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« Chez Dutch & Snow
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19 12 2021 »

Qu’il récupère les papiers, qu’il les foute dans un tiroir et qu’elle n’ait plus jamais à les affronter. Cette maison, elle ne viendra jamais la revendiquer. Constatant combien l’idée semble lui déplaire, elle n’en démordra pas, plutôt brûler en enfers. « Tu ne comprends pas. » Elle en jongle de son regard, sur lui puis sur l’autre, tout en essayant de maitriser sa respiration, de plus en plus mal à l’aise dans cette situation. Elle ne veut pas le bateau, pas la maison… « Snow va partir » Parce qu’il a un escargot prénommé Mila, elle a saisi, ça va. Elle n’a pas besoin qu’on lui fasse un schéma. « Je n’ai jamais existé, pour cette maison » D’où le petit laïus sur les problèmes avec la justice, au risque de te surprendre, Joey, elle n’est pas aussi stupide que l’autre couillon.

Elle a beau la tourner et retourner dans tous les sens, elle ne voit toujours pas l’intérêt de cette discussion. « Et je ne retournerais pas au Sidh. » Lèvres légèrement abaissées, en même temps que son visage, que plusieurs fois, elle va hocher. Par la positive, elle ne peut qu’approuver, comme si elle allait lui demander de retourner au Sidh après cette année. « C’est toi qui n’as pas compris. » ce qu’elle veut, ce qu’elle a dit, et elle déteste devoir amorcer cet aspect face à Snow en train de les regarder. Comme s’il était assis au spectacle, alors qu’il a craqué l’allumette de cette débâcle. « Je te mets pas dehors, » elle en est incapable, elle n’y a même pas songé, l'idée elle ne l'aurait jamais traversé, son esprits aliéné. C’est au fait qu’il ne veut pas d’elle à ses côtés qu’elle vient surtout de se heurter, à ses volontés de vivre à jamais avec son pote d’enfance plutôt qu’avec Joey. « Tu gardes la maison, » le bateau, qu’importe ce qu’il y a d’écrit sur la donation, « je reste chez moi, » elle est teintée d’aigreur, sa voix, « et personne ne va au Sidh. » excepté pour travailler, et afin de laisser libre cours à leurs besoins, amants qui apprécient se retrouver dans cette chambre ayant abritée leur première nuit. « C’est bon, c’est fini ? » Burns est interrogé, souhaitant mettre un terme à cette connerie. « Beuh. » il en a perdu de sa verve devant leur échange miséreux, elle l’applaudirait presque pour le fait qu’il n’essaie pas de rajouter de l’huile sur le feu. « C’est ce que je me disais aussi. » Prête à se relever, décidée à se tirer d’ici.

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(Invité)

ft. @Joséphine Porter
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Near the campus
Buper's House
19/12/2021

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Il aura foutu un beau bordel rien qu’avec cette décision que lui seul a prise, Joey commençant déjà à s’exciter. « C’est toi qui n’as pas compris. » Pourtant le choix est simple : soit elle accepte de coucher son nom sur ce papier et de le signer, ce qui ne l’engagera en rien, je le promets, soit cette maison finira entre les mains d’un autre qui viendra s’y installer après l’avoir achetée, parce que Snow ne gardera pas un bien officiellement inoccupé. « Je te mets pas dehors, » Un peu en vérité. J’ai toujours été le cerveau de l’opération, ai depuis le premier jour reluqué cette maison et maintenant qu’il faut réfléchir au mieux pour récupérer ce bien, c’est « Tu gardes la maison, » sous condition qu’elle accepte d’entendre raison, qu’elle vienne ici puisque je suis dépendant d’une présence pour ne pas attirer l’attention, un réel poids pour autrui. « Je reste chez moi, et personne ne va au Sidh » Autrement on ne change rien et les voisins ne tarderont pas à comprendre qu’il y a un réel problème. C’est un petit quartier huppé, tranquille où les problèmes sont évités mais la mentalité reste la même : au premier doute, au premier écart qui pourrait attenter à leur vie, le premier de leurs réflexes est de décrocher le combiné et Dieu sait que dans cette ville les rumeurs se propagent vite.

Alors pendant qu’elle se penche sur le cas de Snow, je me suis redressé avec la ferme intention de regarder par la vitre le quartier où rien ne semble pour le moment bouger avant de lui demander, aigri. « Soit, Joey. J’mets quel nom à l’entrée ? Cooper ? » Autant qu’elle comprenne…. Il en faut un et ne pas en mettre, c’est la porte ouverte aux soucis. Alors la paume contre l’encadrement ma voix, plus pensif, s’est adoucie. « Si tu ne viens, je ne peux pas rester. » Du moins pas ici.

