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Alya Loue
feat. Katherine Langford
naissance
14/09/1996
nom(s) & prénom(s)
Loue Alya
nationalité(s)
Française
origine(s)
Perth, Western Australia, Australia. Ethnicity: English, possibly other
orientation sexuelle
Hétérosexuelle
statut amoureux
Seule avec elle-même
statut social
A son compte, elle ne veut dépendre de personne.
emploi
Pianiste
14/09/1996
nom(s) & prénom(s)
Loue Alya
nationalité(s)
Française
origine(s)
Perth, Western Australia, Australia. Ethnicity: English, possibly other
orientation sexuelle
Hétérosexuelle
statut amoureux
Seule avec elle-même
statut social
A son compte, elle ne veut dépendre de personne.
emploi
Pianiste
FIRE STARTER
Elle a vécue enfermée dans une relation malsaine, remplie de perversion et de tromperies, elle se relève aujourd'hui, et s'est promis de ne plus oublier qui elle est, et ne veut plus dépendre de quelqu'un. Elle rêve aujourd'hui de liberté, et de vivre enfin, comme elle l'entend. Son objectif, trouver enfin la paix avec elle même. caractère du personnage
•Têtue•Attachante•Indépendante•Hypersensible•Créative•Tendance à l'autodestruction•Méfiante•Féministe•Douce•Syndrôme du sauveuranecdotes
•Née sans encombre. Une très belle enfance jusqu'à ses dix ans où le cauchemar commença pour elle. Un accident de voiture. Décès de ses parents. Un traumatisme crânien pour elle. Questionnement sur sa vie en permanence, pourquoi eux et pas elle?
Vécue chez sa meilleure amie. Un environnement serein.
Une mauvaise rencontre, qui pour elle, était la plus belle. Destruction totale de sa confiance en elle. Harcèlement moral, physique et viol de la part de ses meilleurs amis à lui. Un avortement. Une dépression. Une anorexie sévère. Un Hôpital psychiatrique. Un arrêt cardiaque. Une lueur d'espoir, tel est sa vie, un perpétuel combat.
timeline (facultatif)
mois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla icimois/année
et le blabla iciaesthetic (facultatif)
ici c'est ce que tu veux, des quotes, un moodboard, une playlist bref, feel free.& irl, ça donne quoi ?
pseudo Alya Loue
âge 25 ans
nationalité Française
forum connu par... Internet
ILH, j'en pense quoi ? ça à l'air chouette!
autres comptes ? No
avatar utilisé Katherine Langford
crédits imagesTumblr
nombre de mots par rp En fonction de l'inspi
type personnage inventé
code métier
café/bar/parc + pianiste :
- Code:
@"Alya Loue" » <i>(pianiste)</i>
code bottin
- Code:
<span class="pris">AVATAR</span> <span class="inv/scena/pl"></span> @"Alya Loue"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
l'histoire
C'est pas facile la vie quand même. On essaie de se raccrocher à la moindre petite chose pour essayer de tenir le coup, mais en vain, on sombre plus vite que le bonheur. Mais c'est promis, j'ai décidée de ne plus me laisser mourir. Je te raconte tout ça.
• Je suis née un beau matin ensoleillé, en plein mois de septembre. J'étais la fierté de mes parents, et mon Dieu qu'est-ce que ça faisait du bien de se sentir aimée. Je n'avais pas de soucis particulier. Je rayonnais de bonheur en leur présence et le piano également, était ma source de créativité et de mon épanouissement.
• À l'âge de dix ans, nous devions nous rendre chez ma meilleure amie, mais apparemment,
une voiture nous est rentrée dedans, de plein fouet. Je ne m'en souviens pas vraiment, si ce n'est la douleur généralisée dans tous mon corps. Ma vue était floue, quelques traces de sang, la chaleur du sol, des éclats de verre. BOUM. Je me réveillais, seule, dans ce lit d'hôpital. Mon âme se brisa quand le docteur prononça " Je suis désolé, nous n'avons pas pu réanimer vos parents."
• J'aimais ma meilleure amie plus que tout, la cohabitation était si facile, ses parents si gentils avec moi, mais j'étais vide intérieurement. Je m'étais renfermée dans les cours de piano afin de rentrer au conservatoire. Je réussissais à l'école sans trop de difficultés; merci à mes parents pour m'avoir transmis leurs génétiques d'apprendre facilement.
• Une rencontre inattendue débarqua dans ma vie. Je n'aurais malheureusement pas imaginé tout ce qui allait m'arriver. Il était si bon, si pur, si charismatique, et bien sûr que j'aurai dû me dire que c'était trop beau pour être vrai, mais vous savez, à dix-huit ans, on est tous un peu insouciant.
