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(barker) less than zero (tw) 1f4cd Cambridge (barker) less than zero (tw) 231a samedi 19 février 2022
tw : violence, attaque à l'arme blanche
@Kael Parker Sortie nocturne pour la petite boule de poils, complétement déphasée par tes allés et venus à tout moment de la journée mais aussi de la soirée. Révisions intensives malgré les examens de décembre qui sont derrière toi, c'est ta dernière année et tu dois tout donner. Jongler entre les cours, les entretiens d'embauche pour ton stage de fin d'étude et les révisions pour demain. Weenie est tout excité et tourne en rond dans le salon comme s'il était dix neuf heures alors qu'il est déjà presque minuit. "ok ok on va sortir !" tu lances à ton chien qui te regarde de ses grands yeux avant de remuer la queue. Direction le hall pour récupérer sa laisse, tes affaires pour te couvrir avant de sortir. Marcher assez longtemps, depuis le quartier des maisons jusqu'au centre de Cambridge. C'est bien animé là dehors et tu détonnes. Dans ton gros manteau, bonnet et gants, le beau shiba qui trottine dans tous les sens et profite de la balade. Tout autour de vous des étudiants qui font la fête, à l'intérieur et l'extérieur des bars. Dernier coin de rue avant de faire demi tour et reprendre le trajet inverse en passant par un parc. Dans tes pensées tu vois pas tout de suite le danger. Les ombres se dessinent, elles se rapprochent, trois types et une fille, elle hurle sur les autres, et lorsque tu les croises, deux des types te contournent en courant pour aller cogner le dernier. "arrêtez !" ton cri se désespoir se joint à celui de l'autre fille. Tu comprends pas ce qu'il se passe, ça va beaucoup trop vite, et tu vois rien, rien avant le reflet des néons qui se reflète dans la lame brillante. Y'a un mouvement de panique et t'es prise au piège, incapable de reculer car l'un te percute encore. Weenie aboie, bouquant incessant. Et l'un des types fait un grand geste en arrière, logeant la lame dans ton flan. La douleur vient pas tout de suite, tu tombes au sol, dos qui cogne contre un mur, et t'as seulement le reflexe d'attraper ton chien par le col pour pas qu'il aille vers les hommes et ne se fasse blesser. Il aboie si fort que t'entends plus rien, et lorsque l'adrénaline passe, la douleur vient. Ca te lance, tu tournes de l'œil lorsque tu penches le regard et vois le sang, les inconnus ramassent l'arme blanche et partent en courant après t'avoir regardé longuement. "au… au secours" ta voix tremble tellement, elle se casse la figure à peut près au même moment où ca devient trop dur de garder les paupières ouvertes.
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⚠ blessure à arme blanche


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Un dernier verre plus un dernier verre plus encore un et la nuit ne fini jamais mais demain tu dois te lever tôt pour l'entraînement de hockey qui t’appel, à l’heure actuelle tu regrettes un peu de faire du hockey si tôt un matin. Minuit c’est ton heure limite et même si tu as un peu dépasser tu ne peux pas te permettre d’arriver éclaté le lendemain si tu ne veux pas passer la saison sur le banc de touche. Le temps de dire au revoir à tout le monde et de renfiler ton manteau le remontant jusqu’au nez pour t’en servir de cache nez et te masquer du froid. Écouteur sur les oreilles pour contrer la solitude et tu te rends rapidement compte que le dernier bus est passé il y a deux minutes te laissant rentrer seul avec tes pensées. Pour le coup tu es un peu saoulé, la fatigue se fait déjà ressentir sur ton corps à enchaîner les révisions, les entraînements de hockey et aussi le travail puis il y a tes combats nocturnes aussi. Ce sont les aboiements répétitifs d’un chien qui te font retirer les mains de tes poches pour couper ta musique et tendre l’oreille. « mettre pauvre bête, il caille à Boston la nuit en se moment. » penses tu alors que tu essayes de suivre les aboiements, juste pour t’assurer qu’il n’aura pas trop froid cette nuit. C’est au bout de quelques secondes que tu prends le chemin pour retrouver le chien, la pénombre ne te permet pas tout de suite de percevoir le corps qui est allongé par terre. Main que tu poses sur le chien pour le caresser mais rapidement tu rencontre un liquide froid et ta main devient rouge, ton cerveau lui qui a occulté la scène d’horreur se révèle maintenant à toi. « Putain de merde !  » Tu revois un flash de ta mère en bas des escaliers inconscientes alors que tu n’avais que dix ans après que ton père l'a poussé lors d’une crise de colère. Tu mets peut de temps pour reconnaitre Elsie avec qui tu partages la currier. Rapidement tu récupères ton bonnet pour appuyer sur la blessure, faut dire que tu n’as pas grand chose d’autre sous la main. «EH ELSIE TU M’ENTENDES ? » tu viens même jusqu'à la gifler pour essayer de lui faire reprendre connaissance. Paniquer ne sert à rien, que tu te répètes en boucle dans la tête, garder la tête froide. Rapidement tu composes le 9-1-1 sur ton téléphone en haut parleur pour pouvoir toujours comprimer la blessure et tu ne peux t’empêcher de penser que ça fait beaucoup de sang.
