui dire qu’il avait le VIH, il lui fait sans aucun doute assez confiance pour lui dire si la maladie venait de se développer (que cela contienne ou non des risques pour lui, d’ailleurs). Zack ne peut totalement exclure l’idée de son esprit, cependant. Il ne s’inquiète pas pour lui mais pour l’homme qu’il aime, mais tâche de se rassurer en se disant que Raphaël est bien trop du genre à paniquer sur ce genre de choses pour parvenir à lui cacher.
T’existes.” répond-il dans ses baisers quand son amoureux lui demande ce qu’il a fait pour mériter ses attentions. Il pouffe doucement et redresse la tête : “Ok, c’est nul comme réponse mais c’est vrai.” Il soutient son regard quelques secondes avant de venir l’embrasser à nouveau. Il secoue doucement la tête quand il l’entend, venant glisser ses doigts sur ses mâchoires : “Oh, tu t’assures très bien que je n’ai jamais cette impression, bébé.” pouffe-t-il, faisant référence à la passion qui les anime encore après six mois de relation. Le cœur de Zack se serre quand il l’entend dire qu’il ne pensait pas fêter un jour ses six mois avec quelqu’un, mais plutôt qu’une façon agréable, lui faisant réaliser la chance qu’il a eu que leurs cœurs battent à l’unisson, même après quelques années de décalage. Avec le recul, c’est sans doute mieux pour la stabilité de leur relation mais une part de Zack regrettera toujours qu’il n’ait pas eu ses dix années pour s’aimer. Il serre un peu plus Raphaël dans ses bras quand il lui dit qu’il l’aime et sourit, attendri à sa dernière phrase. “Merci de m’avoir choisi. Même après tout ce temps, je t’aurai détesté de fêter ce genre d’anniversaire avec qui que ce soit d’autre.” Il n’aurait pas été jusqu’à faire une poupée vaudou à l’image de son ou sa petit(e)-ami(e), mais l’idée lui aurait sans aucun doute traversé l’esprit. “Et je t’aime assez pour en avoir envie aussi.” dit-il frottant son nez contre le sien. Il glisse doucement ses doigts sur son torse, jusqu’à son bas-ventre et souffle à son oreille : “Mais toi, nu contre moi, je ne peux pas te promettre d’être très sage.” Il pense même que cela ferait du bien à Raphaël, au vu des hormones que cela réveillerait et pourrait même se contenter de le caresser, de ses doigts, de ses lèvres, sans recevoir son pareil. Il se doute de toute façon que Raph est épuisé de se forcer à rester éveillé depuis qu’ils sont dans la voiture et comprendra très bien si ce dernier veut simplement se reposer, “sagement”.
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S’il sait que le but de ce weekend est avant tout de passer du temps en tête-à-tête, Raphaël ne peut s’empêcher d’être déçu que les plans de Zack ne se passent pas comme prévu. Quitte à rester au lit tout le séjour, le français aurait aimé le faire en pleine forme, à lui faire l’amour dans toutes les positions qui peuvent lui venir à l’esprit. Il aurait voulu annuler le ski pour le dévorer pendant les quarante-huit prochaines heures. Là, cette simple idée semble lui bouffer le peu d’énergie qu’il possède. Faible, les muscles douloureux, Raphaël sait que même rester au lit sans bouger risque de l’épuiser et d’être pénible. Il aimerait juste pouvoir fermer les yeux et se réveiller en bien meilleure forme afin qu’ils en profitent dignement. C’est vrai. Mais j’ai quand même envie de descendre les pistes à tes côtés. Ou juste de s’octroyer une petite escapade, tirés par des chiens de traineaux. Ils auront bien plus d’une occasion de revenir ici - ou ailleurs - afin d’avoir un vrai séjour d’hiver mais malheureusement, Raphaël doit se faire à l’idée qu’il est peu probable qu’il se retape assez vite pour que cela arrive ce weekend. Mais on ne sait jamais, peut-être qu’après une bonne et longue nuit de sommeil, il sera en mesure de tenir sur ses deux jambes, voire d’avoir une quelconque activité physique.  
