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TW] True Lies, All lies (Shae)

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LE 21/01/2022
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rue lies, All lies.

Elle n’a pas répondu à ses textos et ce manque d’activité durant toute la semaine l’a fortement inquiété, surtout en sachant ce qu’elle souhaitait faire, lui ayant confié quelques jours plus tôt sa décision de mettre un terme à sa relation avec ce taré. A peine son service terminé qu’il a décidé d’aller vérifier ce qu’il en est réellement en se rendant chez lui, chez eux. Au fil des minutes passées il n’a eu de cesse de se répéter, rongé derrière son volant par son impassibilité du week-end dernier. Les enseignes défilent sous ses yeux alors que le temps ne lui a jamais paru s’écouler aussi lentement, fusillant du regard chaque feu tricolore en approche comme s’il détenait sur eux un quelconque pouvoir.  * Bon sang. Pourvu qu’elle m’ait écouté. * Mais peut-être qu’il aurait du lui aussi répondre présent, insister pour être à ses cotés quitte à s’incruster. Quoique sa présence l’aurait forcément contrarié. L’un dans l’autre, il n’y avait pas de bon choix, pas de solution à l'épineux problème rencontré. Toujours était-il qu’elle n’avait pas donné signe de vie depuis, comme envolée dans la nature sans le prévenir, à l'instar de certains dossiers dans son bureau qui ne seraient jamais clôturés.

Que son impuissance dans cette histoire conduise à un énième dossier portant le nom de Shae, il s'y refusait catégoriquement, prenant cette fois les devants.... s'il n'était déjà pas trop tard. L'adresse en question se trouvait implantée dans les beaux quartiers, desservie par ces allées bien entretenues. Les arbres pour l’hiver avaient été élagués à l'annonce de la tempête ayant sévi dernièrement et le peu qui avaient pu conserver leurs branchages s'étaient rapidement vu lésés par le poids de la neige. Tout avait fondu depuis quelques temps mais les séquelles demeuraient encore sur les rameaux affaissés. Une fois sorti de l'habitacle c'est pas acquis de conscience qu'il a porté la main à son ceinturon pour s'assurer de la présence de son arme qu'il empoigne afin de la décharger, ôtant le compartiment dans un geste d'une mécanique bien huilée. Personne ne pourra l'accuser d'une balle perdue s'il venait à jouer la carte de la dissuasion. Chose faite, ses pas le conduisent maintenant devant cette porte guindée ou seul le nom du propriétaire apparait, encore une façon de marquer sa suprématie sur elle... Les jointures de ses phalanges se heurtent alors au bois pour s'annoncer, supplanté par la sonnerie qu'il écrase quelques secondes après. Impossible de ne pas l'avoir entendu et c'est sur les traits burinés du petit ami qu'il se heurte. « Bonjour. Shae Kavanagh est là? » Mais la réponse n'est pas totalement celle qu'il escomptait, irrité lui aussi de se faire envoyer chier alors qu'il la sait ici, son sac gisant sur le buffet dans l'entrée. « On va reprendre. » D'un geste coutumier ses doigts vont chercher ce porte-feuille dans sa poche arrière qu'il déplie sous les yeux de l'intéressé.« Je suis à la recherche de Mlle Kavanagh. » Presque dans la foulée l'agent considère que la plaque a été suffisamment exposée alors il la range là où elle était avant de reprendre, travestissant la vérité pour se faire plus aisément accepter. « Elle a été témoin d'un accident et j'aurais des questions à lui poser. »
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TW: Violence conjugale, ascendant psychologique.

