KEITH PEARSON ► SAM CLAFLIN

naissance
Né le 21/06/1994. Sang qui embrase cet organe grondant depuis maintenant 27 ans ; monstre façonné depuis l’aube ; enfant martyr en proie à ce monde sans sourire;

nom(s) & prénom(s)
Keith Pearson

nationalité(s)
Franco-Américain.

origine(s)
Des origines française, canadienne et anglaise, principalement. puis d'autre ecossaise, irelandaise, galloise.

orientation sexuelle
Bisexuelle.

statut amoureux
Célibataire endurci.


statut social
Aisé, d'après Emma.

emploi
Homme de joie. Carrière que tu prends soin de dissimuler à ta frangine quand bien même tu te doutes qu'elle sait quelque chose. Peut-être devrais-tu te contenter de louer tes services pour de l'argent.

Drogues, Prostitution... Tu flirtes avec l’illégal depuis bien longtemps maintenant, depuis aussi longtemps puisses-tu t’en rappeler d’ailleurs. Incapable de faire autrement, tu as ce goût du danger, vil venin qui parcourt tes veines. Tu n’accordes aucun crédit aux règlements, pensant tout bêtement que nulle règle n'existe si ce n’est pour être transgressée. Attache aux allures éphémères, dégoût pour ce manque de liberté que t’inspires ces dernières. œil pour œil, dents pour dents ; la vie ne t’ayant que trop appris que la loyauté et l’honnêteté sont des valeurs d’un ancien temps incompatible avec ce monde bercé de flammes.

Rebelle - Impulsif - Insouciant - Immature - Autonome - Joueur - Ambitieux - Opportuniste - Charmeur - Prétentieux - Méticuleux - Jaloux - Attachant - Fourbe - Eloquent - Persuasif - Protecteur - Mefiant - Moqueur - Egocentrique - intrépide

