D
on't say
Goodnight
Goodnight
Voilà, l’effet de surprise est passé et pour le coup elle en claque une question sans cacher son étonnement, le vendeur sourcillant face sa réaction également. « Excuse-moi ?! » D’une moue approbative le sino fait signe à l’employé que tout est arrangé tout en prenant Haiwee à part, sa paume posée sur sa hanche pour l’inciter à se détourner du vendeur qui s’impatiente. Sous le couvert d’un timbre plus doux il tente de lui faire comprendre, oscillant du regard entre elle et celui qui les attend nerveusement. « Ne te braques pas. » Elle n’a aucune raison de lui en vouloir même s’il n’a pas été totalement franc avec elle depuis le début de cette virée, ne s’attendant certainement pas à être la vedette de cette vitrine le temps de quelques heures avec lui sous une couette à faire figuration pour une liasse de billets. « Je veux juste t’aider » à sa manière mais elle n’aurait jamais accepté s’il avait d’emblée abordé ce sujet. Alors son timbre se montre plus enjoué lorsqu’il insiste sur un certain point qu’il ne faut pas négliger: « Puis t’as accepté d’essayer un lit » et jouer sur les mots n’a jamais été interdit.
Ses mains mises en évidence il mime l’impuissance face à cette idée avant de dévier d’un quart de tour afin d’ajuster son pas en direction de l’arrière-boutique où ils sont attendus de pied ferme par l’employé. Il n’y a rien, à ses yeux qui justifie de s’offusquer, pas après s’être montré dénudé tant de fois devant des objectifs et des regards envieux, sous la critique de langue et plumes acérées. Son apparence, il a appris depuis bien longtemps à en user dans ces magazines pour lesquels une grande majorité sont prêtes à payer. Et pour avoir vu l’amérindienne dans son plus simple apparat, il sait pertinemment qu’elle n’a rien à cacher, que ses courbes sont faites pour être montrées. Alors après quelques pas il s’accorde un arrêt pour inciter cette dernière à le rejoindre et se dévêtir dans le local qui leur est prêté à cet effet. Il est le premier à y pénétrer, détaille le peu d’ameublement qui y réside pour y déposer sa veste en attendant qu’elle en fasse de même dans cet aparté.
Ses mains mises en évidence il mime l’impuissance face à cette idée avant de dévier d’un quart de tour afin d’ajuster son pas en direction de l’arrière-boutique où ils sont attendus de pied ferme par l’employé. Il n’y a rien, à ses yeux qui justifie de s’offusquer, pas après s’être montré dénudé tant de fois devant des objectifs et des regards envieux, sous la critique de langue et plumes acérées. Son apparence, il a appris depuis bien longtemps à en user dans ces magazines pour lesquels une grande majorité sont prêtes à payer. Et pour avoir vu l’amérindienne dans son plus simple apparat, il sait pertinemment qu’elle n’a rien à cacher, que ses courbes sont faites pour être montrées. Alors après quelques pas il s’accorde un arrêt pour inciter cette dernière à le rejoindre et se dévêtir dans le local qui leur est prêté à cet effet. Il est le premier à y pénétrer, détaille le peu d’ameublement qui y réside pour y déposer sa veste en attendant qu’elle en fasse de même dans cet aparté.
MADE BY @ICE AND FIRE.
(Sheng Lao Xian)
Shut the door, Dim the lights. Your body's warm And it's so cold outside. Take off your clothes, Close your eyes ━ ━ ━
We'll be in hell tomorrow. But, we are...
heavenbound tonight ∇