" Bien travaillée ? " question anodine pour n'importe quel couple mais avec Mark, n'importe quelle phrase devient le sujet d'anxiété. je pose le sac à main sur la console de l'entrée. Ma réponse est suspendu à mes lèvres. " Très intense. Il faut trouver le rythme de travail... " je tente de dire alors que mon cerveau se repasse le temps passé avec George après le travail. Ce n'était pas pour faire du mal à Mark. " Comment va Mr Cavendish ? " ce qui n'était qu'à l'origine une simple discussion après le travail, quoi qu'il ait pu voir, je savais qu'il serait fou. Lui qui m'a tant crié ces derniers jours à quel point j'étais ingrate de ne pas voir à quel point il pouvait m'aimer. Le palpitant s'affole, cette panique... savoir avant même que ça n'arrive. Nos regards se rencontrent, cinq années suffisent à comprendre l'autre. A voir les différences, à se lire. Car je n'avais laissé aucun indice sur mon téléphone. " Pardon, Mark... je voulais pas... je voulais pas te blesser... " larmes qui chutent les unes après les autres. La colère. Sentiment dominant depuis quelques temps. les mots de Mark sifflent entre ces dents, je ne parviens pas à les discerner. Ambiance qui m'étouffe jusqu'à ce qu'elle s'abatte sur la joue, ricoche sur la table de décoration et s'allonger tristement parterre. " Répètes. " ordonne-t-il. Je renifle, bougeant la mâchoire pour essayer de retrouver sa fonction première. " Je vais au travail. Je rentre à la maison tout de suite après. Pas de discussions inutiles. " Doigts qui se glissent dans la chevelure dorée, tirant les boucles avec l'intention de lui faire mal. Il force mon regard à rencontrer le sien. " t'es vraiment qu'une trainée... je te faisais confiance. je t'ai donné ce que personne pourrait faire. tu méritais pas tout ça... " il tend son bras, formant un cercle dans l'air pour démontrer tout le luxe de la maison. même si mes pensées lui disent que je me fiche de son argent, je ne parviens pas à le contredire. Lèvres tremblantes, goût métallique dans la bouche, les plaies passées me refont mal. je ne sais pas quoi faire... j'étouffe... je veux m'enfuir. mais je me sens comme retenue par des chaines à mes pieds. " pardon... mark... pardon... " je ferme les yeux alors que je vois son poing prêt à reprendre cette même danse qu'il y a une semaine. La sonnerie fait écho dans le loft, sa main relâche ma chemise à présent déparaillée, déchirée par la force de son poing. " Montes dans la chambre. " ordonne-t-il alors qu'il se dirige vers la porte.

Je me relève, prête à monter là-haut. Lorsqu'une voix s'élève et m'arrête au pied de l'escalier. J'entends sa voix, mon prénom... Les larmes se font encore plus pressantes sous l'émotion. " Non, elle n'est pas là. " rétorque le petit-ami, froissé de faire face à cet homme qu'il connait un peu. Il est sec, jaloux. Je ne bouge pas, écoute et ressens dans la voix d'Hanzo son irritation. J'imagine évidemment que Mark démontre un visage irrité, agacé. A nouveau, mon prénom résonne et là, mon cerveau se met à dysfonctionner. Quel accident ? C'est alors que je comprends. je me précipite dans la cuisine, efface les traces rouges même si je ne peux pas cacher le reste. Je tente d'arranger ma chemise même s'il faut être idiot pour ne pas voir qu'elle n'est plus dans son état d'origine. " Shae ! " s'élève soudainement. Je sursaute, tapote mes joues pour faire bonne figure. Mais quand je marche vers l'entrée, je me sens tremblée encore. Tel un petit mouton s'approchant du loup... " Je suis là. " je murmure, alors que mon regard se plante dans celui d'Hanzo. Ma main se crispe à l'embrasure pour contenir les tremblements. Mark se rapproche de moi, glisse sa main autour de mes hanches, son souffle me rappelant chacun de ses mots depuis des jours... je suis à peine parvenue à contenir le sursaut de son geste, mes yeux ont fixés ses mains avant de regarder à nouveau Hanzo. Le regarder en espérant qu'une seule chose... " Vous avez des questions à me poser ? " voix calme mais cassée. Le coeur palpite, les émotions fusent, je me contiens tant. Je voudrais m'enfuir. Et tout laisser aller. Mais je suis enveloppée par la peur...

@Hanzo Yoshikawa
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Mensonge ou vérité travestie dans l’espoir de la croiser, le flic assermenté ne ressent pas le moindre remord une fois la plaque rangée. Il ne lui arrive pas souvent d’outrepasser les lois, ces règles qui leurs sont à tous imposées et qu’il respecte scrupuleusement, même lorsqu’elles frôlent l’immoralité. Mais cette fois les choses sont toute autre et il a pensé que cela n‘aurait aucune conséquence, dépassant ses droits pour de bonnes raisons. " Shae ! " * Finalement elle est là… * Comme quoi il eu raison de se montrer plus insistant, toujours campé sur ses positions sur le perron. Il ne faudra que quelques secondes pour que la jeune femme ne fasse son apparition, chemise légèrement débraillée ce qui dénote avec ce qu’elle a pour habitude de porter. " Je suis là. " Timide, même son regard l’est, surtout lorsque la main de son conjoint affirme sur sa hanche la marque de son autorité. Un geste que l’agent ne comprend pas puisqu’elle était censée lui avoir dit vouloir rompre toute relation. * Elle n’a peut-être pas osé finalement. *

