Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEdenshaw › Les seules personnes qui ne savent pas que Arwen aime Eden, sont Arwen et Eden.
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Edenshaw › Les seules personnes qui ne savent pas que Arwen aime Eden, sont Arwen et Eden.

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Kiss me hard before you go.
New York. Une ville immense où se perdent des âmes vagabondes. Arwen adorait la grosse pomme, c'était la ville où elle avait toujours vécu, et elle adorait retourner s'y ressourcer. Elle ne s'y perdait pas, sûrement parce qu'elle avait en tête le plan de la ville et qu'elle connaissait chaque ruelle et recoin. Pour elle, c'était comme être hors du temps. Et c'était sûrement ce dont elle avait besoin ces derniers temps.
Elle était partie en se montrant lâche et plus trouillarde que jamais. Elle ne voulait plus perdre les gens qu'elle aimait, elle était née avec ça -puisque sa mère avait perdu la vie en la mettant au monde. La blonde n'était cependant pas restée silencieuse, elle en avait parlé à Briony Silver, une amie qui lui était très chère. Et elle l'avait aussi tenu au courant de son retour à Cambridge et du "pourquoi du comment".
Elle était de retour en ville et pour une nouvelle fois, elle devait se rendre dans sa banque. Par chance, il ne s'y trouvait personne et la jeune femme put ressortir très vite. Mais, quand elle franchisa la porte de sortie, la blonde percuta un homme, renvoyant ses lourdes boucles en arrière. Edenshaw. L'homme qu'elle aimait et qu'elle avait abandonné. Elle le fixait de ses yeux bleus perçants et ne savait pas quoi dire, mais elle devait parler si la demoiselle ne voulait pas qu'il disparaisse... « Eden... je suis tellement désolée. » dit-elle la gorge serrée. Elle était désolée pour son moment d’inattention, désolé d'être en train de penser à lui et de se torturer l'esprit. Alors que le jeune homme semblait vouloir partir, elle lui attrapa le poignet d'un air perdu. « S'il te plaît... » ”

© charney




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If we're not stupid, we'll both hold on for dear love.

J'avais été apeuré par la disparition d'Arwen, qui n'avait été justifiée que par un mot griffonné sur une feuille de papier. J'en avais pleuré, silencieusement, l'espace de quelques heures, le temps de me ressaisir. J'avais trouvé une parcelle de bonheur dans un monde incompréhensible, moi qui ne pouvait plus croire en l'amour ... Et déjà, elle m'était ôtée. J'avais du tenter de me reconstruire, tant bien que mal ... Mais évidemment, cela avait été difficile. Très difficile. Et à peine que je l'avais crue ôtée de ma vie et de mes souvenirs, la voilà, qui était de retour. Excepté ses cheveux d'une teinte légèrement d'une couleur différente que celle avec laquelle j'avais appris à la connaître, elle me paraissait inchangée. Et si j'avais ressenti, en moi, une quelconque légèreté liée au fait de la revoir, mon visage s'assombrit rapidement en réaction à toute la peine qu'elle m'avait infligée.

Je pouvais lire le désespoir dans ses magnifiques pupilles bleues. Et il fallait que je l'ignore. Que je n'y fasse pas attention et que je l'enfouisses au plus profond de moi, afin de me dégager de son emprise. C'était le genre de femme capable de me faire sombrer vers le fond ; c'était le genre de femme capable de m'entraîner à ma perte. Et je n'étais pas prêt à encourir ce risque. Pas encore une fois. J'étais sur le point de partir lorsqu'elle recommença, m'implorant, cette fois-ci.

- Serais-tu restée, si tu m'avais laissé le temps de dire s'il te plait ? lui demandais-je alors silencieusement, n'osant pas affronter son regard.
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Kiss me hard before you go.
« Serais-tu restée, si tu m'avais laissé le temps de dire s'il te plait ? ». Son coeur n'allait pas survivre. Edenshaw tournait le visage, il semblait regarder dans le vide et ne pas vouloir croiser son regard. Arwen ne savait pas quoi répondre, elle ne voulait pas se plaindre bien sûr, mais elle voulait quand même lui expliquer les choses comme elle se devait. « Écoutes.. je sais que tu ne veux plus perdre ton temps avec moi ». La blonde finissait doucement en laissant échapper un soupir avant de reprendre de plus belle, « J'avais peur, après tout ce qui c'est passé ces derniers temps, alors j'ai été lâche crois moi, je le regrette ! » Elle le regardait dans les yeux gênée de lui parler de cela au mauvais moment et au mauvais endroit. Puis la jeune femme tourna la tête autour d'eux, croisant le regard de passant. « Tu es surement occupé.. mais, on ne pourrait pas parler de ça ailleurs ? » ”


HJ C'EST PAS TRÈS LONG, J’ESPÈRE QUE CELA NE TE GÈNE PAS ?

