❝ la monstruosité
se trouve dans
son
regard
naissance
bulgarie, 17 août 1995
nom(s) & prénom(s)
Anastas Ulrik Klovask
nationalité(s)
Bulgare / américain
origine(s)
mère aux origines suédoises, père bulgare
orientation sexuelle
bisexuel
statut amoureux
célibataire, bien que les choses soient étranges
études
étudiant en business, gouvernement et économie international
bourse
non boursier
statut social
riche
job étudiant
sans job
maison
pforzheimer
admission à harvard
routine élégante, machinal d'un système scolaire implacable, poussé. Tradition spectrale d'une famille trop à cheval, le choix n'était autre qu'une obligation, qu'un avenir précieux, déroutant. L'échec n'était pas nommable, envisageable. Dossier d'admission pleinement rempli, papiers qui s'entassent, qui n'ont de sens que ceux qu'on veut bien leur donner. Administration risible, ancestral, que d'autres jugeraient probablement inutiles. Sats, énigme morbide engageant la compétition des plus grands, écrasant les plus faibles. Résultat qui s'élève à 1506, pas assez pour les Klovask aînés, froncements de sourcils, exaspération lisible. Rage dormante qui s'infiltre, mais assez pour continuer le parcoure. Essay qui porte sur l'écologie, parce que la planète s'en amuse, que le sujet est sensible, parfois percutant, parfois inutile. Il a pourtant passé des heures dessus, s'investissant, cherchant l'idéal, cherchant la montagne. Entretient aux sourires faussés, aux allures d'ange. Apparences qui s'amuses, trop facilement. Le démon s'englobe de son plus beau costume, pour paraître inoffensif alors qu'il se murmure qu'un jour, il sera davantage qu'un simple doyen...et les portes s'ouvrent enfin, devant son nez. Nouvel étudiant aux couleurs de Harvard, bonjour la prospérité.
caractère du personnage
élégant | charmeur | attractif | manipulateur | sournois | passionné | possessif | imprévisible | instable | peureux sentimentalement | courageux | bagarreur | fêtard | élitisme | attentif | observateur | sanguin | artiste | joueur sur les apparences | peu s'avérer romantique | fidèle en amitié | méfiant | rancunier | curieux | tourmenté | attentif aux détails
anecdotes
(I) enfance aux horizons lointaines, mensongères. Aîné d’une fratrie de trois, premier arrivé, premier servi. Dicton qui résume élégamment cette situation légère, d’enfants gâtés, placés sur un piédestal bancal, fragile. Fils d’une communauté aux richesses certaines. Empire pétrolier paternel, empire de beauté maternelle. Sourires moqueurs quand on y songe, là où les enfants hériteront sans avoir à soupirer, à murmurer. Richesses bulgare, appartenance d’un horizon sauvage où l’être humain est davantage plus féroce que les bêtes tapies dans l’ombre des arbres courbés d’une propriété anormalement grande. (II) enfant intelligent au regard océan. Il attire les sourires autant que les questionnements. Trop mystérieux, trop silencieux, pour son jeune âge. L’espoir est trop grand, placé sur ses épaules trop petites. Il sera l’héritier, il sera le premier, simplement parce qu’il a expiré avant son jumeau. Façon de pensée archaïque, et pourtant, belle et bien en vie. Il devra se marier, il devra engendrer, il devra conquérir, toucher les étoiles. Et pourtant, l’enfant ne rêve que de liberté élégante, de danse dans les flaques de boues...il veut jouer sans penser, il veut crier sans se retenir. Rêves qu’il gardera pour lui, gardant la tête haute, le dos droit enveloppé dans son costume pour enfant. Oh oui, il est tellement élégant, le gosse à la chevelure d’or. Mais qu’il a un regard si triste. (III) Il a grandit, Ulrik. Les traits enfantins se sont changés, en un charmant minois aux apparences furtives. Sourire en coin, regard charmeur, pétillant de cette malice presque malsaine. Roi de son monde, roi de ses ambitions, de ses rêves...peut-être. Incertitude qui plane, toujours. Pantin aux doigts de parents trop durs, trop