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Vendredi 7 Janvier – 14h00
Le test avait été fait le matin même, le jeune homme pouvais respirer par lui-même, les blessures interne avaient bien cicatrisé, mais pour autant les prochains jours le tatoué devrais faire attention. Toutes les recommandations médicales avaient été expliqué à la famille, canalisé leur adelphe pendant quelques jours, continuer à bien soigner les brulures encore visibles et surtout ne manquer aucun rendez-vous pour la rééducation de sa main, les séances allait être cruciale, le médecin avait voulu être franc avec tout le monde en leur indiquant qu’il était possible qu’il ne récupère pas toutes ses fonctionnalités, que cela allait dépendre de la cicatrisation et surtout du travail effectué, mais il était préférable de préparer le patient à cette éventualité. Les tubes avaient été retirés et le réveil était en cours, le corps médical se voulait rassurant, le réveil complet pouvait prendre plusieurs heures.
Samedi 8 Janvier – 11h15
Je me souviens de la douleur, du manque de souffle, des phares toujours présents, des brides de voix, du silence et des sirènes de l’ambulance et ensuite ? Je ne sais pas, je ne sais pas depuis combien de temps j’étais là, je ne sais pas si j’étais sortis d’affaire, mais j’avais senti leur présence, entendu vaguement leur voix enfin je crois. L’impression que chaque membre de mon corps pèse cent kilos, je n’arrive pas à bouger, ça me demande un effort considérable, surhumain, je grimace “Lequel d’entre vous n’as pas pris sa douche ?” dis-je d’une voix légère avant de tousser et de grimacer de nouveau, trop de mots d'un coup. J’ouvre les yeux, les refermes aveuglé par la lumière du jour, tousse de nouveau gorge trop sèche. Il me faut quelques minutes pour être complètement là, les yeux complètement ouverts et mon regard se pose sur chacun d’entre eux, la dispute me revient en tête, violement, encore plus douloureux que mes blessures et je croise le regard de @Kassim Malacki en dernier et je redeviens un enfant quand les larmes coulent en repensant aux mots que j’ai pu leur dire “Je... je...” je bégaie, croise le regarde @Kassidy Malacki, j’ai l’impression de manquer d’air, je ferme les yeux quelques secondes avant de les regarder un à un de nouveau “Pardon...” je pleure de plus belle, j’avais regretté ses mots à peine prononcés. Je tousse de nouveau, tente de me relever, regard qui parcours de nouveau la pièce en panique je m'adresse à @Ange K. Murray “Anton ?!”
#malacki
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