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inner peace will calm any storm (poppy)

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Notre vie peut basculer à tout moment. J’en ai toujours eu conscience. C’est d’ailleurs mon ex qui m’a permis de constater que chaque être humain pouvait s’avérer être une menace. Nous ne savons jamais ce qui se trame dans les cerveaux de nos proches. Ils peuvent disjoncter à tout moment, alors songez aux inconnus que vous croisez tous les jours. Eux, c’est cent fois pire. Nous ne pouvons nous douter de leur malheur. Aujourd’hui, alors que je me promenais avec Astrid, -mon petit coeur légèrement enrhumé-, la peur s’est saisie de moi lorsqu’un pauvre homme s’est mis à braquer le bijoutier dans lequel je cherchais de quoi me faire plaisir pour Noël, à moi et à ma puce. Effectivement, Astrid voulait se percer les oreilles, alors nous étions en train de choisir sa première paire de boucles quand cet homme a hurlé dans la boutique tout en braquant une arme sur le directeur. Non loin d’être seules à cette période de l’année, je me suis rapprochée de toi, mon enfant dans les bras, collant son visage dans ma poitrine. « C’est rien chérie » Non, c’est malheureusement loin d’être rien. J’ignore à quel point cette personne est perdue. Je ne sais absolument pas si sa femme l’a plaqué la veille ou si son boss l’a viré hier. Le désespoir est dangereux. Ce type pourrait tous nous tuer et se suicider pour clore le spectacle. Le coeur qui bat à fond, la sortie bien trop loin pour tenter quoi que ce soit, je me suis finalement accroupie, Astrid en sanglots. « Chut, ne pleure pas, le monsieur est juste pas content » Et il pourrait nous faire sauter la tête, mais ça, je vais éviter de lui dire. « Vous pouvez appeler la police ? » que je t'adresse en chuchotant, la peur au ventre. #rplibre
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inner peace will calm any storm
@Gypsy Snyder  
De retour enfin à Boston et plus tôt que prévu. J'aime énormément Paris, mais c'était difficile d'être si loin de mes proches et surtout de mon petit ami. Il a fallu que j'apprenne que je suis enceinte pour que finalement sa soeur m'autorise à poursuivre mon stage chez Chanel à Boston. J'ai fait la surprise à mon chéri, il était content de me revoir et ce fût rempli d'émotions. Toutefois, j'avais pas prévenu ma meilleure amie Lola qui était venu à Paris pour me faire la surprise, je devais me faire pardonner. Alors, j'entre dans cette bijouterie, mes yeux contemplement la beauté de ces bijoux jusqu'à ce que je sursaute en entendant ces cris et la panique se lit dans mon regard quand je comprends ce qu'il se passe. Un homme est venu braquer la bijouterie, armé et ça m'a fait toute de suite repenser à ce moment horrible de ma vie... Lorsque j'étais qu'une enfant et que mes parents ont perdus la vie à cause de ce cambriolage... Un souvenir atroce qui me revient en mémoire. Je contiens mes larmes, mais je suis tellement angoissée. Mon dieu, j'arrive plus à respirer, j'essaye de reprendre ma respiration normalement, mais je ne contrôle rien. Je suis en panique totale, mais il ne faut pas que je le montre parce que je vois la jeune femme protéger sa fille. Elle dit que c'est rien pour la rassurer, pas facile quand on est menacés. Mes mains semettent à trembler et tu me demandes d'appeler la police. Je... Il pourrait me voir... Et ça serait une mauvaise idée... Chuchotais-je, parce qu'il pourrait nous tuer, ça se voit qu'il ne rigole même pas. Je sens ma gorge se nouer, mon coeur se mettre à battre rapidement, je ferme les yeux, tente de me calmer. Sauf que l'homme se rapproche de nous très lentement. J'ai peur... Instictivement je prends ta main, il faut se soutenir et se serrer les coudes. Ma puce, ça va aller, mais il ne faut surtout pas parler... Chuchotais-je à nouveau à ta fille. Sauf qu'il nous a entendu et se mets à hurler. FERMEZ-LA OU JE VOUS TUE ! Il a le rergard menaçant et se rapproche d'un peu trop près de nous. Alors je me tais, je sens que je vais frôler la crise cardiaque.