Un sourire rassurant adressé à son petit-ami lorsque celui-ci semble soucieux à la cuisine, le français termine son verre d’eau avant de se diriger vers la cuisine. Il ne peut décemment pas lui confier ses doutes après lui avoir assuré qu’il n’oubliait et n’oublierait jamais de prendre son traitement. Même dans le pire des états, cela ne lui est jamais arrivé alors il n’y a aucune raison pour que ce soit arrivé maintenant. Il n’a pas souvenir d’une seule grosse soirée, pas plus qu’il n’a été malade alors il est inutile de s’inquiéter et de partir sur des pistes improbables pour justifier son état. Il est simplement malade, comme n’importe quelle personne normalement constituée peut l’être de temps à autre.
A califourchon sur Zack, Raph rit contre ses lèvres à la réponse qu’il lui livre, ô si cheesy mais qu’il pourrait encadrer si cela était possible de le faire avec des mots. A moitié, là. Il ajoute avec un mince sourire et cette impression de n’exister qu’à moitié. Au delà du fait qu’il a régulièrement l’impression de n’être plus que l’ombre de lui-même, Raph fait surtout référence à son état cadavérique du jour. Mieux vaut en rire qu’en pleurer, bien qu’il ne peut pas jurer de pouvoir le faire tout le weekend. Il a toujours été une doudouille mais au moins, il sait que Zack va le dorloter et prendre soin de lui tout le weekend ce qui rend le tout un peu plus supportable. Peut-être même qu’il parviendra à survivre jusqu’à lundi matin s’il ne quitte pas ses bras. Ah oui? Raph demande avec un sourire en coin, pressant son entrejambe contre celle de son petit-ami. Un autre-temps, sa main serait déjà entre leur deux corps pour offrir un petit plaisir au brun mais le cœur (et le corps) n’y est vraiment pas dans l’immédiat. Je n’aurais jamais fêté cet anniversaire avec qui que ce soit d’autre. Il n’y a pas d’autres yeux que les siens pour lesquels Raph aurait abandonné son mode de vie. S’il n’a jamais été contre les relations et a même souvent espéré avoir une famille plus tard, Raph ne s’imaginait pas se fixer avec une seule personne et lui promettre fidélité. Il n’avait pas su le faire il y a une dizaine d’années, malgré tout l’amour qu’il portait déjà à Zack à l’époque, et il ne pouvait pas regretter ses choix du passé. Jamais ils n’en seraient là aujourd’hui si le français n’avait pas eu ces dix années à profiter, d’une autre façon. De ça, il en est convaincu. Il n’était pas prêt, à l’époque, mais là, tout est naturel et sans le moindre effort de sa part. Il n’est pas question de se priver ou de devoir réfléchir avant d’agir parce qu’il n’y a pas d’autres bras dans lesquels il souhaite se perdre. Tu vas devoir faire tout le travail mon coeur. Zack ne pourra malheureusement pas compter sur lui pour y mettre du sien.
Pris d’un frisson, Raph tremble de tout son corps alors qu’il frôle les lèvres de Zack. Il s’en éloigne pour plonger ses épaules dans l’eau chaude, revenant à plat ventre cette fois vers son petit-ami, les coudes appuyés sur les cuisses de ce dernier, en appui pour ne pas boire la tasse. Les yeux levés pour capter de son chéri, il lui adresse une fine moue. Je pense que t’as raison, ça ira peut-être mieux si je dors un petit peu. Il n’a d’autre choix que de rendre les armes et s’avouer vaincu, d’autant plus qu’il n’est pas certain que l’eau chaude soit une bonne idée pour faire tomber sa fièvre. Tu peux me rapporter ma serviette pour que je puisse m’enrouler dedans directement? J’ai trop froid. Raph lui fait des petits yeux, qu’il n’a même pas besoin de travailler vu son état.
