ESMÉE KEETELS ► angèle van laeken

naissance
14 décembre 98, petite sagittaire qui née à bruxelles (belgique). elle était la dernière de la famille, la princesse "aimée" par les parents et jalousée par la fatrie. esmée n'était qu'un joli poupon rapidement brisé par les blessures enfantines. des traumatismes, ils prêchaient la bonne parole et la voilà complexée, de son corps. madame était trop grosse pour rentrer dans les robes de créateurs, madame était pas assez féminine, madame n'en faisait qu'à sa tête. ces mots tournent encore en boucle dans sa tête, ces mots l'avaient détruits. obnibulée par son poids depuis petite, il n'était pas rare de la voir finir à l'hôpital. il n'était pas rare qu'elle frôle le ciel. son poids, son obsession. son poids ne la lâche plus. les pieds tremblants sur la balance, à scruter les moindres grammes. repas surveillés, vie malsaine.

nom(s) & prénom(s)
( esmée mina keetels ) esmée, un prénom vite écorché par les américains qui s'est vite transformé en "esmi". surnom donné depuis toute petite, qui lui laisse des sourires quand on l'appelle de cette façon. esmée, le prénom de sa grand-mère paternelle qu'elle chérissait et adorait du plus profond de son être. c'est papa qui avait dit à maman de l'appeler comme ça, elle était leur étoile. keetels n'était qu'un patronyme qu'elle était obligée de garder, elle n'en était pas fan et ni fière d'avoir ce nom-là mais ça lui collait à la peau, elle voulait s'en détacher au mieux. elle s'inventait parfois même un nouveau nom. ça la soulageait.

nationalité(s)
nationalité belge qui sera bientôt plus qu'un lointain souvenir puisqu'elle se plaît à boston.

origine(s)
papa et maman avaient beau voyagé dans le monde entier pour leur business, les keetels restaient toujours des belges avant tout. une appréciation culturelle qui se fait entendre lors de leurs nombreux dîners, un white savior à en vomir de la part de père. esmée était fière de ses origines, elle ne s'est jamais cachée d'être belge et était souvent amusée par les stéréotypes qu'on lui collait. mais, ce qui l'agaçait était de la comparer aux français. elle n'est pas restée longtemps à bruxelles, ayant vécu en majorité une partie de sa vie à bruges avant de rejoindre boston.

orientation sexuelle
( homosexuelle ) mademoiselle a toujours eu les yeux qui dérivaient sur les courbes féminines, elle s'est longtemps remise en question mais il était inévitable pour elle. les femmes étaient sa première faiblesse, elle les aimait à en vivre et pouvait les chérir de tout son être. les hommes n'ont jamais été sa came, une répulsion qui s'est dessinée petit-à-petit en voyant certains de leurs comportements ; elle les mettait dans le même panier et parjurait, s'imaginant qu'ils étaient tous les mêmes. les femmes ont été toujours son premier choix, et ce depuis son adolescence. elle ne s'est jamais cachée, malgré les divergences d'avis dans sa famille et les remarques déplacées à son sujet.

statut amoureux
( toxicity ) des relations qui se cassent la tête, la belle est amoureuse et terriblement amoureuse de celle qui ne faut pas. une relation qui ne mène à rien, si ce n'est qu'à une destruction mutuelle. elles se sont quittées et pourtant, elles se tournent autour tel des aimants. elles s'attirent vers le feu, elles s'aiment comme elles se détestent. une obsession pour cette jeune femme, elle est emprisonnée par cet amour qui la rend aveugle, qui l'abîme. elle est son objet, et malgré tout, elle aime ça. être sienne. personne ne pourra l'éloigner d'elle, de cette femme. elle l'a dans la peau.

études
en quatrième année d'astrophysique, depuis gamine, les étoiles la guident et elle ne pouvait que suivre leurs chemins en les étudiant. elle était un peu la rajesh koothaprali, elle s'identifait même à lui parfois. elle espère être doctorante tant cette passion la consume, elle était une grosse tête et la weirdo au possible mais l'astrophysique la faisait vivre. c'était ça qui l'animait et faisait oublier les enfers qu'elle pouvait subir.

bourse
mademoiselle roulait sur l'or avant de quitter la belgique, c'était soit l'argent de papa et une vie confortable mais désastreuse ou soit une vie un peu plus difficile mais elle aurait la chance d'être indépendante, de se connaître et d'être heureuse. l'argent était en second plan, elle avait réussi à décrocher une bourse sur critère social qui lui a permis d'alléger ses finances.

statut social
( princesse esmée n'est plus qu'un lointain souvenir ) déshéritée, et eloignée des mondanités ; esmée se retrouve à vivre dans les galères étudiantes pour son plus grand bonheur. elle aime ça, galérer et se surpasser. elle n'en pouvait plus de vivre aussi facilement et de voir que la vie n'était pas aussi rose. elle voulait connaître ce qu'était les vraies choses, et savoir comment les mériter.
et puis ça se voit qu'elle ne vient plus de la haute, ses t-shirts loufoques qu'elle remettait sans cesse et ses chaussures trouvées dans les magasins d'usine ne la rendent pas superficielle. elle s'faisait plaisir de temps en temps, elle économisait pour ses thèses quand elle sera doctorante. les études passaient avant son apparence, elle survivait dans cette vie étudiante dont elle en était éperdument amoureuse.