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Si j’étais seule, je ne paniquerais probablement pas autant. Pire que ça, j’essaierai d’agir pour que ce dégénéré cesse cette foutue prise d’otages. Mais aujourd’hui, je suis avec Astrid. C’est la prunelle de mes yeux, je mourrais sans hésiter pour elle. D’ailleurs, peut-être que le jour est venu. Peut-être que c’est le moment de prendre une balle pour elle. Je n’ai pas forcément peur pour ma vie, mais pour la sienne. Je l’imagine mal grandir avec son con de père. C’est un putain d’alcoolique et ses parents ne sont pas un meilleur exemple. Me rapprochant de toi et recevant ta détresse, je me dis que j’aurais plutôt dû m’éloigner. Si tu continues à respirer aussi bruyamment, on va s’faire capter. Nos mains qui s’attrapent, tu finis par prendre sur toi-même pour rassurer ma fille. Nos regards qui se croisent, le type se rapproche de nous et pousse une gueulante terrifiante. La salive péniblement avalée, je colle davantage le visage mouillé de ma petite blonde contre ma poitrine. « Ce n’est qu’une enfant, laissez-nous partir » Le flingue qui bouge un peu trop dans tous les sens, je me relève et passe Astrid derrière mes jambes. Durant ce temps, j’observe un client composer le numéro des flics. « Vous n’avez pas d’enfant monsieur ? » que je continue de l’interroger pour faire diversion. « JE VOUS AI DIT DE LA FERMER ! » Coup de gun dans la tronche, je titube vers l’arrière, piétinant le petit pied d'Astrid qui s'met à pleurer. Si on s’en sort, l’année prochaine ce sera shopping sur internet. Bordel, je dois avoir la gueule balafrée. Du sang coule de mon arcade. Je n’ai rien gagné, pas même de la pitié … Mes billes claires se lient ensuite aux tiennes, te transmettant toute la désolation que j'tentais de camoufler. On est foutu, esclave de ce pauvre type.
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@Gypsy Snyder  
Je sens que ma gorge se noue, que je suis complétement paniquée par les événements qui se déroulent sous mes yeux. C'est horrible de voir cet homme nous menacer avec une arme et de pouvoir rien faire. Flashback sur le passé, ce traumatisme que j'avais su combattre avec le temps. Tout me revient en pleine face, dans ma tête tout me remémore ces deux hommes qui se sont introduits chez moi en cette nuit et ont tirés sur mes parents. Leurs corps gisant au sol sous mes yeux alors que j'étais caché sous le lit. Mon dieu, il faut que je me calme, il faut que je me ressaisisse parce que c'est pas le moment de faire une crise d'angoisse. Mon coeur qui est prêt à exploser dans ma poitrine et mes mains qui tremblent attrapent les tiennes. Mes yeux qui se posent sur ta fille et qui espère qu'elle n'aura pas ce même traumatisme que moi, mais c'est loupé parce que l'individu est tellement impitoyable. Laissez partir l'enfant et sa mère... Au moins, elles. Parce que je ne vois pas l'enfant partir sans sa mère, il faut qu'elles partent toutes les deux, qu'elles se mettent en sécurité. Apparemment, il n'avait pas envie de négocier cette offre. Je me sens prise au piège, je ne sais pas quoi faire pour aider, impuissante. Je me mets de nouveau à sursauter en fermant les yeux et quand je les rouvre, je vois le coup de gun sur ton crâne. Je te regarde avec frayeur et surtout anxieuse, désolée pour toi. De plus, sa fille se mets à pleurer et ça commence à bien énerver l'agresseur. Je m'approche de toi et regarde de nouveau le braqueur. Vous êtes complètement fou, c'est quoi le but? Vous ne vouliez pas juste prendre l'argent, les bijoux et laissez tout le monde en paix? Je crois que j'aurais jamais dû parler comme ça, tout ça pour faire diversion aussi pour que le client appelle les flics. Je crois que j'ai surtout envie de sortir d'ici et même si je ne survis pas, tant pis pour moi. D'habitude de nature calme, je crois que les hormones prennent le dessus et je ne contrôle pas la colère qui s'émane de moi. Sauf qu'il s'approche de moi dangereusement, me fixe d'un regard noir des plus obscurs, je sens que je vais faire une crise d'angoisse à ce rythme, mon pouls s'accélère, je vois ma vie défilé parce que je crains pour ma vie. Et il pointe son arme sur mon crâne, se permets même de toucher mes cheveux, on voit qu'il veut qu'on sente qu'il a l'emprise sur nous, rien que ça j'ai envie d'hurler et de reculer, mais comment? Toi tu va venir avec moi, petite maligne. Et merde, j'ai signé mon arrêt de mort ou quoi? Mes yeux sont remplis de détresse et d'effroi. Il m'embarque avec lui, ouvre son sac et casse avec l'aide de son gun les vitres pour s'emparer des bijoux et les mettre à l'intérieur de son sac. Je reprends mn souffle, mais je me sens pas bien. J'ai un coup de chaud, la tête qui tourne. Je...Je dois m'assoir... Disais-je doucement. A voir si il va me laisser avant que je m'évanouisse.
