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hands over hips, fingers over lips (caerian)

Adrian Fitzgerald

Âge : 26
Lieu de naissance : los angeles.
Quartier d'habitation / Colocation : //
Situation sentimentale : célibataire invétéré avec réputation de don juan.
Études / Métier : étudiant en informatique.
Date d'inscription : 25/11/2021
Pseudo & Pronom(s) IRL : GOLD ANTHEM (he/they).
Icon : too hot to handle.
Faceclaim : jacob rott.
Crédits : GOLD ANTHEM (avatar), nehemis (signature), gold anthem (icon gif), salvìa (profil).
Multicomptes : Eben Wolford (Moritz Hau) & Daemin Weaver (Wi Ha Jun).
Description (1) :
description en cours.

RPS en cours :
hands over hips, fingers over lips (caerian) PQ621byx_o

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dudley 2021-2022:

adriels:


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Warnings : (mentionnés) ;; manipulation émotionnelle, violences physiques et psychologiques.

(joués) ;; deal de drogues, consommation de drogues, relations toxiques et sexualité exacerbée.

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Adrian Fitzgerald
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t172874-adrian-fitzgerald-jacob-rott#8464959Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t132996-repertoire-de-eben-adrian#5331316
@Caesar Falls La tendresse de nos messages a quelque chose de déroutant presque, et je ne saurais comment expliquer ce qu'il y a entre nous. Nous dépassons le cadre de la simple amitié, de la simple bestialité entre deux corps qui se cherchent et se trouvent. Et après les récents évènements, ta perdition approchant, j'interviens comme bouée de survie. Ce soir, nos retrouvailles seront douces, je le sais, je le sens. C'est sans compter sur mon incapacité à poser les choses comme il faut malgré la facilité déconcertante que j'ai à arriver à justement poser des mots sur mes ressentis avec toi. Tout n'est pas limpide mais nous brisons sans cesse des murs que nous ignorions aussi fragiles. Je sonne, tu m'ouvres, et je souris bêtement, prêt à rigoler. ❝ Salut, salut. ❞ Sans me faire prier, j'entre et fonce rapidement jusqu'à la cuisine où tu es supposé t'être échauffé pour le diner. ❝ Alors, alors, t'as prévu quoi du coup ? Un bon plat ou une intoxication alimentaire ? ❞ Impossible pour moi de ne pas te chambrer mais je cherche à faire monter la sauce sans succomber directement à l'incube en moi.
(Adrian Fitzgerald)