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23-27.02.2022 - @ chalet in Vermont   @Raphaël Desrosiers

On aura bien d’autres occasions.” Que ce soit au cours de l’année, ou des prochaines années. Si Zack ne peut s’empêcher de s’inquiéter de leur avenir et de voir Raphaël se rendre compte que sa vie d’avant lui manque, il ne peut pourtant s’empêcher de se projeter avec lui pour les années à venir. Les quelques mois passés ensemble le confortent dans cette idée, tant leur couple fonctionne bien. Il y a bien sûr quels accrocs et quelques ajustements qu’ils doivent faire tous les deux pour s’adapter à la vie de l’autre mais les efforts sont faciles à faire. Plus faciles qu’il ne l’aurait imaginé, tant et si bien qu’il n’a pas nécessairement l’impression d’en faire. “Repose-toi, on verra demain comment tu te sens et sinon, on y retournera.” L’une des choses qu’il apprécie particulièrement avec son petit-ami est qu’ils aiment tous les deux les mêmes choses. Raphaël aime autant les activités sportives que lui - et non, pas uniquement celles qui se finissent au lit - et Zack aime tout autant sortir que son petit-ami. Son métier le lui permet moins et il n’a jamais poussé les excès comme le français a pu le faire, mais il apprécie assez cela pour pouvoir sortir avec son petit-ami sans se sortir forcé et vice versa.
Pour l’heure, cependant, ils sont l’un dans les bras de l’autre dans le jacuzzi et Zack sourit doucement à la remarque de son petit-ami sur son état. “Même à moitié, tu le mérites.” dit-il, en lui faisant un petit clin d'œil. Cela le peine sincèrement de le voir dans cet état et même si Zack s’efforce de ne pas trop y penser, il ne peut s’empêcher de se demander si ce n’est pas la maladie qui progresse, se réveille, prête à transformer cette période de lune de miel - sans la bague au doigt (au-delà du fait que Raphaël soit déjà marié, il est trop tôt pour cela) - en véritable cauchemar. Cela ne change rien dans son esprit au fait qu’il veuille être à ses côtés mais il voudrait avant tout autre chose qu’ils aient l’occasion de passer encore de nombreux anniversaires ensemble dans un jacuzzi, ou ailleurs. A l'affût du moindre signe qu’il pourrait utiliser pour faire comprendre son inquiétude à son petit-ami, il tâche cependant de suivre la conversation et sourit en sentant Raphaël l’allumer. Il vient embrasser le coin de ses lèvres mais ne cherche pas à le provoquer un peu plus. Aussi tentant que ce soit, il doute que le français ait assez d’énergies pour que l’un ou l’autre soit satisfait et le but est avant tout de passer du bon temps. De plus, ce n’est pas comme si leur vie sexuelle était en reste et qu’ils avaient attendu ce weekend pour s’y adonner comme il se doit, le sexe gardant une place importante dans leur relation. “Et je te comprends.” répond-il, d’un ton taquin quand son petit-ami lui dit qu’il n’aurait voulu fêter cet anniversaire avec personne d’autre. Ce n’est pas tout à fait vrai quand il se demande pourquoi Raphaël a ouvert les yeux après tout ce temps et s’il est certain de son choix, mais Zack ne manque pas assez de confiance en lui pour en faire tout un point dans leur histoire, et il n’a pas non plus envie de tirer les vers du nez à son petit-ami pour que celui-ci lui fasse une longue déclaration sur toutes ses qualités. Tout ce qui compte, c’est que ça marche entre eux, et c’est le cas.
