❝“Qui n’est jamais tombé n’a pas une juste idée de l’effort à faire pour se tenir debout.” Multatuli.
naissance
Né le 21 octobre 1994, à Berlin (Allemagne), 16h43. 27 ans.
nom(s) & prénom(s)
Sasha Sören Collins, patronyme paternel américain, celui de ma mère est Schneider.
nationalité(s)
Allemand.
origine(s)
Côté paternel : père américain, grand-père allemand
Maternel: mère allemande, grand-mère roumaine.
Sang allemand, roumain et américain.
orientation sexuelle
Pansexuel.
statut amoureux
Célibataire, le coeur brisé. Saignant. Agonisant.
études
Huitième année d'arts plastiques (une année sabatique)
bourse
non boursier
statut social
Père cardiologue, mère dirigeant une compagnie pharmaceutique, l'argent n'a jamais été un problème.
job étudiant
Aucun
maison
students
admission à harvard
Les éloges de professeurs jadis côtoyés fusaient sur les lettres de recommandations que j'avais envoyé à Harvard. Bien sûr, il est toujours bon d'avoir des mots sur soi et qui confirme que vous êtes doué, mais ça ne fait pas tout. Mes mots, dans cette lettre, on été soigneusement choisi, les uns après les autres. J'avais parlé de ma passion pour l'art et ce qu'elle signifiait dans ma vie de tous les jours, comment cette passion m'avait sorti de l'enfer quotidien, qu'elle avait fait en sorte que ma vie s'améliore peu à peu, mon exutoire, mon tout. Que je ne serais rien sans elle. J'ai écris ces mots, de mon enfance jusqu'à l'arrivée de l'âge adulte, où mes coups de crayons se sont multipliés jusqu'à devenir meilleurs à chacune de mes exercices. Bien sûr, il ne suffit pas du talent, également. J'ai essayé d'y transmettre mes émotions, ma fibre artistique, qu'on ait l'impression de me connaître à cette simple dissertation. Ma lettre avait été approuvée et l'entretien face à face avait été angoissante, mais j'avais l'habitude de "repousser" une partie de mon angoisse afin de paraître normal. Un charmant sourire, une flamme dansante dans un regard noir comme l'ébène. Mon anglais est excellent, malgré un accent écorchant certains mots, prouvant que je ne venais pas de l'Amérique. Et pour terminer, mes notes ont toujours été excellentes. Bien au-dessus de la moyenne. J'ai toujours excellé dans mes cours, parce que je suis passionné, mais aussi parce que ma capacité d'adaptation est tout d'même assez élevée.
caractère du personnage
On me qualifie comme quelqu'un de calme, toutefois l'esprit occupé. Tourmenté. J'aime sourire, m'enthousiasmé à propos de petites choses de la vie parce que ce sont de petites victoires, car sans elles, je plongerais encore plus profondément dans la dépression qui m'enserre glacialement depuis trop d'années. La fatigue mentale qui s'accompagne, mais qui s'efface l'espace de petits moments de "bonheur", avant de revenir à la charge pour me bousucler et me blesser davantage. On dit de moi que je suis un ami fidèle et loyal, toujours prêt à faire n'importe quoi pour mes amis, pour ceux que j'aime. Même à risquer ma propre vie. Je serais là, à trois heures du matin pour raccompagner quelqu'un chez lui, ou juste prendre soin d'lui s'il a besoin de mon aide. J'ai la fâcheuse tendance à penser au négatif des choses, mais je ne les dit pas toujours. Je suis un excellent confident, les oreilles excessivement sensibles, mais la bouche comme une tombe. J'suis bienveillant, chaleureux et accueillant envers la majorité des êtres vivants, quelque peu naïf pour croire certains mensonges, certaines histoires... Ou juste de donner trop d'chances à des gens qui ne le mérite pas. Je suis un homme affectueux, qui aime le contact humain, même si j'ai aussi cette tendance à être solitaire, plongé dans mes dessins ou juste derrière la musique. Il y a une différence entre aimé le contact humain et être entouré. Je préfère une personne à la fois, qu'un "groupe", limite sur les bords d'être agoraphobe. Je suis complaisant, un peu trop empathique. Je suis malheureusement, aussi, émotif et sensible. On peut m'avoir traité de susceptible, même si je suis incertain que ce défaut me sied. Je suis patient sur la majorité des sphères de la vie, même si d'autres peuvent me faire sortir de mes gongs comme l'injustice. Les gens me décrivent comme un homme gentil, trop doux, solitaire, adorable, mais blessé. Mon coeur saigne encore de cet abandon. Et je ne cesse d'y penser, vraiment.