strictes. Ils en veulent toujours plus, sans relâche. Alors il apprend à jouer, à sa façon, dans l’ombre. Baisers volés, caresses effacées, alcools sinistres, drogues passagères. Pourtant, personne ne semble voir, que le mal le ronge, que c’est trop, toujours trop. (IV) Éloignement furtif de sa fratrie, lentement, sûrement. Il a préféré sa solitude, plutôt que le poids du rôle de protecteur d’aîné. Déjà trop à gérer, déjà trop à savoir, à faire, à comprendre. Responsabilités qu’il se doit d’accomplir, dans l’excellence, dans la dignité sournoise des faux semblants. Et il a fini par entrer à Harvard, marchant sur les traces des siens, comme un besoin d’accomplir ce qu’on attend de lui. Gentil petit soldat qui se fraye un chemin dans cette population d’étudiants. Regard pétillant, les fêtes s’enchaînent, mais les notes restent excellentes. Il est là pour ça, Ulrik. Paraître pour ce qu’il n’est pas. Et le poids devient de plus en plus étouffant, la corde se resserre autour de sa nuque. Caresse morbide. (V) Aujourd’hui, l’enfant n’est plus, étouffé par les vestiges de ruines d’excellences. Maison intégrée par facilité, peut-être. Il vise les étoiles, frôle la lune, le soleil, les astres. Il en veut plus. Carnivore, prédateur. Il veut davantage de frissons, il veut davantage de caresses, davantage de sourires. Il veut plus que de simples espoirs, que de simples ricanements faussés. Mais vouloir plus c’est dangereux...
(VI) Homme joueur, aux dents longues, aux envies amusantes. Les défis sont toujours relevés, poussés vers des limites insatiables. Besoin dévorant de sentir l’adrénaline, le pouvoir courir le long de sa peau aux frissons avantageux. Le contrôle. Toujours le garder, jamais le laisser s’échapper. Précieux sentiment, même envers ses émotions, envers son myocarde qui bat, quelquefois, passionnément. Mais aimer, c’est faire preuve de faiblesse, se mettre des bâtons dans les roues de façon volontaire. Il ne peut se le permettre le joueur, préférant s’enchaîner une nuit à un corps, que plusieurs mois à des lèvres. Cependant, il se surprend, parfois, à se demander si il n’attend pas cette personne qui le fera chavirer vers des abysses plus sombres ou encore, plus claires. (VII) Artiste aux apparences élégantes. Crayon en main, les formes s’enchaînent, forment des visages, des paysages. Il a du talent, gâché, étouffé. Il aime ça, secrètement, clandestinement. Souvent, il dessine pour s’évader, échapper à une réalité affolante. Son pêché mignon, sûrement, qu’il ne dévoile pas, jamais. Carnet bien caché aux yeux des curieux. (VIII) Bénévole dans un refuge, par plaisir, pas par obligation...une chose qu’il a décidé, de lui-même, comme un signe de rébellion puéril, stupide. Qu’importe, son choix est fait. Il s’évade dans ce refuge, aide ces abandonnés d’une vie trop cruelle. Il aide, comme il peut, abandonnant ses vêtements élégants, pour des habits plus sobres. Si ils osent en rire, Ulrik s’emballe, sort de ses retranchements, de sa bulle de calme. Personne ne peut rire face au malheur de ceux qui ne peuvent se défendre. (IX) Paroles qui ne se tournent jamais vers sa famille. Habitude qui caresse son derme, là où il refuse d’être identifié à son jumeau, à son père. Propre identité, il veut s’élever seul, en complémentaire avec la richesse des siens. Parce que l’argent coule à flot, tel un torrent amer qui offre de multiples possibilités. Il s’en amuse, le jeune homme et s’offre une vie terriblement confortable. Luxure tatouée sur la peau, il ne peut exister sans ce confort que beaucoup ne possèdent pas. Cependant, il n’en a que faire des autres, égoïste, il préfère fermer les yeux devant la pauvreté et chérir ses nombreux zéro. (X) Et ça cache bien des choses, ces paroles, ces actes, ces sourires...les blessures sont profondément ancrées, les apparences profondément cachées. Il n’existe pas, ne fait que survivre de