HUMBRACE ✱ Regarde où tu mets tes pieds connard!

❝HUMBRACE❞

feat Grace & Humberto ✖ Tu marchais. Comme tu les matins, tu étais une fois de plus descendu en retard de ta chambre et ton cours de sport venait de commencer. Comme d'habitude tu allais arriver en retard mais, tu t'en fichais pas mal vu que le sport tu n'aimais pas spécialement cela et en voyant ton corps on pouvait se dire que tu n'en avais pas forcément besoin. C'est donc pourquoi tu prenais le temps de passer par la cafétéria prendre un café, tes livres à la main. Ce matin, tu étais particulièrement énervée. Oui, oui problème féminin oblige enfin bref. Tu t'apprêtais à prendre le couloir de ton casier, lorsqu'un abruti vint te percuté, renversant ainsi ton café sur toi et éparpillant tes livres et tes feuilles un peu partout dans le couloir. « Putain ! Fais chier ! Tu ne pouvais pas regarder où tu allais ? Non, c'est trop compliqué pour toi connard ? » Tu relevais tes yeux vers le jeune homme après avoir déposé ton café vide dans la poubelle. Et c'est fièrement qu'Humberto se trouvait devant toi. Non mais, ce n'est pas possible ! Tu t'entendais très bien avec lui mais, que dans l'intimité. En effet, Humberto ne devait pas être vu en compagnie de demoiselles pour une raison d'étude enfin bref. Lorsque vous vous parliez dans Harvard c'est simplement pour vous prendre la tête mais, là ce matin il avait fait fort. « En plus, c'est toi ! Tu viens de me tâcher et d'éparpiller tous mes cours dans le couloir. Et évidemment tu ne seras pas décidé à me donner un coup de main pour m'aider à ramasser je me trompe ? » Tu soupirais doucement, ton top blanc était devenu transparent trop cool tout Harvard pouvait voir le joli petit soutien gorge rose en dentelle que tu avais mis ce matin. Quand tu disais que ta journée était mal commencé, tu ne te trompais vraiment pas.

La journée avait bien commencé pourtant, et il espérait que tout ça continuerait sur la même lancée. Mais rien n'était moins sûr dans une fac comme Harvard, surtout qu'on ne sait jamais sur qui on va tomber au détour d'un couloir. Et pour le coup, il ne s'attendait pas à percuter de plein fouet une fille en voulant tourner un peu brusquement. Pas qu'il ait un cours dans l'immédiat mais il fallait bien se mettre à réviser les examens à présent. Heureusement, pas une goutte de café sur sa chemise blanche, encore moins sur le reste de son costume ou sur ses chaussures italiennes. Des feuilles volettent dans les airs et il se serait apprêté à se pencher pour aider la pauvre victime si il n'avait pas reconnu sa voix. Grace et sa subtilité ... Il sourit discrètement, se contentant de la regarder tenter de réparer les dégâts. Le brésilien était loin de la haïr, elle ne lui avait rien fait après tout, mais avoir quelques relations houleuses lui permettaient de ne pas garde une image trop lisse. A croire que tout était un perpétuel contrôle chez lui. Son sourire s'étire un peu quand elle affirme la triste vérité. Il ne l'aidera pas à ramasser ses cours, ça non. "Non ... par contre ..." il se penche légèrement vers elle histoire qu'ils soient les seuls à pouvoir entendre ce qu'il s'apprête à chuchoter. "J'adore ton soutif." Son haut transparent, il n'allait pas se gêner pour y jeter un coup d'oeil. Ce n'était pas comme si il ne l'avait jamais vu nue. Pour toute aide, il la regarde faire, les mains dans les poches, comme une petite attraction.

