Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThe return of the bitch queens to Harvard | Agatlyne
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The return of the bitch queens to Harvard | Agatlyne

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C'est carrément n'importe quoi en ce moment sur Boston c'est juste impossible de circuler tellement il y a de la neige enocre une chance que la municipalité fait extrêmement bien son travail sinon, nous serions dans de beaux draps. Harvard a fait son boulot en nous donnant les cours à distance ce qui m'a permis de rester à la maison avec les enfants tout en suivant mes études ce qui pour moi a été l'une des idées les plus salvatrice parce qu'il faut l'avouer ce n'est pas toujours facile de lier les enfants, les études et le travail à mi-temps. Pour le moment, c'est beaucoup plus simple puisque j'ai l'aide d'Andrew qui me seconde plus qu'il ne le devrait en fait mais, sans son aide je sais que je serais dépassée. Oui, moi, Aymalyne Strauss j'avoue que parfois il m'arrive d'être dépassée. J'ai mis du temps à accepter d'avoué cette faiblesse malgré mon ego. Même si la Eliot n'est plus, j'en reste une malgré tout. Les choses ont tellement changé en quelques années mais, je suppose que ça fait parti de cette nouvelle air qui nous gagne depuis quelque temps, la nostalgie. La nostalgie gagne du terrain pour une raison que j'ignore alors que quelques années en arrière, à cette époque nous voulions juste avancer dans le temps pensant que notre vie serait meilleure mais, presser le temps n'arrange jamais rien tout comme la remonter du moins, si on le pouvait. Je crois qu'avec le temps, on a fini par ne plus être satisfait de ce qu'on a et je trouve ça vraiment triste parce qu'on ne prend plus le temps d'apprécier les choses qu'on a dans notre vie, on veut toujours plus ou l'inverse mais, lorsqu'on le perd on se rend compte que ce qu'on avait été ce qu'on voulait réellement et lorsqu'on en prend conscience il est parfois trop tard. J'en ai fait l'experience et c'est très dur de l'accepter mais, ce sont les aléas de la vie, il faut qu'on apprenne à vivre avec nos regrets même si ça nous fait mal. J'apprends jour après jour à accepter toutes mes erreurs et les choses sont ce qu'elles sont maintenant. J'avance à mon rythme et même si c'est  compliqué je me bats jour après jour pour donner aux enfants la vie qu'il mérite sans m'oublier pour autant d'où mon retour à Harvard. Bon, ce n'est plus comme avant, la guerre des maisons ne font plus ragent, plus de plans complètement dégenté, ces petites guerres qui rendaient les cours moins chiants. Bref, j'arrive en face du Starbucks quand j'aperçois au loin une blonde que je connais que trop bien. D'un pas décidé, je m'approche d'elle le sourire aux lèvres. Tu es sur mon territoire bitchies. J'éclate de rire en prononçant ses mots. Je connais assez Agathe pour savoir qu'elle ne le prendra pas mal bien au contraire et franchement ça fait plaisir de voir que certaines personnes arrivent encore à garder un certain sens de l'humour.

