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Euh salut? Tu vois pas que tu déranges?

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River & Ocyllie
“Euh salut? Tu vois pas que tu déranges?”


Ce matin, le professeur de mon cours de la matinee m’avait appelé, tout comme il avait appelé les autres élèves de ma classe, pour nous avertir que le cours était annulé. Raison? Aucune valable pour le moment. Du moins, des rumeurs circulaient, comme toujours lorsqu’un cours était annulé comme cela, avec les balbutiements du professeur, mais je ne me posai pas trop de question et me rendormit simplement pour quelques heures, afin de retrouver des heures de sommeil perdues il y a quelques jours déjà, alors que j’avais de nombreux examens. Je me réveillai de nouveau quelques heures plus tard alors, bien réveillé maintenant, grâce à ces heures de sommeil que j’avais pour ainsi dire prises sans contradiction! Une douche bien chaude, un petit-déjeuner bien mérité, du dessin, de la peinture, quelques SMS avec ma fiancée, du clavardage avec des potes de ma classe ou de l’Université qui n’avaient pas cours également aujourd’hui. Bref, je ne m’ennuyais pas.

Cependant, vers les 12h00, un peu avant l’après-midi, alors que j’avais bien récupéré, que je m’étais bien nourris et occupé, je me dis qu’il fallait bien que j’étudie pour mes cours prochains, soit du lendemain, ou pour des examens qui arriveraient probablement trop vite à mon goût. Je m’y étais fait, avec les années passées ici, et pour être un bon chirurgien, les études et la réussite étaient importantes, après tout. Quoi de plus normal que de vouloir réussir dans sa vie future? Je faisais peut-être cliché, mais j’étais comme ça : marrant, mais sérieux et concentré d’un autre côté. C’était moi, tout craché! Bref, avec la ferme résolution d’étudier toute la journée, même si j’avais congé de cours aujourd’hui, je me rendis au Bukowski Tavern, une place où l’ambiance était là, mais qui, les jours de cours, n’était pas si bondé d’étudiants ou d’adultes que ça. C’est donc là que j’entrepris de me rendre, cahiers et bouquins sous le bras, crayon et gomme à effacer entre les doigts! Je saluai quelques amis que je connais bien au passage, une blague par-ci, une autre par là, et j’arrivai finalement à destination en ouvrant la porte d’entrée de la place. Je m’assis donc à une table libre. J’avais l’embarras du choix, puisqu’il y avait une vingtaine, voire une trentaine de tables, et seulement trois étaient occupées, quatre en me comptant. Deux filles et un autre garçons occupaient des places un peu à gauche et à droit, et je me mis du côté gauche, une table en face de celle des deux demoiselles que je ne connaissais pas, ni de vue, ni de parler. Je ne leur portai pas attention, et pris donc place à la table en posant mes cahiers que j’ouvris immédiatement pour étudier. Allez, au travail River!

Après une trentaine de minutes à étudier et essayer de comprendre mes numéros bien assez compliqués comme ça, je n’en pouvais plus. Non pas que j’en avais marre d’étudier, mais je n’en pouvais plus de la table voisine à la mienne, où il y avait les deux filles. Elles n’arrêtaient pas de parler, et assez fort en plus. Tellement fort qu’elles dérangeaient également l’autre jeune homme qui était à l’extrême opposé de nouveau dans le Bukowski Tavern. Je lui lançai un regard et il en fit de même, me montrant qu’il pensait la même chose que moi, mais que pour lui, qui était là depuis plus longtemps que moi, le «calvaire» des voix féminines criardes et aigues, l’ennuyait depuis bien plus longtemps encore et qu’il n’en pouvait plus, lui non plus. Je fis un signe aux demoiselles, assez vivement et m’adressai à l’une d’elle.


«Pardon de vous…déranger dans votre conversation ultra-importante sur le sexe et les garçons trop mignons de votre classe, mais… j’aimerais vous faire remarquer que vous dérangez, ici. Merci de baisser le ton, parce que vous énervez autant moi, que l’autre garçon. On essaie d’étudier, à la fin, non mais…»


