Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHold my hand and don't fall - Daely [[TW]]


Hold my hand and don't fall - Daely [[TW]]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle est folle. Elle est vraiment folle mais elle s'en fiche. Avec lui, elle veut vivre sa vie à fond, ne jamais avoir de regret, lui donner tout ce qu'elle possède juste pour lui donner le plaisir qu'il n'arrive pas à avoir. Le voir heureux, nager dans le bonheur avec lui. C'est vrai qu'ils vivent une relation compliquée. Elle qui pensait ne pas avoir de confiance en elle, elle sait maintenant que Daewon a eu une vie pire que la sienne. Au fond, à côté, tout n'est que romance non ? Qu'est ce que ça peut faire qu'elle soit vexée qu'un garçon se moque d'elle parce que, à dix-huit ans, elle a voulu lui demander de sortir avec elle comme si elle en avait cinq ? Et voilà que ça fait cinq minutes qu'elle est dans l'entrée, à rougir comme une pucelle. Elle file poser les soupes dans la cuisine puis s'approche de la salle de bain, entendant l'eau coulée. Alors, c'est timidement qu'elle entre, sans un bruit, retirant ses vêtements un à un. Elle frissonne légèrement malgré la chaleur de la pièce. Puis, elle pousse mollement la porte de la douche et se glisse derrière Daewon, observant son dos avec attention. Puis, elle l'entoure de ses bras et se colle contre lui sans hésitation, posant sa joue contre sa peau en souriant doucement. « Coucou.... ».
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une fois les pieds dans la douche, la main sur le mur, le silence l'enveloppe telle une condamnation lorsqu'il en vient à la réalisation de ses derniers échanges avec Lily. Tendu, il tente de rompre avec ses pensées, avec ses doutes intrusifs... sentir l'eau chaude s'écraser contre son crâne et lui purifier la peau, lui incendier les moindres terminaisons nerveuses pour lui vider la tête, faire abstraction des craintes. Mais son myocarde bat si fort, lui éclate les parois de la cage thoracique, s'entête à le faire imploser, qu'il n'entend plus ni le silence, ni l'eau qui coule et s'échappe par le drain, ni même le craquement des tuiles ou le bruit des pas qui s'approchent mais plutôt les battements d'une terreur terriblement nerveuse au fond de son coeur.

Deux bras minuscules se fraient un chemin jusqu'à son ventre avant que les mains ne se lient, une silhouette se fond à son dos, de laquelle il sent s'y heurter les montagnes et les rivières, la douceur et la peur, la fraîcheur et la chaleur... La respiration coupée, les muscles se tordent dans son dos, la mâchoire se crispe, corps tout entier qui s'effraie de ce nouveau contact, des balbutiements de cette intimité... Lily... Elle l'a bel et bien rejoint. Bien sûr, qu'elle le ferait. Et les joues s'empourprent, bien qu'elle ne puisse guère y voir poindre la teinte rosée. Les doigts du garçons cueillent les mains liées, s'y glissent pour en caresser leur texture soyeuse, la retient contre lui malgré l'envie de fuir.