• J'étais son objet et pourtant je l'aimais. J'aurais fait n'importe quoi pour lui, même sauter d'un pont. Je croyais à toutes ses belles paroles du genre "tu es l'amour de ma vie", alors qu'au fond, je n'étais rien, juste son confort et sa sécurité. J'étais profondément humiliée quand celui-ci allait me tromper de tous les côtés, mais bien sur, il me disait que j'étais parano. Il a fait disparaitre ma réel moi, et j'ai commencé à me détester. Moi et mon physique car forcément, je me disais que je n'étais pas assez bien pour lui, que je n'étais rien. Il était si négatif, qu'il m'entrainait dans les profondeurs avec. À chaque crise de colère, il me frappait, mais bien sur, il continuait de me dire qu'il m'aimait, qu'il ne pouvait vivre sans moi, et encore une fois, j'étais tombée dans la dépendance affective. Je mourrais en son absence , je ne savais pas que c'était possible. Crise d'angoisse à répétition, larmes sur larmes, je tenais bon, je voulais que ça marche, mais lui non. Je me suis épuisée, j'étais bel et bien avec un pervers narcissique. Tout devait aller dans son sens, son malheur à lui était plus important, moi il ne fallait surtout pas en parler. Mais les moments étaient si fort, si intenses. Ses baisers me retenaient de partir. Je me sentais à la fois vivante, et à la fois morte, un sentiment bien étrange. J'ai réussi à m'enfuir, mais il est ancré en moi, marquée au fer rouge.
• C'était sans compter sur ses deux meilleurs amis. Décidément il s'étais tous bien trouvé. Mes images sont broyées par l'état de choc, mais je sais ce que j'ai prononcée. "Non!"
C'était aussi simple que ça, mais ils ne m'ont pas écouté. Leurs visages de prédateurs, leurs regards de satisfaction et de perversion. Une gifle pour me sonner un peu. Et je me retrouvais là, dans une ruelle, coincé par ses deux types qui me faisaient du mal. Je ne pouvais plus parler, ma conscience était juste en mode survie rien d'autre. J'étais salie. J'étais une proie, et aujourd'hui, je peux affirmer que je suis une victime après mainte rendez-vous chez le psy.
• Vous vous doutez bien des conséquences de tout ce que cela m'a apporté. Il fallait bien qu'une addiction se déclenche, sinon ce n'était pas drôle. Boulimie d'abord; compensé mon état dépressif par des crises compulsives. Puis se faire vomir encore et encore jusqu'à ne plus ressentir mon corps, jusqu'à tomber dans l'inconscience et sentir mon cœur battre à milles à l'heure, puis, ralentir dangereusement. L'anorexie en suivant. La nourriture me dégoutait. Prendre du poids était devenue ma hantise, je me sentais si laide, si affreuse que je ne sortais plus de mon petit studio. Je ne donnais plus de nouvelles à personne. J'avais mal, terriblement mal, alors j'ai faits deux tentatives de suicide, avec un arrêt cardiaque, mais réanimé par la suite. Mon ex revenait, et j'étais si faible que je retombais dans ses entrailles mais le choc fût tel, quand il m'a annoncé qu'il n'en voulait pas à ses meilleurs amis, c'était fini, je devais fuir. J'ai dû avorter, mon cœur saignait mais je ne pouvais avoir un enfant avec cet homme si instable, heureusement, il n'était pas au courant.
• J'ai décidé de me faire alterner, il fallait que je me soigne, je ne pouvais continuer à penser à mes parents, qui de là-haut devaient être si triste de me voir dans un tel état. Je me faisais peur, et je faisais peur aux autres. Un long chemin qui aura duré 2 ans.
• Et me voilà, ici, à Boston , en quête d'une meilleure reconstruction, même si ce n'est pas gagné d'avance. Me voilà devenue une personne froide, une personne méfiante, une personne mélancolique, mais qui a toujours un grand coeur sur la main, prête à toujours aider à ses dépens. Le piano m'a sauvé, et je continuerai ma passion pour cette fois, la transmettre au monde entier.
• Je suis née un beau matin ensoleillé, en plein mois de septembre. J'étais la fierté de mes parents, et mon Dieu qu'est-ce que ça faisait du bien de se sentir aimée. Je n'avais pas de soucis particulier. Je rayonnais de bonheur en leur présence et le piano également, était ma source de créativité et de mon épanouissement.
• À l'âge de dix ans, nous devions nous rendre chez ma meilleure amie, mais apparemment,
une voiture nous est rentrée dedans, de plein fouet. Je ne m'en souviens pas vraiment, si ce n'est la douleur généralisée dans tous mon corps. Ma vue était floue, quelques traces de sang, la chaleur du sol, des éclats de verre. BOUM. Je me réveillais, seule, dans ce lit d'hôpital. Mon âme se brisa quand le docteur prononça " Je suis désolé, nous n'avons pas pu réanimer vos parents."