job étudiant
les boulots, elle s'y connaît à force d'éplucher les annonces. en l'espace de quelques années à boston, les jobs les moins mirobolants qui la faisaient pleurer, lui donnant le tourni. ces putains de patrons qui aimaient lui donner le pire taff pour quelques dollars. mais, les choses s'adoucissent au kkum café. un job qui lui plaît, et quel plaisir de découvre de nouvelles cultures à travers son travail. elle est barmaid le week-end et certains jours de semaine afin de lui permettre de vivre correctement mais il n'est pas rare de la voir en face du comptoir à commander des americano.
des cours particuliers de sciences, ou de mathématiques sont affichés à peu près de partout dans l'université dans le but d'arrondir les fins de mois. quelques dollars en échange d'un savoir made in esmée, elle n'était pas la professeur la plus en vogue mais elle arrivait à gratter quelques fidèles.

maison
( adams house ) c'est la confrérie qui lui colle le mieux à la peau, la gamine est rêveuse et n'attend rien, elle veut vivre et redorer le blason avec fierté de sa confrérie. elle ne savait pas vraiment quelle confrérie choisir au début, avant de se fier à son instinct et à sa logique qui l'a amené à se rendre à l'évidence : son ouverture d'esprit, son identité unique matchait parfaitement avec le mantra de cette maison.

persévérante. c'est le premier atout d'esmée, elle est ambitieuse et aime aller jusqu'au bout de ses idées. quand elle a quelque chose en tête, rien ne peut l'arrêter. elle est patiente, et acharnée dans tout ce qu'elle fait. une passionnée de la vie.
curieuse. la curiosité la stimule, la fait vivre. elle aime s'intérésser à tout et débattre sur n'importe quoi. les small talk ne sont pas sa tasse de thé, elle a besoin de parler de l'existence de l'homme, de philosophie, de la théorie du big bang pour être à l'aise dans les conversations. les potins ne l'intéressent guère, elle n'a jamais été très gossip girl.
volatile. elle se lasse vite des choses, de l'amour, de ses relations. elle ne sait pas rester en place, un rien peut la faire fuir. il suffit qu'une dispute éclate pour qu'elle coupe pont, elle a souvent besoin de se ressourcer toute seule. elle a toujours besoin de connaître, d'apprendre, de découvrir de nouvelles choses. la routine lui fait peur. les choses simples ne sont pas faites pour elle.
solitaire. les humains n'ont jamais été sa came, elle a toujours préféré rester dans son coin avec un bon livre dans ses mains. les obligations sociales, les rencontres et toutes ces choses sont futiles pour elle. ça n'amène à rien, sauf s'il s'agit de travaux pratiques entre étudiants qui amènent à la stimulation intellectuelle. le reste est sans importance.
secrète. elle ne raconte que rarement ses plus lourds secrets, ses faiblesses. elle préfère écouter, donner des conseils que de se livrer. elle a tendance à s'ouvrir que si elle explose, ou qu'elle n'en peut plus de garder ses souffrances. elle ne dit jamais ce qu'elle pense, ce qu'elle ressent. elle ne sait pas exprimer ses émotions, ou alors elle le fait adroitement. parce-que, on lui a jamais appris à dire "je t'aime". on lui a appris à être froide, en toute circonstance. se montrer est une faiblesse.
rêveuse. au fond de cette carapace, se cache une éternelle rêveuse qui aime les contes de fée. le petit prince est son livre favori, celui qui la rend un peu plus douce et qui lui fait comprendre un peu plus la vie. personne ne sait son amour profond pour cet ouvrage qu'elle dévore sans cesse quand elle a un coup de mou.
anticonformiste. les traditions, les normes et toutes ces choses qu'elles n'a jamais comprises lui sortaient par les yeux. elle est individualiste, avant tout et regarde d'un mauvais œil la société d'aujourd'hui. elle est méfiante, elle ne veut pas penser comme les autres. elle veut être différente, voire un peu trop et cela la décrédibilise.
maniérée. à défaut de vouloir être "la fille du peuple", des traces de son passé restent ancrés en elle. elle peut parfois en faire trop, son rire parfaitement bien maîtrisé et son langage qui reste souvent soutenu, respectant une certaine ligne de conduite. parfois, elle essaie de s'adapter aux autres mais ça tourne au ridicule. la madame est encore une bourgeoise, à contre-cœur...
misandre. son féminisme se fait entendre, elle est évidemment pour l'égalité mais ne sera jamais du côté des hommes. une haine qui s'est construite depuis toute jeune en voyant le comportement de son père, de son frère et des nombreux témoignages, de faits divers qu'elle a pu entendre. ça ne l'empêche pas de côtoyer des hommes mais elle ne peut pas s'empêcher de ramener sa science infuse.
décoration

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