(Invité)

04/11/2012

A. SNOW BURNS - LE GRAND - L'UNIQUEJ’ai la foutue impression de revivre le divorce de mes parents lorsque j’étais enfant ! Non, je ne veux pas, arrêtez-vous, ne me faites pas ça ! Bon, on passera sur le fait que mes parents n’ont pas divorcé, et que je suis – comme d’habitude – en train d’overréacté. Oui, le mot est à peu près inventé, mais je me donne le droit de l’utiliser. La vérité, c’est que je m’attendais à tout, sauf à ça, donc je me demande, forcément, où j’ai merdé dans le contrat.

Il fallait bien que sa chieuse trouve un truc à redire dans le fait d’hériter d’un bateau, d’une baraque et d’un chien. De toutes les femmes du monde, il est tombé sur la plus compliquée. Qui gueule sur lui, puis sur moi. Chose à laquelle je ne réponds qu’un « Beuh » parce que clairement, j’ai loupé quelque chose que je ne vois toujours pas.

Mais alors qu’elle s’apprête à partir, Dutch se relève aussi, « Soit, Joey. J’mets quel nom à l’entrée ? Cooper ? » je voulais simplement faire plaisir, un dernier acte de bonté avant de me tirer. « Si tu ne viens, je ne peux pas rester. » Merde, ça me tilte juste là, dans le regard qu’elle lui balance et qui pourrait incendier tout le quartier. Les femmes toujours trop compliquées. Sauf que celle là, ce n’est pas mon problème, c’est à lui de la gérer. D’ailleurs, Dutch, les vis, faudrait penser à les resserrer. « Jo’… » j’ose, un brin penaud, « faut que tu signes les papiers. » Après, vous vous arrangerez comme vous le voudrez, ce sera plus mon souci, c’est la vôtre, pas la mienne de vie. Je voulais juste frapper un grand coup, avant de partir d’ici. En un sens, je suis servi.

@Dutch B. Cooper

(Good Morning Boston)

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@Dutch B. Cooper

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19 12 2021 »

De sa langue, la rousse, aigrie, détaille l’émail de ses dents, elle attend inconsciemment, une quelconque réponse de son amant. Un signe qui pourrait lui prouver que ce qu’il désire, dans le fond, c’est de la voir rester. Que c’est une de ses volontés. Et pas seulement une imposition orchestrée par Snow, elle souhaite qu’on la retienne, Jo. Qu’on lui prouve qu’elle est voulue. Indépendante déchue.

Mais avant de prononcer quoi que ce soit, Dutch se dirige vers la fenêtre, et l’interroge le ton de sa voix teintée de contrariété, elle qui espérait la trêve. « Soit, Joey. J’mets quel nom à l’entrée ? Cooper ? » Elle aussi, à nouveau debout, elle se désole en un soupir, les bras croisés contre sa poitrine. Si ce que ça, la difficulté, l’autorisation d’utiliser son patronyme, elle vient de te la donner. « Si tu ne viens, je ne peux pas rester. » moins virulent lorsqu’il souffle ses mots là, sauf que ça ne change pas grand-chose de ce qu’elle, elle croit. C’est bien pour cette raison qu’elle lui décoche un regard, séditieuse à souhait. « Jo’… » une œillade accordée, craintive de voir la fin de son prénom arriver, elle n’est plus encline à prendre part à ses envies de jouer. « faut que tu signes les papiers. » Aussitôt, elle talonne, parcourt la longueur de la table afin de se retrouver à côté de Snow, « Stylo ? » elle ordonne de toute sa candeur, et il ne se fait pas prier pour le lui tendre, indexe la ligne sur laquelle elle doit parapher, elle s’exécute, sans sourciller. Rapidement les lettres J.P. sont écrites sur les deux pages, ainsi que son nom en intégralité… « Heureuse de pouvoir servir. » à leurs magouilles, à leurs délires, elle ne peut s’empêcher de le dire. Puis au lieu de partir, elle reporte son attention sur l’homme qui partage son quotidien, « J’ai besoin d’une cigarette. » en ouvrant la baie vitrée qui mène jusqu’au jardin, suivie de près par son nouveau chien.