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feat Grace & Humberto ✖ Il avait les mains dans les poches de son costard italien taillait sur mesure alors que toi tu galèrais comme une pauvre conne à essayer de rassembler tous tes cours de psychologie afin de réussir à bien ton examen final. Cela t'énerver, tu ne pouvais pas croire comment l'on pouvait être un goujat pareil avec un visage et un corps d'Apollon. Tu ramassais les dernières feuilles lorsqu'un souffle et un corps se penchait près de ton oreille pour complimenter ton soutien gorge rose qui se voyait à des kilomètres sûrement. Tu soupirais une nouvelle fois. « En bon gentleman tu pourrais me passer ta veste de je ne sais qui afin que tout Harvard n'admire pas ma magnifique poitrine. » Tu le blâmais du regard avant de mettre avec force et violence dans ses bras, les quelques feuilles que tu venais de ramasser. Tu te penchais une nouvelle fois, te mettant dos à lui afin de ramasser les quelques bouquins qui étaient aussi tombés dans la collision qui avait eu lieu quelques minutes avant. Tu te retournais une nouvelle fois, afin de lancer un dernier regard à Humberto mais n'ayant pas calculé la distance qu'il pouvait y avoir entre vous deux, tu te retrouvais coller à lui. Tu savais garder tes moyens sauf avec Humberto et encore moins dans cette situation là. Bon, il fallait que tu te ressaisisses. « Tu comptes m'accompagner jusqu'à ma chambre afin de ramener mes feuilles ou me laisser une deuxième fois me démerder toute seule ? » Tu le regardais, espérant qu'il accepte de t'accompagner comme cela tu n'allais pas galèrer toute seule alors que lui aussi était en cause sur le fait.

Pour s'amuser, ça oui, il se marrait. Il avait beau apprécié Grace, le masque social était plus important à ses yeux qu'une amitié avec une fille qu'il finirait sûrement par ne plus revoir une fois sa carrière politique lancée. Son sourire s'étire un peu quand elle se remet à râler. Cherchant des yeux la parfaite victime pour pouvoir répondre aux demandes de la jolie brune, il finit par se décider pour un boutonneux que la nature a malheureusement bien moins gâté que lui, l'arrêtant en le pointant du doigt. "Eh toi. Passe moi ta veste." Pas un merci, ni un s'il-te-plaît. Il espérait que sa réputation sévère suffise à faire poids dans l'esprit de ce looser. Mais quittant son regard froid, il lui sourit un peu, comme pour le mettre dans un genre de complicité de quelques secondes. "C'est pour un acte de charité. Cette fille n'a pas de quoi s'habiller correctement." Penchant la tête vers Grace, il lui adresse un sourire un peu moqueur, habituel de leur jeu dans les couloirs. Finalement, le boutonneux se décide à lui passer son blouson noir, tendant même la main dans l'espoir d'obtenir un high-five. Mais fallait pas charrier quand même. Revenant vers Grace après avoir laissé le geek sur sa faim, il lui passe la veste autour des épaules, lui posant ses feuilles sur le tas qu'elle tient en main. Nouveau sourire ironique de sa part. L'aider ne faisait pas partie du jeu, malheureusement pour elle. "Tu as du mal à aligner un pied devant l'autre ou tu voulais de l'aide pour enlever tes vêtements trempés ?" Bien sûr, il ne dit pas ça, à haute voix, se contentant de le lui murmurer. Il ne faudrait pas que tout le monde aille s'imaginer qu'il était véritablement un porc doublé d'un connard.

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feat Grace & Humberto ✖ Tu te retrouvais d'un coup avec un blouson noir, puant la transpiration qui appartenait très certainement à l'une de ces bandes de geek boutonneux qui pullulait dans Harvard. Enfin bref, tu te dévêtus aussi rapidement que possible de cet habit afin que son propriétaire puisse le récupérer. Un regard menaçant à l'égard d'Humberto lui faisant comprendre que ce n'était sûrement pas le bon moment de faire des blagues de ce goût alors que ce dernier venait murmurer un autre pic à ton oreille. Tu te retournais, prenant toutes tes feuilles avant de glisser un petit « Dommage! » à l'oreille du beau Dunster. Puis sans un geste, ni un mot de plus tu faisais volte face ne voulant plus entendre parler d'Humberto pour le moment et peut-être même jusqu'à la fin de la journée et plus encore. Il est vrai que la demoiselle n'avait pas l'habitude de réagir ainsi. Mais ces derniers temps rien allait. Noah qui l'avait prise pour une conne, Konrad qui lui avait dit qu'il ne se sentait pas avoir une relation avec elle et pour finir cette putain d'overdose qui lui a valu deux semaines d'hôpital. Tout Harvard pensait que la demoiselle était tout simplement allé rendre visite à sa mère pendant deux semaines mais, non. Et il fallait que personne ne le sache. Pour le moment, la demoiselle avait peur, peur de rechuter et peur que quiconque le sache l'envoie en cure de désintox.