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Elle m'avait fait mal, comme rarement j'avais pu avoir mal par le passé. Mon coeur ensanglanté s'était fait lourd dans ma cage thoracique, son rythme, moins régulier, et plus lent. Une vieille plaie venait d'être ouverte à vif, et j'étais incapable de la refermer comme il se devait.

- Je n'ai pas dit ça. répondis-je alors silencieusement.

Peut être que je l'aimais encore. Je n'en savais fichtrement rien. Il y a eu la bombe. On a failli mourir. avais-je simplement eu comme réponse à son "j'ai eu peur". Nous avions failli nous perdre, pour de bon, et une fois que c'était terminé, quoi ? Elle s'enfuyait, alors que nous avions vaincu la mort en face ? Un manque de logique apparent se trouvait dans ses dires. Elle me demanda alors si l'on ne pouvait pas aller discuter ailleurs, et, soupirant, légèrement, je m'efforçai de lui répondre :

- Tu as bien de la chance que je n'ai rien d'autre à faire, aujourd'hui. Le starbucks au coin de la rue ? lui demandais-je alors.

Spoiler:
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Kiss me hard before you go.
« Je n'ai pas dit ça ». J'essayais de me convaincre que rien n'était perdu et que peut-être qu'une lueur d'espoir pourrait apparaitre. Était-il possible qu'il m'aime encore après ce qu'il s'était passé ? Après tout, je ne lui avais rien fait de mal, j'étais simplement partie pour me ressourcer sans rien dire à personne, certes, mais il fallait peut-être mieux cela que d'être en couple avec un zombie. Je laissais échapper un soupir histoire de calmer mes inquiétudes alors qu'Edenshaw reprit la parole, « Il y a eu la bombe. On a failli mourir ». Il n'était pas obligé de me trouver des excuses. Mais je préférais cependant ne rien dire, de peur de faire une bourde. Je n'avais aucune envie de me fâcher avec lui, bien au contraire. Je préférais le laisser parler pour le moment, l'invitant à rester un peu plus longtemps en ma compagnie. « Tu as bien de la chance que je n'ai rien d'autre à faire, aujourd'hui. Le starbucks au coin de la rue ? ». Je ne pus m'empêcher de faire un sourire, heureuse de sa réponse tout en hochant la tête de haut en bas pour accepter. Que ce soit au starbucks ou ailleurs, je m'en fichais à vrai dire, je voulais simplement rester avec lui à essayer de recoller les morceaux. Je me laissa le temps de réfléchir pendant quelques seconde avant de me mettre à parler une bonne fois pour toute alors que ne venions de nous mettre en marche. « Je m'en veux à mort ! » dis-je d'un coup en lui attrapant l'avant bras pour qu'il s'arrête et se tourne vers moi. Je plongeais mon regard dans le sien pour reprendre. « Je n'allais pas bien, parce que je venais de perdre Ethan et que je me suis aperçu que je tenais à toi ! J'ai peur de te perdre comme je l'ai perdu lui parce que j'ai cette foutue poisse qui me colle. Je n'ai pas cessé de penser à toi pendant mon absence au point de savoir ce que je ressens pour toi... ». Je fis une pause. Je préférais attendre de voir sa réaction avant de passer le cap du "Je t'aime Eden". ”

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Elle avait disparu, comme une voleuse dans la nuit, sans dire le moindre mot, sans laisser la moindre trace ... Un jour, on s'était embrassés. Le lendemain, pouf, plus là. Comment jauger ma déception lorsque aucune échelle humainement concevable n'était capable de jauger mon ressenti ? Elle était restée silencieuse tout ce temps, au passage ... N"avait-elle donc plus rien à me dire ? Mon amertume était décidément plus forte que je ne l'aurais crue, étant donné que malgré tout, la volonté de lui pardonner passait après la douleur éprouvée par son abandon.