(c) DΛNDELION

(Invité)

LE 19/12/2021
Buper's House

@Joséphine Porter

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Ils n’entendront jamais raison, ni elle ni lui, parce qu’ils ont tous les deux suivis leur propre façon de penser. Mais celui qui est en cavale depuis le début de cette histoire, c’est bien moi et personne d’autre. Alors s’il était judicieux à première vue de faire signer Joey, le fait qu’elle se refuse à faire acte de présence ici quotidiennement signe la fin de cette aventure. Alors soit, je perdure à contempler une dernière fois les amas de feuilles que les employés ont laissés trainer à même les caniveaux, obstruant l’écoulement des dernières averses. « Jo’… faut que tu signes les papiers. » Inutile de les en empêcher, aucun des deux n’admettra que ce plan est foireux, une entreprise vouée à l’échec parce qu’aucun ne sait par quoi je suis passé. Dans mon dos, de ses talons elle martèle le plancher jusqu’à brusquement s’arrêter. « Stylo ? » Il ne lui faudra que quelques secondes pour en émarger la totalité et faire claquer le stylo contre le bois une fois qu’elle en a terminé. « Heureuse de pouvoir servir. » Et dire que c’était un quartier si paisible, choisit judicieusement parce que proche de toutes commodités et facile d’accès, un jardin public à proximité… « J’ai besoin d’une cigarette. » L’intonation fait écho à mes oreilles, visiblement ciblé alors que je ne me suis pas encore retourné, observant en glissant les mains dans mes poches le quartier. Le bruit de la baie vitrée suivi par les griffes de ce sac à puces sur les lattes boisées et voilà qu’elle a disparu pour assouvir un besoin, tenter dans la nicotine de se calmer.

On va tenter de relativiser, haussant les épaules pour enfin m’adresser de face à ce faux frère sur le point de tout abandonner. « Ça aurait pu être pire. » La connaissant elle aurait pu nous envoyer joyeusement promener, faire de cette maison un bien dont personne n’aurait souhaité. Cela dit, sans Burns, comment expliquer qu’un homme puisse vivre ici sous le patronyme d’une femme sans qu’elle ne soit visible par autrui… La supercherie ne tiendra qu’un temps et je ne peux me permettre de vivre ainsi, l’égo meurtri. Délaissant la vitre je me suis rapprochée du donateur pour lui tendre la main, l’une des dernières accolades fraternelles, en espérant qu’il comprenne que je le remercie d’avoir été là durant toutes ces années. « J’vais m’arranger, » comme toujours.
Finalement c’est vers la baie vitrée présentement ouverte que j’ai bifurqué pour aller la chercher, ne pouvant la laisser grogner dans son coin seule plus longtemps, à ronger son frein. Tirant déjà silencieusement sur le cône allumé, le chien à ses pieds, je me suis arrêté à ses cotés pour me retourner et contempler le pan de la bâtisse les yeux relevés, murmurant calmement mes dernières volontés. « Fais-moi plaisir. Vends-la, » parce qu’il ne s’agit que de la garçonnière de deux cons qui ont cru un jour se jouer du temps…

MADE BY @ICE AND FIRE.

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@Dutch B. Cooper

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19 12 2021 »

Sur l’escalier de la terrasse, Joséphine prend place. De ses doigts longilignes, elle extirpe de son sac à main le paquet de cigarettes recherché, en détaille une, la pose entre le vermeil de ses lèvres, et l’enflamme par un automatisme qu’il n’est plus nécessaire, pour elle, de calculer. C’est depuis des années qu’elle laisse la nicotine la bouffer, entre autres choses, ces vices quasiment démodés tant elle saurait, par cœur, les lister.

Dans ses tympans, elle entend des bourdonnements, résultant, de son énervement, pour finalement s’éteindre à la faveur de la baie qu’ouvre son amant. Elle lui lance une œillade, teintée de noirceur, faute de ce qu’elle éprouve en son intérieur. Joey grossièrement vexée que ce ne soit pas lui qui lui ait proposé d’emménager. « Fais-moi plaisir. Vends-la, » de mieux en mieux, cet aparté. Gagne et perdre une maison dans la même journée. Elle n’entend pas ce qu’ils veulent, à la vérité. Elle en crache un soupir, et sur la cigarette plutôt que de parler, longuement, elle tire. Fermant ses paupières, sans mot dire.

De ses phalanges délestées, elle souligne l’arc de son menton, réflexionne avant de prendre position. Au sens propre comme au figuré, elle finit par s’assoir, sur le précédemment cité, escalier. « Je ferais ce que tu veux, Dutch. » Respire la nicotine, suit Guizmo du bleu de ses yeux, « J’en ai rien à foutre de cette maison, » incisive et honnête, comme seule Joey sait l’être, « elle est à toi. » et ce n’est pas une signature qui changera quoi que ce soit.