anecdotes
anecdote une L'allemand a toujours été ma première langue, parlée et écrite, à la maison. Toutefois, mes parents ont toujours fait en sorte de bien m'apprendre à écrire l'anglais, puis à prononcer les mots. Il était plus rare d'entendre cette langue dans la maison, mais dès que je suis entré à l'école, j'ai mieux appris. Mon père est américain, donc il a toujours été le mieux placé pour m'aider dans mes devoirs d'anglais. Grâce à lui et à du travail acharné, je me suis développé un talent pour la seconde langue qui est un peu devenue comme la première, même si un accent caresse plusieurs mots que je prononce. Je ne serais jamais totalement "anglais" à la pronociation, mais je suis extrêmement fluide, parfaitement bilingue dans toutes les sphères : lecture, écriture, parlé.
anecdote deux Mes parents ont toujours compris que j'étais différent des autres, et ils l'ont su dès que je me suis mis à être quelque peu "absent", pour ensuite m'écrouler sur le sol en faisant une crise, yeux révulsés. Ils m'ont apportés à l'hôpital et ils ont découverts par plusieurs tests que je souffrais d'épilepsie. Que mes crises iront sûrement en empirant au fil des années, me causant des migraines ici et là, une certaine sensibilité à la grande lumière. J'étais condamné, aussi, à ne jamais pouvoir prendre le volant de toute ma vie, puisqu'une simple crise pouvait mener à un accident dévastateur.
anecdote trois Les médecins ont découverts quelques années plus tard que j'étais ce qu'on peut appeler "phonobe", soit une sensibilité accrue à tous les bruits. Plus ils sont forts, plus ceux-ci sont agressants. Ainsi, on m'a refilé différentes tailles de bouchon que je mets dans mes oreilles. Les plus petits pour bloquer une certaine partie des sons, les plus grands pour les éteindre tous. On me voit souvent avec des écouteurs dans les oreilles, spécialement pour couper le monde extérieur de ses bruits incessants, mais aussi parce que j'ai toujours aimé la musique.
anecdote quatre J'ai commencé le dessin à un très jeune âge. J'avais la "fibre artistique". Mon talent principal a toujours été de reproduire fidèlement ce que je vois, comme une photo. Je peux dessiner avec des précisions déconcertantes et des détails incroyables les gens, ou même la nature ainsi que les animaux. Je ne suis guère doué pour ce qui attrait à l'art abstrait.
anecdote cinq Mon frère et moi étions des êtres inséparables dès le moment où je suis venu au monde. Il prenait soin de moi, voulait toujours jouer avec moi. Il prenait son rôle de grand frère très à coeur. Malheureusement, un grave accident de voiture à marqué la fin de cette magnifique relation. Il n'a pas eu d'chance, tandis que moi j'ai reçu la malédiction de rester en vie sans lui. Il avait toujours été mon tout, mon second, jusqu'à cette soirée fatidique où nous avons fait un face à face avec un chauffard aux capacités affaiblies. C'est de là que proviennent deux de mes cicatrices sur le torse, suite aux traumatismes et le passage sous les bistouris des médecins. Il m'arrive d'avoir des cauchemars de cette soirée, où je revois les phares éblouissants de la voiture d'en face, me protégeant de mes bras jusqu'à l'impact... Et mes paupières qui se sont ouvertes pour imprimer une vision d'horreur de mon frère. Même sans qu'il soit déclaré mort entre les murs de l'hôpital, je le savais. Il avait suffi de voir son visage, pour comprendre... Je ne me souviens pas de tout avec grandes précisions, mais c'est assez pour inonder mon esprit et de le laisser dériver vers des cauchemars. J'avais 15 ans lorsque ça s'est produit, lui 18.
anecdote six Lorsque ma convalescence fut terminée, mes parents ont décidés de quitter l'Allemagne pour venir s'installer à Boston. J'étais, alors, âgé de dix-sept ans. Il n'a jamais été aisé pour un jeune adulte de se retrouver dans une nouvelle ville, une nouvelle école... Je ne leur en ai jamais voulu, mais durant la dernière année avant mes 18 ans, j'ai préféré rester isolé, enfermé. C'est d'ailleurs dans cette période où j'ai le plus dessiné, mais que je me suis enfoncé dans la dépendance de la nicotine, mais aussi de la sale poudre blanche qu'on appel cocaïne pour me permettre de rester éveillé la nuit. Ce truc moche est devenu un combat constant. Je ne l'ai jamais vraiment vécu. La nicotine, il faut faire une croix sur le fait que je vais potentiellement arrêté. Je n'arrêterais sûrement jamais et la cocaïne, c'est un gros secret, très peu d'gens sont au courant. Mes parents ne le sont pas.
anecdote sept Je suis entré à Harvard à l'âge de dix-huit dans le cursus d'arts plastiques, puisque c'est toujours ce que j'ai voulu faire. Depuis que je suis jeune, malgré mon épilepsie et mon problème de bruit, j'ai toujours excellé dans les notes scolaires. Mon dossier est sans tâche (aucune absence, aucun retard). J'ai été recommandé par mes anciens professeurs et j'ai écris ma dissertation avec minutie. Je mentirais si je disais que mon entrée ne m'avait pas angoissé, mais j'étais très heureux de faire parti de cette école. Dès le premier cours, j'ai su que j'avais trouvé ma place.