- Tu es partie deux mois et demi, Arwen. lui lâchais-je alors d'une voix grave et monotone. Qui te dit qu'il ne s'est rien passé, en deux mois et demi ?

Il ne s'était rien passé, évidemment. J'étais incapable d'oublier, incapable d'oublier rapidement, qui plus est .. Mais je détestais que mes faiblesses puissent être utilisées contre moi. J'avais horreur de subir cette impression de perte de contrôle ... D'impuissance. Si j'avais été tenté de répondre à son sourire, je détournai rapidement de la tête afin de ne pas avoir à me faire contaminer par ce rictus contagieux. Nous nous mîmes à marcher, et elle, se remit, curieusement, à parler. Comme quoi elle s'en voulait. Moi, je n'étais pas convaincu. On verrait bien. Elle m'attrapa alors le bras afin de tenter de se justifier, une première fois.

- J'ai accepté de boire un coup avec toi, Arwen. Ne brûle pas les étapes, s'il te plait. j'étais peut être froid ... Peut être trop, même. Et si mon attitude essayait de la faire taire, mon coeur n'espérait rien de moins que le contraire. Car je savais que l'écouter parler résulterait à me reconquérir, à nouveau. Et si je feignais ne pas vouloir retomber dans ses filets, je savais, au fond de moi, que je ne les avais jamais quittés.
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« Tu es partie deux mois et demi, Arwen. ». dit-il, faisant une pause avant de reprendre de plus belle, « Qui te dit qu'il ne s'est rien passé, en deux mois et demi ?
». Mon coeur cessa de battre l'espace de quelques secondes. Tous mes espoirs s'écroulaient. Faisait-il cela pour me faire plaisir,ou me faire espérer et ensuite me faire du mal ? En tout cas, c'était ce qui était en train de se passer. J'avais envie de partir tellement je me sentais blessée. Mais je ne pouvais plus fuir d'avantage et après tout, je n'aurais surement pas été la dernière à lui faire du mal s'il m'avait blessé. Je faisais en sorte de ne rien montrer et que je n'avais pas fait attention à ses derniers propos. Je tournais néanmoins la tête pour ne pas affronter son regard. Malgré mes efforts pour me resaisir et me faire pardonner, Eden paraissait toujours plus froid. Il ne semblait pas vouloir que je le touche ou même voir le moindre sourire sur mon visage. « J'ai accepté de boire un coup avec toi, Arwen. Ne brûle pas les étapes, s'il te plait. ». Mes joues se mirent à rougir doucement. Je me redressais et tourner la tête en direction du starbuck pour reprendre le chemin. Je m'étais renfermée sur moi-même et m'étais bornée à me dire que c'était bel et bien fini. C'est enfin quand nous arrivions dans le café que j'ouvris la bouche pour reprendre la parole et demander un cappuccino. Je relevais enfin la tête vers le jeune homme afin de lui parler. « Je ferais mieux de partir, j'ai eu ce que je voulais après tout, et je ne veux pas t'ennuyer plus longtemps. » dis-je piquée devant lui. Je voulais tout de même voir sa réaction avant de prendre un autre chemin. ”

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Je m'en voulais, de mes mots. Il ne s'était rien passé, en deux mois et demi, malheureusement. Il aurait pu ... Il a failli. Mais non. Rien. Arwen hantait mes pensées, mes songes, mon âme elle même, et mon être se languissait de sa présence en permanence. Et maintenant qu'elle était là, comme un bâtard, je me plaisais à la repousser, par honneur, par orgueil, par "virilité" ... Tous ces prétextes débiles à trois francs six sous qui essayaient de masquer, sans vraiment y parvenir, le fait que je n'étais rien d'autre qu'un abruti.

Nous arrivâmes éventuellement au café, malgré un lourd, imposant et trop formel silence qui me déchirait les entrailles. Elle commanda un cappucino, je n'en fis, cependant, pas autant. Je n'avais pas très soif, de toutes manières. Ni faim. Je ne pouvais pas faire autre chose que penser à elle, malgré moi. Cela me dépassait, entièrement. Étais-ce légal, d'aimer autant une seule et même personne ? Visiblement, l'autorité divine me le permettait ... Et la voilà qui, déjà, cherchait à s'échapper d'entre mes filets. À se débarrasser de moi et à me briser le coeur à nouveau, après l'avoir rempli de faux espoirs sans honte ? Inacceptable. Mes doigts frôlèrent rapidement les siens avant que je ne me retrouve à cramponner sa main en la mienne avec fermeté mais tendresse, de manière à la retenir sans pour autant la blesser. Mon regard se fit humide. Mes lèvres également.

