Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitytw; Pushed from the precipice, clung to the nearest lips (albus & vic)
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tw; Pushed from the precipice, clung to the nearest lips (albus & vic)

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Un peu pompette, je m’accroche à son bras et pose la tête sur l’épaule d’Albus dans l’ascenseur, bien plus légère qu’à notre arrivée. Malgré les souvenirs qui ont eu l’opportunité de remonter à la surface, j’ai passé un bon moment à célébrer l’amour d’Eben et Thadee et suis parvenue à laisser de côté ma propre histoire. « Il y a combien d’heures, encore, dans une journée ? Je suis épuisée. »  Plus que ça même. Enchaîner un vol de huit heures, la cérémonie et la fête directement derrière m’a complètement vidée de toute énergie, ou presque. C’est sans compter, bien sûr, le décalage horaire de cinq heures avec Boston. Je fouille dans mon sac à main après la carte de la chambre et y entre, me débarrassant de mes talons avant même d’enlever ma veste. La liberté, la vraie. La souffrance dans les chevilles me rappelle que je n’ai plus pour habitude d’en porter. « Encore désolée pour nos passeports, je ne t’aurais jamais embarqué sur un autre continent à quelques jours de Noël si j’avais su. » Sauf que c’est le genre d'événement qu’il est impossible de prévoir et en toute honnêteté, je ne voudrais être coincée ici avec personne d’autre que lui. Je n’abandonne pas l’idée de contacter d’urgence l’ambassade des Etats-Unis demain matin, afin de pouvoir célébrer les fêtes en compagnie de mes parents. Une fois ma veste au porte-manteau, je me laisse tomber sur le lit et pousse un soupir. « Je ne pensais pas m’amuser autant. » Et j’espère que lui aussi a réussi à prendre un peu de plaisir en ma compagnie. Nous ne connaissions personne, ou presque, et le pauvre Albus a passé la soirée à m’écouter commenter le lieu, le décor, l’argent probablement claqué dans l’organisation et tout ce qui aurait pu être fait avec celui-ci. Ca fait un peu mal au ventre quand on peine à régler toutes ses factures en temps et en heure mais je pourrais au moins cocher ça sur ma bucket list ; assister à un mariage princier. Ou presque.

@Albus Jasinski
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Je suis habitué aux voyages mais honnêtement la fête était agréable, digne, et j'ai le sang légèrement échauffé. Rien qui ne soit très visible à l'œil, sauf peut-être pour toi Vic qui me connaît très bien. Je suis un peu plus loquace, un peu plus bavard et suffisamment sociable pour m'être amusé. « Je rêve de m'allonger. » dis-je à mon tour en te soutenant, parce qu'on a pas mal piétiné, puis danser. Oui même moi j'ai dansé. Cela nous a sans doute aidé , de ne connaître personne. Evidemment qu'en voyant deux hommes se marier, j'ai pensé à Ulrik, à la richesse de sa famille. Parce qu'il est la seule personne pour laquelle j'ai envisagé ce genre de cérémonies. Alors oui, cela explique aussi sans doute pourquoi l'alcool a grignoté un peu plus de ma conscience ce soir. La porte s'ouvre, dévoilant une chambre spacieuse et luxueuse, j'en siffle de satisfaction. Pour cette histoire de passeports... « Ne t'en fais pas pour Noël, je ne le fête pas. Je n'ai personne avec qui le faire c'est surtout le travail qui m'attend qui m'inquiète. » Presque un mois entier à déserter mon service, ce n'est pas vraiment une bonne chose. « Mais nous trouverons un moyen. » J'ai confiance, toi et moi, on ne lâche rien. J'enlève à mon tour mes chaussures, ma veste, et desserre ma chemise, me laissant choir à tes côtés, sans en dire davantage. Quelques secondes silencieuses. « Moi aussi, mais c'est bon bon ? » Tourné de côté, je t'observe, passant mon index de ton front, passant sur l'arête de ton nez pour le laisser errer finalement entre tes lèvres. L'alcool n'aide pas sans doute.

@Victoria Lahey
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J’opine lorsqu’il me confie rêver de pouvoir s’allonger. Si la chambre d’hôtel est à l’image du mariage, je n’ai aucun doute sur le confort qui nous attend pour cette nuit, et peut-être les prochaines. Je grimace à cette idée, car rester sur le continent européen plus de quarante-huit heures n’était pas au programme. Il y a bien des choses que j’aimerais voir à Londres, n’ayant jamais mis les pieds ici auparavant, mais pas maintenant. Pas alors qu’une garde m’attends dans moins de trois jours. J’oublie un instant ce contretemps au sifflement de mon ami et tourne sur moi-même au milieu de la pièce pour en découvrir les moindres recoins. C’est classe, beau et… très british. Une déco magnifique et hideuse à la fois ; parfaite dans un hôtel cinq étoiles de Londres mais que je ne voudrais pas voir chez moi. « Oui, pareil. » Enfin, pour le boulot car j’en connais deux qui risquent d’être très déçus si je ne passe pas noël à leur table, après avoir déjà brillé par mon absence à Thanksgiving.
Mes yeux se baladent sur la chambre que je continue d’analyser, avant de s’arrêter sur Albus lorsqu’il reprend la parole. Un frisson me parcoure l’échine à son index qui descend sur ma peau et s’arrête sur les lèvres que je pince doucement, sans jamais lâcher son regard, hypnotisée. Mon cœur n’en a pas besoin de plus pour voir son rythme s'accélérer considérablement, l’homme a mes côtés ayant toujours eu un certain pouvoir sur celui-ci. « C’est bon. »  Je confirme dans un murmure. Bon de s’amuser, bon d’oublier, l’espace d’une soirée, mais surtout bon de partager ce moment avec lui. « Ne me regarde pas avec ces yeux, Albus.» Mon ton est suppliant et pourtant, j’en pense tout l’inverse. En un regard, il m’offre plus d’attention que je n’en ai eu au cours de ces derniers mois et me donne envie d’en réclamer plus afin de prendre tout ce qu’il acceptera de me donner ce soir. Mes doigts viennent d’ailleurs s’accrocher aux siens, toujours sur mes lèvres, pour les guider lentement le long de ma nuque, puis de mon décolleté plongeant, jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent sous ma poitrine, à la commissure de ma robe. « Tu m’aides à l’enlever ? » Pour le rejoindre, lui, ou mon pyjama. Pour le meilleur ou pour le pire.