Tu sais comme j’aime quand on se concentre sur toi, bébé mais quand tu seras plus en forme.” Hors de question que Raphaël se sente obligé de quoi que ce soit ou qu’ils ne profitent pas autant l’un que l’autre de ces moments précieux. Il a sans doute raison d’ailleurs, parce que Raphaël ne tarde pas à se plonger dans l’eau, le visage un peu plus blanc qu’il y a quelques minutes. Zack pince doucement ses lèvres et dépose un baiser sur son front avant de sortir. Il ne cherche pas à s’essuyer un minimum et attrape une serviette pour son petit-ami, la tenant devant lui. Il pourra ainsi l’y enrouler directement quand il sortira. “Va doucement et appuie-toi sur moi pour sortir.” Il ne faudrait pas qu’il fasse un malaise avec la différence de température entre le jaccuzzi et la pièce, même si elle est tout à fait raisonnable, ou même tout court. Aussitôt qu’il est sorti, Zack l’enroule dans sa serviette et le frictionne pour qu’il sèche plus vite. Il le mène ensuite jusqu’au lit où il le borde volontiers, comme un bébé et caresse doucement sa joue. “Je vais te préparer une boisson chaude. Tu penses pouvoir manger du solide ?” Même s’il souhaite dormir, ne pas avoir l’estomac vide lui fera sûrement du bien. L’inquiétude commence à lui scier l’estomac mais Zack ne veut pas avoir l’air de paniquer ni mettre des idées en tête de son petit-ami déjà mal en point. Pourtant, il ne peut s’empêcher d’ajouter : “Tu ne penses pas qu’on devrait à l’hôpital ? Histoire d’être prudent…” Ne dit-on pas qu’il vaut mieux prévenir que guérir ? Surtout quand c’est quelque chose qui ne se guérit pas ?
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@Zack Cassidy - tw: vih, sexe
Raph est seulement capable d’approuver d’un signe de tête lorsque son petit-ami lui dit qu’ils auront d’autres occasions de skier ensemble. Il le sait mais cela ne l’empêche pas d’être déçu de ruiner le voyage que Zack a organisé il y a plusieurs semaines déjà. Le plan n’était pas de rester au lit, pour dormir. Si au moins ils se prêtaient à des activités plus ludiques, le changement de programme aurait sans doute tout autant plu à Zack mais là, il doit se contenter d’un corps bouillant et chevrotant à ses côtés. Je pense que ça ira mieux demain. Mensonge. Raphaël a surtout l’impression qu’il ne verra pas un autre jour se lever tant il se sent mal dans sa peau mais il est aussi conscient d’être dramatique lorsqu’il n’est pas bien. Ses jours de fièvre n’ont jamais été ses plus glorieux et s’il tente d’être fort dans ses mots, dans sa tête il se dit que la mort est finalement venu frapper à sa porte. Est-ce qu’il aurait des regrets si c’était vraiment le cas ? Peut-être celui de ne pas avoir vécu à deux-cent-pour-cent ces derniers mois. Ce serait un énorme gâchis de perdre la vie en s’étant privé de toute drogue dernièrement dans le but de la préserver ! Il se sent coupable lorsqu’il réalise que un) il délire complètement et deux) c’est vers son addiction que tourne ses premières pensées. Il faut dire que la liste des choses qu’il souhaite encore vivre est longue et si le français pense au passé et non aux opportunités que le futur lui refuserait, c’est bien là la seule conclusion qu’il puisse tirer. Ces derniers mois ont été parfaits sur le plan sentimental, il a des amis aimants et bienveillants, des sœurs qu’il aime de tout son coeur.
Chassant ces pensées un peu morbides et bien inutiles, c’est sur son petit-ami et les mots doux qu’il lui souffle que Raphaël reporte son attention, un mince sourire aux lèvres. Zack a beau lui avoir terriblement manqué à la suite de leur rupture, pour rien au monde le français ne viendrait changer le cours des choses et leur histoire. Cette fidélité promise il y a quelques mois ne représente aucun effort, hors il sait qu’il y a quelques années, il ne serait pas parvenu à tenir sa promesse. Il ne sait même pas s’il aurait essayé, parce qu’il était intimement convaincu que les relations monogames n’étaient simplement pas faites pour lui. Raphaël a toujours vu cette option comme une prison, un cage dans laquelle l’enfermer contre sa volonté. Mais avec Zack, ça avait été son choix. Il avait passé plusieurs semaines à y réfléchir et la réponse avait été sans équivoque ; il n’avait besoin de personne d’autre dans ses draps s’il pouvait l’avoir lui, jour après jour. Les six mois écoulés lui ont prouvé qu’il ne s’est pas trompé et pour rien au monde il n’aurait voulu - ou pu - prendre la même décision aux côtés d’un.e autre. Je t’aime. Il souffle à nouveau, dans sa langue natale, pour répondre aux propos de son petit-ami et trouve la force de rire à sa blague, venant même poser une main sur sa joue. Qu’est-ce qu’il n’aurait pas fait pour ses yeux ? Pas grand chose.