• J'aimais ma meilleure amie plus que tout, la cohabitation était si facile, ses parents si gentils avec moi, mais j'étais vide intérieurement. Je m'étais renfermée dans les cours de piano afin de rentrer au conservatoire. Je réussissais à l'école sans trop de difficultés; merci à mes parents pour m'avoir transmis leurs génétiques d'apprendre facilement.
• Une rencontre inattendue débarqua dans ma vie. Je n'aurais malheureusement pas imaginé tout ce qui allait m'arriver. Il était si bon, si pur, si charismatique, et bien sûr que j'aurai dû me dire que c'était trop beau pour être vrai, mais vous savez, à dix-huit ans, on est tous un peu insouciant.
• J'étais son objet et pourtant je l'aimais. J'aurais fait n'importe quoi pour lui, même sauter d'un pont. Je croyais à toutes ses belles paroles du genre "tu es l'amour de ma vie", alors qu'au fond, je n'étais rien, juste son confort et sa sécurité. J'étais profondément humiliée quand celui-ci allait me tromper de tous les côtés, mais bien sur, il me disait que j'étais parano. Il a fait disparaitre ma réel moi, et j'ai commencé à me détester. Moi et mon physique car forcément, je me disais que je n'étais pas assez bien pour lui, que je n'étais rien. Il était si négatif, qu'il m'entrainait dans les profondeurs avec. À chaque crise de colère, il me frappait, mais bien sur, il continuait de me dire qu'il m'aimait, qu'il ne pouvait vivre sans moi, et encore une fois, j'étais tombée dans la dépendance affective. Je mourrais en son absence , je ne savais pas que c'était possible. Crise d'angoisse à répétition, larmes sur larmes, je tenais bon, je voulais que ça marche, mais lui non. Je me suis épuisée, j'étais bel et bien avec un pervers narcissique. Tout devait aller dans son sens, son malheur à lui était plus important, moi il ne fallait surtout pas en parler. Mais les moments étaient si fort, si intenses. Ses baisers me retenaient de partir. Je me sentais à la fois vivante, et à la fois morte, un sentiment bien étrange. J'ai réussi à m'enfuir, mais il est ancré en moi, marquée au fer rouge.
• C'était sans compter sur ses deux meilleurs amis. Décidément il s'étais tous bien trouvé. Mes images sont broyées par l'état de choc, mais je sais ce que j'ai prononcée. "Non!"
C'était aussi simple que ça, mais ils ne m'ont pas écouté. Leurs visages de prédateurs, leurs regards de satisfaction et de perversion. Une gifle pour me sonner un peu. Et je me retrouvais là, dans une ruelle, coincé par ses deux types qui me faisaient du mal. Je ne pouvais plus parler, ma conscience était juste en mode survie rien d'autre. J'étais salie. J'étais une proie, et aujourd'hui, je peux affirmer que je suis une victime après mainte rendez-vous chez le psy.
• Vous vous doutez bien des conséquences de tout ce que cela m'a apporté. Il fallait bien qu'une addiction se déclenche, sinon ce n'était pas drôle. Boulimie d'abord; compensé mon état dépressif par des crises compulsives. Puis se faire vomir encore et encore jusqu'à ne plus ressentir mon corps, jusqu'à tomber dans l'inconscience et sentir mon cœur battre à milles à l'heure, puis, ralentir dangereusement. L'anorexie en suivant. La nourriture me dégoutait. Prendre du poids était devenue ma hantise, je me sentais si laide, si affreuse que je ne sortais plus de mon petit studio. Je ne donnais plus de nouvelles à personne. J'avais mal, terriblement mal, alors j'ai faits deux tentatives de suicide, avec un arrêt cardiaque, mais réanimé par la suite. Mon ex revenait, et j'étais si faible que je retombais dans ses entrailles mais le choc fût tel, quand il m'a annoncé qu'il n'en voulait pas à ses meilleurs amis, c'était fini, je devais fuir. J'ai dû avorter, mon cœur saignait mais je ne pouvais avoir un enfant avec cet homme si instable, heureusement, il n'était pas au courant.
• J'ai décidé de me faire alterner, il fallait que je me soigne, je ne pouvais continuer à penser à mes parents, qui de là-haut devaient être si triste de me voir dans un tel état. Je me faisais peur, et je faisais peur aux autres. Un long chemin qui aura duré 2 ans.
• Et me voilà, ici, à Boston , en quête d'une meilleure reconstruction, même si ce n'est pas gagné d'avance. Me voilà devenue une personne froide, une personne méfiante, une personne mélancolique, mais qui a toujours un grand coeur sur la main, prête à toujours aider à ses dépens. Le piano m'a sauvé, et je continuerai ma passion pour cette fois, la transmettre au monde entier.
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