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We don't understand any more
La nuit était en train de tomber sur le campus. J’avais eu une journée chargée et je n’avais pas envie de rentrer chez moi. Je savais qu’une tonne de message m’attendais. Nous devions régler quelques détails avant mon mariage avec les membres de ma famille. Mon grand-père n’arrêtait pas de m’harceler, ainsi, que ma mère qui voulait avoir un portrait détaillé de la jeune femme.
Les couloirs étaient pratiquement déserts. Les autres professeurs devaient être déjà partie ? Je n’en avais aucune idée et cela m’importait peu. Je repensais au coup de téléphone que j’avais eu avec Viktoria. J’avais été déçu d’apprendre tout ce qu’elle m’avait caché durant ses derniers mois. Au lieu de s’en remettre à moi, elle s’était confiée à ce mec. Pourquoi est-ce que ça me mettait autant en colère ?! Pauvre type, il n’était pas méchant, mais depuis que j’avais appris pour leur mariage, je ne pouvais pas le voir. Moi jaloux ? Non ! Viky n’était qu’une bonne amie, je tenais à elle et je ne voulais pas qu’elle souffre. Pourtant, elle semblait être heureuse de sa situation et bizarrement, ça m’agaçais encore plus.
Une tasse à la main, l’autre dans la poche, je regardais à travers la fenêtre. Les lumières venait de s’allumer et faisait apparaitre le campus plus clairement. Je terminais mon café, lorsque j’entendais des bruits de pas précipités dans le couloir. A en juger par le bruit, c’était une fille qui portait des talons. Soudain, la porte s’ouvrait à la volée et ce refermait dans un claquement sonore. Viktoria me faisait face. Je ne l’avais pas revu depuis qu’elle se fameux diné ou elle s’était fait passé pour ma compagne. De plus, notre récent coup de téléphone n’avait pas arrangé la situation. « Viktoria, que me vaut l’honneur de ta visite tardive ? Un problème avec mon cour ? » Je feignais l’indifférence, mais je pouvais voir des éclaires dans ses yeux et ça ne présageait rien de bon. Je n’avais pas envie de me faire remarquer. Je ne savais pas si un de mes collègues trainait encore dans les parages.
Les couloirs étaient pratiquement déserts. Les autres professeurs devaient être déjà partie ? Je n’en avais aucune idée et cela m’importait peu. Je repensais au coup de téléphone que j’avais eu avec Viktoria. J’avais été déçu d’apprendre tout ce qu’elle m’avait caché durant ses derniers mois. Au lieu de s’en remettre à moi, elle s’était confiée à ce mec. Pourquoi est-ce que ça me mettait autant en colère ?! Pauvre type, il n’était pas méchant, mais depuis que j’avais appris pour leur mariage, je ne pouvais pas le voir. Moi jaloux ? Non ! Viky n’était qu’une bonne amie, je tenais à elle et je ne voulais pas qu’elle souffre. Pourtant, elle semblait être heureuse de sa situation et bizarrement, ça m’agaçais encore plus.
Une tasse à la main, l’autre dans la poche, je regardais à travers la fenêtre. Les lumières venait de s’allumer et faisait apparaitre le campus plus clairement. Je terminais mon café, lorsque j’entendais des bruits de pas précipités dans le couloir. A en juger par le bruit, c’était une fille qui portait des talons. Soudain, la porte s’ouvrait à la volée et ce refermait dans un claquement sonore. Viktoria me faisait face. Je ne l’avais pas revu depuis qu’elle se fameux diné ou elle s’était fait passé pour ma compagne. De plus, notre récent coup de téléphone n’avait pas arrangé la situation. « Viktoria, que me vaut l’honneur de ta visite tardive ? Un problème avec mon cour ? » Je feignais l’indifférence, mais je pouvais voir des éclaires dans ses yeux et ça ne présageait rien de bon. Je n’avais pas envie de me faire remarquer. Je ne savais pas si un de mes collègues trainait encore dans les parages.
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