existence éphémère, racines arrachées, il ne te reste plus que ce nom auquel tu n’attaches nul affects. quelques murmures, un vieux souvenir d'une autre vie. Il y a déjà bien longtemps que celui-ci ne roule plus sur les langues, à l’image des portes qui claquent derrière toi. Si bien que sans Emma, tu l’aurais perdu au gré du vent. Vulgaire étiquetage dont on t’accable pour mieux te cerner, pour mieux t’apprivoiser. A défaut, tu préfères qu’on t'appelle Keith, c’est simple, court, concis. et puis, c'est un nom que tu t'es donné à toi-même, quand t’as tenté de refaire ta vie. de tout laisser derrière, de devenir quelqu'un, de finalement être qui tu aurais dû être. ça n'a pas été suffisant, bien sûr. mais tu l'a quand même gardé, et continue de te faire appeler comme ça aujourd'hui. autant t’en souviennes-tu, vous avez toujours été tous les deux ta sœur et toi. seuls contre tous, ensemble contre vents et marées. Elle, ne t’a jamais quitté, pas comme tes géniteurs. D’ailleurs tu ne vois en eux pas grand chose d'autre, si ce n’est ces gènes qu’ils t’ont transmis. Parti trop tôt, tu ne les connais que très peu. De ce fait leurs noms ne sont jamais que masques, poudre jetée aux yeux de personne naïves -- souvenirs violentés par l’élixir consommé, comme pour laisser s’oublier les origines, ancienne vie qui n'est plus, morte dans la tragédie, effacée par le temps et la fuite, diluée dans les mensonges. Toi tu n’es qu’homme, enfant nullement désiré, fils de personne, héritier de pas grand-chose, élevé davantage par les rues et les services sociaux, adoptés par ces gens, protégé par cette unique sœur. lien indéfectible qui t’a poussé à fuir les foyers affirmant qu’il avait une sœur, quelqu’un pour qui il comptait, qui irait chercher. Enfant chétif en apparence, tu n’as jamais manqué de rien en somme - si ce n’est d’un but, si ce n’est d’une mère, si ce n’est ton père. Tu grandis la boule au ventre, dans les bas quartiers de Paris, incapable d’en vouloir réellement à ces personnes qui vous ont mis au monde. Tu te contentes simplement de prier pour qu'Emma aille bien. Tu as désespérément besoin d’elle (ignorant ce bien-être que tu éveilles en elle), et fais tout pour l'a retrouver - Vos simples s syouvenirs ensemble symbolisant les plus beaux instants de ta vie. tableau rapidement éclipsé par les écarts, les déboires. Tu te rends très vite à l'évidence : les études c’est pas ta tasse de thé. Tu jouis bien plus à l’idée de draguer à droite à gauche, de semer la zizanie entre les gens qu’à apprendre des conneries. Tu préfères l’école de la vie, le quotidien de ces enculés de bobo parisiens. Et c’est ainsi que débute les entourloupes, les arnaques, les gardes à vue. Tout ça sous le regard subjugué de ta frangine qui semble t’encourager à faire ce qui te plaît dans la vie. t’arpentes les lieux les plus mal famés, à la recherche d’un truc qui fasse vibrer ce qui te sert de cœur - vulgaire adrénaline qui te prends aux entrailles quand tu fais du mal, quand tu te sers sans quémander ton dû. Tu finis par découvrir ô combien tu plais et ô combien tu peux manipuler autrui. hommes, femmes tout ça n’est que détail, cela ne t'intéresse pas le moins du monde. tu es ce cœur en lambeaux qui n'a jamais rien su aimer d'autre que le désordre étouffant et sa belle gueule. et toutes celles et ceux que tu as ravagé sur ton passage, tu t’en moques. S’en suivent simulacre et tromperie. Promesse d’une fidélité éternelle pour finalement plonger lascivement à la première tentation ? l'amour n'est qu'une triste comédie que tu aimes voir apposée sur ta silhouette, pour la distraction que cela te procure, pour le mensonge amer des honnêtes congénères que tu ne sais pas voir, encore moins comprendre. comme un tatouage de dégoût indélébile dont tu ne te lasses pas; tu aimes être aimé jusqu'à la haine, jusqu'au dégoût sublime. mais c'est une comédie qui te rend fou, une fois la nuit tombée et les sourires écrasés. seul, face au miroir. il n'y a plus personne à pousser au bord du ravin. seul, face au miroir. il ne reste plus que toi à briser; et à la malchance de régner. business