Now listen to me baby before I love and leave you, they call me heart breaker, i don't wanna deceive you. If you fall for me, i'm not easy to please, i might tear you apart. Told you from the start, i'm only gonna  
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@Adrian Goldberg Les doigts qui agrippent les instruments de la batterie, les odeurs à foison, le basilic lancé dans la sauce tomate et là, dans le vacarme cuisinier, la porte qui prévient de ton arrivée. Le cœur bondit, les lèvres se pincent, un peu stressé mais presque heureux au milieu du bordel de ma vie. Pourquoi le myocarde ce serre ? Pourquoi quand c’est toi ? Pourquoi tout autour se calme en même temps que notre bulle s’active ? Alors je me presse, pressé surtout de recréer cette bulle, j’ouvre la porte pour tomber nez à nez à ton sourire charmeur malgré toi. J’tente de te ralentir dans ta lancée, bras qui vient s’interposer contre ton ventre sans pouvoir réellement stopper ta course jusqu’à la cuisine. “Normalement, c’est bon ! Tu veux goûter ou tu veux te faire la surprise du goût ?” J’suis pas un grand gourmet, pas un grand chef alors tu sais, spaghetti bolognaise maison, ça sera déjà pas mal pas vrai ? J’veux juste te voir te tâcher, enlever ton t-shirt pour pas aggraver la situation et je bénis encore un peu qu’Aaron soit pas là. Salt qui te saute dessus. “Salt ! Viens là, arrête d’embêter Adri !” Drôle de toutou qui te regarde avec des yeux pleins d’envie. Tel maître, tel chien.
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@Caesar Falls ❝ "Normalement" ? ❞ répète-je en rigolant comme un petit con. Tu sais que je vais te charier, que je ne louperai pas une seconde pour te rappeler que je suis un clown, et tu sais que tu en oublieras les cicatrices sur ton âme, le temps d'une soirée ou peut-être plus. Et celles sur ton corps, si jamais elles se raniment, pourront toujours devenir indolores sous la puissance de mes baisers. ❝ Nah, allez, j'te fais confiance, et j'ai bien avoir la surprise. ❞ C'est en me retournant vers toi, petit sourire aux lèvres, que je constate à quel point tu es à croquer en mode cuistot. J'ai à peine le temps de dire autre chose que le chien fonce sur moi, gratte mes cuisses et me regarde avec cette bouille d'amour. Les rires aux éclats écrasent le silence avec violence tandis que tu tentes de ramener la bête à la raison. Je tapote sa tête en répondant avec une mine aussi mignonne. ❝ T'en fais pas, va, c'est un bon toutou. ❞ Il tourne sur lui, fait des ronds, et me laisse tranquille le temps que je m'avance vers toi. Sensuellement, je passe ma langue sur mes lèvres en réduisant notre distance. Impossible de cacher le désir qui m'habite et honnêtement, je déteste le faire. J'aime lire dans les yeux de l'autre cette sensation de gazelle face à un félin qui s'avance vers elle. ❝ C'est prêt dans combien d'temps ? Pour savoir les minutes à attendre. ❞ Du bout de mes doigts, j'effleure le tissu qui te recouvre, mes yeux lubriques qui te détaillent. ❝ Même si j'sais qu'on a l'temps pour un câlin. ❞ Ma veste glisse de mes épaules pour atterrir dans une main, la lançant au loin, tandis que je reprends contact avec ton haut avant de saisir ton menton pour relever ton regard vers le mien. Et, au moment où ces derniers se croisent, mon torse se plaque contre le tien, ma main se libère pour immédiatement s'emparer de ta hanche. Un mouvement opposé à mon visage qui se tend vers le tien, mes lèvres frôlant ta joue au passage avant de s'écraser dans ton cou sur lequel je dépose un doux et lent baiser. Puis deux, puis trois, puis quatre. Des baisers si délicats mais cachant une passion si prenante, juste de quoi te faire tourner la tête. ❝ Détendu..? ❞ demande-je avec insolence, d'une faible voix grave en relevant ma bouche pour qu'elle murmure à ton oreille.
(Adrian Fitzgerald)


