(tw / holdjade) just gonna stand there and watch me burn

with @Jade Beauregard 18.02.2022 tw : violence, sexe C'était un règlement de compte finalement qui était en train de se passer, à travers les actes de violence, à travers les cris et les coups. Et tes mots sonnent l'incompréhension dans mon esprit, me faisant oublier alors la douleur ressentie par ce coup de tête que tu venais de me prodiguer. Grimace qui tord mon visage, avant d'esquiver in extremis la lampe que tu me balançais à la gueule. « non non non, retourne pas la situation. TU aimes quelqu'un d'autre, TU envoies des signes aux autres gens. moi j'ai fait que coucher avec quelqu'un parce que tu m'as BRISÉ le cœur ! » Colère qui devient de plus en plus ingérable et c'est tout ce qui était sur la commode qui se retrouve au sol. « tu m'suffis, tu m'suffis amplement. mais t'as ce besoin d'avoir des gens à tes pieds. ton ex, tes potes, moi... j'suis pas un de plus dans ta collection moi, j'veux pas ça » J'me rapproche de toi, mâchoire serrée et mains qui agrippent tes hanches. « j'veux pas que l'autre con se dise qu'il a une chance avec toi sous prétexte qu'on a eu une dispute. pourquoi t'as passé ta st valentin avec lui alors que tu SAVAIS qu'il te kiffait, hein ? POURQUOI JADE ? » Nos fronts se retrouvent collés, le regard fixé dans le tien. « c'est pire que coucher avec quelqu'un »

with @Holden Bishop 18.02.2022 tw : violence, sexe les mots perdent leur valeur. les gestes n'ont plus aucune saveur. tout comme ces lèvres plaquées sur les tiennes. tu ne ressens que de la rancoeur, plaisir voilé. les sens anesthésiés. animée par cette amertume. objet qui vole jusqu'à lui, préférant laisser éclater ta colère sur tes meubles plutôt que son visage déjà bien amoché. — j'ai rien envoyé du tout comme signe ! ambre c'est du passé putain. elle est devenue insignifiante à partir du moment où mon coeur il a commencé à battre pour toi ! c'est qu'un putain de rose ! t'es allé voir ailleurs pour une putain DE ROSE ! le ton grimpe, les reproches s'enchainent. tantôt actrice, tantôt spectatrice de ce vacarme, de ce tableau chaotique que vous êtes en train de dresser. les dégâts s'accumulent, la commode passe à son tour entre les mains d'holden. tout est sans dessus dessous. à l'image de vos états d'âmes. les poings qui se resserrent, ton égoïsme coupable de tant de méfaits. la tête secouée négativement, réfutant ses accusations. il n'était pas qu'un de plus dans ta collection. il ne l'avait jamais été. il était tellement plus que ça. pourquoi ne le voyait-il pas ? sans t'en rendre compte, la distance instaurée par la violence de vos mains venait d'être réduite à néant. ses mains venant reprendre possession de ton corps. incapable de rester éloignée de toi. dépendant de ton amour. dépendant de ton corps. dépendant de toi. — c'est comme ça que tu me vois depuis le début ? comme une salope qui te considère comme un trophée ? qui va s'amuser avec toi pour ensuite te jeter quand elle se lassera ? t'as envie de t'éloigner de lui, t'as envie de le frapper. mais les envies s'amenuisent face à ce désir palpable qui te maintient collée contre lui. — il a jamais eu aucune chance avec moi parce que je t'aime TOI. je t'ai choisi TOI. pourquoi tu le vois pas ? pourquoi tu le comprends pas ? pourquoi t'es parti voir ailleurs ? POURQUOI HOLDEN ? les mains qui viennent inconsciemment se rejoindre derrière sa nuque. les lèvres qui rencontrent les siennes. brutalement. il t'avait manqué. tellement.