@Lily Appleby
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Quand est-ce que Daewon comprendra qu'elle peut soulever des montagnes pour lui ? Qu'elle pourrait faire tout ce qu'il veut ? Lily, elle adore voir son sourire, le voir heureux. Le voir s'exprimer et l'entendre lui parler. Rien n'a été simple et même si elle veut passer à la vitesse supérieure, elle ne veut pas le forcer. Aussi, il n'a qu'un mot à dire pour qu'elle s'éclipse et file se rhabiller. Ses bras se resserre un peu autour de sa taille. Il est bien plus grand qu'elle et il aime lui rappeler. Mais qu'est ce qu'elle aime être contre lui. Il est trop sage Daewon par moment. Elle s'en amuse encore à se dire qu'il pensait qu'elle était vierge, qu'elle n'avait jamais eu de garçon dans sa vie. Il est si mignon à la croire trop pure, trop sage. Et elle ne le trouve jamais ridicule. Les apparences sont trompeuses. Et ça le concerne aussi. Elle dépose un tendre baiser contre la peau de son dos, venant serrer ses mains dans les siennes. « Si tu ne veux pas que je sois là, dis le moi, je te laisse prendre ta douche tranquillement. » Mais au fond, elle espère qu'il ne la repoussera pas. Elle le veut. Rien que pour elle, pour toujours. Elle veut se lier à lui, s'offrir comme le plus beau des cadeaux. Elle l'aime, terriblement. Cruellement. Trop. Peut être que c'est une gamine un peu étouffante et qu'il est toujours trop poli pour lui dire. Et elle a peur. Peur de l'étouffer, de le perdre, qu'il se lasse d'elle. De sa joie beaucoup trop grande, de sa vitalité. Le fait que ce soit un petit pot de colle. Elle inspire doucement et lève les yeux vers lui, observant ses cheveux collés contre son crâne. Puis elle s'écarte pour le faire pivoter face à elle et plonge ses opales dans les siennes avant de se hisser sur la pointe des pieds et l'embrasser tendrement, avec tout l'amour qu'elle lui porte. Et elle l'aime Lily. Elle l'aime tellement pour ce qu'il est réellement et pas ce qu'il est en apparence. Il est tellement plus que ce qu'il pense.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il s'accroche, la retient, se fraie un chemin jusqu'à ses doigts pour que leur caresse le rassure, qu'ils calment la tempête qui prenait naissance dans ses tripes, grondait, se faisait menaçante, terrifiante. Tsunami de son coeur et de sa raison. Les raisons qui lui sèment incessamment de prendre ses jambes à son cou sont aussi celles qui lui intiment de rester. Un éclair de lucidité traverse son regard lorsqu'il voit se dessiner furtivement, dans les yeux de la princesse, le reflet de l'homme qu'il aimerait tant être, mais dont il n'avait aucun indice à savoir comment l'incarner. Le percevait-elle ainsi? Comme un homme, et pas comme un prince. Comme un être vulnérable, et pas comme l'infaillible roi des montagnes, à soutenir sur ses épaules le poids des astres. Il en vient à réaliser que lorsqu'il la fuit, c'est lui-même qu'il tente d'échapper. Leurs lippes se heurtent pour former un baiser, et si ses traits sont déformés par la douleur qu'il porte à bouts de bras, leur union se veut libératrice, comme un souffle sur sa peau venu chasser les responsabilités, pour ne faire de lui qu'un homme. Rien de grandiose. Juste Daewon, dans toute sa vulnérabilité.

Il sent s'écraser contre lui les monts et vallées, la poésie tendre de sa silhouette comme des louanges à l'Aphrodite. Il fuit la vue... de son corps, de sa beauté, de sa fragilité, de peur de se brûler la rétine ou de se condamner pétrifié, comme la punition fatale de la Méduse. Cueillir le bourgeon entre ses doigts serait risquer d'en flétrir les pétales, de ternir son éclat. Pouvait-il se risquer de la briser, de la perdre, elle qui occupait désormais une place centrale dans sa vie? Daewon, éternellement secoué par ses multiples combats intérieurs.

Et si, pour une fois, s'avouait-il vaincu? Qu'adviendrait-il de lui...?