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@Adrian Goldberg Tu vois Adrian, c'est ça que j'aime chez toi. Ta simple complexité, ta passionnante normalité. Tu caches pas qui t'es avec moi tu t'en fous des regards à mon instar, t'es entier, vivant, présent. Pas de futilité, pas de désirs cachés, t'es toujours honnête et putain ce que j'aime ça. J'aime voir dans tes yeux le désir, j'aime t'entendre parler, rire quand Salt s'approche trop prêt. Y a le myocarde qui se contracte quand tu regardes plus le canidé que moi, pointe de jalousie que je ne saurais admettre. J'ai envie d'être ta proie et je me laisse volontiers attraper entre tes griffes. Joues qui rosissent sous le contact de tes mains contre ma peau, contre mon haut, fin tissu qui me paraît superficiel. Peut-être que c'est que la chaleur de cette vapeur d'eau qui me réchauffe le visage à moins que ce ne soit ce sourire béat que je fais quand je plonge mes iris dans les tiens. L'envie grandissante d'attraper tes pulpeuses, te les voler d'un tas de baisers, trop nombreux pour être ne serait-ce que calculé. Désir ardent, charnel qui se dégage de mes pores, j'cherche ton corps du bout des doigts jusqu'à ce que je sente ton torse s'écraser contre le mien. Tu le sens Adrian ? Tu le sens le palpitant à l'agonie, trop rapide pour s'apaiser, trop gonflé pour se serrer ? J'écoute à moitié ta question alors que dans mes yeux, y a des images de nous, y a ces envies qui se matérialisent dans des milliers de pixels. Et tes lippes qui s'entrechoquent à ma peau, à mon cou, doux vampire de ma passion. Je tends la jugulaire pour me laisser en proie à tes envies, j'tente d'éteindre la plaque du doigt mais j'me rends compte que j'veux que toi. Au bûcher les diners, moi j'veux ce Goldberg. Les paupières qui se ferment sous ce plaisir si délicat, j'vois plus que toi, là, maintenant. La frustration à quelques secondes d'intervalle quand tes lèvres s'éloigne pour me murmurer un seul mot. Puis les esprits reviennent à leur place. "Je ... Je crois que c'est prêt le dîner..." J'y arrive pas. J'arrive pas à avouer que je veux plus. Que je veux que ces baisers durent une éternité, j'arrive pas à avouer que j'en veux plus, plus longtemps, tous les jours. L'appétit trop important, je l'avoue ça. J'avoue que je suis gourmand mais cette envie avec toi, elle est différente. T'as cette délicatesse qui m'excite, t'as cette violence qui me prend au corps, t'as tout Adrian. T'as mon âme si seulement tu le demandais. Alors pourquoi j'arrête pas de me dire que je mérite pas ça ? Le visage qui s'approche du tien pour te voler un baiser, corps qui se détache pour s'éloigner, prendre ces assiette d'un blanc nacré et y déposer quelques pâtes et cette sauce mijotée qui agrippe les narines. L'esprit est bordélique, y a tout qui se mélange mais j'y vois seulement le fait que je te mérite pas. J'mérite pas le bonheur parce que je vais te briser Adrian. Un jour, j'serais parti et tu m'en voudras, tu me maudiras. Et si seulement tu savais comme j'ai envie de toi et comme ça m'effraie en même temps ... Alors j'me complais dans le secret, j'm'y tapis doucement. "A table alors ?" que je lance, les deux assiettes dans les mains.
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@Caesar Falls Il y a cette fragilité dans ta façon de réagir, dans tes soupirs de plaisir, dans cette réactivité cardiaque qui fait de ton torse un terrain miné bipant à chaque micro seconde. Tu as cette maladresse enivrante, et ce lâché-prise quand ma bouche se perd sur ta peau. Un moment doux et intense comme à l'accoutumé en ta présence, se soldant par un douloureux retour à la réalité. On s'écarte même si on s'appelle en secret. Foutu diner, ce n'est pas ce que je veux dévorer. Je prends mon mal en patience et me fais calme, m'asseyant à table alors que tu nous sers ce met. ❝ Bon appétit. ❞ Mon regard se fait vitreux, et bien que je m'entame le plat mon esprit divague entièrement sur toi. Je pense déjà à la suite, à comment je veux balayer tout ce qu'il y a sur la table pour t'y jeter dessus et me jeter sur toi ensuite. Il n'y a rien qui n'aille dans cette peinture, des émotions fortes et violentes qui peuvent nous tuer à chaque instant. Et pourtant, quand je te regarde, je retombe sur terre et me souviens que je sais proffer mieux que quiconque de l'instant présent. Et en ta présence, ce dernier est plus que satisfaisant. Quelques bonnes bouchées en silence presque, et je termine mon plat. J'ai envie de demander le dessert mais il se dresse déjà devant moi. ❝ C'était bon... Je suis vivant, tu vois ? T'es bon cuisinier. ❞ Air sérieux, yeux rieurs, de quoi te charier en toute bienveillance. Puis les rires s'échappent en ricanements enfantins, et je me lève de table comme l'enfant roi excusé. ❝ On s'mate un film ? ❞ demande-je alors qu'on débarrasse. La question ne se pose pas mais c'est par pure formalité. Devant l'évier, je te vois y déposer les vaisselle et je ne peux résister à me rapprocher, me collant dans ton dos, passant mes bras sous les tiens, mon menton sur ton épaule. ❝ Laisse, ça peut attendre, pas comme toi ❞ murmure-je avant de baiser ta tempe, reculer pour te faire tourner sur toi-même afin que nous nous fassions face. Il y a ce jeu d'enfants qui nous amuse et nous rend bête, celui qui me pousse à te saisir par les hanches et te plaquer contre ce comptoir. ❝ Tu t'es occupé d'moi, c'est mon tour maintenant. ❞ Mes membres glissent et se rejoignent derrière toi, font un noeud et t'embarque. Tes cuisses, instinctivement, s'enroulent au niveau de ma taille alors que je te porte fièrement jusque devant l'écran, sur la scène de crime. Je me cambre et te dépose sur le matelas, riant comme un môme. ❝ Si j'm'écoutais, je t'aurai pris là-bas ❞ avoue-je en baissant les yeux et en ricanant de plus belle. Je ne peux nier me sentir vibrer avec toi, comme si quelque chose de plus grand nous accueillait, comme si nous étions destinés à emprunter un chemin main dans la main. Serait-ce possible qu'on se désire au delà même de ce que nos tripes nous disent ? Ce faciès, ce putain de faciès, qui me donne envie de t'étouffer de baisers que je ne peux que difficilement contrôler. Je me place au dessus de toi, les bras tendus de chaque côté de ta tête, et m'abaissant contre toi, je dépose finalement mes lèvres sur les tiennes. Le coeur fond, et le sourire se ressent, mon corps tombe et enferme tes membres. Pure délicatesse du moment, nulle violente impulsivité exacerbée en action, un moment exclu du temps où je te vénère, toi, mon tendre, ma passion.
(Adrian Fitzgerald)