with @Jade Beauregard 18.02.2022 tw : violence, sexe Le cœur qui bat trop vite, à tout rompre. J'étais pas certain de pouvoir vraiment bien le vivre tout ça, cette soirée et tout ce qui allait s'en suivre. J'étais pas prêt à remettre tout en question, parce que j'étais bien avec toi et qu'il a fallu que tu gâches tout. Pourquoi il a fallu que cette journée vienne tout gâcher, hein ? « c'est pas juste une putain de rose, comme tu dis, c'est TOUT CE QU'ELLE REPRÉSENTE » Le rouge, l'amour et la passion. Lui envoyer cette rose à Ambre, ça voulait dire qu'elle était toujours celle qui faisait battre ton cœur. T'étais supposée n'en envoyer qu'une, à moi. Faut croire que j'm'étais trompé sur toute la ligne. La lampe évitée, je m'approchais de toi pour te bloquer une nouvelle fois contre la porte, mon corps encore une fois collé au tien. « tes mots, depuis le début. “ne t'attache pas, je vais aller voir ailleurs, je suis comme ça”... tu t'es toujours vendue comme ça jade, pourquoi quand on te le relance, tu penses tout de suite qu'on te prend pour une salope ? » Parce qu'à mes yeux, tu l'étais pas. J'étais raide dingue de toi, jusqu'à la plus infime fibre de mon corps. J'étais totalement électrisé à proximité de toi, incapable de penser à autre chose qu'à toi, toi et toujours toi. Puis alors que tu m'assommes de questions, tes lèvres viennent se plaquer violemment contre les miennes et commence alors un échange des plus passionnels. T'attirant avec moi jusque dans le lit, je préférais me laisser aller à un plaisir charnel avec toi que répondre à cette question. Parce que je n'avais pas la réponse. J'ai pas réfléchi, j'étais totalement aveuglé par la colère que j'avais contre toi et j'ai juste fait la première chose que je pensais être un soulagement temporaire. Malheureusement, il n'en était rien. Même quand j'ai quitté la Adams, j'avais toujours cette colère et cette envie de tout casser autour de moi qui m'animait, plus fort même qu'à mon arrivée. Ton corps tombe sur le matelas, le mien par dessus, et j'attrape tes mains pour les garder prisonnières, bloquant alors toute libération possible.

with @Holden Bishop 18.02.2022 tw : violence, sexe culpabilité qui prend place, acculée contre le mur. forcée d'admettre que t'avais merdé en envoyant ces roses. prenant conscience de ton erreur. t'avais pas forcément réfléchi sur le moment. comprenant que tes agissements l'avaient en réalité blessé. c'était par le biais de son coeur meurtri qu'il communiquait. mais ne prenait-il pas conscience que toi aussi t'avais souffert de sa stupidité ? aucune victime dans cette histoire. uniquement des responsables. des bourreaux qui saccageaient leur propre histoire d'amour à coup de trahisons. — si c'est qu'une putain de rose ! ROUGE parce qu'elle a compté dans ma vie. ROUGE parce que je l'ai aimé comme personne avant elle. ROUGE parce qu'elle comptera toujours d'une certaine façon. ROUGE ET NOIRE pour lui dire au revoir. pour lui faire comprendre que je l'aimais autant que je la haïssais. mais tu sais quoi holden ? j'ai eu beau lui envoyer une rose rouge, j'ai eu beau passer une nuit entière avec elle, bloquée dans sa galerie, j'ai pas eu UNE SEULE FOIS l'envie de l'embrasser. ou de coucher avec elle. et tu sais pourquoi ? PARCE QUE C'EST TOI QUE J'AIME ABRUTI. IDIOT. CRETIN. les insultes qui fusent, les corps qui entrent en collision. indignation qui déforme tes traits. brutalité d'un baiser qui le désarçonne. les corps s'entrechoquent pour finir étalés sur le lit. allongée sur le dos. lui faisant face. et une nouvelle fois prisonnière de son emprise. — parce que c'est ce que tu penses non ? que je joue avec toi. ose me dire le contraire. le visage tourné sur le côté. dégoûtée qu'il soit aussi faible. écoeurée qu'il se doit donner à un autre. — ça va être comme ça à chaque fois que t'es jaloux ou en colère ? tu iras baiser le premier qui t'offrira son cul ? bah moi non plus je veux pas de ça. JE VOULAIS PAS QU'ON TE TOUCHE. et tu l'as quand même fait.... déception qui ternit ton regard. comment arriver à passer outre le fait qu'un autre ait posé sa marque sur lui ? t'y arrives pas. ton coeur le supporte pas.