anecdote huit J'ai pris une année sabbatique après avoir obtenu ma maîtrise. Je comptais bien terminer mes années d'études afin d'obtenir un doctorat, mais j'avais besoin de me retrouver seul avec moi-même. C'est là que j'ai commencé à vraiment sortir ici et là. Certains bars. Certaines soirées. J'ai fait des conneries comme tous les jeunes hommes de mon âge. Il y en a que je regrette, d'autres non. C'est dans cette année en pause que j'ai rencontré Sam, un jeune homme de mon âge. Le courant est immédiatement passé entre nous. Nous nous sommes rapidement mis en couple pour vivre une vive et belle histoire, même si comme tous les couples, nous vivions aussi des hauts et des bas. J'étais profondément amoureux de lui, jusqu'au jour où il m'a quitté du jour au lendemain, sans que je ne puisse savoir pourquoi. Il avait tout simplement "disparu", me laissant un mot écris. Aucun message ne se retournait aux miens. Mes appels tombaient immédiatement sur sa boîte vocale, jusqu'au moment où une voix robotisée s'élève en anglais et dise : " Le numéro que vous tentez de joindre n'existe pas ou plus." et j'ai su que c'était définitivement terminé. Cet homme avait pris mon coeur pour le pressé, le poignarder et le jeter sans aucun remord. Sans aucune explication. Et il ne savait pas à quel point son geste peut m'avoir marqué, à quel point il m'a fait du mal et qu'il me traumtisera longtemps... Surtout sur le fait de tenter de nouvelles relations.
anecdote neuf Lorsque je suis revenu à Harvard l'année suivante, j'avais un peu changé, même si ce côté plus "rebelle" existait toujours. Un côté qu'on ne perçoit pas tant de moi, qui est caché, enfoui, insoupçconné. Je m'éloignais de quelques personnes que j'avais l'habitude de côtoyé, me renfermant un peu plus. J'avais développé une certaine crainte face aux autres. La peur de me confier, de me faire rejeter, donc je décidais de rester sur une base cordiale.
autres: Adore tout ce qui touche en général au café ou même au thé. Il en boit très souvent, même de façon addictive. - Il déteste l'odeur de la lavande. Celle-ci est d'une forte intolérance au point qu'elle peut lui faire saigner du nez si elle est trop envahissante. - Il apprécie en général toutes les sortes de films. - Peut dévorer des bouquins qui le passionne en très peu de temps. - Cuisine bien, même si ça ne lui tente pas toujours de le faire. - Ce n'est pas l'plus grand sportif, mais il se maintien un minimum en force, surtout avec de la marche rapide et de la course à pieds. - Allergique à tout ce qui touche les kiwi, les ananas et les abeilles. - Adore la nature et peut aisément aller se perdre dans la forêt. - Traîne toujours son carnet de dessins avec ses crayons, peu importe l'endroit où il va. Tout comme ses bouchons. - Adore le camping sauvage et détient de bonnes bases en survie. - Il peut lui arriver de se tromper dans l'anglais lorsqu'il fortement émotif ainsi que lorsqu'il jure, retournant dans sa langue natale : l'allemand. - Ses crises d'épilepsie sont en générales "contrôlées", mais elles peuvent être déclenchées sur un gros impact émotif comme la rage, l'anxiété sévère ou le chagrin. Elle peut se manifester par des épisodes spasmophilie, de tremblements, de migraine épouvantables ou aller jusqu'à ce qu'il convulse. Il a quelques pertes de connaissance et là qui peuvent se produire. - Il rêve spécialement de l'amour véritable, mais sait que celui n'arrivera sûrement jamais - Il est en dépression depuis la mort de son frère et suit régulièrement un traitement.
& irl, ça donne quoi ?
pseudo Hell
âge 32
nationalité Canadienne
forum connu par... @Jeremy Sadusky ILH, j'en pense quoi ? Très grand, populeux, très actif, très joli... Après ça, j'espère juste faire ma petite place parmi vous :3
autres comptes ? aucun
avatar utilisé Evan Peters
crédits images Tag
nombre de mots par rp entre 300 et 2500
type personnage inventé
code étudesarts plastiques ;; department of art, litterature and history ;; huitième ;; 2013 - en cours -
explicatif pour remplir correctement : réponse ici
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@"Sasha Collins" » <i>(arts plastiques)</i>
job étudiant :code métiernom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement - Code:
@"Pseudo du personnage" » <i>(nom du poste occupé)</i>
code bottin - Code:
<span class="pris">EVAN PETERS</span> <span class="inv"></span> @"Sasha Collins"