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@Adrian Goldberg C'est plus de la fragilité à ce stade, c'est parce que je m'ouvre à toi, entier, complètement, y a mes joues qui rosissent comme un gamin timide, y a ces envies dans la tête et les iris qui t'observent déguster le plat. Y a ces pulsions dans le sang, léger tremblement pour me contenir d'être si loin de toi de l'autre côté de cette table. Y a ce silence qui me permet de te parler des yeux, scruter chacun de tes détails. Ta légère fossette, tes tâches sur le nez, ton sourire quand on en vient à croiser nos billes. J'veux te bouffer et pas que des yeux Goldberg. Nom au son doré, comme si on était destiné. Toi l'or de ma couronne. Alors j'me lève, j'débarrasse et quand la porcelaine est déposée dans l'évier, j'sens ta chaleur m'envahir. Une envie de te mordre irrépressible, une envie trop grande. Ton murmure qui m'agresse le pantalon qui se tend doucement. Tes mains contre mon torse ont quelque chose de réconfortant alors j'peux pas m'empêcher de te répondre par un "oui" avant de me retourner et te faire face, tes mains qui agrippent mes hanches et me poussent un peu plus contre le comptoir. Empereur coincé, le jeu est lancé. Les lippes qui s'approchent des tiennes sans les toucher, vilain duo de frustration. Les dents qui mordent la pulpeuse pour réfréner ces désirs coupables, j'ai envie de toi Adrian. J'ai envie de toi et que de toi, là, tout de suite et dans l'instant. Alors quand tu m'emportes, j'me laisse me percher à ton cou. Les cuisses qui s'accrochent à tes hanches, le bassin qui doucement se presse contre le tien, sourire mesquin au coin des lèvres tandis que les mains s'agrippent à ton cou. Puis y a ton rire enfantin qui résonne dans ma cage thoracique. Y a tes yeux pleins de lumière, des billes colorées d'un feu incandescent. Tu le captes que t'as du pouvoir sur moi quand tu baisses les yeux sur mon corps, jogging déformé par le trop grand désir de ton corps, de ton être. Les pensées sont dures à canaliser, j'ai pas envie de les arrêter mais j'veux pas m'avouer que tu me fait chavirer. Et là, au fond, ça fait mal. Parce que je vais te détruire Adrian. Comme Sean, comme Sofia. J'suis pas capable d'apprécier les gens correctement, pas capable de me restreindre non plus. J'suis excessif, j'veux plus, encore plus et toujours plus. J'peux pas m'arrêter, comme pris dans une spirale infernale, j'en vois pas le bout. Y a cette boule au ventre que j'arrive pas a décrypter, entre l'amour, l'attirance et l'amitié. Ton initiale gravée en ces trois mots. Puis quand tu me regardes à cette instant, quand tu me bouffes des yeux, y a mon sourire qui s'évanouit. T'attends quoi Goldberg ? T'attends quoi pour me croquer ? Bonbon interdit, douceur sucrée, fait ce que tu as dit : prends moi là, maintenant, et fait cesser ces pensées intruses en moi. Coeur à l'agonie juste avant que tu ne tombes sur moi, que tu ne fasses ce que je désire. Et tes lippes se cognent aux miennes et mes doigts retiennent ta nuque. Et si mes paupières étaient ouvertes, on aurait pu y apercevoir des yeux brillants de cette eau salée. Mais l'envie de profiter de ce moment, juste de ce contact aussi délicat que charnel, est trop important pour le gâcher de la vue du chien au loin ou de la trop grande luminosité de l'appartement. "Adri ...", avais-je soufflé doucement, "J'ai envie de toi." Aveux caché parce qu'au fond, je ne veux pas te partager. Pas ce soir, ni jamais, égo piqué, tendu entre deux besoins dont celui de liberté. Lèvres qui se reposent doucement contre les tiennes, tendrement, étrangement beaucoup plus intensément que les précédentes fois, la main qui se détache de ta nuque pour glisser le long de ton corps jusqu'à atteindre ton V.