florissant, tu finis par attirer l’attention de ceux que tu aurais voulu éviter. Papillon de nuit pris au piège dans cette toile tissée qu’est la vie. Femme d’un certain âge, tu ne comprends pas même ce qu’elle te veut. Pourquoi toi et pas un autre ? Tu ne saurais le dire. Il faut dire qu’une fois le montant énoncé, tu étais prêt à faire n’importe quoi. Alors l’histoire de quelque temps, tu t’effaces. Keith laissant peu à peu place à Charles, acteur. Tu es doué, habile de ces mots qui perle avec fluidité — vil menteur depuis longtemps déjà. situation qui s’éternise, chèques qui continuent à s’entasser. Tu as déjà de quoi t’assurer qu’Emma puisse vivre ses rêves. Alors pourquoi continuer ? Tu ne sais pas. Appât du gain sans doute. D’autant plus que depuis peu, la vieille peau te demande simplement de séduire cette gonzesse avec qui tu joues. Idylle pour le moins ridicule qui semble pourtant passionné les français. Tu te prêtes alors au jeu sans trop broncher. Et les mois passent sans pour autant que la situation te déplaise. Pour la première fois depuis longtemps tu rends quelqu’un heureux, comme tu rends Emma heureuse. Et quelque part, dans ce cœur tout de noir vêtu, brille désormais cette petite lueur d’espoir. Tu refuses de te l’avouer, refuses de te rendre à l’évidence. Tu aimes celle qui est en réalité ta victime, tu respires enfin — palpitant qui s’embrase à ses côtés. Mais tu ne peux décidément plus continuer à l’a faire souffrir de la sorte. C’est ainsi que tu annonces que cette saison sera la dernière pour toi ; que tu penses pouvoir faire carrière aux États-Unis d’Amérique. La série ayant bien pris, tu tentes tant bien que mal de faire miroiter à la belle, ces rêves de liberté qui sont tiens. Mais en vain, l’emprise qu’à la matriarche sur vous deux — amants maudits — est bien trop enracinée. Alors vint cette décision, celle d’abandonner Salomé. Parce que si elle est Juliette, tu n’es certainement pas Roméo. Les flammes de la fournaise t’étant destiné, La Géhenne célèbrant chaque jour un peu plus ton trépas. Adieu Charles. Nouveau chapitre que tu clôtures, nouveau masque dont tu te défausses. C’est à première vue le cœur serré que tu assistes à cette mascarade. Cérémonie factice qui vise à te libérer de ces lourdes chaînes, joug des Clarins. Étrangement, ça te fait un mal de chien. Mais ta liberté, ton bonheur prédomine — égoïsme aux allures égocentriques ou du moins presque. Emma. Celle qui te fait tenir et qui se tient toujours à tes côtés. Il n’y a qu’elle pour te consoler, te convaincre qu’il s’agissait là du bon choix, du meilleur choix qu’elle disait. Malgré tout, tu n’es pas dupe. Loin de là même. Tu sais pertinemment que tu n’es qu’un lâche n’ayant de considération que pour ton ombre. Silence pour seule compagne pendant des mois, tu avais perdu goût à la vie en même temps que les mots s’ancraient sur le papier. Maux et palabres devenus couteaux de verre. Les années ont passé et voilà maintenant dix ans que tu t’es installé à Boston. Malheureusement tu n’es jamais devenu cet acteur comme tu le souhaitais ; rêves étiolés, tu n’es plus que l’ombre de toi-même. insatiable chasseur couvert de velours. Il ne reste plus que toi et cette rage incessante - organe gangrené qui tambourine dans ta cage thoracique - Fidèle épouse, à qui tu as juré fidélité et ce depuis ta naissance.
Mirages. Images gravées. obscurité marquant le début d’un renouveau. Tu es comme spectateur de ta propre vie, coquille vide devenu protagoniste d’une épopée dantesque. C’est une expérience de mort imminente que tu vis là, ou plutôt une simulation de ladite expérience. Tu ne peux définitivement pas  t’empêcher de repenser à ton passé, ces chimères qui trottent dans ta tête. Mais hélas ton visage lui-même s’est habitué à ta nouvelle vie, sourire puis mourir chaque fois un peu plus. Tu te contentes de préparer des bons petits plats pour ta petite sœur, de lui montrer que peu importe ce qui se passe, elle serait pour toujours ta priorité. Et ce, malgré le fait que tu continues d’offrir ton corps aux plus offrants, désireux d’offrir une vie meilleure à Emma.