with @Jade Beauregard 18.02.2022 tw : violence, sexe Conversation qui aurait pu avoir lieu lundi, pour s’éviter bien des blessures. Mais au final, c’était pas vraiment une conversation qu’on avait là. On se renvoyait une bombe sur le point d’exploser à tout moment. Et si elle nous explosait à la gueule à tous les deux ? Est-ce qu’on allait vraiment s’en sortir ? J’étais pas doué pour désamorcer les choses moi, au contraire. L’huile sur le feu, c’était ma spécialité. Chose que j’avais faite en admettant avoir couché avec quelqu’un lundi soir. « t’aurais pu ne rien envoyer aussi, la laisser crever dans un coin et l’oublier totalement » Et ouais, j’ai intégré que tu m’aimais et c’était pas ça le souci. C’était que tu gardes ton putain de passé en travers de notre chemin, et j’aimais pas ça. J’aimais vraiment pas ça. Le cœur tordu dans tous les sens, l’égo sali, empiété par ces roses envoyées à ton ex. J’avais encore du mal à digérer. Alors les corps prennent le relais, te faisant prisonnière de mon emprise une nouvelle fois dans le lit, ma silhouette au dessus de la tienne. « parce que tu sais ce que j’pense maintenant ? » Ton regard me fuit et je n’aimais pas ça. Alors j’lâche une main pour attraper ta mâchoire et te forcer à me regarder, ma mâchoire serrée par les mots que tu venais de balancer. « pourquoi tu voulais être en couple libre alors, si c’est pour pas accepter que j’aille voir ailleurs ? tu t’fous de ma gueule en fait » Je souffle avant de me relever pour faire les quatre cent pas dans la chambre. « c’est un putain de gros foutage de gueule. tu m’testais ? c’est ça ? c’était un test pour voir si tu m’suffisais ? POURQUOI TU DIS PAS LES CHOSES CLAIREMENT ? HEIN ? » Au lieu de mettre en place des plans tordus comme celui là.

with @Holden Bishop 18.02.2022 tw : violence, sexe emprise qui t'échappe une nouvelle fois. perte de contrôle devenue récurrente depuis qu'il était entré dans ta vie. depuis qu'il siégeait sur le trône de ton palpitant, fier roi qui ne semblait pas comprendre ses tords. qui ne semblait pas comprendre la douleur occasionnée par ses choix. — ouais j'aurais pu ne rien envoyer. j'aurais pu ne rien faire. mais ça a été plus fort que moi... j'aurais pas été honnête avec moi-même si je l'avais pas fait. pourquoi tu comprends pas qu'elle représente le passé et toi le présent ? je suis pas avec elle là. je suis avec toi. pourquoi ça, tu te l'imprimes pas dans ta tête d'idiot là ? douceur et délicatesse disparaissent à mesure que la colère s'amplifie. à mesure que l'incompréhension gagne du terrain. ton corps à sa merci, sa main qui force ta mâchoire à lui faire face. à planter ton regard noir dans le sien. triste et chaotique tableau que vous dépeignez. questions qui fusent à nouveau. ne te laissant pas le temps d'y répondre qu'il finit par s'écarter brusquement. comme si ton corps était devenu repoussant et hideux en l'espace de quelques secondes. le coeur qui se froisse face à ses accusations et les sourcils qui restent froncés. figés. ta patience mise à rude épreuve. — parce que t'aurais accepté l'exclusivité si je te l'avais demandé ? c'est toi qui m'a dit que t'avais rompu avec ton ex parce qu'il te laissait pas assez de libertés. va pas me dire que t'aurais accepté d'être avec moi si je t'avais dit non pour aller baiser ailleurs ! tu te relèves à ton tour, prenant soin de te mettre à l'opposé de lui. les poings fermés, ta propre mâchoire qui se resserre à son tour. fatiguée de ses reproches à outrance. lasse d'être la seule responsable dans ce bordel sentimental dont nul avait le contrôle. — mais putain qu'est-ce que tu me racontes encore ? je t'ai jamais testé ! je te faisais confiance. c'était pas ça qu'on s'était dit ? qu'on communiquerait, qu'on se ferait confiance ? tu parles ! une putain de dispute et tu te donnes au premier venu. qu'est-ce que tu fous encore là si t'es pas heureux ? va ! casse toi ! va le voir lui ou elle j'en sais rien ! CASSE TOI ! vérité dissimulée. le suppliant en réalité de rester à tes côtés. de ne pas te tourner le dos. de ne pas t'abandonner. autre lampe qui finit contre le mur en face. puis un cadre qui tombe à terre, verre qui éclate avec fracas. incapable de te stopper dans cette folie qui engloutissait toute raison.