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@Caesar Falls En cet instant, je ruine le moment. L'ambiance persiste, le charme aussi au même titre que la montée de notre désir. Pourtant, je le sais, je le sens et surtout je le pense que je suis malsain. Il y a ce coeur bousillé que j'ai ravalé en morceaux dissous dans l'acide de mon estomac. Il y a cette envie de t'enfermer et te conter de belles paroles pour que tu me regardes chaque jour comme tu le fais là et personne d'autre. Et je sais pertinemment que j'aime que tu me désires ainsi. J'aime comme tu me fais sentir, comment je me ressens avec toi. Mais pourrais-je me contenter de ton unique solicitation ? Ne suis-je pas l'homme de multiples terrains ? Je n'ai pas envie de te blesser. Non, loin de là, bien au contraire. J'ai simplement perdu de vue ce qu'était l'amour, celui que l'on vit et non celui que l'on ressent. Car il est bien simple d'aimer mais il est bien difficile de l'appliquer. Alors je me perds dans ce moment, comme à l'accoutumé, emporté sur tes lèvres alors que tes mains agrippent ma nuque. Je ne peux que grommeler et m'amuser en sentant ton jogging se déformer, appeler cette zone que tu veux que je découvre. M'avoue-je vraiment comme je veux pouvoir t'embrasser jusqu'à perdre mon oxygène ? Me rends-je compte que t'enlacer me ramène à la vie, ranime mes sens et mon esprit ? Tu es cette magie que je ne peux nier, une bien loin des autres âmes desquelles j'ai pu m'approcher. Il y avait bien Corey, lui. Mais je ne peux y penser, pas maintenant ou il me sera impossible de savoir ce que la partie bonne de moi désire. Dans l'immédiat, il n'y a que toi qui m'obsède et continue au delà des limites. Viennent les mots sortis de ta bouche, sur une expiration coupée, sur une tonalité de faiblesse qui me fait disjoncter quelques neurones. Pourquoi et comment arrives-tu à me faire ça ? Je ne veux pas que ton corps, c'est si rare, mais que je te désire comme personne depuis bien longtemps. Mes lèvres viennent presque ronger les tiennes en t'entendant, et je frissonne en sentant tes mains descendre le long de mon torse. Je me redresse, faisant de moi le vautour et toi son perchoir, retirant vivement et sans ménagement mon tee-shirt. Ma peau brille de part les lumières autour de nous, et mes cheveux si bien coiffés retombent sur mon front. Des mèches virevoltent et s'amusent de tes boucles qui hypnotisent sans cesse mes doigts. Te souviens-tu quand j'ai roulé une d'elle en public avant de m'en rendre compte ? C'est à ce point le pouvoir de tes cheveux. Ou le tien. Je ne peux dire - ou je ne veux dire. ❝ J'ai tellement envie de toi, Cae ❞ finis-je par murmurer. Je peine en même temps à baisser ton jogging, encore au dessus de toi. Personne ne raconte la maladresse qui habite les élans d'envie et le sexe en général. Tu frôles quelques coups de bras, je manque de me chuter par déséquilibre. Et mine de rien, aucun des deux ne le fait remarquer car l'attirance efface tout ceci, rendant l'imperfection si chère à nos êtres. Mon coeur bat si fort que j'en ai presque le vertige, mes oreilles rougissant à vue d'oeil. Surement ta langue qui me fait perdre les pédales, coquine faisant grimper ma chaleur interne à chaque fois que la mienne et elle se touchent et s'étreignent comme des amants passionnels. Je dévie et tombe dans ton cou, contre ta joue, ma respiration en disant long ; des brefs inspirations et expirations comme pour noter l'effet que tu me fais, la perdre de contrôle, et le souffle violent d'un rire qui ne sort pas, moi amusé par notre fougue. Puis la douce brise qui prépare ton cou au premier baiser que j'y dépose. Au diable les marques, après quelques baisers, ce sont mes dents que je titille sur ta tendre chair. Ma langue se même du combat, tandis que je me sens davantage te bloquer dans cette position. Un bras te coince d'un côté pendant que l'autre s'étend vers le bas, entre nous, pour que mes doigts caresse ce cadeau emballé que tu aimes tant m'offrir.
(Adrian Fitzgerald)