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Le coup est parti. Les cris se font aussitôt entendre. J’sais qu’ils préfèrent que ce soit moi à eux. Je le lis dans leur visage, que la menace reste sur moi et qu’elle ne vienne pas vers eux. Mais toi, tu restes auprès de moi et tu me défends. J’admire ton culot, j’sais pas si j’aurais fait de même, surtout avec Astrid dans les pattes. Craignant pour ta vie, je serre ta main, comme pour te faire taire afin de ne pas t’attirer d’ennuis, mais c’est trop tard, tu as énervé le grand bandit. Il te choisit alors pour l’assister dans son braquage. Bonnie & Clyde. J’ai tellement envie d’agir, de lui péter les boules ou quoi qui puisse le faire regretter son acte à la con. Mes yeux bleus rivés sur toi, petite poupée innocente, je berce Astrid contre moi jusqu’à ce que le verre se brise et que les cris jaillissent à nouveau. Ce batard va traumatiser ma gosse. « Foutez-nous la paix, laissez-la, elle est tétanisée ! » Quelques chuchotements déposés à l’oreille de ma môme et je la laisse dans son coin pour aller t’épauler. Le flingue relevé vers ma tronche d’effronté, je cherche à raccourcir ce supplice en fourrant le maximum de bijoux dans son sac. « Content ? » Je cherche clairement les ennuis, mais de toute façon, ce n’est pas moi qui en aurais, mais lui. Il entend la sirène des flics ? Ça sent le roussi monsieur. Si j’étais vous, je me tirerais en courant. Alerté par cette mélodie angoissante, le voilà qui pointe son canon vers nous deux, à tour de rôle. « C’est vous qui les avaient appelé ??? » Mains aussitôt levées, comme pour prouver mon innocence, je te jette un regard sacrément paniqué. J’suis incapable de répondre, j’ai juste peur d’un truc, que ma gamine grandisse sans moi. « Non, ce n’est pas nous » Un tir en l’air, le néon explose et une pluie de débris tombe sur nous deux. Juste après, je sens les petites mains de ma fille qui serre ma cuisse. Les clients profitant de ce coup de feu, certains parviennent à s’enfuir, mais l'un d'eux s’prend une balle dans la jambe et tombe à terre. « On devrait attendre que la police rapplique, plus aucune vague ok ? »
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@Gypsy Snyder  
Vite que cet enfer s'arrête. J'ai l'impression que les secondes deviennent une éternité, que rien de tout ça est réel. Serais-je dans un cauchemar et j'arriverais pas à me réveillé? J'aurais bien aimé, pourtant c'est vrai. Je suis tellement tétanisée, j'ai trop peur et non pas que pour ma vie, mais qu'il tue une personne juste sous mes yeux me traumatiserais, je l'ai déjà été par le passé et voilà que maintenant ça recommence. La panique m'envahit et l'empathie me fait prendre un courage inouïe si bien que j'ai le culot et qui sait à quel point je suis timide, de prendre la parole et le confronter aux faits. Jamais j'aurais dû, il me prends maintenant avec lui pour l'embarquer dans sa connerie, l'aider à remplir le sac de ces bijoux qui se trouvent à l'intérieur de la vitrine et les débris de verres qui se brisent me font tressaillir. Je sens monter l'angoisse d'avantage. Comment peut-on oser terroriser des gens de cette façon? L'impression que je vais m'évanouir et tu viens à ma rescousse, on s'entraide, mais ça ne nous aide pas tellement. Tu te mets à lâcher ta fille pour me sortir de là et m'aider à remplmir son sac alors que je souffle, je respire profondément, j'essaie de me canaliser, garder mon calme. Sauf que la sirène des flics retentit et l'homme pointe son arme sur nous deux, je déglutis, je crois même que je tremble de tout mon être. Je ferme les yeux un instant comme si il allait s'en aller, mais le tir en l'air me ramène vite à la réalité et me fait sursauter, les rouvrant par la même occasion. Je sens la peur m'envahir et mes yeux s'écarquillent face à la terreur. Le néon qui explose, j'essaye de m'éloigner alors que les débris tombent sur nous et je crains être coupé, je ne veux pas regarder. Lorsqu'ils tentent de fuir, l'un d'eux se prends une balle dans la jambe, merde... J'hoche la tête de haut en bas à ta proposition. Ok... Je suis d'accord avec toi. Je ne sais plus quoi faire à part attendre qu'il s'en aille et reprendre une vie normale enfin j'espère. Pour l'instant je regarde ta fille d'un signe de tête pour la rassurer, prétendre que ça va bien se passer. Et te regarde en me mordillant la lèvre nerveusement. Quel cauchemar... J'suis traumatisée à vie. La police intervient, ça prendra quelques instants et l'homme n'a pas l'air de vouloir se rendre... Je crois que ça va être compliqué de se sortir de là et qu'ils vont devoir tirer sur lui pour nous sauver. Des longues minutes interminables à attendre leur intervention afin que tout se termine.