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tw : arme blanche, sang
@Kael Parker Les ténèbres alors que pourtant t'arrives à t'arracher du bouquant. Weenie qui se débat dans tes bras, les seules forces qu'il te restent sont alors vouées à le retenir. Parce que t'as bien trop peur qu'il ne se mette à courir après les hommes et qu'ils s'en prennent alors à lui. Comme ils s'en sont pris à toi. C'est finalement le néant, le grand vide. Juste avant un cri. Une voix masculine qui te hurles dessus alors que tes lèvres tremblement n'arrivent à rien laisser s'échapper d'autre qu'une timide plainte sous le supplice de la douleur. Cette dernière n'est plus seulement dans ton ventre, elle est aussi dans ton visage. Tu comprends pas pourquoi ni comment, avant d'ouvrir les paupières, voir un visage penché au dessus de toi en train d'essayer de te faire reprendre connaissance. « Hmm ? » Tu reconnais pas la personne, il fait bien trop sombre. Tu veux ouvrir la bouche pour hurler encore une fois à l'aide, t'es pas assez lucide pour réaliser que cette personne ne te veut pas de mal. Mais aucuns son ne sort. Tu remontes ta main au niveau de ta cote, un liquide froid te recouvre le bout des doigts. T'as beaucoup de mal à respirer, et tu arrives finalement à sentir le museau froid de ton chien renifler encore et encore ton visage, ses sanglots te ramendent quelque peu à la réalité. Les souvenirs remontent, le groupe, la femme, les cris, les hommes, la lame, et ensuite tout est devenu noir. « Je… j'ai mal… là… » T'es toujours à terre, tu penches le visage pour voir où est-ce que la douleur est la plus puissante. Ta main remonte quelque peu, et tu peux voir que le liquide devenu froid sur tes doigts, c'est ton sang.
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tw : arme blanche, sang
La gorge nouée lorsque tu découvres la scène d’une horrible violence qui se trouve face à toi. Les aboiements incessant de Weenie, la mascotte de la currier, tu l’as déjà vue vagabondé dans les couloirs de votre maison plus d’une fois, un brave animal qui doit être terrorisé parce qu’il vient d’arriver à sa maîtresse. « ça va aller! » phrase qui résonne à répétition dans ta tête, comme si répéter cette phrase permettrait à la situation de s'apaiser et que tout se passera bien. Tu ne sens que le froid du sang sur le bitume et de l’hiver qui à envahi Boston depuis quelques mois. Tu secoues la victime pour la maintenir éveiller, c’est ce qu’il font dans les films non ? Sentiment d’impuissance face à la situation mais tu attrapes ton téléphone portable pour composer le numéro du 9-1-1. « Est ce que ça va ? Est-ce que tu as mal ?» tu vois pas trés bien dans la pénombre de la nuit, pourquoi cette rue n’est pas éclairée ? Tu l’entends dire qu’elle a mal et pour y voir plus clair tu allumes la lampe de ton téléphone portable, au moins tu comprendras davantage la situation que tu essaies d'expliquer au téléphone. « Oh merde ! » Ton coeur qui rate un battement face à l’empleure de dégât et à tous ce sang, alors tu appuies sur la plaie pour limiter l'hémorragie, mais pourquoi tu n’as pas suivi des cours de secourisme ? Tu te sens impuissant alors tu laisses simplement ton bon sens agir. « ça va aller ! reste éveillé Elsie. T’amuses pas à faire une dinguerie.»
@Elsie Barlow
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@Kael Parker T'as l'impression que tu vas tourner de l'œil lorsque tu vois le bout de tes doigts sombres à cause du sang. Une drôle de saveur se repend dans ta bouche, et tu sens que t'es en train de tourner de l'œil. Quelqu'un est en face de toi. Tu commences à discerner une lueur brillante dans ses yeux, et ses gestes paniqués ne t'aident vraiment pas à relativiser. T'as peur. T'es trop sonnée et tu te sens partir dans le sommeil. Mais il ne te laisse pas faire. Ses mots, ses cris, ses gestes, et les aboiements de Weenie. Tout ça, ça fait beaucoup de bruit. Il appuie sur ta côte et pour la première fois tu sens la douleur. Tu fais une grimace et lâche une longue plainte de douleur, mais au moins ça te tient éveillée et la douleur désormais t'as ôté toute envie de fermer les yeux. « Ka… Kael ? » tu buttes sur son prénom parce que t'as la bouche pâteuse et douloureuse. Mais maintenant que son visage s'approche de nouveau du sien, tu le reconnais clairement. C'est un Currier, tu le connais, il te veut du bien. Tu le sais. T'ouvres de nouveau la bouche mais aucun son ne sort, tu tentes de repousser Weenie qui n'arrête pas de se coller et pleurer, son pelage se retrouve vite taché de sang. Mais il a plus de force que toi, et son museau froid n'arrête pas de s'agiter dans ton cou ce qui te fait frissonner. T'es perdue, tu commences à divaguer, tellement que lorsque t'entends les sirènes, tu sais plus si c'est juste ton imagination ou si c'est la réalité.
(…)
Lorsque tu retrouves tes idées, t'es allongée sur le dos et ne te sens plus capable de bouger. Des visages tout autour de toi, et toujours cette sensation d'être entravée. Tu comprends que t'es dans un brancard, et parmi les visages qui échangent à la hâte sans faire attention à toi, l'un se discerne bien plus particulièrement. Le seul qui te regarde. Kael. Tu comprends toujours pas ce qu'il s'est passé. « Où… mon chien ? Tu… ramener Weenie… Currier ? » T'as la bouche pâteuse, t'es épuisée, tu t'inquiète bien évidemment plus pour tous les autres plutôt que pour toi. Tu ne le réalises pas, mais les pompiers sont en train d'ouvrir les portes du camion pour t'amener à l'hôpital.
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