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C'est bon de te retrouver, acolyte de mes pires noirceurs et paradoxalement aussi de mes meilleurs moments. On avait commencé la route en tant qu'amis avant de se perdre en amants, furieux dans nos destructions mais incapables de nous arrêter pour autant. On est fait de la même écorce toi et moi et on s'y reconnaît tout simplement. Ces frasques ne nous ont pas empêché de poursuivre nos routes, toujours en nous épaulant, en ne réclamant rien de l'autre et même en nous réjouissant pour l'autre dans les bons moments. Relation étrange et singulière, armée de durable et d'éphémère, t'es cette présence qui compte et qui s'efface mais que je n'ai jamais peur de perdre. Alors la fête, l'alcool et cette histoire de dingue avec nos passeports me donnent envie d'oublier un moment. On est pas des personnes de convenance toi et moi, on franchit les lignes effrontément et sans aucun remords. « Pourquoi ? » dis-je avec un petit rire, sentant mon propre corps tressaillir à la douceur de tes lèvres. L'électricité passera toujours. Tes phalanges viennent se mêler aux miennes, invitant à explorer ton buste, l'échancrure de la robe. « Naturellement. » lâche ma voix dans un murmure, je n'ai aucune intention de reculer et tu le sais parfaitement. Mes lèvres se posent dans ton cou tandis que ma paume remonte sur le relief de ta poitrine pour saisir la robe à l'épaule et laisser mes phalanges dévoiler la blancheur de ta peau qu'en bon loup avide, je viens parsemer de baisers.
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L’issue de cette soirée n’est pas planifiée, pourtant je mentirais si je disais qu’une petite partie de moi n'espérait pas sentir ses lèvres sur ma peau à nouveau et retrouver le goût oublié de la sienne. L’aventure fût de trop courte durée dans le passé, interrompue par Gabriel et suivie de la déferlante de ma vie sentimentale et d’un divorce, durant lequel il a su m’épauler. Un goût d'inachevé, qui n’a jamais pesé sur notre amitié pour autant. Seulement, à son touché, au regard qu’il pose sur moi ce soir, la détermination d’atteindre l’apogée revient au galop. Comme un besoin de venir mettre un point final à ce pan de notre relation, laissé pour compte. Je souhaite m’oublier dans ses bras, parvenir à lui procurer ce même répit, même si celui-ci ne dure qu’une nuit et que nos démons reprennent possession des lieux dès le soleil levé.
Son rire est si rare qu’il me prend par surprise. Si mes doigts ne suivaient pas son propre mouvement, je viendrais glisser mon pouce d’un bout à l’autre de ses lèvres, pour l’imprimer avant qu’il disparaisse. Je retiens un soupire à ses lèvres qui trouvent ma nuque et penche légèrement la tête, ramenant mes cheveux sur le côté pour lui dégager la voie. Sans interrompre ses lèvres et leur exploration, je m’attelle à terminer de déboutonner sa chemise, puisqu’Albus a déjà commencé pour moi dès notre entrée dans la chambre. Mes paumes remontent sur son torse jusqu’à ses épaules, glissant ensuite le long de ses bras pour y faire glisser sa chemise. Dès qu’il en est débarrassé, c’est sur son visage que se porte ma concentration, encadrant ce dernier de mes mains alors qu’un sourire prend place sur mes lèvres. A-t-il seulement conscience de sa beauté, intérieure et extérieure, et de son charme qui fonctionne tel un aimant sur moi ? A défaut de lui dire, mes lèvres s’accaparent des siennes pour le lui faire comprendre, alors que mes doigts glissent dans ses cheveux et s’y accrochent, presque avec désespoir.
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Déclarons la trêve, le repos pour les guerriers. C'est toi et moi contre le monde, depuis maintenant des années, mais à cet instant, c'est surtout nous en dehors de ce monde, dans notre bulle. Et je veux nous accorder cette parenthèse, laisser tomber les marques de raison, les limites. J'ai tout simplement envie de te retrouver même si c'est simplement l'espace d'un instant, celui d'une nuit, affection que je viens te porter, loyauté à toute épreuve et qu'importe ce qu'il se passe par la suite. Je sais que toi et moi, on ne vient rien se promettre sinon de rester aux côtés de l'autre, qu'importe les rebondissements. Tu es particulièrement séduisante aujourd'hui, dans cette robe aux parures d'or, lumière incandescente dans mes noirceurs, pourtant dévorée des mêmes démons, ce n'est pas sans me rappeler nos prémices qui furent l'aube de nos dévastations respectives. Tu y avais perdu ton mari et moi mon meilleur ami, et pourtant cela ne nous avait pas empêché de continuer à être unis. Phalanges qui viennent descendre ta robe, tandis que mes lèvres marquent la blancheur délicate de ta peau. Je sens la mienne tressaillir à ton contact nouveau et pourtant familier, ma peau qui se dévoile, de ses stigmates et cicatrices, de cette absence de soleil.

@Victoria Lahey
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