Il sourit en la regardant s'éloigner. Il n'allait pas le nier, les femmes de caractère ça lui plaisait, encore plus quand elles faisaient mine de se désintéresser de lui. Parce qu'au vue des nuits qu'il avait passé avec la Mather, elle était loin d'être totalement désintéressée par le brésilien. Mais le jeu faisait partie de leur relation, tout autant que les pics qu'ils s'envoyaient à intervalles réguliers. Alors hors de question de la laisser partir aussi facilement comme ça. D'ailleurs ce n'était pas trop son genre de s'avouer vaincu aussi facilement alors ce départ précipité lui semble un peu bizarre. Peut-être qu'elle n'a pas envie de se prendre la tête aujourd'hui, mais ça c'est un peu le cadet de ses soucis. Humberto n'avait jamais été du genre à penser aux autres avant de penser à lui, préférant pousser les gens à bout pour obtenir ce qu'il veut. Alors il se met à marcher derrière elle, la suivant de prêt pour lui glisser à l'oreille quelques mots. "Je t'accompagne on sait jamais." Mais avant qu'ils n'aient fait beaucoup de chemin, il fait volontairement dévier le chemin pour la faire atterrir dans l'une des nombreuses salles vides de l'université destinées aux révisions -même si on sait tous que personne les utilise pour ça. Une fois la porte refermée, il passe ses mains dans ses poches en la regardant d'un air un peu hautain. "Alors St-James, t'as perdu ta langue aujourd'hui ?"

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feat Grace & Humberto ✖ Tu pensais t'être débarrassais de ce brésilien à la noix mais, le voilà te suivant finissant même par défier ton chemin pour t'emmener dans une salle de « révision », se postant face à toi les mains dans les poches et te questionnant sur ta langue. Il avait envie de s'amuser ? Ça tombait bien, tu avais finalement envie aussi. Posant doucement tes livres sur la table tu continuais à le fixer, le mesurant doucement du regard avant de venir te coller à quelques centimètres de lui. « Quelqu'un pourrais te voir ici avec moi. » Passant un doigt sur son torse tu poursuivais. « Ta carrière en serait anéantie. » Tu souriais en coin, Humberto ne pouvait pas et ne devait pas résister. Tu faisais tout par tes gestes et tes regards pour que le désir monte en lui. Tu avais envie de lui, de son corps enfin de tout quoi. Et une nouvelle fois il n'allait pas t'échapper aussi facilement après tout ce n'est qu'un mec une fois que tu as toucher le point sensible il est à toi. Ton regard venait alors pénétrais le sien avec douceur et sensualité. Dans tes yeux, il pouvait lire une part de félinité dût à ton corps svelte mais, aussi une part de coquineries. Après tout, il suivit juste que tu écartes les cuisses pour que Humberto se retrouve entre celle-ci. Déposant un baiser sur sa joue, tu filais rapidement. « Si tu veux vraiment, viens dans ma chambre. » Un petit clin d'oeil et te voilà monter pour l'étage de la Mather House dans lequel tu seras six minutes plus tard.