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@Adrian Goldberg Tu ruines rien Adrian, tu rends vivantes des pensées vivaces, tu leurs donne vie, tu les maintiens en haleine pour qu'elles éclatent au grand jour comme Pygmalion et sa Galatée. Tes mains qui cherchent l'autre corps, envies charnelles, pulsions qui débordent. Myocarde qui s'accélèrent quand tu t'approchent avant de crever quand tu me touches. Langues qui se complaisent à s'enlacer, lèvres qui se complaisent à se choquer. Raison perdue, ne demandons pas pourquoi tu me procures ces sensations, pourquoi il n'y a que toi dans ma tête et pourquoi ça ne me dérange pas plus que ça. Liberté jurée mais ma liberté à moi, c'est de te vouloir qu'à moi, à vouloir éliminer les autres, ceux qui te touchent en pensant que tu leur appartiens. Jalousie au fond du bide, jalousie qui tord les entrailles, envie de t'avoir entre mes doigts chaque jour qui passe, de t'embrasser chaque minute, te toucher chaque seconde. Envies omniprésentes mais envies secrètes. Le feu dans les yeux, feu au cul, l'envie d'te mordre, d'te marquer comme signature de mon passage, le bassin qui se tortille sous tes cuisses, peau qui tente de se rapprocher un peu plus de toi. Tu te relèves, enlève ton t-shirt et j'fais de même. Mains qui tiennent tes côtes, langue qui titille ta peau, se fraie un chemin de ton cou à ton torse, formes masculines tant désirées, avant que je ne me rallonge en t'emportant un peu dans ma chute, les corps en équilibre sur le bout du canapé, tes mèches qui viennent chatouiller mon front, passion brûlante de tes lippes, appétit grandissant de ton être. Y a ces mots qui me laisse pas indifférents. J'aimerais que tu me laisses sur le bord de ta vie avant que je ne devienne trop accro pour me passer de nous. Y a pas que ça avec toi, pas que ta peau contre la mienne, pas que cette attirance si physique. Y a ta voix, ta passion, y a la façon dont tu me parles, celle que t'as à t'inquiéter, y a ta pointe de jalousie que parfois je décèle et y a cette lueur dans tes yeux qui veut tout dire. Puis y a la chaleur dans le creux des reins, celle qui s'accélère, qui nous accélère, qui nous pousse à continuer, plus vite, plus fort, celle qui pose la question fatale quand l'une de tes mains vient se glisser et me faire frissonner.
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t172874-adrian-fitzgerald-jacob-rott#8464959Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t132996-repertoire-de-eben-adrian#5331316
@Caesar Falls Une flamme ardente nous anime à chaque instant où nous nous retrouvons isolés du reste. Lorsque les autres sont là, nos yeux sont les seules perches qui se tendent pour que nos âmes se rejoignent. De mes tripes grognent cette envie que nos doigts se mêlent lorsque l'on se ballade, que ton bras serre ma hanche à chaque coupure entre nos cours, que nos lèvres se saluent quand on se couvre, se découvre à la vue du monde. Tu m'inspires des mondes où je n'ai plus peur d'aimer et de montrer que j'aime, et chaque caresses que tu me prodigues là m'empêche de réfléchir comme le con que je suis. Cesse de m'amadouer, je ne suis que toxicité. Tu ne peux m'apporter la raison sauf si tu peux me couvrir de l'antidote de mon poison. Si seulement j'étais un bel être, je t'achèterai la lune pour te dévorer l'épiderme dessus, que les étoiles jalousent ta lumière, que le ciel nous englobe et nous fasse fondre - que nos corps ensemble crée un nouveau monde. Vient enfin la réponse à ma question, une réponse qui me fait frissonner de mes pieds joliment dessinés jusqu'aux mèches rebelles que je brosse sans coiffer. Le mot brutalement résonne dans mon esprit que j'en retiens des soupirs d'excitation, des exclamations soumises. Toi qui aimes tant reprendre le contrôle lorsque nous nous dénudons. J'ai beau te faire rougir dans la vie, être le diablotin sur ton épaule qui te fait tanguer, tu es le diable qui me renverse sur les draps et m'oblige à abandonner toutes formes de conscience. Je me laisse alors faire quand tu te contractes et me portes, m'amène jusqu'à ton antre. D'un doux gloussement d'amusement, je passe à ce roucoulement dans la gorge, saluant mon impatience.
(Adrian Fitzgerald)