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C’est la poisse. Pourquoi cette bijouterie parmi tant d’autres ? Pourquoi nous ? Pleurer dans notre coin n’arrangera pas le drame que nous vivons. Je préfère en être actrice et prendre le risque de m’éteindre. Je ne pourrais pas vivre la conscience tranquille s’il t’arrivait quelque chose et que je n’ai rien fait pour l’empêcher. Alors je t’épaule dans la galère et tout à coup, le type tire dans le plafond. Le néon explose. Les débris tombent et les clients gueulent. Tout le monde se disperse et il y a bien un malchanceux qui s’prend une balle perdue. Hurlement de douleur, mon coeur se serre à l’écoute de cette plainte. La menace est réelle, on devrait se taire, ne plus bouger, patienter jusqu’à la libération. Il y a toujours le risque qui disjoncte et qui nous défonce tous un par un, mais il y a aussi la possibilité que les forces de l’ordre le neutralise. Dans l’doute, je te demande de faire profil bas. Tout doucement, je quitte le viseur de l’autre fou furieux et me planque derrière une vitrine. Bien évidemment, je te tire avec nous, hors de question de t’abandonner. « Ça va aller … » Je ne sais même pas ton prénom beauté, mais si on doit crever, ce serait bien que je connaisse ton identité, histoire de te retrouver au paradis. « C’est quoi ton p’tit nom ? » que je te demande dans le plus grand chuchotement. « Nous c’est Astrid et Gypsy, les inséparables » Ou presque. Quand son père ne me l’arrache pas, personne ne nous sépare. La police entrant ensuite en jeu, une sorte de grenade explose. Le magasin devient brumeux. Les ordres résonnent bizarrement. Et puis ça tire, ça crie. Quelqu’un nous ordonne de ne pas bouger, l’temps qu’ils immobilisent le preneur d’otages. « Ils l’ont eu, ce n’est plus qu’une question de temps pour que nous t’invitions à boire un coup »
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@Gypsy Snyder  
C'est horrible cette situation. Prise au piège à cause d'un fou qui nous menace avec une arme. Je l'ai bien senti son arme sur le haut de mon crâne et croyez-moi après ça tu fermes ta gueule et tu fais moins la maligne. C'est ce que je fais sans broncher, sans un mot à part que je sens que je vais m'évanouir. Heureusement que t'es là pour m'aider dans ce moment difficile. Je me sens coupable que tu dois laisser ta fille. Mais bientôt le calvaire sera terminé, je me sens soulagée à moitié quand les sirènes de la police retentissent, largement moins quand j'entends ce coup de feu qui fait éclater cette ampoule et vise la jambe d'un mec qui voulait s'enfuir. Tétanisée, complètement sous le choc et prête à pleurer, les hormones n'arrangent pas les choses. Au contraire c'est pire. Tu m'attrapes et je me cache avec toi derrière une vitrine et t'essayes de me rassurer, ça me touche parce qu'en plus on ne se connait pas. J'ai les larmes aux yeux, j'essaie de les contenir pour ne pas inquiéter ta fille. Le souffle court et la gorge nouée, j'essaie de prononcer mon prénom. Poppy. Tu te présentes ainsi que ta fille et je la regarde en souriant doucement, elle est vraiment très forte il y a pas à dire. J'crois qu'après tout ça si je m'en sors vivante, plus jamais j'entrerais dans une bijouterie. C'est une bonne idée. Et pour le coup je vous inviterais même chez moi. J'entends les forces de l'ordre qui prennent le relais, ça crie partout et le preneur d'otages ne se laisse pas faire, mais apparemment ils ont réussi à le coincer. J'entends qu'ils lisent ces droits et lui attache les menottes au poignet pour l'embarquer. Mon coeur reprends une allume normale enfin presque, c'est vraiment un choc pour moi, je suis traumatisée à vie. Je me lève, me mords la lèvre et regarde mes nouvelles amies. L'un des policiers nous invitent gentiment à sortir de la bijouterie. Merci beaucoup. Je tenais vraiment à te remercier de m'avoir protégé.
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