(c) DΛNDELION

(Invité)

LE 19/12/2021
Buper's House

@Joséphine Porter

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Encore une histoire que cette maison ne saura raconter à ses futurs propriétaires, une page qui se tourne, celle d’un livre à l’auteur anonyme. De nouveau la silhouette de Joey perd de la hauteur, préférant s’assoir comme pour assumer le poids de tout ce qu’elle vient d’accepter, lourdeur sur des épaules si menues… Merci Snow pour cet héritage empoisonné. « Je ferais ce que tu veux, Dutch. » Un regard lui est délégué, détournant les yeux de cette bâtisse pour laquelle j’ai dû lutter afin d’observer ce qui me tient le plus à cœur maintenant, détaillant ses traits fins et grisés pour lesquels je lutterais jour après jour, dans le seul espoir de la garder à mes côtés. « J’en ai rien à foutre de cette maison, elle est à toi. » Non Joey, c’est là où tu te plantes depuis longtemps, civiquement je ne suis plus personne. Alors m’asseyant maladroitement à coté, au rythme d’une respiration saccadée, je me suis retrouvé dos à cette baraque pour faire front à ce jardin où les hivernales commencent à bourgeonner. Le chien n’a pas bougé, lui, conservant son air d’abruti fini, « tel chien tel.. » maitre, puisqu’il ne comprend rien à la situation et comment le pourrait-il… « Vends-le, lui aussi. » Il ne t’apportera que des malheurs, une source d’ennuis je te le garantis.

Alors à défaut de pouvoir le pousser discrètement du pied pour écarter ce nuisible du décor, parce que l'acte risquerait de l'offusquer, je préfère de loin l'oublier, de faire abstraction de cette chose jusqu'à ce que ces halètements ne viennent à bout de ma patience déjà bien entamée. « Ce n'est pas ici que je m'vois finir...» mais plutôt au bord de l'eau, sur une ile. A quoi bon tout risquer si c'est pour se limiter à si peu, à cette petite maison de banlieue... « Avec toi. »

MADE BY @ICE AND FIRE.

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@Dutch B. Cooper

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19 12 2021 »

Ce qu’elle veut dire, c’est que ce n’est qu’un bout de papier, qu’elle vient de signer, que jamais elle revendiquera, cette maison comme un lieu qui lui revient de droit. Ses ongles éraflant sa nuque lorsqu’il vient s’installer à ses côtés. Elle inspire la nicotine, espérant que la fumée prenne assez d’espace dans son inconscient. Que ça embrume tout le reste, les songes qui lui rappellent combien, parfois, elle se déteste. Le paradoxe qu’elle est et dont elle ne se déleste. « tel chien tel.. » il débute sans pour autant terminer, arrachant un soupir voilé à la Joey, « Vends-le, lui aussi. » Mais en un sourire, en un regard, elle caresse les bourrelets de l’animal, le garde, ça lui serait égal. Seulement, elle se doit d’être honnête, elle ne parvient pas à s’occuper d’elle, c’est un fait récurrent. Elle rend les armes, d’un faible mouvement, son menton acquiesçant.

Malgré tout, elle reste silencieuse, s’en veut quelque peu d’être soucieuse, elle achève sa cigarette, rapidement, faute de l’avoir amené à ses lèvres trop de fois, en trop de peu de secondes, n’est-ce pas ? « Ce n'est pas ici que je m'vois finir...» Encore, par la positive, son visage oscille. Elle la vendra, cette baraque, accédant à ses volontés, indépendante devenue docile. « Avec toi. » Comme si ça allait de soi. Alors qu’elle a éprouvé si fortement le fait que ce n’était pas sa volonté de la voir partager son toit. Elle joue avec le mégot, entre deux doigts. Jusqu’à se brûler avec la partie incandescente, masochiste égarée dans les affres de son esprit. Si vite enflammée de l’intérieur, l’incendie s’étouffe petit à petit. « T’es pas commode, Cooper. » Comme si après un an, ça pouvait la surprendre qu'il le soit. Difficile à lire, à déchiffrer, et pourtant, c’est un ouvrage pour lequel elle serait capable de signer un contrat indéterminé. L’aimant jusqu’à déraisonner. « On vend. » Dès qu’il aura trouvé mieux que le Sidh en option. N’osant pas proposer son studio comme piètre solution. Luttant contre l’envie de jeter le reste de sa cigarette dans le jardin, de la libre, elle va prendre sa main. Défiant la tension restée dans la maison, sur ses lèvres, elle va trouver l’absolution. Se délectant de cette saveur dont elle ne se lasse pas, celui de sa peau, de sa langue, mélangée au goût du tabac froid.

FIN DU RP

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(c) DΛNDELION

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