Now listen to me baby before I love and leave you, they call me heart breaker, i don't wanna deceive you. If you fall for me, i'm not easy to please, i might tear you apart. Told you from the start, i'm only gonna  
BREAK YOUR HEART - ”
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@Adrian Goldberg Qu'il est beau ton rire. Il a des airs enfantins, des airs de quelques choses que je ne connais pas. Y a un je ne sais quoi qui te rend si particulier, ce je ne sais quoi qui me donne envie de te croquer, de laisser une trace pour te faire mien. Et y a pas une seul jour où j'pense pas au moment où l'on se retrouvera. Et ça m'emmerdre Adrian. Comment j'peux faire ça moi ? Comment j'peux tourner la page si vite avec Sofia. Parce que c'était elle ... Ou parce que c'était celle que je pensais. Comment j'peux en venir à l'oublier quand je me retrouve dans tes bras alors qu'à chaque autre personne, c'était pour retrouver cette fusion physique qu'elle m'avait offert ? Comment j'peux l'oublier elle quand j'suis avec toi ? Et pourquoi ces questions me viendront que lorsque tu seras parti et que t'auras à nouveau laissé le vide de ta présence dans mon antre ? Gamin perdu, gamin qui vit la peur au ventre. Peur que tu ne m'apprécies pas autant que moi, peur que nos visions ne se chevauchent pas, peur que tu partes sans te retourner, me laissant toi aussi sur le bas-côté. Peur que tu sois comme ces autres que le myocarde avait choisi ... Sean, Neal, Sofia ... Alors j'me concentre sur tes lippes qui éclatent dans un rire dont tu as le secret et j'profite de chaque seconde que tu m'offres.
(Invité)

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