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J'étais en train de faire un facetime avec Philip qui me montrait nos filles.. own, mes amours. J'avais passé la semaine avec elles mais bon, elles me manquaient. Tellement belles, comme leur mère. Bon, c'vrai qu'elles avaient un peu d'Harrison dans les veines mais j'sais pas, je me voyais à travers elles. Après avoir admiré mes enfants pendant un long moment, j'entamais une vraie discussion avec Philip. Il voulait savoir un peu comment ça se passait les cours, mon retour, si j'étais contente, bref vraiment tout. Évidemment que j'étais contente et même si Phil m'avait sorti une phrase du genre tu retournes à harvard pour les fêtes étudiantes avoue. Oui bien sûr mais c'est secret ça okay? Personne est censé l'savoir. En vrai, j'avais juste envie d'être heureuse, pour de vrai genre. Et si pour ça, je devais changer mille fois d'avis sur des trucs, j'allais le faire. Déjà, j'avais fait des démarches pour consulter un psychologue. J'avais assisté à une seule séance et je m'étais cassée de la pièce, parce que je devais parler du point de départ; mon enfance. Autant dire que, non merci. Du moins, pas pour l'instant. Ptêtre un jour mais, pour l'instant, c'tait une porte que je voulais garder verrouillée. Être seule à seule avec mes secrets, mes maux, mon background. Je savais qu'il y avait des trucs liés ensemble mais j'préférais vivre dans le déni et pas savoir, c'tait mieux. Après un bon trente minutes, je faisais des bisous virtuellement à mes filles et je saluais mon meilleur ami, mettant fin à l'appel. Je rangeais mon téléphone dans la poche de mon manteau avant de prendre mon horaire de cours plié dans mon autre poche que je sortais pour analyser un peu tout ça. Tu es sur mon territoire bitchies. je haussais un sourcil, reconnaissant parfaitement la voix de mon ancienne ennemie -ancienne belle-soeur aussi, devenue une amie proche avec le temps, c'pas beau ça?- Je faisais mine d'observer autour de moi, avant de le regarder. « Non sans blague? Et ton trône il est où? À moins d'être vraiment myope et comme c'est pas l'cas.. j'le vois pas ton royaume. » disais-je, en employant encore et toujours, pour l'éternité et jusqu'à la fin des temps le sarcasme d'Agathe de Belgique-Schueller. Mes rires se joignaient aux siens, vous voyez l'évolution en ce moment? Y a 5 ans, ça aurait été exactement le même genre de phrase que j'aurais prononcé à la seule différence, c'est qu'au lieu de rire, je lui aurais renversé un yaourt sur la tête. 
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Je me souviens de ma rencontre avec Agathe, dès le début ça a été épique. Je pense qu'on se ressemblait trop pour bien d'entendre et puis, elle était Mather et moi Eliot ce qui avec mon éducation m'empêcher d'être amie avec elle. Il y a aussi le fait qu'on était trop jeune pour faire la part des choses mais, je dois avouer que la torturer c'était assez drôle. Je crois que le meilleur plan contre elle était réellement celui de la Laponie. On a fait très fort cette fois là avec Cole et même si Abé l'avait très mal pris c'était tout de même très satisfant. Quand j'y reprense, j'ai l'impression que la fin de ma relation avec son frère nous a rapproché ou c'est peut-être le fait que j'ai tourné le dos à la Team ? En vérité, je ne sais pas, je n'ai jamais vraiment pris le temps de lui demander mais, je pense que je vais très vite changer ça maintenant que j'y pense, j'ai besoin d'avoir cette réponse même si elle est anodine. Quand elle me répond, je ne peux m'empêcher de pouffer de rire. Elle est toujours aussi douée mais, certainement pas autant que moi. Au moment endroit où se cache ton intelligence. lançais-je avec un sourire plus malicieux que jamais. Qu'est-ce qu'on dit déjà ? Ah oui ! Échec et math. Je ne tiens plus et pars dans un fou rire. C'est tellement bon d'avoir une conversation aussi légère embourbée dans le second degré. Ça te dirais qu'on aille boire un thé ou un café ? J'ai vraiment besoin d'avoir une conversation avec quelqu'un qui ne me chante pas un classic de Disney. Attention, j'aime Shayleen et Jace mais, je n'en peux plus des dessins animés et surtout de La Reine des neiges et de la chanson Bruno. Je crois que si je l'entend encore une fois aujourd'hui, je vais faire une dépression. Bien sûr Andrew m'aide énormément mais, en tant que mère célibataire on a aussi besoin de parler et voir des adultes. C'est tellement lourd parfois à porter mais, j'aime mon rôle de mère et je ne l'échangerai pour rien au monde parce que le rôle de maman est pour moi le plus beau rôle du monde. Je faisais partie de ces mères qui croyaient que dès le moment où on devient mère on doit tout donner pour son enfant, faire tout les sacrifices inimaginable pour lui mais, au fil du temps, j'ai appris que pour être une bonne mère il fallait aussi que je prenne du temps pour moi, que je n'hésite pas à prendre soin de moi quelques heures par semaines sans que ça ne fasse de moi une mauvaise mère. J'ai mis du temps à le comprendre et mine de rien, je suis fière de la femme que je suis en train de devenir parce que je sais que l'ancienne Ayma n'aurait jamais eu ce culot, elle était trop hautaine, trop imbu d'elle-même pour faire ce genre de choix alors oui, je n'ai pas honte de le dire, je suis très fière de moi, de celle que je suis devenue et je ne laisserai plus jamais ni rien, ni personne m'en faire douter.

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