Il s'abandonne finalement, la question lancée à l'air, en prière à l'univers, et pourtant demeurée sans réponse. Il était prêt à l'accepter, de prendre le risque, de ne pas pouvoir prévoir les moindres issues. ET pour la première fois, sans doute, se sent-il pleinement capable de profiter du baiser, de leur étreinte, de la tendresse de leur échange. Son bras se faufile à l'arrière, les doigts glissant contre la courbe de son dos, où s'entremêlent désormais les gouttelettes, Daewon l'entraînant avec lui sous la chute d'eau, les noyant dans l'intimité de cet amour naissant, pur, doux, tendre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Petite poupée, égérie de l'enfance qui reste imprimé dans ses traits et pourtant si adulte dans ses actions. Gamine qui observe, toujours le sourire aux lèvres. Et dévore la passion charnelle partagée avec celui qui a kidnappé son cœur. Elle aimait déjà tant les moments câlins, l'un dans les bras de l'autre. À ne pas se parler par moment, simplement profiter de la présence de l'autre. Et Daewon, qui brille de sa présence, qu'elle ne cesse d'admirer. Chaque fois, petit chiot qui le cherche des qu'il quitte son champs de vision. Et qui trottine jusqu'à lui pour se coller contre son corps et ne plus le lâcher. Et chaque fois, ce qu'elle cherche chez lui, c'est son sourire. Chaque fois, elle fait tout pour le rendre heureux et ne plus avoir l'impression qu'il est brisé, bridé comme un esclave de sa propre famille. Elle s'imagine en Wonder Woman, capable de briser ses chaînes, de le libérer et de l'aider. Et de le garder rien que pour elle, près d'elle. À jamais. Ses petits bras encerclent les épaules du jeune homme. Ses doigts glissent contre sa peau alors qu'elle se perd dans un baiser passionné. Gamine qui n'a connu que l'échange charnel de deux adolescents, propulsée dans le monde adulte entre les doigts expert du garçon. Elle est maladroite, hésitante, le laisse diriger les gestes. Elle se laisse guider, se retrouve sous le jet de la douche. Ses lèvres s'animent contre celles de Daewon, les dévorant, refusant de les lâcher. Et elle presse son corps si menu contre la peau de ce garçon qu'elle n'espérait plus jamais avoir dans sa vie. Tant de complications qui son désormais loin d'eux, loin de cet amour qui s'échange. Et elle aime sa douceur, sa tendresse, se sentir la pulpe de ses doigts naviguer sur sa peau. Elle voudrait qu'il n'arrête jamais. « On reste sous la douche ? » Qu'elle demande innocemment, ne sachant pas ce qu'il se fait. Elle, gamine encore coincée dans la brève relation adolescente échangée en pleine après-midi, loin du regard et des oreilles des parents.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Déclic. Celui, libérateur, qui fait basculer l'univers pour le laisser s'imprégner des souvenirs de leur histoire à venir. Tant d'éléments l'empêchaient de capturer l'oiseau au vol, de saisir l'opportunité des lendemains, de s'abandonner aux douces contraintes du passé, présent, futur. Au moment où les barrières s'effondrent - enfin -, la rationalité est sacrifiée, laissée loin derrière, libérant le prince déchu d'un poids amer, lourd, pénible à supporter. À présent, Daewon lit sur les lèvres de Lily, sent sous la pulpe de ses doigts, se dessiner le chemin salvateur, celui de l'amour et des passions fiévreuses. Le déclic est comme une révélation, celle qui prend la forme d'une silhouette d'un mètre soixante, où sourires se perdent en promesses et caresses s'égarent en tendresse. Les balbutiements d'une relation, de leurs milliers d'étreintes à venir. À sa question, ses yeux noisette s'ouvrent pour la découvrir sous un oeil nouveau, les cils battent avec frénésie pour chasser les gouttelettes qui s'écrasent en torrent sur son front. Comme toute réponse, son bras part à la chasse aveugle du pommeau, qu'il referme de peine et de misère, l'eau s'arrêtant subitement, les plongeant dans un silence nouveau ponctué de leurs seules respirations. Ses doigts s'arrêtent sur le visage de poupée, en caressent les diamants venus s'échouer sur ses joues, et chasse les mèches venues obstruer la vue de la princesse en soulevant son visage pour l'y déposer un énième baiser. On va dans ma chambre? qu'il s'enquiert d'une voix rauque, brisant le silence. Sans réellement attendre de réponse, Daewon enroule ses doigts entre ceux de Lily, pour l'entraîner hors de la douche avec lui, n'osant faire dévier son regard entre leurs corps, bien trop conscient, mais surtout complexé pour n'oser lire dans les yeux de la princesse le dégoût ou les possibles réticences. L'intimité l'intimidait, le terrifiait, mais il était prêt à s'y abandonner au creux de ses bras. Je veux bien faire les choses... L'eau ruisselle sur leurs corps nus, mais le froid qui les rattrape est bien le dernier de ses soucis, tant il brûle d'envie pour elle.