 Naissance de Keith Pearson, à Paris XVII, Hopital Bichat - Claude Bernard.
 Naissance de Emma Pearson, à Paris XVII, Hopital Bichat - Claude Bernard.
 Perte au sein de la Famille Pearson. En effet les deux parents sont décédés lors d’un incident accidentel. S'il était trop tard pour la mère engloutie dans les flammes, le père succombe à ses blessures suite à la fumée inhalée.
 Emma et Keith Pearson sont placés en famille d’accueil — Incapable de survenir à leur besoin de façon autonome. Étant une petite fille, Emma finit par rapidement se démarquer, l’orphelinat lui trouvant une nouvelle famille.
 S’ensuit une période de mutisme pour le jeune Keith qui n’a que le nom de sa sœur à la bouche. Volonté de n’exister qu’avec elle à ses côtés. ombres délétères devenu fidèle sanctuaire.
 Mise en tutelle de Keith, au sein de la famille Rosebury d’apparence aimante mais inapte. Le jeune homme refuse d'obtempérer, prétextant avoir une sœur aimante quelque part qu’il finirait par le retrouver.
 Réflexions bien pensantes, Keith fugue espérant retrouver sa sœur par ses propres moyens. Mais que peut faire un enfant face à la vie ?
 Nouvelle famille d’accueil ; clairement moins aimante que la première. Toujours est-il que Keith n’en a cure. Comportement obsessionnel qui le pousse à agir et à récidiver. Acte ayant des conséquences pour le moins différentes, puisqu’il y connaîtra ses premiers abus, ses premiers sévices.
  Suite aux faits de violences aggravées, de mauvais traitements, la garde de petiot est retirée à la famille qui impuissante perd ses aides faussement gagnées.
  Retrouvailles avec celle qui a toujours su le comprendre. Retrouvailles d’Emma et Keith. Lien indéfectible, promesse d’un énième retour. L’orphelinat décide alors de ne plus séparer frère et sœur.
 Tu reprends vie et on peut dire qu’aux côtés de ta sœur, pour la première fois depuis longtemps tu es heureux. Placement dans diverses familles d’accueil sans grand succès. Les deux frère et soeur n’arrivant pas à trouver leur place feront de nombreux allers-retours entre orphelinat et foyer.
 15 ans. Tu te rends bien compte que les études ne sont pas faites pour toi. Qu’il n’y a aucun épanouissement possible pour toi et que ce n’est certainement pas ce qui te permettra de subvenir aux besoins grandissant d’Emma. Mauvais endroit au bon moment, Tu fais alors la rencontre de ce type qui t’initie au monde de la nuit et aux différents démons qui s’y cachent.
Drogue, Sexe et autre connerie en tout genre. Tu prends la décision de quitter l’école et de te prostituer afin d’offrir un meilleur avenir à ta petite sœur.
 Le temps a passé, et tu as désormais ta petite clientèle. Compose de nouvelles têtes, comme d’habitués. Tu n’invoques tes raisons à personne, te contentant de prendre sur toi et de faire le travail. Sourire factice qui s’inscrit sur le visage — Divine comedia dell’arte reprenant vie.
Destin mêlé à de fortuites rencontres, tout ça te mène à faire la connaissance de Miss Clarins. Cette dernière semble déceler en toi un potentiel hors norme et t’offre la possibilité de sortir de la rue en échange de bon procédé. Si au premier abord tu penses à ton quotidien habituel, elle te propose de devenir acteur.  
Tu as finalement accepté le marché de la vieille et te retrouve propulsé au devant de la scène avec cette fille, Salomé. Devenant Charles, vous enchaînez les émissions ensemble, et se dégage d’entre vous une puissante alchimie.
 L’ensemble des médias s’arrache votre histoire, votre idylle. A tel point que Miss Clarins te demande de te prêter au jeu, pour le bien de vos carrières respectives. Si tu sembles sur le point de refuser, tu y réfléchis bien à deux fois, une fois, la mallette en face de toi.  Prêt à vendre ton âme au plus offrant voire au diable pour Emma. Par amour, tu finis par abdiquer.
 Toi et Salomé devenez inséparable. Pour la première fois, ton bien être importe à quelqu’un d’autre que ta jeune sœur. Bonheur incommensurable, même si tu sais pertinemment au fond que tu ne l’a mérites pas.
 Tu finis par te rendre à l’évidence même que vous ne pourrez jamais être heureux. Diamétralement opposé ; mode de vie incompatible, tu refuses d’être celui qui  dans ton enfer personnel. Convaincu que jamais elle n’accepterait ton passé, ta vérité. Tu demandes à Mme Clarins de te laisser partir, bien conscient que tu ne rendras pas sa petite fille heureuse. Conflit qui éclate
 Départ pour les USA. (KEITH 17 ANS)
 Fin du lycée pour Emma qui découvre, avant de commencer ses études à Harvard, comment son frère arrivait à subvenir à leurs besoins durant tout ce temps.
  Les deux enfants Pearson reçoivent chacun leur part de l’héritage de leurs parents. Une nouvelle vie qui s’offre à eux désormais, avec de l’argent à ne plus savoir quoi en faire. Et ce n’est pas forcément une bonne chose.
  Ouverture d’une agence de service qui met en relation hommes et femmes célibataires. Loue également les services de personnes le temps d’une soirée histoire d’oublier la solitude.

pseudo Dean
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ILH, j'en pense quoi ? plutôt cosy
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avatar utilisé Sam Claflin
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