Oui, je préfère aussi quand je participe. Mais qui sait, peut-être qu’un petit exercice physique peut l’aider à éliminer les mauvaises toxines dans son système et faire tomber la fièvre. S’il en plaisante, Raph ne s’en sent pour autant pas capable. Chacun de ses muscles est aussi douloureux que si un camion lui était passé dessus et même sans bouger, il est épuisé rien qu’à penser à l’éventualité de s’envoyer en l’air. Si ça ne prouve pas que c’est la fin, il ne sait pas ce que ça prouve ! Raphaël se relève doucement quand Zack s’approche avec sa serviette et claque des dents pendant que celui-ci frictionne sa peau dans la serviette, comme sa mère le faisait lorsqu’il était gamin. Pas souvent, mais cela lui arrivait de lui donner le bain. J’ai envie de rien. Il dit avec une légère mue, réfléchissant au moindre ingrédient - liquide comme solide - que son corps pourrait accepter dans l’immédiat. Pour une fois, j’aimerais ne pas être allergique au chocolat. Cela ne lui manque pas puisqu’il n’en a jamais mangé mais il se voit bien avec une tasse de chocolat chaud histoire de se réchauffer et faire le plein de sucre en même temps.
Toujours enroulé dans sa serviette, Raphaël se dirige vers le lit pour glisser nu sous l’édredon et s’y emballé aussi bien qu’un burrito. Non, c’est juste de la fièvre mon coeur. Et puis tu veilles sur moi. Tant qu’il boit et prend du paracétamol, il n’y a pas grand chose de plus que l’hôpital puisse faire. Tu sais faire des pancakes? Il y a peut-être de quoi se faire livrer dans les alentours. Il en doute fortement mais Raph n’a pas envie de forcer Zack derrière les fourneaux, même s’il s’agit de la seule chose dont il a vraiment envie. Il ne sera peut-être même pas capable de les avaler, ce qui est encore plus ridicule.
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23-27.02.2022 - @ chalet in Vermont   @Raphaël Desrosiers

Zack dépose un baiser sur sa tempe quand Raph affirme que cela ira mieux demain. Il aimerait bien y croire mais son petit-ami n’est pas patraque depuis assez longtemps pour que la fièvre redescende aussi facilement, malheureusement. Du moins, si sa mémoire est bonne, il n’est pas malade très souvent, mais à l’époque, lorsque c’était le cas, il en avait toujours pour au moins quelques jours. “On verra, ça nous fera aussi du bien de nous reposer. On court toujours à droite à gauche.” Ce n’est pas tout à fait vrai parce qu’ils aiment aussi profiter des moments à deux à traîner au lit - même sans s’épuiser l’un contre l’autre - et que Raphaël peut se permettre un rythme professionnel plus calme, mais ils sont tout de même souvent en train de faire du sport, de se promener, de voir des gens, ou de sortir au restaurant en amoureux. Zack adore cette vie et ne la changerait pour rien au monde, mais il sait aussi à quel point il est important de savoir se reposer de temps à autre. C’est l’une des raisons pour laquelle le jeune homme essaie toujours d’avoir au moins une semaine au calme au soleil chaque année. S’il fait nécessairement un peu de sport - Zack a du mal à rester en place et ne se sent bien que quand il a pu faire bouger ses muscles un minimum, il est aussi heureux de passer le reste de la journée sur un lit de plage à bouquiner, faire la sieste et profiter de la piscine/la mer. Vu la date de leur demi-année, c’était compliqué d’organiser ça pour un seul weekend mais Zack se dit aussi que Raphaël n’en aurait pas plus profiter, la chaleur du soleil et la fièvre ne se faisant pas vraiment bon ménage.