- Arwen ...

Je la tirai alors brusquement vers moi avant de poser mes lèvres contre les siennes.

- ... Comment aurais-je pu t'oublier ? lui demandais-je alors. Si j'avais fait le pas, la forteresse qui nous séparait pas sa faute n'en était pas, pour autant, abattue, et seul le temps parviendrait à briser cette barrière entre nous. Saurait-elle avoir patience ? Serais-je assez rapide ? Qui sait ?
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Et si tout devait se terminer maintenant, aussi vite ? J'étais pétrifiée à cette idée. Je n'osais plus ouvrir la bouche après ce qu'Edenshaw avait dit. Après tout, il n'avait surement pas envie d'entendre ce que j'avais à dire et il avait peut-être tournée la page. Notre relation n'était que naissante quand je suis partie et peut-être m'avait-il oublié aussi vite.
J'étais une personne assez lâche, et je ne connaissais pas vraiment cette facette de ma personnalité, j'avais jusqu'ici fait en sorte de me montrer courageuse afin de ne jamais avoir un semblant de ressemblance avec mon père. Voilà que je commençais à baisser les bras à la première détonation. Je jonglais entre ses yeux et mes pieds, ne sachant plus quoi faire, je n'avais aucune envie de partir, je ne voulais pas disparaitre de son champ de vision, parce qu'au plus profond de moi, j'avais peur qu'il m'oublie et qu'il m'abandonne à son tour. « Arwen ... ». Je relevais les yeux sur son visage parfait. J'attendais la suite, la gorge nouée et le ventre serré. Puis, la main du jeune homme agrippa mon bras avec fermeté et sans que je puisse réagir à cette première action, il avait déjà collé ses lèvres sur les miennes. C'était comme une explosion de sentiments dans mon corps.
« ... Comment aurais-je pu t'oublier ? ». Ses quelques mots me réchauffaient le coeur. J’esquissais un petit sourire, rassurée. « Tu crois que tu arriveras à me pardonner ? » dis-je d'un souffle d'une voix inquiète, j'étais impatiente pour certaine chose et j'avais besoin de me rassurer sur certains points. ”

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Je me demande pourquoi Arwen me parlait encore. Je me demande ce qu'elle me voulait. Me faire souffrir ? Souffrir elle-même ? Les deux, peut être ? Je ne sais pas, je ne sais plus. J'avais essayé de l'oublier, c'était vrai, mais la tâche avait eu l'air moins aisée, largement moins aisée, que pour celles d'avant ... Hormis Chuck. On n'oubliait pas sa fiancée comme ça, non plus, ça, c'était sûr ... Je me demande si je parviendrais réellement à tourner la page Chuck un jour ou non, d'ailleurs. Le regard d'Arwen était lourd, pesant, et avait crée, au fond de mon gosier, une forte boule désagréable dont je ne parvenais pas à me défaire. Une boule de culpabilité. Car j'étais volontairement froid et sec, avec elle. Car je tentais de lui faire comprendre, coute que coute que ... Qu'elle m'en avait fait baver. L'avait-elle elle-même réalisé, au moins ? Ses yeux désespérés semblent crier non. La boule se fait plus concrète, et moins facile à chasser. J'avale, comme pour tenter de la faire disparaitre, de l'oublier, mais ça ne fait rien de plus si ce n'est de l'accroitre à nouveau. Il fallait m'expliquer, cependant, ce qui m'avait possédé à l'embrasser. Ce n'est pas que cela m'avait déplu, fort au contraire ... Mais je ne pense pas que cela avait été une décision judicieuse, à l'époque. La voilà qui souriait, maintenant ... Et cela me fendait le coeur, tout en me rendant heureux, à la fois. C'est alors qu'elle me demanda si je saurais, un jour, la pardonner. Et la seule chose que je pus répondre, à cet instant là, c'était la chose suivante :

- Il va me falloir du temps, Arwen ... Plusieurs semaines, au minimum. j'exagérais peut être un peu, mais elle m'avait vraiment fait souffrir, et il était hors de question que je lui mette en mains les cartes de répéter cet acte une deuxième fois.
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