with @Jade Beauregard 18.02.2022 tw : violence, sexe Difficile de se comprendre quand la colère venait tout embrumer. J’étais dans le flou, dans le brouillard et tout ce que je voyais tournait rouge ou noir. Rien ne pouvait être blanc dans cette situation. Ni toi, ni moi. J’étais dingue de toi putain, et pourtant, tu t’amusais à jouer avec d’autres, envoyer des roses qui ne leur étaient pas destinées. « elle est TOUT LE TEMPS là putain ! tu l’as dit toi même, elle a foutu en l’air la plupart de tes relations et moi, j’veux pas, j’veux pas qu’elle continue de foutre la merde dans ta tête et dans ton coeur, tu comprends ça ?! tu comprends que j’veux pas d’elle dans ta vie ? » Et possiblement que je supportais pas cette dispute, je supportais pas la colère qui ne cessait de brûler toute mon énergie. Mais tu ne me rendais pas la tâche facile. Regards alignés par ma main qui redresse ton visage pour que tu me regardes, je finis par m’éloigner, faisant plusieurs pas dans la pièce pour tenter de me calmer. Difficile à dire, mais je tentais de le faire, vraiment. « t’as rien compris… » que j’lançais entre mes dents. T’as vraiment tout capté de travers. Respiration forte que je tentais de contenir, avant de te voir péter les plombs à ton tour, les objets se cassant sur ton passage, tornade Jade qui sévit dans la pièce. « PUTAIN MAIS J’VEUX PERSONNE D’AUTRE QUE TOI ! » que j’te balance avant de revenir vers toi, attrapant une nouvelle fois tes poignets pour te plaquer au mur. « vouloir être libre, ça veut pas forcément dire aller voir ailleurs, j’m’en fous de ça moi, j’t’ai toi ! » soufflais-je contre tes lèvres, le visage bien trop proche du tien. « il me pétait des crises de jalousie quand je partais en vacances avec un pote, ou avec casey. soi-disant t’es bi, t’as envie de te taper tout le monde autour de toi genre » Puis j’te lâche pour marcher de nouveau, tentant de me calmer. « j’bougerai pas »