@Lily Appleby :heaart:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce ne sont plus des enfants. Ce ne seront plus jamais des enfants. Les corps qui se caressent, se réchauffent. La découverte de l'autre qui éveille des frissons de plaisir et de bonheur, animant encore plus l'amour qu'elle lui porte. Elle aime Lily. Trop parfois, l'impression de l'étouffer et d'être beaucoup trop avec. Oui, juste beaucoup trop. Excessive dans toutes ses réactions. Sa jalousie, sa peur qu'il la quitte et l'abandonne. Pourtant, Daewon n'est rien qu'un gamin formaté par des parents incapable de l'aimer comme il est. Et il est parfait même avec ses défauts, sa maladresse et sa difficulté à ne pas bien faire les choses. Parfois trop parfaitement pour l'enfant qu'il berce dans ses bras. Les opales scintillantes observent l'élu de son cœur, le dévorant du regard. Comme si, chaque fois, elle désirait imprimer ses traits dans son esprit pour ne jamais les oublier. Et elle s'arrête sur ses lèvres. Deux bonbons sucrés et toujours d'une couleur attirante. Si rosées, si douces et délicates. Et Lily elle ne peut s'empêcher de les dévorer, de les aimer passionnément. Et la gosse, elle suit le brun sans rien dire. Sa main dans la sienne, elle suit le jeune homme sans rien dire, docile. Pantin entre les doigts fins du brun qui l’envoûte. La demoiselle observe son dos musclé, l'envie de se coller contre sa peau qui devient de plus en plus grandissante. Elle n'aime pas quand elle n'est pas contre lui. Ses bras qui lui donnent un sentiment de sécurité. La demoiselle observe le grand lit puis le brun. Ils ont froid, encore mouillés de la douche. Alors, elle n'attend pas et l’entraîne sous les draps, là où elle compte bien l'aimer encore plus fort qu'elle ne l'aime déjà. Et ce sont ses lèvres qui viennent chercher celles du coréen, l'embrassant encore et encore. Ses mains caressent tendrement les bras de son amoureux. « C'est déjà parfait tu sais... ? » Comment ça ne peut pas l'être quand elle sait qu'elle est aimée de cet homme.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Sous les draps, les couvertures recouvrent leurs silhouettes, épousant leurs corps mouillés, enlacés, comme deux koalas accrochés l'un à l'autre. À son plus grand désespoir, Daewon est tout sauf spontané, ses moindres faits et gestes étant généralement le résultat d'une réflexion approfondie ou d'un temps d'arrêt révélateur. L'absence d'improvisation, les pénibles moments d'introspection et les réponses évasives... le comportement digne d'un politicien ou d'un diplomate, à l'image de l'éducation bien carrée de laquelle il était passé de gosse à adulte, de garçon à homme. L'homme dessiné, forgé, modelé selon les désirs de son père, en fonction de ses attentes, le pantin mal-aimé qui ne servait qu'à radoucir l'image déjà ternie de la famille Cho. Son éducation était source de fierté et d'insécurité, le gamin partagé, mitigé, déchiré entre la rationalité et la passion, le désir d'exister, de vivre, d'être bien plus que l'ombre de lui-même.

S'il ne lui a guère fallu de temps pour apprendre à l'aimer elle, il lui en faut pour apprivoiser cette intimité nouvelle. On dit que les images valent mille mots, mais les baisers et caresses qu'ils s'échangeaient donnaient vie aux plus belles histoires qu'ils écriraient ensemble. Aujourd'hui, demain, après-demain, dans cent ans, peut-être. N'était-ce une illusion de passage? Lily était-elle la muse d'un bonheur éphémère au détour de ses cauchemars devenus rêves? Lui glisserait-elle entre les doigts lorsqu'il effleurerait le bourgeon de leur amour?

Timidement, les jambes du garçon viennent s'enrouler autour de celles de Lily, les doigts se réfugiant dans le creux de ses reins, découvrant réellement pour la première fois la douceur de soie de sa peau porcelaine. Il peine à quitter son visage du regard, guettant les moindres réactions, prêt à s'esquiver maladroitement au moindre signe d'amertume ou d'agacement, comme s'il s'attendait d'emblée à la décevoir, alors qu'il s'était pourtant déjà adonné à ces pas de danse auparavant. Mais avec elle, tout semblait différent. Plus doux, et à la fois plus franc. Et surtout, mille fois plus terrifiant, car mille fois plus vrai, plus beau. J'ai... j'ai besoin que tu me guides. que tu me dises ce que tu aimes.. que tu me fasses signe d'arrêter si ça ne te plaît pas, si je m'y prends mal.. Ses doigts remontent, tremblants, glissant sur la peau, sur le corps à la fois mouillé et brûlant, s'arrêtant dans son dos, la pressant contre lui pour conserver la tension et la chaleur de leur étreinte. Il ne savait pas par où commencer.. Tant de pensées parasite infectant son esprit déjà pourtant désordonné. Tant de pensées pour lui mettre un frein, faire grimper la nervosité venait compresser son coeur, d'un cran. Tant de pensées embrouillées pour l'empêcher de prévoir le prochain geste, le prochain baiser, la prochaine étape.


@Lily Appleby
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)