say yes to new adventures (lays)

say yes to new adventures @Layla Boehringer  — comme promis, j'étais passé prendre Layla chez elle. elle me faisait un peu la gueule parce que j'étais arrivé avec quelques minutes de retard et cette fois-ci, j'y étais pour rien. c'est pas ma faute si un train avait décidé de passer sur les rails, créant un bouchon monstre au niveau de la circulation. Tu vas m'en vouloir pendant longtemps? Je suis pas sûr que tu tiendras cinq minutes. dis-je taquin, essayant de créer une atmosphère plus légère. j'observais la salle où on était, pas mal. j'y avais jamais pensé de venir ici en vrai.

say yes to new adventures @Emilio Calabrese  — nullement réputée pour ta patience. l'esprit maussade, peu bavarde, tes pas suivent ton meilleur ami jusqu'à l'emplacement du paintball. sa voix qui t'extirpe de tes pensées mornes. soupir renfrogné exhalé, tu viens te mettre face à lui, les bras croisés. — tu veux parier calabrese ? tu me connais je peux être mal lunée. sourire taquin qui fait enfin son apparition, consciente qu'il te serait difficile d'être distante avec lui. 

say yes to new adventures @Layla Boehringer  — je la connaissais par coeur lays et je pouvais être assurément sûr qu'elle me ferait pas la gueule longtemps. ma tête de con lui manquerait trop. Ça me va pour le parie. T'es prête à gager quoi boehringer? demandais-je en tirant la langue dans sa direction. je venais passer un bras autour de ses épaules et je l'obligeais à venir avec moi vers les vestiaires pour mettre l'habit qu'on devait obligatoirement avoir pour faire du paintball.

say yes to new adventures @Emilio Calabrese  — fin sourire qui finit par élargir tes lèvres. incapable de rester en froid avec lui. cet être qui t'irritait autant qu'il t'apaisait. cette âme témoin de tes horreurs qui ne t'a jamais laissé tomber. malgré ton passé. malgré ton caractère. — le perdant devient l'esclave de l'autre pendant une semaine. le bras passé derrière son dos, posant tendrement ta tête contre son épaule. — va falloir que tu te retournes, t'es plus autorisé à reluquer mon corps de déesse t'ajoutes, les pas qui vous amènent jusqu'au vestiaire. profitant de sa chaleur une dernière fois avant de t'en éloigner pour saisir les pans de ta combinaison.