Zack ne parle pas français, il baragouine à peine quelques mots qu’il a pu entendre à répétition dans les films, ou qu’il entend régulièrement chez son petit-ami (“putain” fait presque partie intégrante de son vocabulaire, désormais), mais il le parle assez pour comprendre quand il lui dit “je t’aime” dans sa langue natale. Les battements de son coeur s’accélèrent ; si Zack ose se targuer de ne pas être un américain cliché, il ne peut nier que les gens qui parlent français ont toujours eu un petit effet sur lui, alors imaginez quand il s’agit de l’homme qu’il aime depuis dix ans… Il sourit et vient embrasser ses doigts qu’il mêle aux siens, mais sans pouvoir s’empêcher de se dire que Raph a vraiment mauvaise mine. Il a bien fait de ne pas le laisser aller seul dans le jacuzzi; son petit-ami aurait été capable de s’endormir… et donc potentiellement de s’y noyer.
Je suis certain qu’un peu d’exercice te ferait du bien.” Et il ne parle pas que de sexe, mais littéralement d’exercice. L’exercice libère des endorphines, ce qui aide à augmenter la tolérance à la douleur, faire bouger le sang dans le corps et dans les muscles. Ce ne sont pas ses seules vertues et Zack pourrait passer un bon moment à les énumérer mais il sait aussi que parfois, faire de l’exercice n’est pas suffisant et que la seule chose à faire est de se reposer et dormir. C’est sans doute le cas de Raphaël, au moins pour les prochaines heures. “Mais pas autant qu’un peu de repos.” Il aurait préféré que son français préféré soit en état de sortir quelques minutes pour prendre un peu d’air frais. L’air des montagnes est toujours bénéfique et ils ont passé les dernières heures soit dans un avion ou un aéroport, soit dans une voiture. Cela n’aide absolument pas à se sentir mieux, sans compter que l’air doit désormais être chargé de ses microbes. Zack fait alors une note mentale d’ouvrir la fenêtre cinq minutes quand il se sera assoupi, juste histoire de renouveler un peu l’air.
Il dépose un baiser sur son front quand il dit n’avoir envie de rien et sourit à sa remarque sur le chocolat. “Je peux te faire un lait chaud avec beaucoup de sucre… et ils ont peut être du sucre vanillé ou de l’extrait de vanille ?” Rien à voir avec le chocolat, mais cela a le mérite d’être sucré, et chaud. Zack est content que la personne lui louant le chalet ait proposé de faire les courses pour le weekend pour eux, parce qu’il ne se voit pas ressortir et abandonner Raphaël, ne serait-ce qu’une heure ou deux pour aller faire des courses. Et si celui-ci avait été en forme… cela aurait été purement et simplement une perte de temps. Zack le regarde aller s’allonger sur le lit et se sèche correctement - il lui faudra éponger ses traces de pas sur le sol avant d’enfiler un boxer et un tee-shirt. Zack se retient d’insister quand Raph lui répond qu’il veille sur lui. Il oublie sans doute qu’il n’ait pas médecin et ne pourra rien faire si son état ne s’améliore pas, mais il sera bien temps d’insister en temps voulu. Zack doit compter sur le fait que son petit-ami ne soit pas l’homme le plus courageux du monde et qu’il lui signalera s’il se sent vraiment trop mal. “Ne t’inquiète pas, je m’en occupe.” dit-il avant de déposer un baiser sur ton front. “Essaie de dormir un peu, je te réveille quand c’est prêt, d’accord ?” Il appuie un peu sur l’oreiller et va chercher une autre couverture dans le placard qu’il dépose à côté de son petit-ami, au cas où, avant d’aller s'affairer en cuisine. S’il est loin d’être aussi doué que son petit-ami, il se débrouille en cuisine, et tant qu’il a tous les ingrédients à disposition, cela devrait être a piece of (pan)cake.


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