Les yeux de la jeune femme sont allés rapidement contrôler ce qui vient de l’enserrer, avisant l’agent d’un regard juste après. " Vous avez des questions à me poser ? " * Plutôt oui et pas que dans le cadre d’une visite officielle… * Il les a tous les deux observés un instant, essayant de comprendre pourquoi Shae a tenu aussi longtemps à ses côtés. L’argent, la promesse d’une vie plus belle que ce qui ne lui était à l’origine réservée, l’attention qu’elle est en droit de mériter… Mais que lui reste-t-il aujourd’hui ? Que des veux partis à vau l’eau, des mots qui ne se concrétiseront jamais et ses yeux pour pleurer. « On peut en parler en privé ? » Certaines choses doivent être conservées sous scellés afin de préserver la fragilité de cette relation qui aurait dû depuis longtemps être avortée, ou qui n'aurait jamais dû commencer. Pas de rendez-vous au commissariat, c’est maintenant qu’il souhaite discuter, ayant fait le trajet dans le seul but de se rassurer à son sujet. Mais un petit détail accroche son regard lorsqu’une boucle chute de son épaule, dévoile une légère teinte vermeille sur le col de cette chemise débraillée, une trace sur elle qu’il aurait préféré ne jamais observer. « A l’intérieur ou bien dehors, peu m’importe. Ce ne sera que l’histoire de quelques minutes. » Et son besoin de la voir en aparté se fait plus pressant maintenant qu’il devine aisément ce qu’il s’est passé. Mais dans l’impossibilité de l’affirmer avec certitude, sans preuve à l’appui, Yoshikawa doit se montrer patient. Ne pas s'emporter avant qu'elle ne soit loin d'ici, loin de lui...
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TW: Violence conjugale, ascendant psychologique.

Je ressens cette conviction d'une fin proche. Que la douleur ne sera plus qu'un lointain passé quand je vois enfin le regard d'Hanzo. Il s'envole presque à la sensation de la main de Mark sur ma hanche, de ce soubresaut causé par la surprise d'un geste et de la douleur qui transperce mes côtes. J'ai tellement envie de pleurer mais je sais que ça ne fera qu'empirer la situation, je ne veux qu'une chose : que ça s'arrête. même si la pensée d'être seule me fait peur, m'effraie. Je suis pendue aux lèvres, j'attends une réponse qui me sauve de là. Je crois même que je suis prête à me jeter sur Hanzo avant même qu'il ne pose sa question. Mais je n'ose pas, cette main, elle me tient, bien plus que je ne le pensais. Mon courage, il est écrasé. Cette main, je sens qu'elle me communique la colère de Mark à la question d'Hanzo. Me parler en privé. Lui qui n'a jamais daigné me laisser seule bien longtemps dans la même pièce qu'un autre homme. Mon regard se pose sur Mark, j'attends son corps, sa validation. Je le vois bien qu'il est tenté de jeter Hanzo dehors. De revenir plus tard. mais il ne le fait pas. lâche qu'il est, il finit par retirer sa main de moi alors qu'Hanzo insiste à nouveau. Il balaie la demande d'Hanzo, laissant son jouet à l'agent. " Bien. Je serais dans mon bureau. Soyez brefs, nous devons sortir ce soir. " Sourcils froncés, je suis surprise. Nous n'avions rien prévus. Avec ce qu'il vient de se passer, je comprends que ce mensonge... c'est pour me prévenir que ce n'est qu'une interlude avant de me retrouver seule avec lui. Une sorte de promesse déguisée.

Il s'éloigne. je ne le regarde pas, mais je guette le bruit de ses pas. Je ressens son regard, mes mains tremblent mais se retiennent l'une à l'autre pour le cacher au possible. Et lorsque les portes coulissent, se referment... j'ai l'impression que l'air me revient dans mes poumons. " Hanzo... " je murmure alors que je ne fais que quelques pas pour le rejoindre, m'effondrer dans ses bras, laissant les larmes coulées sur ma joue. " Merci... Merci d'être là. " de m'avoir sauvé. j'ai cru que sa colère était encore plus féroce. j'ai cru que la douleur allait me tuer encore plus que la première fois. la douleur à mes côtes devient trop insoutenable pour rester blottie contre lui. Et parce que j'ai la gorge nouée, je décide de déboutonner le semblant de chemises pour lui montrer. Ma poitrine. Mon ventre. Les traces d'un amour bien trop violent pour l'accepter. Mes doigts tombent le long de mon corps, serrant le pan de mon vêtement. " Aides-moi... " à partir. à fuir. à disparaitre. J'essuie les larmes sur mes joues.  " Je n'en peux plus. Je ne tiendrais pas. je ne sais pas quoi faire... il me tient... " c'est le sentiment que j'en ai. je sais que je n'ai qu'à prendre mon sac à main qui est derrière, à sortir le passeport de la commode qui est en dessous, et je pourrais voguer librement. Mais... je ne sais que je n'aurais pas le courage... seule...



@Hanzo Yoshikawa
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