with @Holden Bishop 18.02.2022 tw : violence, sexe incarnation de la discorde. responsable de tes maux. responsable de ce trou béant qui demeure dans ta poitrine. et dont les cicatrices tardent à le refermer. t'as parfaitement conscience qu'elle restera un problème sur le long terme. tu le sais ça. — elle disparaitra... je veux pas non plus qu'elle continue à le faire... pas cette fois-ci. elle ne sera pas responsable de notre... rupture... mot écorché. écoeurée. la lippe fendue en une grimace, mot haïssable. mot que t'espérais ne jamais prononcer pour lui. avec lui. ta chambre devenue un exécutoire pour vos souffrances communes. laissant éclater votre irritation et votre impatience. communication coupée quant en réalité vous étiez sur la même longueur d'ondes. rancoeur qui vous aveugle, qui obscurcit votre jugement. douleur aigüe qui vient incommoder ton coeur dès lors que cette simple pensée te traverse l’esprit. les gestes violents qui détruisent tout sur leur passage. aucune clémence. aucune compassion. jusqu'à cette phrase vienne te désarmer. ébranlant ton palpitant. cessant tout mouvement. figée sur l'instant. le corps brûlant qui est une nouvelle fois confronté au sien. plaquée contre le mur. les poignets sous son emprise. laissant sur ta peau les vestiges de sa colère. léger grincement des dents face à l'intensité du choc. commençant à saturer face à ce déchainement qui t'étais à chaque fois destiné. il te voulait toi. uniquement ta personne. tu percutais. le coeur se réchauffe à cette simple pensée. envahie d'une émotion enfin positive. très rapidement ternie dès lorsqu'il finit par s'écarter. tout s'enchaine à une vitesse folle, t'as à peine le temps de capter ses pensées, qu'il passe à autre chose. prenant une grande inspiration avant de t'élancer à ton tour vers lui. le poussant sans ménagement contre un pan du mur. lasse de cette querelle qui n'avait au final aucun sens. vous vous aimez. n'étais-ce pas tout ce qui comptait au final ? tes lèvres retrouvent les siennes dans un élan passionnel. sentiments déchainés. émotions décuplées. tes iris, témoin de ce désir insatiable, plongés dans les siens. incapable de t’en défaire. incapable de t’en détourner. accrochée à lui. accrochée à son âme. les doigts qui viennent tirer sur son haut, les lèvres qui parcourent sa nuque, avant de reprendre leur place sur les siennes. — je te veux toi aussi holden. depuis le début. y'a que toi. toi. toi. personne d'autre. juste toi. reste avec moi... t'en va pas... supplices qui s'échappent difficilement de tes lèvres, ne laissant aucun répit à sa bouche, à son corps. trop longtemps que t'attendais de le retrouver de cette façon.

with @Jade Beauregard 18.02.2022 tw : violence, sexe J’voulais pas d’Ambre dans notre vie, dans la tienne surtout. J’savais qu’elle avait ruiné pas mal de tes relations et j’avais pas envie qu’elle fasse la même avec nous. Mais c’était surtout à toi de t’assurer qu’elle ne recommencerait plus. Toi seule avait le pouvoir de l’éloigner de toi, de nous. « y’aura pas de rupture » que je lançais alors, répondant sans réfléchir à tes mots. On s’était promis de ne jamais s’abandonner, alors ouais, y’aura pas de rupture. Toi comme moi, on était voués à vivre ensemble pour le restant de nos jours. Même si ça signifiait des disputes aussi violence que celle qu’on avait en ce moment même. Ta chambre tombait en lambeaux, tout était détruit sur notre passage. Jusqu’à finalement ce moment où je reviens vers toi, nos deux corps l’un contre l’autre. Nos lèvres proches et pourtant si loin. Mais je m’éloignais une nouvelle fois de toi, incapable de vraiment supporter tout ce qui se passait. Le cœur déchiré par cette incompréhension, le corps qui se déchaine alors que ma seule mission était de le contenir. Et alors que j’étais dos à toi, tu me poussais vers le mur, me retournant pour que nos lèvres se lient sans ménagement. Passion communiqué sans grande difficulté, je finis par te repousser, essoufflé par ce qui se passait entre nous. Regard maintenu sur toi, je ne lâchais pas le tien qui me soutenait aussi fort. « juste toi et moi, tout le temps » que je réussis à dire avant de revenir vers toi, attrapant ton visage entre mes mains pour t’embrasser de la même façon que toi, quelques instants avant. Nos deux corps tombent sur le lit avec l’élan pris et les gestes étaient bien vite précipités. Je me redresse pour retirer ce que je portais en haut, me retrouvant torse nu au dessus de toi, avant de reprendre les baisers. Tout était dans l’approximation, la hâte et la précipitation. C’était pas tendre, c’était pas beau. C’était primaire, bestial. C’était passionnel avant tout, parce que mon amour pour toi ne faisait que me consumer depuis le jour un.