façon élégante, de façon sauvage. Maître des apparences, maître des machinations, des manipulations. Il a apprit à s’oublier dans ce monde, à s’effacer, à briser sa propre personnalité. Qui est-il? A qui appartient ce reflet, que renvoie ce miroir glacial? A qui appartient ce coeur, qui palpite dans sa poitrine? Qui est-il, vraiment? Un monstre sans visage? Une rose aux épines suaves? Un gosse qui n’a jamais pu grandir? Ou, simplement, personne? (XI) Et le monstre évolue, mord, griffe les entrailles, les âmes, les cœurs. Prédateur dans un monde qu’il croit sien, dont le palpitant semble s’engourdir. Et pourtant, la passion semble s’évertuer à le détruire, comme une rose que l’on jette dans le feu ardent d’une bien triste vérité. Il s’égare, à plusieurs reprises. Il joue, trop souvent, avec les autres. Parce que ça l’amuse, parce que ça le fait vibrer. Il danse parmi les silhouettes, possède les esprits, les exploitent, les écrasent...jusqu’à ce qu’il tombe, se perde dans l’agonie de ses propres conneries. Sa rose, sa ronce, sa meilleure amie. Trois personnes qui font en sorte de le sortir de ses méandres, rendant son existence chaotique. Mais quand le loup réapparait, refait surface, le monstre s’incline, se donne, s’abandonne. (XII) Albus. Prénom qu’il connait que trop bien. Loup affamé qui l’a déjà abattu une fois, abandonné dans cette jeunesse élégante et sombre. Pourtant, les démons se retrouvent, le condamné s’imprègne de ce que le plus vieux lui donne. Et si l’amour est beau, le leur est sournois, anarchique, mais tellement réel. Ils se domptent mutuellement, mais la blessure ne se ferme pas, jamais. Ulrik sent ce myocarde s’affoler, les caresses l’enivrer. La peur...monter. Mais il s’accroche, parce qu’il est tout pour lui, sans jamais l’avouer. Cet homme lui a foutu une muselière dont il n’essaye même pas de s’échapper. /w>(XIII) Relation d’une nuit qui passe, gosses qui arrivent. Jumeaux. Le monstre devient père, le loup l’accepte non sans grincer des dents. Et tout ça, ça le dévore, le diable. Il n'est pas prêt pour ces changements, mais quand il se perd dans les bras de l’autre, ses pensées semblent s’atténuer...Pourtant, il suffit d’un mail, d’un coup de téléphone pour que le Bulgare prenne ses affaires. Un dernier regard sur le loup qui dort, une dernière caresse et le voilà filant sans un mot, sans un message. Rappel d’une agonie lointaine. A lui de crever sur place, au monstre de creuser sa tombe. Ulrik quitte Cambridge, retour en Bulgarie, là où sa famille fait pression. (XIV) une année passe, le monstre redevient ce qu’il a été. Voyant souvent ses enfants, sans jamais reprendre contact avec son ancienne existence. Mais son visage le hante, son myocarde atrophié semble avoir cessé de battre, ses poumons de réclamer de l’air. Mais le Bulgare vit avec, renforce ses barrières...Jusqu’à ce qu’il n’y parvienne plus. Un retour à Harvard qu’il n’avait pas prévu, une guerre interne avec sa famille pour récupérer sa liberté. Seule condition à son retour, ne pas revoir le loup. Chose impossible. & irl, ça donne quoi ?
pseudo bitchface/soulpoison
âge 30 ans
nationalité belge
forum connu par... le temps
ILH, j'en pense quoi ? on y revient toujours, c'est le seul forum ou l'on se construit une véritable famille
autres comptes ?avatar utilisé Bill skarsgard
crédits images baalsamine
nombre de mots par rp je m'adapte à mes partenaires
type personnage inventé
code étudesbusiness, gouvernement et économie international ;; harvard business school ;; septième année ;; 2021-2022 -
- Code:
@"a. ulrik sklovask" » <i>(business, gouvernement et économie international)</i>
job étudiant :code métiernom du lieu + nom du métier : explicatif pour remplir correctement - Code:
@"Pseudo du personnage" » <i>(nom du poste occupé)</i>
code bottin - Code:
<span class="pris">BILL SKARSGARD</span> <span class="inv"></span> @"a. ulrik sklovask"