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Contre toute attente la soirée n’a pas été des plus désagréable. De tous les scénarios mis en place pour pimenter cette nuit, je ne me trouve pas désolée, d’être tombée sur l’un des plus calme, j’en ai même d’ailleurs apprécié ce côté. Cependant j’éprouve un soulagement à me retrouver à nouveau dans le salon de la maison. Je dépose par automatisme mes affaires dans l’entrée, sautille quasiment afin de retirer mes escarpins, et de les ranger, j’en prends même le soin. Etant donné que je ne vis plus seule et répondant aux besoins traduit dans la carte reçue ce matin. Trop désordonnée au goût de l’homme de loi. J’en rigole, malgré moi.
Après quelques secondes, je ne remarque aucun de des deux chiens ne vient à mon encontre, alors je devine qu’ils sont dehors, pelotonnés dans leurs niches respectives, à leur place attitrée, victimes du caractère moins laxiste que le mien de mon nouveau colocataire. Et je laisse mes pas me guider jusqu’au frigidaire, de ce dernier j’en extrais une bouteille de vin blanc, et la pose sur le plan de travail, un verre lui aussi est retiré. Et quand je commence à verser le liquide à la lisière du doré dans ce dernier, j’entends le bruit significatif de la porte d’entrée… De fait, je vais récupérer de quoi lui en servir un aussi, passablement guidée par la fatigue, par la signification de cette soirée, ou bien parce que dans ces roses reçues, celles que j’aurais pu désirer, je ne les ai pas eues. J’attrape mon verre, m’avance assez pour arriver à croiser son regard, sur le côté de son visage, des restes de peintures, épars. « Vous buvez ? » Ou bien est-ce que pour ce faire, il est trop guindé, monsieur parfait.
Après quelques secondes, je ne remarque aucun de des deux chiens ne vient à mon encontre, alors je devine qu’ils sont dehors, pelotonnés dans leurs niches respectives, à leur place attitrée, victimes du caractère moins laxiste que le mien de mon nouveau colocataire. Et je laisse mes pas me guider jusqu’au frigidaire, de ce dernier j’en extrais une bouteille de vin blanc, et la pose sur le plan de travail, un verre lui aussi est retiré. Et quand je commence à verser le liquide à la lisière du doré dans ce dernier, j’entends le bruit significatif de la porte d’entrée… De fait, je vais récupérer de quoi lui en servir un aussi, passablement guidée par la fatigue, par la signification de cette soirée, ou bien parce que dans ces roses reçues, celles que j’aurais pu désirer, je ne les ai pas eues. J’attrape mon verre, m’avance assez pour arriver à croiser son regard, sur le côté de son visage, des restes de peintures, épars. « Vous buvez ? » Ou bien est-ce que pour ce faire, il est trop guindé, monsieur parfait.
HARLEY-
hj ; Je t'ai épargné le Foshikawa pour l'instant :devilish:
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