Son sourire s'étire quand elle s'approche de lui, encore plus en sentant ses doigts courir sur le tissu de sa chemise. Il ne pouvait pas le nier, Grace éveillait rapidement chez lui une envie animale, primaire, qu'il avait du mal à réprimer. Et son comportement actuel n'aidait en rien à calmer le brésilien. Au contraire, une agréable chaleur semblait avoir gagné la petite pièce. Les paroles taquines de sa compagne de jeu, la situation, tout contribue à réveiller chez lui une envie qu'il ne pensait pas vraiment avoir à ce moment précis de la journée, entre deux cours. Mais la proposition de la jolie brune suffit à lui faire définitivement tourner la tête alors qu'il pose une main sur la sienne. Avant qu'elle n'ait pu ouvrir la porte, il l'attrape un peu plus fermement, l'attirant contre lui avant de glisser une main le long de sa nuque, juste sous son carré brun. Ses lèvres effleurent la peau de son cou avant de s'y attarder plus longuement, comme un avant goût de ce qu'elle avait pu lui inspirer en si peu de temps. Plongeant son regard dans le sien, il s'écarte légèrement d'elle, l'air de rien. "A tout de suite alors." Les mains dans les poches, il regagne le couloir pour prendre un autre chemin que le sien même si la destination est la même. Il ne lui faut que dix petites minutes pour rejoindre la maison des Mather discrètement. Heureusement en pleine journée, les chambres et couloirs étaient désertes, la plupart des gens préférant se balader ou vaquer à leurs occupations d'étudiant. Frappant doucement, il attend patiemment que la jolie brune lui ouvre, histoire de continuer leurs petites joutes peut-être pas seulement verbales.

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feat Grace & Humberto ✖ Tu voulais t'amuser avec lui, finalement il venait de te clouais sur place, car il venait tout simplement de te rendre addict pour une courte durée à son corps, à ses lèvres, à ses mains froides sur ta peau en ébullition enfin à tout de lui quoi. Tu venais à peine de le quitter que tu avais déjà envie de le revoir, retirant ton haut tout trempé tu allais le mettre à sécher faisant de même avec ton jean lorsqu'on frappait à ta porte. C'était sans aucun Humberto, c'est donc en sous-vêtements tout sexy que tu allais lui ouvrir la porte. Prenant son col de chemise entre tes doigts tu l'attirais à l'intérieur de la pièce, refermant par la suite la porte derrière lui. « Si quelqu'un t'as vu ici. Je crois que tu peux dire bye bye à tout ton petit monde chéri. » En valais-tu vraiment la peine ? Après tout, tu n'étais qu'un coup parmi tant d'autres. Noah, Konrad ils ont tous joué avec toi. Humberto aussi il joue mais il joue surtout avec le feu, car si un jour vos petites aventures coquines se sait dans Harvard le beau brun peut dire au revoir à sa réputation de charmeur correct et de bosseur. Cela t'amusait et en même temps t'excitait. Il était tellement virile. Le poussant doucement sur ton lit avec un sourire en coin tu venais te mettre à califourchon sur lui. « Ne discutons pas toi et moi savons très bien que cela ne sert à rien. » Tes mains glissaient sur les boutons de sa chemise, les détachant un par un alors que tes lèvres venaient se plaquer aux siennes.

L'impatience et la peur de se faire surprendre dans les couloirs de la Mather ne faisaient que renforcer cette adrénaline qu'il ressentait à chaque fois qu'il se retrouvait avec une fille qu'il jugeait non fréquentable. Mine de rien, le Dunster bien sous tout rapport aimait prendre des risques et mettre au défi sa chance légendaire qui l'avait conduit aussi loin dans la vie. Alors quand elle lui ouvre, si peu vêtue, il ne peut réfreiner un sourire en coin de prédateur prêt à fondre sur son innocente -pas si innocente que ça - petite proie. Il hausse un peu négligemment des épaules à sa remarque. "Personne ne m'a vu et je vois pas ce qu'ils pourraient me faire de toute façon. Y a plein de moyens de faire taire les gens." Et il avait déjà une idée de comment interrompre cette conversation de trop alors qu'il reluquait sans aucune gêne la jolie Mather. Il se laisse tomber sur le lit, se relevant sur les avant-bras alors qu'elle s'approche pour grimper à califourchon sur son bassin. Et à ce qu'elle dit, il n'a même pas le temps d'approuver qu'elle vient l'embrasser. Rapidement, il se redresse pour se délester de sa veste de costume et l'envoyer valser dans un coin de la pièce avant de poser une main sur ses hanches pour l'attirer plus près contre lui. L'autre glisse sur sa nuque pour appuyer un peu plus ses lèvres contre les siennes, laissant échapper la fougue qu'il aurait bien eu du mal à contenir si elle l'avait laissé en plan dans la salle d'études tout à l'heure.