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Heure : 21h
Lieu : Sur la plage
Contexte : Le soleil vient de se coucher, les éliots prennent peu à peu leur marque ( du moins une infime partie), autant dire que les conditions de vie sont dures sans compter de l'inconfort des lieux. Dans un coin plutôt abriter, le feu crépite, il semblerait qu'il tienne toute la nuit. Cependant, Qui va faire à manger ? Que vont-il manger mis à part du riz ? Les tensions vont-elles commencer à apparaître et pour finir ou-vont-il dormir ? La panique ne fait plus autant rage peut être est-ce grâce au rhum que deux Eliots ont trouvés dans un coffre non loin du campement de fortune des naufragés
Participants :Les Eliots
(Invité)
Nous voilà sur cette île depuis peu de temps mais nos repères ne sont plus là, pas de réseau, j'ai presque plus de batterie, ma veste est sur le dos de Natalya, franchement je ne m'attendais pas à cette situation pour le moins surprenante mais c'était bel et bien le cas et je devais faire avec. J'étais assis prêt du feu, mes mains juste devant moi, je sentais me réchauffer malgré cet air frais, deux bleus avaient ramenés du rhums, on avaient quasiment rien à bouffer, c'était un cauchemar je crois, j'étais moi-même perdu, je voulais juste me réveiller et que tout ceci, ne soit qu'un vulgaire rêve mais j'avais fermé et ouvert les yeux tellement de fois depuis qu'on étaient là, que j'avais la certitude que ce cauchemar n'était autre que la réalité.
On n'était là, comme rescapés mais totalement paumé. Un groupe de jeune échoué sur cet endroit inconnu, dans des conditions assez précaire. Je ne savais pas trop quoi en penser ; si j'avais un peu froid, voir très froid et j'avais clairement de plus en plus envie de boxer quelqu'un mais on avait au moins l'avantage d’être entre nous et personnellement, je ne me connaissais pas trop d’ennemi parmi les Eliott, en même temps, j'étais assez fidèle à ma maison voir trop donc c'était dur de me détester - Oui, j'avoue, je plaisante ! -. Je m'étais assise autour du feu, prêt d'Aleksei. J'étais une bonne amie à lui tout comme Elysia l'était, ça ne pouvait que confirmer nos liens vu les similitudes entre elle et moi. Je regardais dans le flou comme profitant de notre perdition pour faire un point sur ma vie, mais je me sentais un peu trop perdu ici tout en me sentant apaisée loin des petites tensions du quotidien havardien. Je regardais Aleksei, qui tentait lui aussi de se réchauffer ; Bordel ! Il fait froid ... Je n'avais évidemment pas pu m’empêcher de sortir un bordel ou un merde, à défaut de pouvoir prendre mes gants de boxe pour évacuer mon énervement d’être pommée ici. Bien sur, ma petite intervention n'était pas sans raison, j'attendais qu'une chose qu'il m'autorise à me coller contre lui mais j'étais trop pudique, trop gênée pour lui dire clairement que je mourrais de froid et que j'avais besoin, en plus, du feu, de me poser contre quelqu'un. Oui, sportive, mais frêle et pas couverte du tout, que voulez-vous ?