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Mon sujet de conversation préféré ? Moi et uniquement ma petite personne, mais je pouvais bien faire un effort lorsque je me trouvais en compagnie de certains de mes amis qui n’avaient pas spécialement envie d’entendre parler de la personne fabuleuse que je suis. Du coup, très souvent, je m’abandonnais à mon second sujet de conversation préféré, autrement dit le sexe. Là, je parlais aussi bien de nanas que de mecs, c’était un avantage d’être bisexuelle, je pouvais gouter à deux fois plus de choses, donc prendre deux fois plus de plaisir. Pas bête la guêpe hein. Assise dans un café, autour d’une bonne petite tasse de thé, ouai une anglaise ne perd pas ses origines comme ça, j’étais en train de discuter avec une jeune femme de ma classe, l’une des seules que j’appréciais. Enfin, ce n’était pas ma grande amie non plus, mais au moins elle avait le mérite de m’intéresser un minimum. Le sujet de notre débat. Un petit nouveau très mignon qui avait l’air d’affolait l’entrejambe de la totalité des nanas du groupe, mais tout le monde savait très bien que c’était moi qui aurait la chance de passer, en premier, dans son lit. Personne ne pouvait me résister. Il n’y avait pas grand monde dans le bar, seulement deux mecs en train de bosser sur je ne sais quoi. D’ailleurs, ils étaient plutôt mignons en les regardants biens. «Pardon de vous…déranger dans votre conversation ultra-importante sur le sexe et les garçons trop mignons de votre classe, mais… j’aimerais vous faire remarquer que vous dérangez, ici. Merci de baisser le ton, parce que vous énervez autant moi, que l’autre garçon. On essaie d’étudier, à la fin, non mais…» Mignons, mais complètement cons. Alors que ma camarade de classe était en train de se confondre en excuse, moi je jetais un regard noir vers celui qui venait d’ouvrir sa bouche et répondait du tac au tac sur un ton vachement : « Si t’es pas content tu prends ta paperasses et tu te casses bosser dans une bibliothèque comme toute personne normale. Je ne vais pas me taire pour tes beaux yeux. La liberté d’expression tu connais ? » Comme si j’allais me laisser marcher sur les pieds par un intellos de service.
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River & Ocyllie
“Euh salut? Tu vois pas que tu déranges?”


Comme j’étais incapable de me concentrer alors que ces jeunes femmes devant moi ne pouvaient s’empêcher de parler, de parler et encore de parler, je m’étais donc décidé à leur demander, moyennement poliment, sans être méchant bien sûr, de baisser le ton ou d’aller jacasser des garçons et de leur vie sexuelle ailleurs. Le garçon à l’autre extrémité de nous me regardait avec satisfaction, comme s’il était très d’accord avec moi. Heureusement! Je n’aurais pas tellement eu envie d’être le seul à trouver dérangeant ces deux jeunes femmes qui parlaient, et pas seulement en chuchotant! Celle de droite, qui semblait être beaucoup moins dérangeante que l’autre, se confondait en excuses à moi-même et un peu également à l’autre garçon, mais celle de gauche, semblait pourtant entrer dans une rage qu’elle ne pourrait contenir. Comme si elle était insultée que je puisse être dérangée par elle-même. Elle voulait jouer à ce jeu? J’étais normalement gentil, amical et marrant, mais j’y jouerais également, et ne me laisserais certainement pas marcher sur les pieds. Moi, les garçons ou les filles avec qui quelqu’un couchait, je m’en foutais assez. Tout comme ceux et celles qui se vantaient un peu trop de leur petite personne. C’était de cette façon que je voyais la jeune femme de gauche, maintenant debout devant ma propre table, à me lancer un regard assez noir. Et voilà qu’elle répliquait et m’insultait. C’était parti! Petite idiote, pensai-je.

« Mais fais pas chier, quoi. Je suis venu ici parce que je viens toujours ici, et jamais personne ne dérange. T’es pas contente? C’est triste, mais on s’en fou de ta vie ou des mecs avec qui tu couches. J’en ai rien à cirer, moi, que tu t’aimes à la folie. J’te demande juste de baisser le ton, pas besoin de monter sur tes grands cheveux. Pauvre demoiselle, n’est-ce pas! Je la contredis, mais elle va pleurer? »




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« Mais fais pas chier, quoi. Je suis venu ici parce que je viens toujours ici, et jamais personne ne dérange. T’es pas contente? C’est triste, mais on s’en fou de ta vie ou des mecs avec qui tu couches. J’en ai rien à cirer, moi, que tu t’aimes à la folie. J’te demande juste de baisser le ton, pas besoin de monter sur tes grands cheveux. Pauvre demoiselle, n’est-ce pas! Je la contredis, mais elle va pleurer? » Alors là, c’était le pompon, la cerise sur le gâteau, le seul et unique lingot d’or dans le coffre d’un pauvre – paye ta phrase de merde muahahah. J’avais envie de rire, mais un fou rire comme jamais je n’avais eu. S’il croyait me faire peur avec ses répliques à deux balles, il se mettait le doigt dans l’œil. D’ailleurs, je ne pouvais contenir plus longtemps mes émotions et là je partais dans un fou rire, mais inimaginable. « Non, mais mec tu penses vraiment que je suis le genre de nana qui se met à chialer pour un rien ? » La preuve qu’il ne me connaissait pas le petit brun aux allures de puceau. Sans attendre et tout en m’installant sur la chaise en face de lui, voilà que je reprenais : « Pour ta gouverne, je ne parlais pas fort du tout et avec le nombre de tables libres qu’il y a tout autour tu trouves le moyen de venir poser ton cul de pachyderme juste à côté de la nôtre. Si tu veux être tranquille, t’as cas te caler à une table où il n’y a personne autour au lieu de vouloir jouer les emmerdeurs de service et si tu n’es toujours pas satisfait, alors bouge ta graisse jusqu’à la bibliothèque. Je suis assez claire j’espère ? » Non, il ne me faisait pas peur.
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